Chapitre 10

Bon, aujourd'hui, je n'ai pas une minute à moi, Hanji vient d'arriver au réfectoire ou nous sommes peu vu qu'il est encore tôt et elle vient de me donner le planning de la journée. Comme me l'avais dit Erwin, ce matin il faut que j'aide à la distribution des chevaux et à leur expliquer comment monter à cheval pour cela, je vais avoir besoin de Miracle, elle va être contente. Ensuite cette après-midi, j'ai le choix entre rester avec Hanji et regarder comment il se débrouille lors de l'entraînement de l'escouade du caporal Faragon à la tridimensionnalité, ou un entraînement intensif avec le reste de l'escouade celle d'Erwin sans lui et celle de Mike. Vu que je suis toujours en attente de réponse pour savoir si oui ou non Erwin, Hanji et même Mike m'autorise à aller à la prochaine expédition, je vais faire les deux.

Quand je fini de manger, les autres arrivent tous en même temps alors je leur dit bonjour rapidement et pars au écurie voir quels sont les chevaux n'appartiennent à personne et qui pourrait convenir au trois nouveau. Réfléchissons, pour Isabel qui est tout le temps à trois mille, il lui faut un cheval ou une jument plutôt âgé, calme et avec de l'expérience du terrain pour l'aider à se canaliser, je sait qu'il y en a deux qui ont se caractère, Liberté, une jument grise 8 ans qui a survécu à une dizaine d'expédition et Fortune un cheval de 10 ans qui est là depuis plus longtemps que moi ce n'est pas la première année ou ils peuvent aller en extérieur et qui connaissent donc très bien ce qu'il doivent faire. Pour Furlan, moi choix se porte sur deux chevaux de robe bai un peu plus agité mais calme sur le terrain. En passant devant l'étalon noir qui m'a permis de rester ici se met à henni, alors je m'approche de lui et lui caresse la tête en réfléchissant à quel caractère convient le mieux au dernier. Quelque minutes après, les trois nouveau arrive en compagnie de Ayamé et une autre fille de leur escouade, quand ils arrivent en face l'étalon il se met à secouer la tête et recommence à hennir joyeusement, en suivant du mieux que je peux son regard, je tombe sur celui de Livaï. Mon intuitions m'incite à les mettre en binôme malgré ma réticence à confier mon nouveau protéger à celui que je ne peux pas supporté malgré que je ne l'ai vus qu'une fois. Après avoir discuté un peu avec Ayamé et donner les règle de base en présence des chevaux, je commence par Isabel. Je lui présente, en premier, Fortune sans lui donner son nom, on rentre dans le box et je l'observer interagir avec lui. Le courant passe assez bien mais elle a du mal à percevoir ses mouvements, alors je lui propose de faire de même avec Liberté. Au bout de même pas deux minutes je comprends qu'elles sont faite l'une pour l'autre. On ressort du box puis je passe à Furlan, le premier cheval du nom de Boulette s'avère être le bon. Avant de désigner son cheval au dernier je veux que Isabel et Furlan soit occupé donc je me tourne pour partir chercher ma jument pour leur montrer comment sen occuper mais me fait stopper.

Livaï- Tu fous quoi ? j'ai pas de cheval encore.

Moi- Je veux d'abord montrer comment s'occuper d'un cheval, alors je vais chercher la mienne.

Livaï- Et pourquoi tu ferais ça avant de m'en donner un ?

Moi- Parce que je fait les chose dans l'autre que je veux.

Furlan- Livaï c'est bon, arrête ça ne change rien que tu l'es avant ou après.

Livaï- Tch.

Je remercie Furlan et pars chercher Miracle. Elle se prête au jeu en restant calme et profite de se moment d'attention de ma part. Une fois que les deux premiers sont occupé avec leur cheval, je me tourne vers le dernier.

Moi- Maintenant que tes camarade sont occupé. Je vais être franche et honnête avec toi, je n'ai aucune confiance en toi, et je ne t'apprécie pas du tout avec ton caractère, mais mon intuition me dit de te confier le cheval auquel je tiens le plus après la mienne.

Ayamé- tu es sûr Rubis ?

