Chapitre 10
Je n'ai aucune excuse et même si j'en avait, ca ne changerai pas le fait que j'ai été absente beaucoup trop longtemps de Wattpad, et ce aux goûts de tout le monde je pense! X)
Donc je revient, et avec le chapitre 10. (Ceux (celles) qui me connaissent me feront également remarquer que ça fait un bail que j'ai le chapitre 10, mais on ne dira rien! ;) )
Il n'est pas corriger, navré, mais j'espère qu'il vous plaira quand même. Bonne lecture.
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Je m'endors vite, mais je me réveille aussi vite. Qu'est-ce qu'il fait froid. Et j'ai beau m'envelopper dans la couette, je me les gèles. Mes yeux se posent sur la forme noir de Shikadai. Une idée me vient mais j'hésite. Est-ce que j'ai le droit ? Je me tourne dos a lui. Non. Non et non. C'est pas juste. La lumière de la lune entre par la fenêtre et je jette un coup d'œil dehors. Je me met en boule mais rien a faire, j'ai froid. Je finis par céder, quand j'entends un bruit sourd, et descendre doucement du lit. Je me traîne vers le lit de Shikadai. Une fois que je suis a nouveau allongé sur un matelas, je me sens déjà bien mieux. Et en plus, j'ai chaud.
PDV Shikadai :
Je me réveille au milieu de la nuit à cause du froid. Je me penche pour attraper ma couette, mais je ne la trouve pas. J'ouvre un œil. Effectivement, elle n'est pas au pied de mon lit, comme d'habitude. En revanche le lit de Yoona est très gros quand même. Je me lève et me dirige vers elle. Elle dort profondément. Elle a l'air si bien que j'hésite a lui reprendre. Peut être qu'elle avait froid. Mais bon là c'est moi qui me caille. Un sourire naît soudainement sur mes lèvres et je me faufile sous la couette. Je me colle a elle. Mon corps froid sur sa peau la fait frissonner.
– Shikadai... Gémit-elle d'une petite voix agacée.
Cette fois c'est moi qui frissonne. Heureusement qu'elle dors et que nous sommes dans le noir parce que mes joues doivent facilement avoir la couleur de ses cheveux. Elle bouge un peu et se colle un peu plus a moi en soupirant d'aise. Je passe mes bras autour de sa taille et distingue un sourire sur ses lèvres. Elle a la peau si blanche que je peut aisément voir ce qu'elle fait. Je bouge un peu pour me mettre a l'aise et m'endors comme un bébé.
Le lendemain, je me réveille avant elle. J'en profite pour l'observer. Elle a beaucoup bouger dans la nuit et nous sommes maintenant face a face. Le soleil effleure sa chevelure que je trouve de plus en plus belle au fur et à mesure que je la regarde. Sa peau brillerait presque. Je laisse mon regard dérivé sur ses fins bras. Elle a beau avoir grandit a Suna, elle n'est pas si bronzer que ça. Son t-shirt est remonter et sa hanches est a découvert. Je remet le vêtement en place. Elle est déjà bien assez dévêtu comme ça avec ce petit short. Cette pensée me fait rougir mais il me vient a l'esprit qu'elle peut dire ce qu'elle veut, elle est désirable. Elle l'est même trop et je me sens agacé de savoir qu'elle pourrait attirer des hommes malhonnêtes. Avec la chance qu'elle a.
Je me lève et m'habille avant de sortir de la chambre. Je croise ma mère dans la cuisine. Je l'aide a mettre la table et vais réveiller Yoona. Elle se redresse lentement et s'étire en soulevant ses cheveux. Elle a encore les yeux a moitié fermer. Je lui attrape sa robe et des chaussettes que Chocho a eu la gentillesse de lui laisser. Je lui donne le tout avant de lui attraper, rouge comme une pivoine, des sous-vêtements. Elle rigole quand je les lui donne.
– Tu es adorable, mais j'aurais pu les attraper seule. Me dit elle doucement.
– Habille toi et appelle. Je lui répond simplement, incapable d'aligner deux pensées cohérentes.
