chapitre 6
Je me réveille en même temps que le soleil et me rend compte que sous ma tête, il y a mon roman, je me suis endormie au milieu du livre, je le ferme et le pose sur ma table de chevet. J'enfile pour la première fois l'uniforme du bataillon que l'on m'a donné avant-hier puis je pars manger un bout. Il y a peut être un avantage au fait que je vais passer mes repas seul, il n'y aura plus personne pour me forcer à manger quand la faim choisie de ne pas être de mon côté tout comme aujourd'hui.
Une fois dans le réfectoire avec mon assiette en main, je prend pas le temps de regarder autour de moi et me dirige vers l'une des tables au fond de la salle avec un pincement au cur. Je ne fait partie de aucune escouades, le major ne m'a pas encore officiellement présenté et en étant très timide quand il s'agit d'aller parler à des personne à qui on ne m'a pas présenté, je ne connaît personne. Je commence à manger sans grande conviction le peut que j'ai dans mon assiette quand je suis agressé par une personne dont je n'est pas besoin de levé le regard pour savoir qui est la silhouette qui vient d'arriver.
Hanji- Rassure moi, tu ne vas tout de même pas manger que ce qu'il y a dans cette assiette ? Et je peux savoir se que tu fais seul à cette table alors que quand tu es arrivé il y avais déjà Erwin et Mike à la table des supérieures ?
Moi- Non je vais aller me resservir après. Le major m'a ordonné de manger avec les soldat vu que je commence l'entraînement et que selon mes résultats lors du test qui aura lieu dans un mois je serai mise dans une escouade.
Hanji- Déjà, se ton ironique était parfait, se qui veux dire que je vais devoir te mener plus de nourriture. Ne me dit pas que cette interdiction fait partie de ta punition.
Moi- Non, cela ne fait pas partie, le major m'a expliqué qu'il y avais déjà des soldats qui se plaignaient alors que je ne faisais pas encore partie du bataillon alors vu qu'à partir d'aujourd'hui, je commence l'entraînement en tant que soldate, il faut que je sois mise au même niveau que les autres.
Hanji- Donc, ça veux dire plus de rigolade pendant les repas et ne me dis pas que, tu vas changer de chambre.
Moi- Oui, je pars dans les chambres communes à partir de se soir.
Je vois Hanji partir en direction de la table des supérieurs légèrement en colère. J'attrape le regard d'Erwin pour lui faire comprendre qu'elle vas commettre une bêtise. Je le vois chuchoter à l'oreille de Mike. Il attrape au vol Hanji quand elle passe devant lui, et avec une synchronisation, Mike lui plaque une main sur sa bouche pour éviter de ramener les regard sur eux à cause de plaintes qu'elle aurai laissé sortir à plein poumon, et l'empêcher de parler au major qui d'ailleurs regarde la scène étonné comme les autres caporaux. Ce petit spectacle me fait bien rire au point d'en oublier ma solitude. Pendant qu'Hanji se débat, Mike essaye de la raisonner pour qu'elle se calme et Erwin tente d'expliquer la situation au major, sans mettre Hanji dans l'embarras.
Je sors après avoir picoré un peu et me dirige vers la zone d'entraînement. Arrivé, je m'assoie au milieu en attendant Erwin et Hanji qui arrive deux ou trois minutes après.
Ils me font signe de me positionner au centre d'une la machine pour regarder si j'ai naturellement le don pour la tridimensionnalité ou si il va falloir que je travail sur ça.
j'accroche les sangle qui me permettront de m'élever dans les airs à ma ceintures. Ensuite Hanji actionne le levier et je me retrouve les pieds dans le vide. Je vacille un peu puis trouve mon équilibre. Je reste comme ça pendant 5 minutes puis on me descend et nous allons dans la salle ou sont rangé les équipements avec les bonbonnes de gaz et les lames de réserve pour que je m'équipe et nous retournons à la zone d'entraînement. Erwin m'explique le fonctionnement des poignets pour pouvoir lancer le grappin et utiliser le gaz puis comment changer les lames. Pendant se temps Hanji place une sorte de grande planche où il y a une cible. Je me positionne en face et tire le grappin qui se plante dans la cible mais sur la dernière branche, ne trouvant pas ça bien, je le rembobine et ne regarde pas mes « instructeur ».