Moi- Oui, pour tout dire j'ai fini son éduquer il y a un an et je le prend de temps en temps pour les entraînement et je n'ai jamais voulu le confier, il n'a jamais fait d'expédition et ne possède même pas de nom.

Livaï- Pourquoi me le confier si tu me déteste. D'ailleurs c'est réciproque.

Moi- Parce que c'est lui qui t'as choisi. Et se serai sympa que tu lui trouve un nom rapidement.

Livaï- Ouais je verrai plus tard, pour l'instant il est ou se canasson ?

Moi- Ok, il faut que je reste calme.

Ayamé- Rubis, ça va ? Tu as dit quelque chose ?

Moi- Ça va, je n'est rien dit. Et ce « canasson » comme tu dis, est un être-vivant magnifique avec un fort caractère qui à besoin de sentir que son cavalier a confiance en lui pour montrer son plein potentiel alors porte lui du respect.

Je lui montre l'étalon, il rentre dans le box et je ramène Miracle dans le sien, pour la préparer , pendant que les deux autres filles les surveillent. Sur le coup elle a crus que c'était fini est sa réaction était trop drôle mais quand elle a vu que je prenais sa selle, c'était la plus heureuse. Je retourne voir si ils ont fini puis nous sortons dans le pré. Je leur montre comment monter, avancer et s'arrêter.

Au bout de deux heures on fait souffler les chevaux. Isabel est vraiment doué, elle arrive à passer de cheval à tridimensionnalité et inversement avec une complicité énorme avec une jument qu'elle connaît que depuis peu.

Fille de l'escouade- Je n'aurais jamais imaginé que tu puisses tout maîtriser en aussi peu de temps.

Moi- C'est vrai, je ne serai pas que tu viens des bas-fonds, je penserai que tu nous mens en disant que c'est la première fois que tu monte à cheval. C'est pas comme tes deux acolytes.

Isabel est la seul à avoir continué après la première heure. Furlan est tombé après une demande trop brusque et une légère incompréhension tu cheval dans la demande de direction, il y a donc eu « séparation des corps », Boulette est parti à gauche et Furlan à droite. On a bien rigolé de sa tête et Isabel en a rajouté une donc il est parti s'asseoir sur un rondin de bois plus loin vexé, en laissant son cheval seul. J'ai alors du le desseller et le débrider pour le laisser vagabonder. Quant à Livaï, lui n'est monté que dix minute puis après avoir appris comment avancer et s'arrêter, il est descendu et a ramener le sien à son box et depuis il a disparut. Il n'a eu aucun respect pour nous, ni daigner rester jusqu'à la fin ni même ne serait-ce qu'un merci. Il me sort littéralement par les yeux. Je sursaute à la pris de parole d'Isabel se qui montre que je me suis absenté pendant quelque seconde.

Isabel- J'ai toujours eu un bon contact avec les animaux. Ce sont les humains qui sont les plus dur à gérer.

Moi- Je suis d'accord avec toi. Les animaux ne tue pas pour leur plaisir au moins.

Fille- Il y en a beaucoup qui vous voient d'un mauvais il parce que vous venez des bas-fonds Mais vous n'avez pas choisi cette vie, j'imagine, ça devait être dur au quotidien

Isabel semble réfléchir un peu puis nous explique se qu'elle a vécu, j'écoute à nouveau pour voir si elle rajoute des détails qu'elle nous pas dit la dernière fois mais non. Sa vie n'a vraiment pas été facile. Je lâche à moitié la conversation qui dévie sur les deux garçons du groupe et tourne la tête vers le bâtiment des supérieurs, plus précisément la fenêtre du troisième étage, la plus à droite ou se trouve le bureau d'Erwin pour voir si il est toujours là ou si il est déjà parti. Je le vois observer Furlan et un soldat qui sont entrain de discuter puis partir de la fenêtre.

j'interpelle les filles et leur dit que c'est bon, on a fini et que nous pouvons ramener les chevaux au box. J'appelle Furlan pour quil vienne s'occuper de Boulette en pensant quand même qu'il ne le fera pas mais étrangement il vient sans rechigner.

Je m'occupe de Miracle et lui donne une récompense puis pars voir si le cheval confié à Livaï et bien dans son box avec l'entretiens nécessaire après un entraînement ainsi que comment se débrouille les autres.

