Chapitre 6.

- Comment ta fais morveux ?
- J'ai puisé dans ma force.
- Parce que t'en à ?
- ...
- Jacob. Je dois te parler.

Il se lève en direction d'un homme. À l'allure d'un caïd. Dont seul le sous chef respectait. Les autres avaient plus tendance à se moquer. Jacob s'approche de l'homme qui lui dit de le suivre.

Il eu plein de questions mais aucune ne voulais faire face à son père.

Arrivée devant les dortoirs. La porte de Jacob est ouverte.

Trouve une solution.

Son père entre en premier. Sans un mot il lui tendit le bras pour désigner les cendres présent dans un verre, la table cassé et sa brûlure.

- Tu m'expliques ?
- J'ai trouver de la ℂ𝕝𝕠𝕣𝕚𝕥𝕦𝕖 dans tes affaires, je l'ai fumé est je me suis brûler.
-... Et pour la table ?
- J'ai pris un peu de poid ces derniers temps.
- mmmm.

Son regard balade la pièce. Il semble chercher quelques choses en particulier. Jacob ne veut pas bouger sous peine de paraître trop coupable. Il à surtout peur que son père tombe sur l'enveloppe.

- Jacob ! Tu es la.

Son frère arrive dans la chambre, essoufflée d'avoir couru jusqu'ici.

- Papa vas arriver dans la chambre...
- T'est arrivé un peux en retard.
- Bonjour Chef !

Crie t'il en bombant le torse. Car oui, malgré le fait que le chef été leurs pères cela reste un orde de diplomatie.

Leurs père sorti de la chambre en bousculant Christian.

Après qu'il est quitté le couloir Christian se tourne vers son frère. D'un regard il comprit la venue de leurs père. Jacob prit son visage entre ses mains est s'assis sur le lit de son frère. Christian entre est ferme la porte.

- Tu à répondu quoi ? Demanda le plus vieux des deux.
- Que j'avais volé sa ℂ𝕝𝕠𝕣𝕚𝕥𝕦𝕖 est que j'avais grossi.
- Pourquoi tu m'a pas poucave ?
- Je dois te montrer un truc.

Jacob lève la main pour attraper l'enveloppe. Christian est perplexe. Le fait de savoir que son frère est le sauveur du monde à du mal à passer. Il rigole est fait montrer qu'il est en accord, mais savoir que son frère aura la côte l'énerve plus que de voir son père.

Il prend l'enveloppe déchiré sur le haut. Aucune odeur ne lui parviens. Jacob enlève son treillis est son t-shirt.

La brûlure est toujours présente -Ce n'est pas en quelques heures qu'elle vas disparaître- est fait toujours aussi mal.

Jacob ne le montre pas. Seule ses sentiments émotionnel ont disparues, ce qu'il ressent face à la douleur reste naturel pour un être humain.

Quand il tombe il ne pleure pas. Quand il se brûle ou se coupe il crie. Pour extériorisé ce qu'il ne montre pas. Ce qu'il ne montre pas s'appelle la douleur.

Ça lui fait peur de montrer ce qu'il ressent aux autres. Alors ils ne le fait pas. Il a compris cette logique très tôt, a l'âge de sa sœur. Il prie pour qu'elle ne fasse pas pareil que lui.

Le temps que son frère lise la lettre il se lève est se tourne pour lui montrer son dos.

Christian lève la tête vers son dos. Un frisson de terreur l'envahi. Ce qu'il prennait jusqu'à maintenant pour un simple tatouage paraissait pour un symbole venant des ténèbres.

La lettre fit son effet. Son but principal n'est pas de faire peur mais plus d'informer. Elle touche le sol en très peux de temps.

- Sophie m'a dit, raconte Jacob en remettant son t-shirt, que c'est le symbole du roi des enfers.
-...

Il est ébahie devant cette information. Ce n'était pas censé ce passer comme ça. Ce n'était pas ce censé se passer tout court. Son petit frère le terrifie. Il semble neutre sur ces informations. Il allait peut être mourir est ça ne lui fessait ni chaud ni froid.

Il est vraiment sociopathe ?

Se dit il en le regardant remettre son trellis.

- On y vas ?
- Vas y d'abord. Je te rejoins.

Jacob sortie de la chambre en laissant un regard inquiet sur son frère. La lettre tombant de ses mains lui revint en tête.

À quoi pensais t'il ?

Se demande t'il en regardant ses pieds baladant le sol. Son pas s'accélère en voyant Sophie au loin. Il veut s'excuser de l'avoir planté ce matin.

Elle est assis les genoux relevé contre son menton. Les mains liées devant ses jambes. En voyant Jacob venir vers elle, son seul réflexe fut celui d'observer le sol.

Est entouré à cause de ses sentiments.

Se rappelle t'il de la lettre. Il se dit que ce n'était pas les mots exact mais la même signification. Lui ne voulais pas être entouré, elle l'avait peut être envie mais ne savais pas comment faire.

