Chapitre 1
Je me nomme Jacob, j'ai 16 ans.
Ma vie n'a rien de bien, tourmentée par mes péchés, pas si grave, est une envie de foutre ma vie en l'air, je vis, tant bien que mal, dans un monde post-apocalyptique.
Le monde est ravagé par des démons sortis de sous terre après qu'un imbécile d'humain les ait invoqués en leurs donnant ce qu'il attendait le plus : du sang, enfin un sacrifice humain.
Enfin, bref, j'ai la peau mate, les yeux bleus est les cheveux noir et court. Je suis assez grand, à peu près vers les un mètres quatre-vingts.
J'ai une petite sœur de sept ans et un grand frère de vingt-un ans. Ils ont les cheveux blonds, les yeux noirs et la peau beige.
Mon père est un homme qui travaille en tant que chef d'armée, il a les cheveux noirs, les yeux noirs et la peaux mate. Je ne l'aime pas plus que ça, il n'a jamais été présent pour moi est ne l'est toujours pas. Il à quarante-cinq ans.
Ma mère et femme au foyer. Ses cheveux d'une couleur d'or embellie son visage est ses yeux bleus. Sa couleur de peau beige s'accorde parfaitement avec les grains de beauté sur son visage. Elle est un peu petite pour une femme de trente-quatre ans. Je l'adore.
Pour expliquer un peu le contexte, il y a, à peu près, cinquante ans, un humain à réunit les cinq cartes du monde.
«L'as de la mort offrant l'immortalité, l'as du cœur offrant la tromperie, l'as du savoir offrant l'imbécillité, l'as de l'invincibilité offrant la mort et l'as du paradis offrant l'enfer.»
En réunissant toutes ses cartes, et surtout la dernière, plus un sacrifice humain. L'enfer s'ouvre sur terre.
Pourquoi ça donne l'inverse de ce qu'il est écrit ? Pour donner aux humains une chance de croire avant de comprendre la réalité.
Parqu'elle pensé cette être humain eu l'idée de faire ça ? On en sait rien. Un burn-out, une dépression. Personne ne, c'est.
À cause des démons grouillant dehors on ne peut plus sortir. L'armée nous amène des provisions quand on en a plus, surtout pour notre famille vu que notre père est chef d'armées.
Il veut que je devienne, avec mon frère, militaire pour aider le monde. Seulement, je n'ai pas très envie de risquer ma vie pour sauver un monde qui se détruisait déjà avant l'arrivée des monstres.
Puis niveau force, c'est pas vraiment ça. À vrai dire, je ne fais pas de sport, je préfère regarder des séries de l'époque où écouter les actualités pour rigoler un peu est me dire qu'on a vraiment merdé.
La seule, et unique fois, ou j'ai tiré avec une arme, j'ai touché mon frère à la jambe. J'avais 8 ans. Depuis, je trouve plus cette chose ‹drôle›.
- ?
Je suis sociopathe. J'ai pas de sentiments vis à vis des autres, c'est ce qu'ils disent, mais on va plus tôt dire que j'adore les choses intéressantes. Quand ça n'a plus d'importance, je délaisse. C'est comme ça qu'il faut agir dans ce nouveau monde.
Souvenez-vous, il faut donner aux humains une chance de croire avant de comprendre la réalité. J'ai peut-être seize ans, j'ai compris la réalité, moi.
Le premier pays à avoir été envahi, c'est la France puis ça ces propagés à l'ouest pour revenir à l'est, descendant au Sud pour revenir du nord.
On a plus d'écoles, ça paraît évident, mais c'était bien à précisé. Heureusement, mon grand-père m'avait appris à lire est écrire, mais aussi à mon frère. Ma petite ne sait même pas comment écrire son prénom. J'essaie de trouver le temps de lui apprendre, mais je n'en trouve pas.
Ma grand-mère m'a appris tout le reste. Les maths, l'histoire, la svt, la science, l'anglais et les bases en français. Mon frère le sait aussi, mais pas ma sœur, encore une fois.
