Le mal
Plus j'avance et plus te voilà.
J'ai beau courir, tu me suis .
Plus sombre qu'une ombre, tu t'es tapis dans ma conscience.
Chaque jour qui passe, tu me ramènes au trépas !
Et voilà que mes journées s'acharnent.
Qui me comprendra vraiment ?
Je me le demande.
Qui me soignera vraiment ?
Je me le demande.
Ai-je vraiment besoin de quelqu'un ?
Ô mal, tu me fais y penser
Et quand le hibou part en chasse, il n'y a que là que tu me lâches.
Qu'il est beau ce monde.
J'aimerais bien y prendre goût.
Mais pourrais-je vraiment ?
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