Chapitre final : Le Jugement.
Et devant nous se tenait Sans.
Il semblait inquiet. Logique, avec tous ces bugs. Nous l'étions tous.
Chara : Hey Sansypensy ! J'ai tué tous ceux que tu aimais.
Sans : Ok.
Bon. Techniquement, c'est moi qui ai tuer tout le monde. Mais je laisse passer.
Chara : Cela inclus ton frère.
Sans : Ok.
Chara : Et cela inclus aussi, le ketchup !
(*Détonation de Gaster Blaster)
Chara : Raté hihi !
Sans : ... J'ai une question pour vous. Pensez-vous que tout le monde peut être une bonne personne, si elle y met du sien ?
Chara s'avança.
Sans : J'ai une meilleure question pour vous :
Do you wanna had a bad time ?
Chara : Tu as les orbites aussi vide que ça ? C'est du 2v1, là.
Soudain, une inconnue se téléporta à côté de Sans. Surprise, je recula un peu. Elle portait un mini short et une veste noir, sur la quelle figurait une étoile. Elle avait la peau aussi blanche que les os de Sans et les yeux azurs. Très azur.
??? : Maintenant c'est du 2v2.
Son regard prévisageait rien de bon. À ça façon de parler, j'aurais dis qu'elle attendait ce combat. Comment ? Me posez pas la question. Demandez à Lénaïc.
/n Hé !
Nah ;)
Sans : Tu pensais tout de même pas que j'étais aussi bête que ça, Chara.
Je me tourna vers elle. Elle avait reculé, aussi. Mais avait toujours son air assuré.
Chara : Là je dois avouer que tu m'as surprise. Mais cela ne changera pas l'issue du combat.
??? : C'est ce qu'on verra. Au faite, je me suis pas présentée. Je suis Peyper. Et vous allez regretter votre Génocide.
Je le regrettais déjà... Chara et Sans semblait être près à lancer le combat.
U : Attendez !
Les trois se tournèrent vers moi. Je m'approcha d'un pilier et déposa mon Squidphone par terre et lança un remix de "Megalovania" à fond.
U : Un combat épique sans musique, c'est plus un combat épique.
Chara : T'as pas tors.
Comme c'est le premier combat en équipe que je raconte ici, nan ? Donc je dois vous expliquer comment ça se passe : Les deux alliés font leurs tours en même temps Par exemple, quand l'un attaque, l'autre peut attaquer en même temps ou utiliser un objet.
Sans : C'est un temps magnifique dehors.
Je releva la tête, afin de fixer le squelette.
Sans : Les oiseaux chantent, les fleurs fleurissent. Dans les jours comme toi, les enfants comme toi...
Peyper : DEVRAIENT BRÛLER EN ENFER~
Je me retourna. Comment Peyper a-t-elle fait pour être derrière nous !? Ha oui... la téléportation.
À peine avait-elle dit ces mots qu'elle se jeta sur nous. Elle tenait dans ses deux mains des katanas plus de menaçant déjà teinté de sang.
Je fis un bons en arrière afin d'esquiver de le coup. J'étais encore en l'air quand je sentis quelque chose s'attacher à ma cheville. Je baissa les yeux et vit qu'il s'agissait d'une chaîne. Relié aux bras de Peyper.
U : Et merde...
Cette dernière tira le bras en arrière se qui eu pour effet de me projeter sur elle, et m'embrocha avec ses katanas.
Lorsque je réapparu, elle était là. Avec un sourire sadique. Attendant que je déclanche le combat. Je regarda autour. Chara attaquait Sans, qui esquivait tous ses coups. Je soupira. Y'a rien de plus minant pour le moral que de se faire exploser dès le début qu'un combat... Je déclancha le combat.
U : Frisk ?
Frisk : …
U : Y'a un truc qui cloche ?
Frisk : Cette Peyper... je sais rien sur elle ! Et les seuls info que j'ai trouvé sont rédigés en winding !
U : En Winding ?
Frisk : C'est une police d'écriture qui remplace les lettres par des dessins...