Mes grands-parents sont morts il y a trois ans. Emportez par la maladie pour ma grand-mère est la vieillesse pour mon grand-père. Tous mes oncles et tantes sont morts de la faute des démons.
- Je suis où ?
Dans ma chambre. Ma maison se trouve au alentour de dix mètres ou c'est trouvé le sacrifice. C'est gai, je sais.
Je regarde par la fenêtre.
Les murs sont en crépi blanc, le sol en parquet, le plafond est en béton armé.
Des poster, de la part de mon grand-père, sont accrochés au mur. Une affiche d'un artiste se nommant [---] est accrochée au mur en face de mon lit.
Un fusil d'assaut est accroché, en évidence, sur le mur en face de la fenêtre.
La porte s'ouvrit d'un coup, au même moment un démon vint taper à la fenêtre en s'envolant.
- Papa veut nous voir, crie mon frère d'un air énervé.
- D'accord. J'arrive.
- On y va ensemble.
- Christian... Je fais quelque chose.
- Je m'en cogne, pose ce cahier est vient.
Je me lève en fermant mon cahier. La couverture est si belle. Un vert scintillant et un bleu azur.
Ah oui, c'est vrai. Le ciel est rouge comme dans les films d'avant. À en croire qu'ils savaient ce qu'il allait se passer dans le futur.
La maison semble si vide. Les démons n'habitent pas ici non plus. Maman ne travaille pas, on pourrait faire des choses ?
L'escalier donne sur un salon coupé en trois, la cuisine est la salle à manger. Plus une chambre pour mes parents est un autre escalier pour la cave donnant sur le bunker.
Mon père est assis, dans son uniforme d'armé, sur une chaise autour de la table.
Ma mère fait la vaisselle. Son regard tombe sur l'assiette en verre qu'elle nettoie. Elle est habillée d'une chemise blanche surmontée par une veste bleue à capuche est d'une jupe noire.
- Christian, Jacob. Venait, dit mon père.
T'es jamais là et quand tu rentres, c'est pour nous donner de mauvaise nouvelle ou nous poser la même question ;
- L'armé a eu vent d'un pouvoir surnaturel.
Tient ? Ce n'est pas ça pour une fois.
Mon frère est moi somme assis devant lui. Il tourne une cuillère dans son café. Son information ne me fait ni chaud ni froid.
- Des démons puis maintenant un pouvoir surnaturel. C'est quoi ce putain de bourbier ? Cria mon frère énervé.
- Ne parle pas comme ça sous mon toit, Christian !
- mmmm désolé.
- Vous êtes accueilli dans l'armée, vous viendrez avec moi.
Finalement sa question, c'est transformer en ordre.
- J'ai plein de projets ici.
- Christian, Jacob. Nous interpelle notre mère.
On se tourne vers elle. Elle a la tête baissée vers le sol. Des larmes tombent sur sa veste bleue.
- Je ne vous demande jamais rien, continua t'elle, mais c'est important, avec ce pouvoir, les démons peuvent disparaître.
- Peuvent ? Seulement peuvent ? À combien de chance ? Demanda mon frère.
L'ambiance ici n'est pas joviale. Si seulement je pouvais avoir un flingue pour me tu-
- trente. Réponds mon père.
C'est peu. Ils ne comprennent pas le sens des cartes ?
- À trente pour cent, on ne peut même pas espérer de revoir un ciel bleu. Dit ironiquement Christian.
- Qui à ce pouvoir ? Demandais-je.
- On ne sait pas.
- Et il consiste en quoi ?
- ....
Son regard partit vers ma mère qui avait continué de laver est qui était passé au verre.
- Il consiste à créer des millions d'épées à en faire pleuvoir le ciel.
- Cool... Dis-je ironiquement.
Mon père, sans dire un mot de plus, se lève, est, marche vers la porte du sous-sol. Il attend que Christian est moi bougeons.
Je me lève, m'étire un peu puis je tape mon frère sur l'épaule.
- J'ai compris. Dit il en se levant.
Je marche vers mon père en suivant mon frère.
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