✨PARTIE 14✨
«Retenir ses larmes est plus amer que de pleurer des torrents»
💭
J'attendis qu'il passe . Et je le pris
en traitre par derrière et je brisa le vase sur son crâne . .
Il tomba au sol, je pris les clés dans
ses mains . Et je partis tel une voleuse .
La pire des trois mais celle avec le plus grand cœur . Mais également
celle qui va connaître la plus belle histoire d'amour . . .
Les plus calmes ont toujours quelque chose à cacher niveau caractère. .
[. . .]
J'étais à présent hors de cette tour, je n'avais plus qu'une seule chose à faire . Fuir loin d'ici avant que ce malade me retrouve .
Je courrai comme je n'avais jamais couru . J'étais en pleure, je ne savais pas où j'allais . Je savais qu'une chose si je me retrouvais à nouveau entre les griffes de ce malade je préférais mourir .
Je courrai avec difficulté . Le soleil tapais et ces talons me faisait horriblement mal au pied .
Quand violemment je bouscula un homme qui devait avoir la vingtaine à peu près . Il était en costard cravate et ce qui m'interpella c'était son physique rien avoir avec le typique homme dubaïen .
Il était blond, avec les yeux bleus . C'était sûre c'était un européen, les traits de son visage le prouvait .
Moi - Euh . Excusez . . . Sorry .
? - *rire* Je parle français vous inquiétez pas .
Il me fixa .
? - Mais vous pleurez que se passe-t-il ?
Je m'effondra encore plus en larme .
Moi - J'ai réellement besoin de vous *pleure* .
Comment j'ai tellement de la chance, le première homme sur lequel je tombe il parle français .
L'homme - Ne restons pas là on va attraper une insolation . *il me prit par l'épaule * Venez avec moi .
En tant normal je l'aurai repoussé en disant que je ne le connaissais pas . Mais au fond de moi quelque chose me disait que je devais lui faire confiance . Et pour une fois c'était pas la naïveté qui parlait mais juste mon troisième sens .
[. . .]
Je me réveille dans un lit à baldaquin . Je ne suis plus dans ces habilles de pute . Et pour la première fois depuis un mois je n'ai plus la crainte de me demander ce qu'il va m'arriver .
Je descend les escaliers, en observant tout ce que je vois . C'est juste somptueux . Je me trouve dans un duplex à Dubaï avec un inconnu . Je sais pas si je dois lui faire réellement confiance mais une chose est sûre il n'a rien avoir avec ce malade de Saphir .
Je me rend dans la cuisine, où l'homme se trouvait .
Moi - Merci beaucoup monsieur .
Lui - Tutoies-moi, Nicolas .
Moi - *petit sourire* Sanaa .
Lui - Comment ça se fait que je t'ai retrouvé dans cet état ?
Moi - *soupire*
Je ne savais pas trop si je devais oui ou non lui faire confiance mais une petite voix au fond de moi me poussa à me vider .
Moi - /Je lui raconta tout\
Lui - Je suis choqué, j'hallucine faut enfermer ce psychopathe . Tu sais quoi ? *il réfléchit quelques secondes* Donnes moi le numéro de tes parents tu les appelles pour qu'is viennent te chercher jusqu'à Dubaï vu que tu n'as pas tes papiers avec toi . Tant que tu es chez moi tu seras en sécurité .
Moi - Merci beaucoup .
J'étais soulagée et à la fois retissante . Pourquoi un homme que je connais à peine serait aussi bon avec moi sans rien me demander en retour ?
Lui - Je vais devoir y aller j'ai du taf qui m'attend . Si ça toque tu ouvres c'est ma femme je l'ai deja appelée pour lui expliquer la situation .
Moi - Merci encore pour tout .
À ce moment là j'étais soulagée de savoir qu'il avait une femme .
Une semaine plus tard .
J'étais de retour à Paris . J'étais de nouveau entouré de ma famille et de mes copines . Où plutôt de ma copine, Kenza c'était la seule qui c'était réellement préoccupée de mon sort .
Les autres me donne juste envie de continuer à être celle que je suis réellement devenue . L'espèce humaine me dégoûte au plus haut point . Quand ils ont besoin de toi ils sont tous là près à te baiser les pieds . Mais quand ils n'ont plus besoin de toi ils te lâche comme une merde .
|| UN AN PLUS TARD ||
Une année avait passée et tout avait changé, ma vision de la vie . Mon physique ou encore même ma façon de penser .
J'étais devenue très dure et sans attache , mon seul but dans la vie . L'argent .
Quand tu commences à voir les grosses sommes défilé son ton nez ton rapport à l'argent est tout autre .
La Sanaa qui voulait devenir infirmière n'était plus qu'un mauvais souvenir .
Tout avait changé, y compris ma façon de voir le bien du mal .
/RIRE\
Lundi 16 JUIN
Je me fais réveiller de manière violente par mon père .
Mon père - OH SANAA TU TU RÉVEILLES LA . C'EST PAS PARCE QUE JE SUIS TON PÈRE QUE TU DOIS EN PROFITER .