Erwin- C'est bien, Rubis.
Hanji- Oui, au moins, tu as eu la cible. Beaucoup, ne l'on pas dans les deux ou trois premier mois de la formation.
Je lève la tête vers eux et leur demande si c'est vrais ou si ils disent ça pour me réconforter, mais vu leur regard et leur sourire, ils ne me mentent pas. Je leur sourie en retour et retente expérience.
On passe la matinée sur cette exercice. Pendant le déjeuner, je mange à la même place que se matin sans le spectacle d'Hanji. Cette après-midi, nous devons refaire cette exercice jusqu'à que j'arrive à mettre le grappins au centre de la cible. Au premier essaie, je touche le milieu avec le grappin droit, alors je fait la même chose avec le gauche et j'arrive le mettre en plein dans le mille du premier coup, je crois que j'ai compris le système.
Erwin prend la décision que je peux essayer d'utiliser l'équipement tridimensionnel, en condition, alors nous nous dirigeons vers la foret. Quand nous y sommes Hanji me dit d'attendre qu'ils soient en position pour mélancer.
Une fois qu'Hanji me dit ou plutôt me hurle que c'est bon, j'y vais à mon tour. Je réussi assez bien à m'accrocher aux arbres et à atterrir à leur côté, sur une branche en hauteur.
Erwin- On va arrêter là pour aujourd'hui Rubis, tu arrives déjà à faire en même pas un jour complet se que certain soldat mettent plusieurs mois à réussit. Donc nous n'allons pas forcer, surtout que tu n'as pas du dormir beaucoup vu tes cernes et d'après Hanji tu n'as pas beaucoup mangé se matin donc à midi tu n'as pas du manger plus.
Hanji- En tout cas, je suis fière de toi. Tu n'es pas douer qu'avec les chevaux. Alors ce soir on fête ça !
Moi- D'accord Erwin. Hanji, merci mais je suis pas sûr que se soit une bonne idée dois-je te rappeler se qui nous est arrivé la dernière fois.
Erwin- en effet, de plus je te signal que tu as des papiers à remplir qui ne doivent pas être en retard et Rubis doit commencer sa punition.
Hanji- Ah, ouais, j'avais oublié.
Erwin soupir puis nous descendons et rentrons dans le bâtiment. Pendant qu'ils vont tous les deux à leur bureau, je choisi d'aller dans ma chambre pour ranger le peux d'affaire que j'ai et de mettre la tenue que j'utilise pour m'occuper des chevaux puis je vais aux écuries. Hier, un caporal du nom de Faragon m'a dit que la jument qu'il monte a un problème mais qu'il n'arrive pas à savoir se que c'est, donc je profite de la fin de cette après-midi pour voir se qu'elle a.
Dans son box, je l'examine et la fait sortir, je la fait trotter et galoper pour voir si elle est blessé.
Ne la voyant pas boiter, je lui met un filet. Quand je vais pour monter sur son dos, elle fait un écart. Je pense comprendre se qui ne va pas. Alors je la rentre puis me dirige vers le bureau d'Erwin.
Je toque à son bureau et attend son approbation. Une fois son accord, je rentre et reste debout en face de lui.
Erwin- Qui a-t-il, Rubis ?
Moi- Tu te rappelles que la jument du caporal Faragon a un problème, et que l'on m'a demandé de m'en occuper. Je viens de le faire et je pense savoir le problème, alors il faut que je lui en parle, tu sais ou il est ?
Erwin- Regarde dans son bureau qui est deux porte à la droite du mien et si il n'y est pas c'est qu'il est sur le terrain d'entraînement avec son escouade.
Moi- D'accord, merci.
Erwin- Rubis attend, tu tombes bien.
Moi- Oui ?
Erwin- Quand tu auras fini reviens, il faut que je te parle de l'entraînement.
Moi- Ça va, je ne devrais pas en avoir pour longtemps.