Une fois que j'ai vérifier que tout aller bien de leur côté, je vais faire mon rapport de la matinée à Hanji, vu que j'ai encore deux heures avant la pause. Ne sachant pas ou elle peut bien être, je commence par son bureau, puis le labo et enfin je vais voir au terrain ou se trouve l'escouade. Elle n'y est toujours pas et je ne vois pas Moblit non plus, je demande à Nico et Sayuri, si ils ne serai pas où je pourrais la trouver. Ils m'expliquent qu'un soldat venu il n'y a même pas trois minutes chercher Hanji que Mike voulait voir et Moblit la suivit pour éviter qu'elle fasse une bêtise si il y a un problème. Je soupire on a du se croiser sans se voir, je l'ai remercie et repars en direction du bâtiment, réserver au supérieur.

A côté de la porte du bureau de Mike se trouve Moblit la tête baissé et les yeux fermé. Je souris mesquinement et m'approche de lui avant de lui cris le plus près possible « Moblit, tu dors », sa réaction est comme chez toutes les personnes immédiate. Il ouvre les yeux en poussant un hurlement et manque de tomber en avant. J'éclate de rire puis lui offre, le sourire innocent que je fait à n'importe qui que je viens d'embêter.

Quand il réalise se qui vient de se passer il me jette le même regard noir que les autres.

Moi- Salut, pourquoi se regard noir, je t'ai empêché de tomber par terre ou de te faire surprendre par Hanji qui ne t'aurai plus lâché avec ça.

Moblit- Il y a d'autre manière comme taper l'épaule doucement, secouer ou appeler la personne d'une manière délicate. En plus, je ne dormais pas, je réfléchissais.

Moi- Déjà, les mots doux et délicate ne font pas partis de mon vocabulaire, tu devrais le savoir au bout d'un an et en plus si tu réfléchissais vraiment, tu m'aurais entendu arriver.

Il ne répond rien, alors fier d'avoir tapé dans le mille, j'allais me moquer mais me fait stopper dans ma lancer par Mike et Hanji qui sorte du bureau. Je me retourne vers eux et leur sourie, Mike pose sa main sur ma tête pour m'ébouriffer les cheveux et me rappeler la différence monumental entre nos deux tailles se qui me fait gonfler les joue comme une fillette et Hanji rigole de ma réaction. Ils me demandent se que je fais là et je leur répond que j'ai fini plus tôt que prévu d'enseigner l'art de l'équitation au trio et que je cherchais Hanji pour faire mon rapport vu qu'il me restait du temps avant la pause.

Mike- D'accord, tu n'as cas rentrer. Je suis curieux de savoir comment ça c'est passé.

Moi- Oui.

Hanji- Bon, on rentrer à nouveau alors. Moblit entre aussi ça n'as rien de secret. Et tous les deux, c'était quoi se cris tout à l'heure ?

Moi qui avais commencer à avancer dans le bureau, je m'arrête et me retourne vers eux, avec un sourire. Hanji regarde alternativement moi et Moblit qui tourné la tête à l'opposé de nous en rougissant légèrement de honte et Mike me regarde attendant ma réponse.

Moblit- Oh, C'est

Moi- On c'est pas, ça venais de dehors.

Mike- Tu es sûr Rubis, on aurai vraiment dit que ça venais de vous.

Moi- Oui.

Hanji- Si tu le dis.

Quand la porte du bureau est fermé, que Mike et Hanji son derrière le bureau, je commence mon rapport oral. Au bout de dix long minute pendant lequel je n'est pas arrêté de réciter la matinée, je fini enfin. Hanji me conseille de l'écrire et de la passer à Erwin et au major, donc je profite d'être ici pour demander à Mike si je peux le faire au calme dans son bureau. Pour toute réponse, il me tend un petit tas de feuille, de quoi écrire et me montre la table basse. Je le remercie et m'installe pendant quHansi et Moblit sorte.

Après une heure et trois page recto-verso en double, pour le major et Erwin, je met le dernier mot. Je regarde discrètement Mike pour voir si il est occupé ou pas et remarque qu'il ne fait rien de spécial alors j'entame la conversation sur un sujet dont je voulais lui parler depuis un moment.

Moi- Dit Mike, tu as bien une soldate du nom de Nanaba qui vient d'arriver dans ton escouade, non ?