Une dizaine de minutes plus tard, elle m'appelle. Je la porte jusque dans le salon et la pose a coté de la table. Je mange en discutant avec ma mère, mon père est déjà partis au boulot. Une fois qu'elle a finis, elle enclenche les freins de son fauteuil et se hisse dessus. Ma mère décale a table et je la pousse. Comme elle est assise, du coups elle a nos deux sacs.
Fin du PDV de Shikadai.
Nous retrouvons les garçons devant l'Académie. Aujourd'hui, il faut faire des équipes. J'ai pas envie de rester assise. Mais j'ai tout juste poser le pied par terre que Boruto me lance un regard noir.
– Ne t'avise surtout pas de te lever !
– Mais je ne veux pas rester assise ! Je dis en secouant les jambes. NON MAIS T'ES TARE ? Je demande a Inojin alors qu'il m'attrape une des jambes à pleine mains. CA FAIT MAL ESPÈCE DE DÉCOLORÉ !
– Tu reste assise ! Point barre !
Je râle mais rien a faire. Interdiction de me lever. Je les regarde donc discuter des potentiels équipes. J'ai tellement hâte de pouvoir a nouveau marcher. Comme je m'ennuie, j'examine ma jambe droite. Je passe doucement la main sur mes blessures les plus fines, qui restent, et utilise le peu de Chakras qui s'est restaurer pour les refermer. Faudra que je demande au Hokage comment il fait avec les blessures. Quand j'ai du Chakra, je l'envoie sur la blessure et je guérit vite généralement. Mais avec toute ma dépense de Chakras ces derniers jours, c'est mort. Je réitère l'opération sur la jambe gauche, puis je remet les chaussettes. Sarada me regard avec des gros yeux. Ben quoi ? Ce sont des jambes quoi !
Le soir je rentre avec Shikadai. Il ouvre la porte et me fait entrer. Il a tout juste passer la porte du salon que je me retrouve face a Onee-sama et Neillym. Onee-sama met ses mains sur les hanches et hausse un sourcil.
– A part ça tout va bien ?
– J'ai... peut être... omis quelques détails...
PDV Shikadai.
Je regarde avec effarement Yoona baisser la tête devant cette femme. Elle qui tient tête a Shino-sensei. Elle est brune avec les cheveux très longs, détachés. Dans ses yeux couleur du liquide de vie se reflète la rousse devant elle. Les mains sur les hanches, légèrement penchée en avant, elle fusille a moitié Yoona. Elle porte une combinaison noire, moulante et complexe. Sur sa taille se trouve un bâton. A coté d'elle se trouve un adolescent un peu plus vieux que nous qui les sondes de ses yeux couleur océan. Il est brun et plutôt bien fait. Il est bronzé et ne cache pas qu'il sait qu'il est beau. Il pose sur Yoona un regard chargé d'amour.
– Suzuka-san, laisse la au moins entrer. Elle bloque le passage, là.
La femme, bien qu'avec une mauvaise foie évidente, s'écarte et me laisse amener le fauteuil a coté de la table. Yoona se laisse glisser au sol et se traîne pour se mettre a sa place habituel. Je vais mettre l'encombrante chaise dans un coin de la pièce puis vais m'asseoir a coté de Yoona. Ma mère est dans la cuisine, attenante au salon. Elle écoute distraitement la dispute. Le garçon vient s'asseoir a coté de moi.
– Salut ! Je suis Neillym. Tu dois être Shikadai non ?
– Oui.
– Elle nous parle beaucoup de toi.
– A nous aussi, elle nous parle beaucoup de toi. Mais je n'ai pas bien compris votre relation.
– Je suis son frère aîné.
– Hyuga ?
– Quoi ?
– Toi aussi t'es un Hyuga ? Ou tu es un Uzumaki ?
– Uzumaki. C'est quoi cette histoire de nougat ?
Yoona éclate de rire et j'avoue avoir du mal a cacher le sourire qui naît sur mes lèvres.
– Excuse moi. La famille Hyuga est une des grandes familles de Konoha, avec les Uzumaki, les Nara et les Uchiwa. Et sûrement d'autres que j'oublie.