Je sors de son bureau et me dirige vers celui du caporal Faragon. Je toque à la porte en indiquant mon non et prénom mais je n'ai aucune réponse alors je retente. Au bout de cinq minutes n'ayant toujours pas de réponse, je part voir sur le terrain. J'y retrouve plusieurs personnes dont Mike mais toujours pas celle que je cherche. Alors je m'approche de Mike et attend qu'il est fini son combat. Je lui demande si il n'a pas vu le caporal Faragon et il me répond qu'il est parti à l'instant dans la salle de ravitaillement, il me questionne sur le pourquoi je le chercher et je lui répond que c'est en rapport avec sa jument. Après ça, je courre avant que le cache cache qui c'est créé inconsciemment, vers la pièce ou il y a les stockes de gaz pendant que Mike reprend l'entraînement avec les autre membre de son escouade.
Quand je m'introduit dans la salle, j'aperçois que la personne que je recherche commence à partir alors je l'interpelle.
Moi- Caporal Faragon, attendais s'il vous plaît.
Faragon- Quoi, que veux-tu ?
jai peut-être oublié de le mentionner, mais il ne me porte pas dans son cur, simplement car je viens d'un village qui ne se souci pas énormément l'armée et quand plus je n'est pas fait la formation militaire. Je fait le salut et reprend.
Moi- Je voulais vous parler de votre jument, je suis aller la voir et je pense savoir pourquoi vous avez du mal avec elle. Mais pour être sûr, il faut que je vous pose quelque question.
Faragon- Pose-les alors.
Moi- Déjà, votre jument passe du temps en extérieur ?
Faragon- Ouais, une fois par semaine comme tous les autres chevaux.
Moi- Savez-vous, si il y a des mâles dans le groupe qui sorte le même jour que votre jument.
Faragon- Oui, sûrement. En quoi ça à un rapport.
Moi- Je sais se que votre jument a, mais je ne peux rien faire. Juste une dernière question, cela fait combien de temps quelle est comme ça ?
Faragon- Je sais pas, un mois. Si tu peux rien faire, tu m'explique se que tu fait encore ici.
Moi- Je peux rien faire, car elle arrêtera dans une année et trois autres mois.
Faragon- Et pourquoi dans si longtemps ?
Moi- Votre jument est en gestation donc tout se que vous pouvez faire c'est bien vous occuper d'elle.
Faragon- Et comment je fait pour les expéditions et même les entraînement ?
Moi- je ne sais pas, je pense qu'il faut demander au major.
Faragon- Va lui demander, c'est toi qui doit te charger de ça maintenant.
Moi- Oui caporal, je mis rend de se pas.
Je refait le salut militaire et sort du bâtiment. Avant d'aller voir le major, je retourne voir Erwin. En chemin, je croise Hanji qui fait le chemin restant avec moi pendant que je lui raconte tout se qui c'est passé depuis que l'on c'est séparé. En arrivant devant la porte, Hanji entre sans prévenir.
Moi- Hanji, frappe avant.
Erwin- Qu'es
je regarde Erwin, qui lui nous regarde surpris de notre soudaine interruption dans son bureau. Son expression me fit rire ainsi qu'Hanji.
Moi- Désolé Erwin, Hanji est légèrement surexcité par ma faute.
Erwin- J'ai bien vu ça, mais pourquoi par ta faute ?
Moi- J'ai fait l'erreur de lui raconté ma petite partie de cache cache involontaire avec le caporal Faragon.
Erwin- Cache cache ? Comment ça ?
Moi- Il n'était pas dans son bureau
Hanji- Alors, elle lui a couru après au terrain d'entraînement puis dans la salle de ravitaillement.
Moi- Hanji, j'ai dit quoi sur le fait de couper la parole ? Sinon passons, Erwin tu voulais me parler de la séance de demain ?
Erwin- Oui, tiens voici le programme du mois. Hanji vu que tu es là, je te passe le tiens, c'est le même que Rubis sauf qu'il y a marqué les fois ou tu peux faire autre chose et les fois ou tu sera seul avec Rubis.
Hanji- Ok.
Moi- Erwin, tu es sûr que c'est une bonne idée moi et Hanji seul pour l'entraînement.
Erwin- Oui, je compte sur votre professionnalisme.
Je le regarde dubitatif puis me concentre sur le planning. Ça va, début de toutes les journées à 7h00 et fin à 18h00 avec une pause de 2h00 le midi.
