Chapitre 5.
Toutes ces informations me laisse perplexe. Le temps que je lise la lettre mon réveil sonne.
Mon frère mis un grand coup dedans.
Finalement la nuit fut plus courte que je l'avais prévu.
- Jacob, t'est mort ?
- Oui.
Il se lève, prend une serviette est des vêtements en trellis puis sort de la chambre.
Le réveille sonne cinq heures moins le quart. Je regarde mon torse est mon bras . La douleur à presque disparu mais la brûlure est toujours présente.
Comment je vais expliquer ça maintenant.
Je me lève puis descend par l'échelle.
Il faudrait que j'aille discuter avec Sophie.
Je prend l'enveloppe puis la relis. Soudain une odeur de fruits apparaît. Je sens l'enveloppe. L'odeur y est plus forte.
Est si c'était une blague ?
Je dépose la lettre sous mon matelas puis prend des vêtements treillis avec une serviette. Je sors de la chambre. Il y a des garçons qu'ils parlent ensemble en marchant est... Sophie qui les suis.
Je ferme la porte à clé.
Je marche comme ci je ne les avais pas vu.
- Jacob ? Ça va ?
Me demande la même voix que dans l'endroit étrange. Je me retourne pour apercevoir Sophie déjà habillé de sont treillis militaire vert est sa casquette ou deux petites boules sont visibles.
- Pourquoi tu demandes ça ?
Son regard, est celui des deux autres, sont rivé sur ma brûlure.
Trouve une solution.
- Tu prend feux. Dit elle d'un air calme.
- Hein ?
Je regarde ma main. Une petite flamme violette est présente sur mon annulaires. Je souffle dessus.
- Déjà c'est pas un vrai feux, dit elle, ensuite comment ta fait ça ?
- J'ai trouver de la ℂ𝕝𝕠𝕣𝕚𝕥𝕦𝕖 sous le matelas de Christian, je les pris est sans faire exprès je m'en suis mis sur mon t-shirt. Christian est arrivé avec de l'eau est m'en à mis dessus pour rire.
Ils semblent perplexe. Une pouffer de chaleur me prit. Sophie souris puis me prend par le bras pour m'entraîner avec elle.
- Tu vas te laver ?
- Ouai.
- Je vais t'accompagner alors !
- S'tu veux.
- Tu à bien dormi ?
- Pas trop mal...
- Ton dos vas bien ?
- Mon do...
Elle me fixe dans les yeux avec un sourire persans et glaçant. Elle semble vouloir me dire quelque chose sans que les autres ne nous nous entendent.
En arrivant devant deux portes métalliques, un peu rouillé sur les bord, j'aperçois Christian qui discute avec un garçon à la peau mate. Mon frère est collé contre le cadre de la première porte, à gauche, habillé de son uniforme, il fait tourner sa casquette entre ses mains. L'autre garçon à un bras au dessus de sa tête, l'autre est dans sa poche. Lui aussi porte son treillis militaire.
Je suis encore le dernier.
Je lâche Sophie pour m'élancé vers la seconde porte, à droite.
Après avoir fait une douche sous de l'eau glaçante. Je ressors habillé de mon treilli militaire en dessous ce trouve un t-shirt blanc est des sous vêtements propre. Personne n'est présent à part Sophie qui est assis les genoux relever à la hauteur de son menton. Elle à une sorte de petit caillou. Qu'elle fait sautiller d'une main à l'autre. Le regard perdu dans le vide elle ne semble pas m'avoir entendu.
Je m'assoie à côté d'elle. Ma main frôle la sienne.
- Ta reçu la lettre ? Me demande t'elle en regardant un point fixe.
- Oui.
- Putain.
- Quoi ? C'est pas une bonne nouvelle ?
- Non. C'est pas une bonne nouvelle. Ça veut dire qu'on vas devoir faire équipe.
- ...
- J'aime pas avoir de la compagnie masculine.
- Tu préfères les filles ?
- Non, les dauphins. Il paraît qu'ils sont magnifiques.
- Comment tu peux aimer ce que tu n'as jamais vu ?
Elle relève la tête pour tapé la mienne.
- Oui imbéciles. Je préfère les filles.
- D'accord. J'ai rien contre ça tu sais? Mon frère fais partie de votre espèce.
- Wow.
- Quoi ?
- Ta vraiment utilisé le mot "espèce" pour caractérisé les personnes LGBT ?
- Hum... J'aurais pas dû c'est ça ?
- Je te confirme tu n'aurais pas dû.
- On s'éloigne du sujet principal.
- C'est vrai.
Elle se met en tailleur puis enlève sa casquette. Deux petites cornes sont présentes sur sa tête, à la limite de ses cheveux noir attaché en chignon. Elle sont comme celle des chèvres. Blanche marron. Une petite boule rouge est présente sur les deux cornes.
Je sursaute un peu, mais, pas assez pour qu'elle ne le remarque.
- Il se passera ça si je mets le masque ?
