Chapitre 14
PDV Mia
Je me réveillais péniblement. Je n'avais plus l'habitude de me lever si tôt. L'habitude se perd si vite ... Surtout que je m'étais endormie très tard sur le canapé. Je pris mon téléphone, je regardais l'heure et vis que j'étais en retard. On ne change pas les bonnes vieilles habitudes.
Puis tout me revient à la mémoire. J'avais l'impression qu'un énorme poids se posa sur mes épaules. Je ne voulais pas les affronter, enfaite ce n'était pas tellement eux le problème, je ne voulais juste pas connaitre la vérité. Je ne suis pas prête. Pas pour l'instant. Je suis beaucoup plus faible que ce que je pensais. Je pensais être forte, être capable de surmonter les épreuves de la vie. Je pensais quand fermant mon coeur aux autres j'allais me protéger. Mais apparament non. Je n'étais pas capable.
J'étais dépitée et je décidais de me recoucher mais Chris ne me laissait pas l'occasion et arrivait en trombes dans la chambre et me secouait. Au bout de deux minutes, je me déclarais vaincue et il m'obligeait à de me lever de ce lit si douillet. Je me dirigeais vers la cuisine, pris mon petit déjeuner et alla l'installer confortablement dans le canapé pour manger. Chris me rappela que nous partirons dans 5 min. Mince, je n'avais pas vu l'heure. Je retourna dans la chambre, m'habillais en quatrième vitesse puis, je passais par la salle de bains et je vis qu'il m'attendais. Mais je m'aperçue que j'avais oublié mon sac de cours hier. Je retournis dans la chambre, pris mes affaires et me rendis au salon quand j'arrivais, il se mit à souffler.
On montait sur sa moto et pris la direction du lycée. A l'approche de l'établissement, je commençais à stresser. Personne ne parlait ou osait briser ce lourd silence.
PDV Jaylen
Ce matin en me réveillant je vis mon visage abîmé par les coups de la veille. Je n'avais eu que ce que je mérité. Je ne m'attardais pas plus sur ce petit détail et me rendit au bahut et j'arrivais en retard pour ne pas changer.
A un moment, j'entendis le bruit d'un moteur et la curiosité, me fis tourner la tête et je crus la voir descendre d'une moto. Elle était accompagnée d'un homme plutôt musclé.
Je me dit que j'étais tombé tellement pas que j'avais des illusions. J'avais sombré dans mes folies. Ce n'était pas possible. Elle ne pouvait pas être là. Je m'assis sur le banc où elle avait était là avec moi quelques jours avant. Avant tout ça. Je fermis les yeux puis quelques instants plus tard, je sentis des mains se poser délicatement sur mes yeux. J'aurai était capable de les reconnaître entre toutes.
Mais étaient-elles seulement réelles ?
Sa présence me manquait.
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