Parfais, le matin je commence tôt, à la pause j'aurais le temps de digérer et le soir de prendre une douche avant de mange. Des journées bien chargé, si avec ça je dors pas la nuit, je ne sais plus quoi faire. Pour les exercices, ils sont assez varié, et ne se répète que deux fois par semaine sauf la musculation. Jai le droit à deux jour de repos tous les 5 jours.
Erwin- Je pense que l'heure à laquelle on commence ne te dérange pas, Rubis.
Moi- Non, je suis levé depuis longtemps, j'aurai juste à aller manger plus tôt.
Hanji- Moi je suis pas d'accord, c'est tôt. Normalement je fait des expériences jusqu'à cette heure et après je vais manger. Tu peux pas décaler d'une heure comme ça je peux continuer et j'ai pas besoins de me lever encore plus tôt.
Moi- Tu me déprime Hanji.
Erwin- Non, Hanji. Si on décale, il n'y aura pas assez de temps pour tous les exercices.
Hanji- Bon, vu que je ne pourrais pas faire autrement, je vous laisse.
Quand Hanji est sorti et a refermé la porte, je me retourne vers Erwin. Je me met à sourire et je brise le silence.
Moi- Demain, elle est en retard. Je pourrait mettre ma main à couper.
Erwin- Oui, cest sûr. Sinon tu as découvert ce qu'à la jument de Faragon ?
Moi- Oui, tu ne peux pas imaginer.
Je lui raconte se qui arrive. On décide d'en parler avec le major en compagnie du caporal après le repas qui à déjà du commencé.
Pendant que je mange, une fille vient me parler. Elle se présente sous le nom de Ayamé. Elle m'explique qu'elle fait partie de la dernière brigade d'entraînement qui est arrivé et que si elle a intégré le bataillon d'exploration c'était pour se battre au côté d'Erwin mais qu'elle a était affecté à l'escouade du caporal Faragon et que ça l'avais déprimé. Je trouve que sa raison d'avoir intégré le bataillon est idiote mais elle est sympa, alors quand elle commence à poser des questions sur moi, je lui répond honnêtement en omettant le fait que je soit proche d'Hanji et Erwin qui m'a sauvé sinon j'ai peur de comment elle pourrait réagir ou en profiter pour me poser des question sur lui et me demander de lui présenter. Mon repas fini, je me lève lui dit au revoir et sors du réfectoire pour aller au bureau du major.
J'attends que les trois hommes qui mange toujours arrive assise parterre. Au bout de 10 minutes, je commence à m'impatienter quand des ombres, des bruits de pas et des voix m'arrive au yeux et oreilles. Je me redresse et une fois à mon niveau, je leur dit bonsoir et fait le salut militaire. Le major rentre dans son bureau puis nous le suivons, je suis la dernière à rentrer donc je ferme la porte derrière moi puis reste debout à proximité de la table ou Erwin et Faragon s'installe pendant que le major, lui sassoie derrière son bureau. Une fois tout le monde prêt, le major me demande d'expliquer le problème. Quand je finis de décrire la situation il reprend la parole.
Keith- Ce n'est pas la première fois que cela arrive. Je ne vois pas le problème. Caporal Faragon vous prendrez un autre cheval et nous vendrons cette jument.
Moi- Vendre ? Mais pourquoi ?
Faragon- Il n'y a pas de raison que tu parles. Et tu peux même sortir.
Je baisse la tête, me retourne et pose la main sur la poignet de la porte quand je me fait interpeler.
Erwin- Où vas-tu, Rubis ?
Moi- Le caporal Faragon, m'a ordonné de
Keith- Que je sache dans se bureau c'est moi qui donne les ordre et je ne crois pas t'avoir ni ordonné, ni donné la permission de sortir.
Erwin- Vient t'asseoir.
Keith- Une jument qui ne peut pas être monté ne sert à rien à part faire perdre de l'argent.
Moi- Major, puis-je vous proposer quelque chose.
Keith- Je t'écoute.
Faragon- Major, vous ne pouvez pas écouter une fille qui vient d'un village qui était coupée de tout, et qui n'a même pas de connaissance que se soit en finance ou que se soit en art militaire.