– Quel rapport avec nous ?
– Il n'est pas au courant ? Je chuchote a Yoona.
– Non... Il croit toujours en notre père.
– Pauvre gosse. Je soupire avant de me tourner vers lui. Pour rien, excuse moi. Et cette femme, c'est qui ?
– Suzuka-san ? C'est la tutrice d'Ando... Yoona. Elle a du vous en parler sous le nom d'Onee-sama.
– Alors c'est elle qui ne peut pas être pire que ma mère ? Je laisse échapper.
Je sens Yoona bouger a coté de moi et lui jette un regard étonné.
– Shikadai, je te prierai de te taire la prochaine fois. Couine-t-elle.
– ANDORRA UCHIWA ! QU'EST-CE QUE TU ES ALLER RACONTER A MON SUJET ??
– SHIKADAI NARA ! QU'EST-CE QUE TU VEUX DIRE PAR LA ????
Je déglutit difficilement en voyant l'aura noir autour de ma mère. Yoona ne semble pas en meilleure posture que moi. Je commence a amener les mains devant moi pour les immobiliser avec ma technique de l'ombre mais mon amie me retient.
– Ça marchera peut être sur ta vieille mais pas sur la mienne. Me chuchote-t-elle.
– JE T'AI ENTENDU ESPÈCE DE SALE GAMINE INGRATE !!!!
Yoona se décompose et tente de fuir, mais sans les jambes, ça devient compliquer.
Fin du PDV de Shikadai.
L'heure suivante, Shikadai et moi la passons sous les remontrances de Temari et Onee-sama. Au moment d'aller me coucher, je découvre qu'ils ont une chambre d'ami. Je lance un regard a Shikadai qui semble aussi épuisé que moi. Je demande a Neillym de me porté dans la chambre plus tôt que les autres. Il semble contrarié de savoir que je dors dans la même chambre que Shikadai. Il me laisse seule et je me met a me soigner. Je ne voulais pas, mais je tape dans les Chakras des deux autres. Je finis ainsi de soigner ma jambe gauche. Je commence alors les soins sur la jambe droite. Shikadai rentre a ce moment là, me faisant violemment sursauter. Il sourit et referme la porte. Il va s'asseoir sur son lit, en face du mien. Il me regarde faire, des points d'interrogation dans les yeux.
– Qu'est-ce que tu fais ?
– Je soigne ma jambe droite.
Nous discutons une heure durant de tout et de rien. Nous finissons par parler de la fois où je me suis allongé sur lui.
PDV Neillym :
J'écoute a la porte. Je n'ai pas confiance en ce Shikadai Ils discutent d'un peu tout. Mais une conversation attire mon attention.
– Je ne suis pas un oreiller ! Râle le brun.
– Oh ! Un carré de tissus qui parle ! S'exclame Andorra, jouasse.
(Un bruit sourd retentit, suivit d'un fou rire d'Andorra).
– Tu vas voir ce qu'il va te faire l'oreiller !
Les rires d'Andorra résonnent dans la pièce et Suzuka me rejoint. Andorra pousse alors un cri bizarre et les ressorts du lit grince.
– C'est tout doux ! Dit soudainement Andorra.
– De quoi elle parle ? Pâlit Suzuka.
– Aucune idée.
– Eh ! On dirait des poils !
– Techniquement ça en est ! Répond Shikadai.
– Qu'est-ce qu'ils sont rêche !
– Te plains pas, tu pourrais avoir pire.
– Mouais. C'est vachement long quand même !!
– J'y suis pour rien.
Suzuka est au bord de l'apoplexie. Je me décide enfin a ouvrir la porte. Andorra est sur un lit, un coussin coller contre elle, une mèche de ses cheveux dans la main gauche. Juste en face se trouve Shikadai, allongé sur son lit, un livre dans les mains. Ils sont tous les deux habillés comme quand nous les avons quitter, au salon. Les deux relèvent les yeux quand ils entendent la porte s'ouvrir. J'entends Suzuka soupirer de soulagement, derrière moi. En voyant nos tête, ils se consultent du regard avec d'exploser de rire tous les deux.
