travaile de français
7 novembre 1918
Chère Cécile .
Vos tendre lettre me réchauffe le cœur,
M'apporte de la lumière dans ces lieux sombres. Sauf que cette lumière s'estompe au fil du temps .
Je donnerais tout pour jetait ce fusil qui à trouver refuge dans mes bras depuis quatre ans ,pour vous prendre à la place .
Cette guerre nous rend foue .mes main tremble à dire que aujourd'hui jai manque de plus jamais revoir vos yeux émeraude. Tout cela à cause des boche ,pradelle avait envoyé deux de nos hommes en reconnaissance, mais il ont rejoint là-haut avant de nous revenir; se eu effet sur pardelle car il à lancer une offensive sur c'est boche au cœur impure. Je me suis élancé le dos voûté dans ce décor de fin du monde ,sa serait vous mentir si je vous disais que je n'avais pas peur ,j'en avait le ventre noué ,la gorge sèche, mais le désir de vengeance qui nous habite petit si fort que la peur humaine. J'ai vue péricourt se fair faucher à mes pied ,puis tout c'est enchaîné à une telle vitesse plus vite que la fonte de ces sorbet que tu avait temps raffole .pardelle se rua vers l'ennemi, sur que étant un obstacle sur sont chemin il me fit valeçais telle une blette, propulsée à lautre bout par un coup de coude dans le ventre .je dégringole dans un trou .jai bien crus que je n'aller jamais arrêté de chutes. Mais le fond me heurta je ferme les yeux sachant bien que c'était la fin ,au dessus de moi l'agitation de la guerre éclatera toujours. Je ne tardera à me fair recouvrir je me sentait partir .je sentait quils étaient temps pour moi de dire bonjour au dieux de ce monde .à mes côté cette répugnante tête de cheval au dent jaune ,ma permis de mepoumente et de gagner quelque précieuse seconde d'oxygène. Mais comme tu as pu le deviner en lisant cette lettre jai dit au revoir là-haut, au revoir au dieux et tout cela ma etait permis grâce à pericourt .il la sauver .il ma sorti de ce bloc ou j'étais prisonnier il savait puiser sur cets force restante pour me fair sortir de cette prison de terre .il m'avait réanimé et insulté les dieux ,sauf quils en avait décidé autrement pour l'homme qui m'avait sorti et sauver la vie .car un éclat dodue et venu se niché à côté je lai vue la jambe en moins ,la geule casse il en était maintenant de mon devoir de sauver se héro. Dans cet circonstance aujourd'hui, jai encore espoir de vous revoir grâce à Edouard pericourt .des la fin de la guerre je vois reviens, la ou est ma place à vos côtés à contempler les étoiles dancer sous les mélodies des dieux pour témoigner de notre amour .je vous promet de voir retrouver rapidement .
Albert maillard
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Lettre dun soldat pour sa femme écrit pour un travail de français
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