Résumé du chapitre 4:

Après avoir été enfermée par Paul, Sophie retrouve sa propre tante, la mère de celui-ci.
Elle s'apprêta alors à lui faire un revelation, qui risque de changer le cours de sa vie

"C'est une histoire qui date d'avant votre naissance à Paul et à toi. J'ai commis une erreur impardonnable. "

"Je t'écoute tante Marine..."

"Très bien.
L'année 1984. Cette année me dégoûte horriblement. Elle fut la pire année de ma vie, et je vais t'expliquer pourquoi : ton père. Il est responsable de la pire chose qui me soit arrivée au cours de ma vie.
Au début de cette année la, j'ai commencée à sortir avec Jean, ton père, puis je suis tombée enceinte de lui 2 mois plus tard."

"Tu quoi !? "

"S'il te plaît Sophie, laisse moi continuer.
J'étais la femme la plus heureuse du monde avec l'homme que j'aime. Je ne lui avais pas encore dit que j'étais enceinte, car je comptais lui annoncer lors d'un repas où nos 2 familles seraient réunis. Et dans ce repas de famille était invité Lucie, ta mère. "

"Qu'est-ce que maman a avoir dans cette histoire ?"

"Tu comprendra bientôt....
J'étais donc enceinte de Paul et à mon plus grand bonheur, tout le monde fut heureux d'apprendre la nouvelle. Tout le monde mis à part...Jean. Son visage horrifié me fit énormément de mal. A un moment de la soirée, j'aperçus Jean et Lucie partir ensemble. Je décidais alors de les suivre et....j'ai eu parfaitement raison."

"Que s'est il passé ?"

"Ton idiot de père embrassa ta mère,sous mes propres yeux. La colère jailli en moi jusqu'à faire couler mes larmes, je l'ai insulté de tous les noms et je suis partie. Je me demandais ce que j'allais faire de ce bébé. Le garder ou avorter ? Je ne pourrais clairement pas élever un enfant tout seule ! Quand soudain je reçus un message de la part de Jean.

«Marine, je suis tellement désolé. Tu est la seule femme que j'aime sur terre alors s'il te plaît, ne pars pas. J'ai beaucoup réfléchis et je me suis rendu compte que c'est toi que je voulais jusqu'à ma mort, s'il te plaît. Fais le au moins pour notre enfant. »

Après de longues réflexions, je lui ai pardonné. « Après tout, il m'aime non ? » mes sentiments prenaient le dessus sur la raison, et le pardonner était sans doute le début de ma plus grosse erreur."