– J'y crois pas ! Articule Shikadai.
– Encore pire que ce que je pensait. Ajoute Andorra.
– De quoi vous parliez ?
– De mes cheveux. Répond Andorra. Tu écoutes depuis quand ?
– Euh... Depuis maintenant. Mais qu'est-ce qui est doux ?
La réponse me saute aux yeux. Il y a des plumes partout dans la pièce.
– Je crois que je peut repayer des oreillers a Temari. Visiblement ceux-là n'ont pas aimer la bataille de coussin.
– C'est toi t'es trop violente.
– Tu n'es pas mieux ! Espèce de mauvaise langue va ! Rit elle.
Je soupire de soulagement a mon tour et sort en lui souhaitant bonne nuit.
Fin du PDV de Neillym.
Une fois que mon frère a fermer la porte, je me tourne vers Shikadai.
– Tu trouve pas qu'il fait froid la nuit en ce moment ?
– Si. Surtout quand on a pas de couette.
– Je suis désolé. Je m'excuse en rougissant. Mais j'avais super froid. Et je l'ai vue tomber de ton lit alors je me suis dit que tu avais chaud.
– Je t'aurais bien proposer une couverture de plus mais avec les deux nouveaux invités, nous n'en avons plus de disponible.
– Tant pis. Tu peux sortir de la chambre le temps que je me change ?
Il sort et je me met en pyjama. Je l'avertit qu'il peut rentrer. Il en profite pour éteindre la lumière et me souhaiter bonne nuit. Je lui répond et j'entends les froissements des vêtements avant que ce soit les ressorts de son lit qui résonnent. Je ne met pas longtemps a m'endormir, bercé par la respiration régulière de Shikadai.
Je regarde autour de moi. Tout est noir. J'ai un mauvais pressentiment. Devant moi apparaît trois hommes qui courent vers une petite fille d'environ 10 ans. Elle trébuche et je me retrouve dans son corps. Je lève un bras devant mes yeux pour me protéger le visage, en attendant qu'ils m'attrapent. Mais par dessus mon bras, je vois seulement un mur de sable surgir, parsemé de pics. Je sens le sang déserté mon visage. J'ai tué trois hommes. Je les ai empalés. Je suis un monstre. La peur me tord le ventre. Le voix de mon professeur m'atteint mais je fuis. Je passe la frontière et m'enfonce lentement dans la forêt. Les bruits qui m'entourent me font sursauter. J'avance lentement. Un craquement de branche me force a me retourner, et je me retrouve nez a nez avec un gigantesque tigre.
Je me réveille en sursaut, couverte de sueur. Devant moi je vois la vague ombre de Shikadai, assis au bord de mon lit. Quelques larmes se sont échappés de mes yeux.
– Je... Pourquoi... es-tu là ?
– Tu gémissais dans ton sommeil alors je me suis approcher.
– Pardon. Je ne voulais pas te réveiller.
– Je vois ça. Mauvais rêve ?
– Mauvais souvenirs.
– C'est finit maintenant, calme toi.
C'est vrai que j'en tremble encore. Shikadai va me chercher un linge avec lequel j'essuie ma sueur. Il retourne dans son lit. Je ramène des genoux sous mon menton. J'ai peur de m'endormir. Et si les morts revenaient ? Et si le tigre me dévorait ? Je m'allonge en position fœtale mais rien que de savoir que je vais me rendormir me fait pleurer. J'entends des pas et la couverture est soudainement plus lourde. Elle se soulève d'un coté et je sens quelqu'un se glisser a mes cotés.
– Je peut dormir avec toi ? Me demande Shikadai.
– Hein ? Euh... Je...
– J'ai froid avec une seule couverture. Et nous n'en avons pas d'autres de libre.
Je comprend entre les lignes qu'il m'a entendu pleurer. Je sourit et accepte. Il ne peut pas le voir, mais je suis réellement heureuse de l'avoir. Je me colle à lui et passe mes bras autour de son torse. Il passe les siens autour de mes épaules. Je me sens en sécurité contre lui. Il grogne que j'ai les pieds froid et je lui murmure que lui en revanche est une peluche agréable.