- Non imbéciles. C'est de naissance. Quand un enfant née entre un juste milieu. Il acquéris une chose en plus. Pour moi c'est les cornes est toi... L'imbécillité ?
- Je suis née avec une sorte de tâches de naissance sur le dos.
- Comment ça ?
- Mon père m'a dit que c'était une tâche de naissance, mais mon frère m'a affirmé que c'était plus un tatouage.
- Fais montré.
- Pardon ?
- Tu m'as entendu.
J'avais une sensation de déjà-vu. Mon frère est moi avions eu la même conversation.
Je me penche en avant en enlevant le haut de mon uniforme. Elle relève mon t-shirt blanc en évitant de toucher ma brûlure.
- C'est pas joli ça.
- Je sais .
- Il se trouve où ton symbole ?
- Sur mon omoplate gauche.
- Ok...
Sans dire un mot de plus. Je compris que quelques choses n'allait pas. Je redescends mon t-shirt est remet mon uniforme. Je regarde son visage, il est terrifiée. Ses yeux son livide est ses lèvres tremble.
Papa et Christian n'ont jamais eu la même réaction.
Je pose mon bras sur son épaule.
- Jacob.
- C'est moi.
- Tu à la marque du roi des enfers.
- ...
Sans vouloir en entendre d'avantage je me lève pour entrer dans la douche collectif de droite. La porte de droite présente, une fois dedans, une rangée de dix douches . Est la gauche dix autre douche.
On est une vingtaine dans le régiment dont une fille. Une des douches, dans la salle de droite, est fermée par quatre portes pitrement attaché les une aux autres pour la seule fille.
J'enlève brièvement le haut de mon costume. Enlève de rage, mais surtout de peur, mon t-shirt pour le jetter au sol.
Au fond du couloir de douche ce trouve un lavabo est au dessus un miroir . Je me rue dessus. Je mets mon dos face à la vitre. Est j'essaie de voir mon dos. J'aperçois brièvement une sorte d'épée noir. Sophie arrive avec un deuxième miroir.
Elle le positionne en face de mon dos est le relève un peux pour que je l'aperçois.
J'arrive enfin à le voir entre la peaux rougis est les morceaux de chair prêt à tomber.
Papa a raison. Toutes les fois où il le disait. Que je n'étais qu'un monstre, une erreur de la nature...
Une tête de démons...
...Il disait vrai. Peut être qu'il le savait depuis ma naissance. Mais pourquoi la lettre n'en à pas parlé.
...Coupée par une épée.
- Monte à cette putain de corde mauviette !
- Ton frère n'est toujours pas un acrobate, Christian.
- Ouai. Mais laisse lui le temps.
La corde semble plus haute aujourd'hui.
Je n'ai pas voulu reparlé à Sophie depuis ce matin. Il est presque midi est je n'ai toujours pas vu la couleur de ses cheveux.
J'ai essayé d'activité ma force, mais rien n'y fait. Je reste frêle. J'ai essayé de dire des mots en latin. Est comme vous en doutez ça n'a pas réussi.
Pour une fois dans tous mon entrainement j'ai réussi une épreuve. Je devais juste laver le sol.
Je suis arrivé en retard est l'on m'a donné ça comme punition.
Pour la deuxième épreuve, celle que je réalise, je dois monter en haut d'une corde pour augmenter ma force. Je suis encore et toujours le seul à être à l'épreuve. Mon frère est tous les autres ont déjà réussi.
Merde je vais lâché.
Encore une fois une grande bassine d'eau est présente en dessous des épreuves. Pour celle-ci, la température est étrangement glacial.
Mes mains, rougis, lâche est je tombe pour la dixième fois.
- Si je croise mon supérieur, je te ferrai renvoyer.
Dit le sous chef, un petit chauve à lunettes ronde et noir. Qui s'appelle Diego.
Faitent le. Je n'ai plus besoin de vous pour apprendre.
Je relève ma tête de l'eau. Diego est partie en tapant du pied les mains vers le ciel.
Je sors de la bassine d'eau est reprend la corde des deux mains sur le rebord du bassin. Je regarde la bar qui tient la corde.
La brûlure me fait mal quand quelque chose la touche.
Et si je redisais les mêmes mots qu'ils ont employé ?
Je to on.
Rien n'arrive. Après avoir essayé la plus part des mots que je connais je laisse tomber puis remonte.
Je m'aggripe à la corde avec mes jambes puis attrape avec mes bras quelques centimètres plus haut.
Pour réussir l'épreuve il faut toucher une clochette à côté de la corde.
Une clochette résonne. Le sous chef est le chef sortent du même bureau dans l'incompréhension. Le petit nouveau aurai t'il réussi la seule épreuve dont il ne voyait pas la fin ?
Arrivée devant le bassin. Les applaudissements des autres élèves cache le bruit de la sonnerie. Ils sont ébahi devant le jeune garçon dont le corps est partiellement rongé de feux, mais, cette information est derrière leur espérance. Il à réussi, pour la première fois depuis trois cinq jours une épreuve.
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