J'aurai jamais dû accepter de travailler dans son entreprise . 😩
Moi - *voix endormie* Smeh papa .
Je sais avec qui placer de la foutaise et avec qui faire la fille droite *petit rire* .
Mais bon je vais pas vous mentir je joue à la mauvaise fille, mais à la vue de mes parents et de mon frère . Mon cœur s'attendrit .
Je ne pourrai jamais les décevoir ou leur causer du tort . Et je pense bien que c'est les seules que j'estime avec ma meilleur amie Kenza .
DANS LA PEAU DU MYSTÉRIEUSE INCONNU
Salah (rappelez vous de Salah) m'dépose dans leur entreprises de mes couilles . Salah c'est le frelon, le sang wesh .
Salah - Eh le sang fait pas le hataye tu viens d'sortir du hebs . Ça t'donne ta chance sois content frère .
Moi - EH M'CASSE PAS LES COUILLES . QU'EST CE J'MEN
BATS LES COUILLES . AZI IL EST 10 HEURES DU SBAH J'POURRAI ETRE SOUS MA COUETTE ÇA M'FORCE À VENIR DANS LEUR ENTREPRISE DE JAMBON BEURRE D'MES COUILLES . CE QUI S'FONT EN UN JOUR MOI JLE FAIT EN DEUX HEURES . ILS SONT LA ILS VIENNENT ME CASSER LES COUILLES .
PDV DU NARRATEUR
Le mystérieuse inconnu, était sorti il y a à peine 1 semaine, la juge avait veiller à ce qu'il se réinsère professionnellement parlant . Car celui-ci n'avait jamais travaillé de sa vie puisqu'il avait baigner dans l'argent facile depuis tout petit . Pour cela elle lui avait trouvé une entreprise à la tête d'un directeur qui lui même dans sa jeunesse était un délinquant . Elle avait pensée que cela pour le motiver à changer sa vision de voir les choses .
DANS LA PEAU DE SANAA
Comment ça me zehef je suis à peine
vêtue que mon père me presse .
Je me parfume, me maquille rapidement tellement que je suis sous la pression des cris de mon père . Je me parfume .
Et je suis prête à partir .
Moi - Bisou yemma d'amour .
Je lui mord la joue .
Quand mon père nous interrompt .
Mon père - Eh vos conneries c'est plus tard là . Sanaa dépêches toi si tu veux pas que ce soit moi qui te fasse monter dans la voiture .
Ma mère - Comment tu parles à ma fille hein ?
Mon père prend ma mère comme un sac à patate . Des grands-enfants ces deux la .
[. . .]
DANS LA VOITURE
J'écoute mon Jul, vu que c'est le seul rappeur que mon père tolère . Si on peut appelez Jul un rappeur lol .
Quand je m'imagine comment ma mère m'a parlé de mon père a l'époque j'hallucine . Il est devenue tellement rangez .
Lorsque mon père baisse la musique .
Mon père - Aujourd'hui j'ai une journée bien chargée . Tu devras t'occuper d'un jeune homme de ton âge en réinsertion sociale et ensuite tu répond à mes mails .
Moi - Pff tu peux pas dire à quelqu'un d'autre de s'occuper de lui . J'ai pas que ça à faire .
Mon père - Quand je l'ouvre tu me
contredis pas .
Je me contente de remonter la musique . Parce qu'avec mon père je sais que je n'aurai jamais le dernier mot . Et c'est bien le seul .
[. . .]
J'arrive dans l'entreprise, les assistantes, secrétaires et tout le tralala me salue je ne leur prête pas d'attention .
Lorsqu'une me prend du temps . 🙄
Elle - Excusez moi mademoiselle . . .
Moi - Madame et non mademoiselle . *froidement*
Elle - Euh.. . Je suis vraiment désolé . Madame K******* l'homme en réinsertion sociale vous attend à votre bureau .
Moi - C'était pas nécessaire de me prendre mon temps pour un détail .
Je devrai penser à arrêter ce taf de merde où je dois me forcer à parler comme une Jean-Jacques .
Je me rends a mon bureau . Lorsque je vois un homme en pantalon Balmain, polo et Zanotti de dos adossée à la porte de mon bureau .
C'est ça un jeune en réinsertion professionnelle soit disant ? Il a plus d'un salaire sur lui . Et ça veut jouer les victimes . J'hallucine .
*rire* Je commence à bien kiffer de faire la bourge quand je tchatche .
Je passe . Et là je vois un homme certe très beau, je crois même que nan la je commence à m'éloigner bref il n'est pas de mon milieu social donc il ne m'intéresse pas . Qu'est ce que j'irai foutre avec ça ? Nous on aime les hommes beau et friqué et non les hommes friqué qu'en semaine A . *rire*
Moi - Bonjour vous êtes ?
Lui - Samir .
Moi - Des Samir y en a plusieurs enfaite . Donc ton nom de famille si c'est pas trop te demander .
Lui - EH MAIS . . .
Vous accrochez ?
Affaire à suivre . . .
SUITE À 1000 VOTES
@Parisienne__
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