Le lendemain, il n'y a plus personne a coté de moi. Je me réveille lentement. Je vais finalement au salon, après m'être habiller, en clopinant. Je regarde l'heure. Il est 10 heures du matin, j'ai dormit toue la matinée. Je salue Temari, Onee-sama et Neillym. J'ai froid. Attend... 10 heures ? J'avais pas un truc aujourd'hui ?
– Pourquoi tu n'es pas a l'Académie ? Me demande Onee-sama.
– LES COURS !!! Je m'écris.
– Calme toi. Rigole Temari. Shikadai a dit que même avec une jambe valide, Shino ne te laissera pas participer a l'entraînement sur l'échafaudage. Il a pensé que tu avais besoin de sommeil alors il t'as laissé dormir.
– C'est quoi cette histoire de jambe valide ? Dis Neillym. Tes jambes n'étaient pas H.S ?
– Si mais je les ai soigner avec le Chakra. Jusque là je n'en avais pas assez. Mais hier soir j'ai pu guérir totalement ma jambe gauche. Résultat je suis encore a zéro. Mais mes réserves ont du se reconstituer dans la nuit.
– Tu n'es pas possible.
– Et vous, qu'est-ce que vous faites ici ?
– Tu as inquiété tous le monde a Suna. J'ai du empêcher Gaara et Kankuro de partir comme ça. On a besoin d'eux là bas. Désolé pour toi Temari, tu voulais peut être les voir.
– Si on a besoin du Kazekage, alors il doit rester là-bas. Tranche-t-elle.
– En revanche je n'ai pas pu empêcher Neillym de venir.
– Mais comment saviez vous ?
– Tu n'était pas en très bon état quand Kankuro t'as vu et les idiots que tu nous as ramené nous ont dit que tu avais eu du mal a avancer a la fin.
– Mais c'est rien, je suis revenue a Konoha sans encombre.
– Il est vrai ce mensonge ?
– Mon mari nous la ramener froide et inanimé. Ajoute Temari. Nous avons eu tellement peur qu'il y avait vraiment tout un comité d'accueil quand elle s'est lever.
Onee-sama me lance un regard noir. Elle soupir et boit son thé. Je passe la journée a parler avec Neillym. Je regarde l'heure. Les élèves devraient être en train de sortir de l'Académie.
– Tu es proche de ce Shikadai ?
– Oui assez. Mais il y a aussi Boruto, Mitsuki, Inojin, Denki, Iwabe et Metal.
– Seulement des garçons ?
– Non. Il y a aussi Sumire, Sarada et Chocho.
– Tu t'entend mieux avec les mecs.
– Ouais. Ou plutôt, les autres filles ne m'aiment pas.
– Tadaima ! Hurle Shikadai.
– Ohayo ! Interviens aussitôt la voix de Boruto.
– Boruto ! Je crie. T'as pas tout casser j'espère.
– Non c'est Mitsuki cette fois ! Répond Shikadai. En entrant dans la pièce.
– Sumire est revenu. S'exclame Boruto en courant pour venir devant moi.
– C'est trop cool ça ! Elle va bien ?
– Oui mais elle s'est mise a pleurer et tout le monde s'en est pris a moi.
– Boruto, bourreaux des cœurs ! Je ris.
– Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi ! Râle-t-il alors que j'éclate de rire en me laissant tomber en arrière.
– Ah ! Je dis soudainement en me relevant, faisant sursauter Boruto. Je...
– Et après c'est moi le schizophrène ? Soupire Shikadai.
– Oui ! Je répond en lui tirant la langue. Je te présente mon grand-frère, Neillym Uchiwa.
– Enchanté. Dis Boruto. Je suis Boruto Uzumaki.
– Alors c'est toi notre cousin ? Enchanté.
– Et je te présente Onee-sama. Je continue en la désignant.
– Je suis Suzuka. Dit elle.
– Ouah la classe ! Dis Boruto. D'ailleurs Yoo, tu viens manger avec nous en ville ?