Mike- Oui, pourquoi et comment tu le sais ?

Moi- Je l'ai croisé, il y a un petit moment et je voulais savoir si ma première impression est la bonne.

Mike- Stop, n'imagine même pas l'enrôler dans votre groupe de folle avec Hanji. Elles est une très bonne soldate qui est à l'écoute de ses camarades et qui obéi à tous les ordres. De plus elle est calme et réfléchie alors n'allaient pas me la détraquer comme Hanji l'a fait avec toi.

Moi- Mais non, je n'est jamais imaginé ça. Je la trouve juste sympa. Sinon, il paraît que tu as mis les nouveau mal à l'aise.

Mike- Ils n'étaient pas mal à l'aise.

Moi- non, tu as raison pour citer « c'était gênant ». Elle sent comment Nanaba.

Mike- Pourquoi as-tu les yeux qui brille comme ça. Et ça ne te regarde pas.

Moi- Oh ! Aller Mike s'il te plaît, promis j'en parle à personne.

Mike- Ok, elle a une « odeur fruitée ».

moi- Oh, je vois c'est intéressant ça.

Mike- Ne va pas t'imager quoi que se soit.

Moi- Je ne m'imagine rien du tout. Bon j'ai fini mon rapport, je vais le poser sur le bureau d'Erwin, puis du major et je vais manger, à plus tard.

J'ai le droit à un « hum » pendant que je me dirige vers la sortie. Je passe par les bureaux d'Erwin et du major puis je pars manger avec mes camarades d'escouade.

Cette après-midi, je suis Hanji avec Moblit à la lisière de la foret ou va se dérouler le test de tridimensionnalité. Le premier à passer est Livaï, quand il sort ses lames, il prend celle de droite à l'envers se que Faragon, Hanji, Moblit et moi trouvons étrange et surprenant. Le caporal n'hésite pas à le lui faire remarquer.

Faragon- C'est quoi, cette façons de tenir ta lame ? Elles ne sont pas faites pour être manipulées comme ça. A moins que tu aies l'intention de clamser de l'autre côté du mur ?

Livaï- Si tu m'imitais, tu ne tiendrais peut-être pas longtemps, ouais.

Le caporal a raison pour une fois, il est vraiment insolent même moi, en appelant Mike ou même Hanji qui est ma supérieure directe et Erwin qui est dans la hiérarchie juste au dessous de major par leur prénom, je ne suis pas insolente ou irrespectueuse comme certain le pensent à côté de lui. Mais Faragon n'y est pas allé doucement dans ses paroles non plus.

Livaï- Tout ce qu'il faut, c'est trancher la nuque des titans, ok ? Je me réserve le droit de le faire à ma manière.

Là c'est plus de l'insolence à se niveau. Faragon est sur le point d'exploser, pendant qu'Hanji se retiens de rire du manque de respect qu'il a eu et Moblit est choqué, il ne cligne même plus des yeux, plutôt drôle comme tête. Quand je me retourne pour savoir quand ils commencent, je les voient entrain de voltiger en direction de titans en bois, je tourne la tête vers Hanji qui comprend ou je veux en venir et me l'autorise. Je m'élance à leur suite. Livaï est vraiment rapide même le caporal Faragon à du mal à le suivre. Les nuques qu'il tranche ont des entailles plus profondes que le type qui s'entraîne avec lui et vu sa tête, il n'est pas contant de se faire battre par un mec qui n'a pas fait les brigades d'entraînement. Tiens, il vient de se louper, le voyou s'arrête contre un arbre, met sa lame droite à l'envers et se jette en tourbillonnant sur la nuque du titan. Il est vraiment fort, je comprend mieux pourquoi Mike a failli y passer quand ils sont allé les chercher. Je change de direction, je veux moi aussi m'entraîner pour pouvoir avoir une chance pour la prochaine expédition et ne plus avoir à rester au QG morte de trouille à l'idée que l'un d'entre eux ne rentre pas.

Quand j'arrive sur le terrain d'entraînement ou se trouve mes camarades en compagnie des escouades de Mike et d'Erwin mais sans celui-ci. Aujourd'hui c'est entraînement à trois escouades avec un seul caporal.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top