Moi- Caporal, si je peux me permettre dans mon village, je m'occupai avec mon père d'un élevage d'équidé alors je connais la finance. Major, je pense qu'à long terme faire notre propre élevage grâce au jument et étalon que nous possédons pourrait être rentable, de plus cela peu permettre de créer des liens entre le soldat et sa monture.
Keith- En quoi un lien peut-il nous être utile et comment veux-tu créer ce lien ?
Moi- Le lien permet une confiance entre les deux et une écoute de la monture plus grande. Et si j'ai bien compris, un cheval peut commencer à faire les expéditions à l'âge de 4 ans et il part à la retraite si il ne se fait pas tuer avant à l'âge de 14 ans. Donc, si on fait en sorte qu'arrivé à l'âge de 10 ans du cheval on confit au soldat un poulain à qui il donne un nom et que ce soldat s'occupe de lui, aide pour le débourrage et dressage, il pourraient développer un lien qui sera très fort. Mais le point négatif c'est que l'achat de cheval ne peut pas s'arrêter d'un coup sinon il risque d'y avoir un problème sur le court terme.
Erwin- comme toi et Miracle.
Moi- Oui.
Faragon- Tu crois que nous avons que ça à faire, un soldat se doit de s'entraîner.
Moi- je pensais, que ça pouvais être une bonne idée, et puis ça aurait permis aux soldats de se détendre après la journée de travaille.
Keith- Erwin, vous semblez savoir quelque chose.
Erwin- En effet, j'ai pus voir se que se lien ou plutôt cette complicité permettait et cela pourrai être un avantage.
Keith- Très bien, je vais réfléchir seul puis demain nous en reparlerons lors de la réunion et selon la décision que nous prendrons, je te convoquerai, Rubis. Vous pouvez tous disposer.
Je me lève, salut tous les supérieurs et sors. Je me dirige d'abord vers mon ancienne chambre ou je récupère le peux d'affaire que j'ai puis vers mon nouveau dortoirs. Je sais que je le partage avec d'autres filles mais je ne connaît pas leur nom ça risque d'être dur vu ma timidité. Je pense que je vais rester dans mon coin.
Je cherche la chambre 153, je la trouve et quand je rentre dedans tous les regards se tourne vers moi. Bon, je repasserai pour la discrétion. Je sors un bonsoir réservé et toutes les filles me saute dessus pour se présenter. L'une d'elles cris qu'il faut que tout le monde se calme et quand elle s'avance je la reconnais. C'est Ayamé qui à calmé les autres. Ensuite elles me montre le lit dans lequel je vais dormir même si se n'est que quelques heures. Une fois que nous somme toutes dans nos lits respectif, elles commencent à papoter en m'incluant. Au final j'y prend goût et rigole avec elles. Ça ne vas pas être si dur que ça dormir avec d'autre fille tous les soir finalement.
Ça doit faire deux heures que toutes les filles se sont endormie mais moi, impossible.
La nuit a été longue, je viens de finir de manger et me dirige vers le bâtiment consacré au exercice d'intérieur pour la musculation. J'y retrouve Erwin mais aucune trace d'Hanji.
Moi- Salut Erwin, Hanji n'est pas là à se que je vois.
Erwin- Bonjour Rubis, non la scientifique un peu fofolle n'est pas là, tu avais raison. Sinon programme de la journée.
Moi- Je le connais, tu me l'a donné hier soir.
Erwin- D'accord, commençons, Hanji nous rejoindra.
C'est partie pour une série de pompe, d'abdo et tous les exercices de musculation qui sont imaginable pendant une heure. Entre temps Hanji nous à rejoins. Le reste de la matinée c'est tridimensionnalité avec du travail sur l'équilibre et l'agilité se qui marche plutôt bien malgré qu'il faut que j'apprenne à moins utiliser de gaz. L'après-midi, Erwin et Hanji me font travailler le cardio jusqu'à 17h00. Je crois que j'ai fait quatre crises cardiaques, trois fois ou je me suis évanouie et j'ai retenue une leçons niveau cardiaque, j'en possède plus à cheval qu'à pied.
Ce soir, avant d'aller me coucher je vais voir le major qui m'a convoqué. J'en sors heureuse, je vais pouvoir faire un élevage équin.
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