Je jette un coup d'oeil à ma montre: il est 9h, et Kate dors encore. ! J'aurais aimer pouvoir en faire autant !
J'entre brusquement dans la chambre, et fixe mon amie. Cette feignasse est allongée de tout son long sur son lit, dans une position si étrange que je ne saurais dire laquelle. Ses ronflements résonnent dans la chambre, signe évident qu'elle est endormie à point fermé. Voilà donc une dure mission qui s'offre à moi, je fais craquer mes doigts, je vais devoir la réveiller.
J'ouvre les rideaux, laissant entrer une vive lumière dorée. Kate grogne et s'étire, avant de mettre sa tête sous son coussin et de marmonner des paroles incompréhensibles en signe de mécontentement.

-bonjour Kate lève toi On doit partir à Londres aujourd'hui j'ai préparer le petit déjeuner On n'a pas de temps à perdre.sinon bien dormis?!

- Bonjour, oui bien dormi et toi? Me répond Kate en sortant ça tête de sous l'oreiller

- pas vraiment mais tu me connais je dors pas beaucoup quand j'ai du travail Bon, lève toi et dépêche toi d'aller te préparer! Et qui plus est, nous devons terminé l'enquête en cours dans un délai de commençais-je en regardant ma montre 3h et demi.
- Oui mon capitaine, me répond elle avec ironie tout en se levant.                                               
Elle étire quelques secondes, ses muscles engourdis, puis finit par lâcher un soupire plaintif, de légères poches sous les yeux.                                                              
-Es-tu sûre d'avoir besoin de moi? Je la fixe quelques instants, immobile, sans ciller d'un millimètre, puis m'élance vers elle et me plante en face à face.                                                              
-Evidemment. Que ferai-je sans ma meilleure amie.  Elle sourit et ce lève.

Après un immense petit déjeuner de Kate et une tasse de café pour moi, ma colocataire m'écouta enfin et se dirigea vers la salle de bain, non sans grognements et plainte. Au bout d'une heure où je la suppliais de se dépêcher, elle sort enfin de la salle de bain, vêtue d'un jean noir et d'un chemisier blanc. Nous descendons en bas et j'appelle un taxi. Paris est une grande ville est il me faut plusieurs minutes avant qu'un d'entre eux ne daigne s'arrêter. Nous nous dirigeons donc vers le commissariat, où le lieutenant Lorenz et trois pauvres jeunes filles attendent que je trouve le tueur. Chose déjà accomplie, par ailleurs. En arrivant à l'entrée, nous nous dirigeons vers le bureau de Lorenz d'une marche rapide, Kate me suivant en soufflant.

- Arrête de te plaindre. Je lui dit en souriant

-Mais je n'ai rien dit!

-Tu l'as pensé trop fort.

Enfin arrivées, j'entre sans même frapper et m'élance vers l'inspecteur lorenz . Je ne le laisse même pas prononcer un mot. Je prend mon ai sérieux

-Oui, oui et encore oui.

- Comment ça? S'exclame-t-il.

-Oui, je suis venue pour l'affaire des trois femmes, oui je l'ai résolu, et oui je sais qui est le tueur.

- En une nuit?! S'exclame à son tour Kate.

-Oui, en une nuit! Pendant que tu dors vautrée sur ton lit, je travaille MOI.

-J'ai besoin de mes 7h de sommeille, comparée à toi.
-l'insomnie tu connaît mon cerveau et constamment en ébullition impossible de l'arrêter .meme si parfois j'aimerais bien.

-Bref. Le vieux couple, ça vous dérange pas d'arrêter et de me dire qui est le coupable?

-TAIS-TOI !

- Ok

-réunis tous les proches des victimes dans la salle 107. On s'y retrouve dans 15 minute. Un quart d'heure après, nous sommes tous réunis dans la dite- salle.

Le tueur avait un procédé bien particulier, si il est surnommé l'homme volant, ce n'est pas pour rien. Il s'introduit chez les victimes, et leur tranche la gorge sans vergogne. Un acrobate, m'avez-vous gentiment dis, Inspecteur. Ce qui prouve votre stupidité. Tout le monde s'est demandé comment il pouvait rentrer de l'extérieur et tuer sa victime puis s'enfuir. Vous cherchez une réponse à une question qui n'est même pas la bonne.

-Comment ça? M'interroge Lorenz.

-La bonne question était: qui aurait pu y etre invité?

Je sens l'excitation monter en moi. Je me retiens tant bien que mal de sourire devant les regards outrés des proches des victimes. Si ils savaient...

-Vous voulez dire... -

- Que nous n'avons pas affaire à des meurtriers différents mais à un serial killer. Et le tueur est dans cette pièce.

Une vieille femme tombe dans les pommes à l'entente de mes paroles et plusieurs autres personnes se mettent à hurler et courir dans tous les sens.

-TAISEZ VOUS !Hurlais-je.

Ils s'exécutent dans le silence. Ils me fixent tous avec attention, comme un troupeau de bovins.

-Le tueur est donc une personne de l'entourage des jeunes femmes. Elles ne semblaient pas stressées les quelques jours avant leur mort, et pourtant affirmaient qu'elles s'étaient senties suivies les semaines précédant leur mort. Mais qui entre comme il le souhaite? Qui peut venir sans que cela sois suspect et qui ne sera pas relié directement à la personne? Personne sauf Un beau-frère.

Je me retourne et fixe le beau- frère de la dernière victime. De la sueur perle sur son front . La jeune femme le fixe les mains sur la bouche retenant un cri les larmes perlant sur le bord de ces yeux.

- mais comment ... ?

- désoler pas le temps de m'attarder sur des détails futiles arrêter le cette affaire est clause et je vous dit Adieu inspecteur.

- Comment cela Adieu ?

- Kate et moi retournons vivre à Londres avec mon père je doit vous dire que résoudre des enquêtes ici me manquera inspecteur.

-Bon et bien Adieu miss Watson et miss Jones
J'espère tout de même vous revoir un jour.

Je me contente d'un hochement de tête  et d'un sourire tandis  que Kate lui serait la main. Lui disant qu'elle avait été heureuse de faire ca connaissance.

Kate n'a jamais honte de montrer ce qu'elle resent pour moi tout est enfuie à l'intérieur je saia comment interagir avec les gens mais je garde ma carapace froide et hautaine pour ne pas ressentir les sentiment de tout le monde à chaque moment même si ça ne marche pas vraiment Kate et la seul à savoir comment je suis réellement. Je suis constamment vêtu d'un masque cachant ma vraie nature.