– Je veux un hamburger ! Je dis en me levant. Mais c'est toi qui régale. Je lui tape dans l'épaule.
– Mais tes jambes vont bien. Dis Boruto.
– Oui, j'ai finis de soigner la droite tout a l'heure et la gauche hier.
– Cool !
– On va chercher Mitsuki et Inojin ? Je propose.
– Pourquoi pas Denki et Iwabe ? Dis Boruto.
– Oki !!
– Si on doit sillonner la ville, on est pas près de bouffer alors bougez vous. Répond Shikadai.
– On rentrera tard ! Je lance avant de les suivre. Tu viens Neillym ?
– Non je vais rester ici.
J'hausse les épaules et nous partons. Je propose une course et celui qui gagne a droit a un hamburger de plus. Ils acceptent. Qu'est-ce qu'ils sont naïfs ! Évidemment, je gagne. Mitsuki et Inojin nous attendent déjà devant le restaurant. Je laisse Boruto et Shikadai aller proposer aux deux autres. Ils reviennent une demi-heure plus tard avec Denki. Iwabe n'a pas pu venir.. Nous entrons et en nous voyant, la jeune femme au comptoir soupire.
– Salut les enfants.
– Salut !
– Yoona ? Tu n'es pas en convalescence ?
– C'est bon je vais bien. Et j'ai une faim de loup.
– Vraiment ?
– C'est Boruto qui régale cette fois !
– Vraiment ? Dis Mitsuki.
– Seulement pour Yoona. Vous, vous vous démerdez. Grogne Boruto.
Je rigole et vais m'asseoir a notre table préféré. Les garçons me rejoignent et nous commençons a discuter en attendant nos hamburgers. J'écoute distraitement leur conversation. Je vois de l'autre coté de la rue un petit ourson trop mignon. A coté, il y a un chat et encore a coté un renard. Comme je suis coincé contre la fenêtre, je passe sur le dossier. Les garçons me regardent avec étonnement. Je leur dit que je reviens. Je traverse la rue et entre dans le magasin. Je regarde les étagère. C'est marrant, il y a des peluches a l'effigie des Bijus. Je prend un Shukaku, un Matatabi pour les filles. Et pour Lilas je lui prend un sac en bandoulière noir. Et pour moi... J'étais encore en train d'admirer les merveilles de ce magasin quand j'entends la voix aigus de Chocho.
– Yoona ?
– Chocho ? Sumire ?
– Qu'est-ce que tu fais là ?
– J'attends qu'on nous serve nos hamburger.
– Ici ?
– Mais non ! Je rigole. Regardez derrière vous, dans le resto.
– Ah... Dit elle en faisant signe a la joyeuse bande luron. Et pourquoi tu es toute seule ?
– Je voulais voir ce magasin. Je prend ça et ça pour mes sœurs, mais je sais pas quoi me prendre.
– Cette fleur t'irait bien.
– Je... Je trouve que ce nœud t'irait bien aussi. Dit timidement Sumire.
– Il me plaît bien, c'est vrai.
C'est un mignon nœud blanc a mettre dans mes cheveux. Je nous mes cheveux avec. La fleur que me propose Chocho est rouge elle aussi. Elle ne se verrait pas, dans mes cheveux. Je prend le nœud et Sumire me l'attache correctement. Je prend ma poche et rejoint les garçons. J'ai proposés aux filles de venir mais Chocho a dit qu'elle n'aimait pas traîner avec ces brutes. Si elle savait. Je rentre dans le restaurant et pare un coup de pied de Boruto. Avant même que son pied ne touche a nouveau le sol, je me baisse et lui fait une balayette. Il finit sur le dos et je retourne m'asseoir a ma place. Il nous rejoint bientôt en maugréant. D'après ce que je vois, ils avaient parié sur l'un de nous. Shikadai récolte quand même 40 ryô. Je lève les yeux au ciel et pile a ce moment là, nos hamburgers arrivent. Nous nous répartissons la nourriture et je soupire. Je me sens épier, c'est horrible. Tous les garçons semblent tendus, sauf Boruto. Je sens qu'on va passer une bonne soirée...
A suivre...
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