Celle-ci s'ouvrit ! Éclair, poussa un miaulement silencieux, complètement étonnée, et sans attendre les autres, sortit de la pièce.

Lune se précipita vers la porte de la, cage et sortit. Elle se trouvait dans un petit nid de deux-pattes.

"Éclair, attend ! Ce sera plus facile de retrouver nos deux-pattes a trois !"

Éclair se retourna, la fourrure hérissée :

"Nos deux-pattes ? Tu rigoles ? Je vais chercher ma mère et ma sœur ! Mais si tu aimes tant cette deux-patte qui t'as vendu à un psycocat qui veux nous utiliser comme de vulgaires proies, vas-y, je t'en prie, chatte domestique !!"

Puis la jeune chatte vit l'air blessé de Lune et regretta immédiatement ses paroles.

"Désolée... Mais ma famille me manque..."

Sur cette dernière phrase, la voix de la chatte crème trembla.

Lune regarda Éclair. Cette chatte l'émouvait. Elle n'avait jamais connu ses parents, mais elle avait eu des chatons, qui lui avaient été arrachées a la naissance.

"Tu sais quoi ? On va chercher un moyen de retourner vers chez moi, et de là, je t'aiderais à trouver ta famille ! Il y a une forêt pas loin, avec une petite maison de deux-pattes, il sont peut être là ?

-Merci, répondit Éclair, avec un demi-sourire. Mais ça m'étonnerai. Les deux-pattes m'ont emmenés très loin de chez moi, parce que j'ai attendu très longtemps avant d'arriver chez toi. Mais c'est pas grave, on va retourner chez toi.

Lune avait pitié d'Eclair a présent.

"Non! Je pourrais toujours retrouver ma deux pattes plus tard, on va chercher ta famille! "

Puis elle se tourna vers la cage rester entrouverte:

"Tu veux venir Coussi?"

Coussi n'en croyait pas ses oreilles. Elles me proposent de venir ! Elles m'aiment ! Mais son caractère grognon reprit vite le dessus. Elles m'ont manqué de respect... Je... je sais pas !

"-Ça ne sert à rien d'avoir une famille. Débrouillez-vous seules !

-Tu n'as jamais eu de famille, n'est-ce-pas ?"

Coussi était tellement désemparée qu'elle ne savait répondre que par la colère.

"Lâchez-moi !!! Qu'est-ce que vous-me voulez ??? Vous allez faire comme toutes les autres de toutes façon ! Vous allez m'abandonner ! Vous me soûlez ! je ne veux plus jamais vous voir ! JAMAIS !"

Elle sortit de sa cage, s'enfuit par la fenêtre, et courut, sans regarder où elle allait, les larmes aux yeux, milles pensées tourbillonnant dans sa tête.