Une histoire de famille
Résumé du chapitre 7 : Sophie, découvre enfin le vrai visage de Marine, sa tante. Elle commença a comprendre, petit à petit, l'acte de Paul...
Marine poursuivi :
"Jusqu'à ce jour, le 17 mars 1995. Paul avait prévu d'aller voir son oncle, pour la première fois. Cela faisait parti de son plan pour le tuer.
Il sonna à sa porte avec des fleurs, et une bouteille d'alcool. Par chance, ce fut Jean qui ouvrit :
« Bonsoir, que faites vous chez moi à une heure pareille? »
Paul n'avait aucune intention de révéler sa véritable identité. Il profitait du fait que son père ne l'ai jamais connu, car en effet, lorsqu'il allait voir Sophie, sa cousine, Jean était toujours en déplacement, il regretta amèrement de ne pas avoir fait le rapprochement plus tot.
« Bonsoir, je suis un voisin et cela fait quelques jours que j'ai emménager ici ! Je me disais que ce serait bien de sympathiser avec le voisinage ! »
Jean fut peu convaincu. En effet, cet individu paraissait d'être un homme tout à fait honnête et aimable. Mais son aura était... étrange. Il repondit alors :
« ah bon ? Je suis ici depuis longtemps et je sais parfaitement qu'aucune maison n'a été vendues dans le coin ! »
« Vous avez du mal vous renseigner ! Tenez, ceci est le contrat d'achat de la maison »
Malheureusement pour Jean, Paul avait tout prévu. Il a payé les locataires afin d'avoir leur contrat pendant quelques temps, il a ensuite changé les donnés personnelles du contrat et a même loué une voiture prévu au cas où quelque chose ne se passerait pas selon ses plans.
Jean observa le contrat avec une extrême attention. Mais il ne trouva rien de suspect.
Toutes les soupçons qu'il éprouvait à son égard se dissipèrent.
« Oh très bien vous aviez raison ! Excusez moi pour ces accusations hâtives. Entrez je vous en prie !»
« Pas de problème je comprends, surtout à cause de tous ces serials killers qui passent à la télé, et même parfois, près de chez nous !»
A cet instant, Paul eu une petite hésitation. Devais il le faire ou abandonner? Il avait passé la moitié de sa vie à tout planifier pour ce jour. Alors pourquoi hésitait il au moment crucial?
Au même instant, Jean répondît :
«En effet ! Les quartiers se font de plus en plus dangereux de nos jours, mais j'ai surtout peur pour ma femme et ma fille ! J'espère pourvoir les protéger....»
Paul se crispa :
«Votre femme et votre...fille ?»
« Oui, ma femme est extraordinaire. Une personne que j'ai rencontré des mon plus jeune âge! Nous étions amis des l'école primaire. J'ai eu ma fille bien des années plus tard. Elle se nomme Sophie ! Sa venue au monde m'a fait comprendre ma charge dans mon rôle de père, mais je l'aime plus que tout !»
Paul se rendit compte que son père l'avait totalement oublié, ce qui mit fin à ces incertitudes :
« j'espère un jour connaître le même bonheur que vous ! »
« Oh, je l'espère pour vous également ! Mais cessons d'en parler. Tenez, asseyez vous! Vous voulez quelque chose à boire ou à manger ? »
« Eh bien...que diriez vous de consommer la bouteille que j'ai amené ? Pour la nourriture, je vous fais confiance ! »
« Très bien, faisons sa ! J'apporte des verres tout de suite! »
Paul sortit alors la drogue que sa mère avait l'habitude de consommer.
Jean revena.
« Tenez ! Servez moi pendant que je prépare des apéritifs !»
Il repartit aussitôt.
Paul mit alors de la drogue a grosse quantité dans le verre de Jean. Il remplissa ensuite les 2 verres d'alcool et pris le sien avec une extrême sérénité. Jean revena avec un plateau rempli d'apéritifs.
« Je suis là ! Tenez servez vous !»
«Merci beaucoup. Que diriez vous de trinquer?»
«Avec plaisir !»
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