Il s'assit à côté d'elle. Cette fois ci, il frôle son bras. Il n'essaye pas de technique de drague car elle n'aime pas les garçons. Il se rappelle ça remarque sur les personnes LGBT+ . Il se sentis gêné. De toute ses émotions disparue, seule celle ci restait. Était-elle plus forte que les autres ?

Sophie pose sa tête sur son épaule. Une drôle de chaleur l'envahi.

- Je n'aime pas les filles. J'ai peur de rester avec les garçons.
- Tu aime les garçons en amour ?
- Je sais pas. J'ai peur d'être blessée à cause des garçons.
- ...

Son image d'elle change. Il avait un objectif en plus de sauver le monde. Celui d'aider son amie.

- On est plus ici qu'en cours . Dit elle.
- Ta raison. Répond t'il .
- On ne se connaissait même pas il y a deux jours. Fit elle.
- Ouai... Mais c'est pas grave. On peut apprendre à ce connaître ?
- Ça me dérange.

La tête de Jacob se pose sur celle de son amie. La pose de midi ce terminé dans moins de dix minutes. Ils veulent profiter de ce temps à partir dans l'autre monde, du moins, du point de vue de Sophie.

Jacob eu d'autres ambitions. Celle de parler avec Sophie.

Elle ferme les yeux en prononçant quelques mots.

- Den je pro mě jako stvořený.

Il ferme les yeux à son tour. Ces espérances de pouvoir lui parlé disparue.

- Den je pro mě jako stvořený.

La salle est restée comme ils l'avaient quitté. Remplie d'eau. Noir. Un amas de lumière qui les entourent.

À leurs réveillent. Sophie à la tête sur les jambes de Jacob. Elle ne rougis pas. De toute ces émotions qu'elle avait retrouver seule celle-ci n'était pas revenu. L'amour avait disparu, pour elle.

Elle se lève.

Il à toujours les yeux fermés. Elle lui mais une petite baffe pour qu'il se réveille. Il sursaute un peux est se lève .

- On doit faire quoi ?

Demand t'il sans avoir de réponse. Sophie regarde autour d'elle puis chuchote une chose inaudible pour lui.

Elle se retourne est lui met un coup de pied au niveau du visage. Sa casquette tombe au sol. Les deux petits boule rouge se mettent à briller. Jacob crache quelques gouttes de sang.

Elle est complètement folle ?!

Il se jette sur elle pour essayer de lui mettre un coup de poing. Elle esquive. Elle le frappe au niveau du cou. Elle lui prend le prend le bras et le retourne sur son dos.

Sans vraiment dire quelque chose elle exprime un sentiment de colère. Heureusement qu'il n'avait aucune émotion car elle serait déjà morte.

Enfin c'est ce qu'il croit.

- Écoute moi. On a que trois jours pour s'entraîner. Aujourd'hui, demain est après-demain. Si tu n'es pas assez fort pour réussir à me frapper, l'humanité sera mort.
- C'est quoi ce bordel ?! Sa fait cinquante ans qu'on risque notre peaux, on mourra pas dans trois jours !
- On entre dans le cycle de la lune de sang.

Un choc lui vient. La lune de sang. Ce que racontais ses grands parents au repas de famille les jours de fête. Il s'en souvenait particulièrement car a chaque fois que son grand père prononçait ces mots, une douleur à l'omoplate venait.

- Le cycle de la lune de sang sera la plus meurtrière du monde. Les démons se voit pousser des ailes. Une deuxième paire d'ailes vient pousser en dessous de celle qu'ils ont déjà . Ce n'est pas anodin, leurs ailes vont secrété une substance proche du poison qui fait fondre le sol, le fer, le béton armé. En d'autres termes on mourra tous.

Se rappelle t'il. Son grand père n'avait aucun tact. Quand il avait une idée en tête il l'entreprenait. Quand quelque chose n'allait pas, il le montrait. Quand il devait dire la vérité, il la disait. .

Il rigole avant de sauter à pied joint pour faire basculer Sophie devant lui en agrippant sa main est la retournant sur son dos . Elle tombe sur le dos dans l'eau. Un filet de sang sort de sa bouche. Elle sourit.

- Sa devient intéressant.
- Hehe.

Une sorte de minuteur se mit en route au déçu de leur tête. Ils affichent tous les deux 3:40. Ils leur reste trois minutes quarante avant de retourner dans leur monde. Ça Sophie le sait mais Jacob semble plus perdu. Elle profite de se moment d'inattention pour lui remettre un coup de pied au menton avec ses pieds. Elle s'appuie sur ces mains est relève le haut de son corps.

Il n'eut pas le temps de comprendre qu'il vole un peux plus loin. Son nez cassé lui fait mal.

C'est vrai que les deux petits enfants lui ont fourni de la force.

Il se relève. Elle cours vers lui. Mais s'arrête devant une lame proche de son nez.

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