U : Ah... tu peux pas le traduire ?
Frisk : Pour traduire une police d'écriture, il faut un logiciel de traitement de texte... T'as ça, Lénaïc ?
/n Yep. Copié-collé moi ça et je vous le transpose.
U : Ça risque de prendre du temps... bon j'ai faim.
*U utilisa des nouilles instantanées.
*Les nouilles sont en train de cuire...
*...
*...
*Les nouilles sont prête ! +6Pv !
/n C'est bon j'ai transposer. Je t'envoie ça, Frisk.
*Peyper. Lv 666. Atk 1000. Def 99+(9/10).
*Souvent appelé la fille aux chaînes, c'était une assassine qui a participé lors de la guerre Humain/Monstre.
U : Love 666 ? Ça me dit un truc...
Frisk : Ça devait être elle, l'ennemi Lv 666 cité par Undyne...
Peyper : Bon, vous avez fini ?
J'eu à peine le temps de lever la tête que je senti à nouveau un katana me transpercer...
Je réapparu une nouvelle fois. Elle m'attendais. Je déclancha le combat et lui tira dessus. J'espère qu'elle a pas beaucoup de Pv, car avec une défense de 99+(9/10), chaque coup n'inflige de 1 de dégât... Faut-il encore que je la touche... Au moment où je tira, elle se téléporta à l'autre bout du couloir. J'avais le moral à plat. Comment suis-je censé combattre (et vaincre) une ennemie comme ça !? À son prochain tour, elle fit apparaître des dizaines de chaînes autour d'elle et me les lança. Je comprends mieux pourquoi "La fille aux chaînes"... chacune d'être elles semblaient animé d'une volonté propre et les esquiver était de plus en plus impossible. Vers la fin de son tour, je me pris 3 chaînes en même temps. Liquidée, encore une fois...
Ce "cycle", qui était semble-t-il tellement aléatoire que je me demandais si on pouvait l'appeller comme ça, se répéta encore et encore.
Certains utilise l'expression "Métro, Boulot, Dodo". Moi ça donnerait plutôt "Splated, Splated, Splated". Je profita des seuls moments de répit que j'avais : entre la liquidation et la répartition. Je soufflait, discutait un peu avec l'âme de Frisk, qui flottait à côté de moi, sous le regard attentif de Peyper, puis soupirait, réapparais pour repartir me faire liquider.
Combien de fois en tout ? Je les comptes même plus. Chara aussi mourait souvent face à Sans, mais ce dernier semblait se fatiguer. Un avantage que j'avais pas, moi. Peyper, elle, s'amusait. La lame de ses katanas était remplie d'encre bleu ciel, couleur de l'encre qui coulait sans mon corps. Je soupira et réparti dans la mélée.
Mais quelque chose changea. Peyper, au lieu de me liquider avec ses chaînes, me propulsa contre l'un des piliers du couloir. Quand ma tête me fit plus mal, je vis que j'avais les pieds et les mains attaché derrière la colonne. Elle était là, aussi. Plus menaçante que jamais. Avec ses katanas dans chaque main et son sourire sadique. Elle ricanait, ce qui annonçait rien de bon...
/narratorChara
Frapper. Esquiver. Frapper encore.
J'ai pris le coup, depuis la première fois que j'ai combattu Sans. Je sais pas comment U s'en sort. Je m'en fiche. Un peu.
À chaque mort que le squelette m'infligeait, je réapparaissait dans un flash jaune, comme d'habitude. Maintenant, seul Sans arrive à me tuer. Mais d'un côté, c'est ce qui fait de lui un ennemi unique. C'est le seul qui me pose vraiment de résistance, avec Undyne. Les autres sont devenus ennuyant. Même leur mort ne me faisait ressentir plus rien.
Lorsque U était tombé, j'ai vu là la possibilité de faire quelque chose de nouveau : obliger quelqu'un à tuer. Voir la réaction de chacun quand on l'obligeait à faire quelque chose qu'ils ne veulent pas. Je l'avais déjà testé avec Frisk, mais cette pleurnicharde a pleuré après chaque mort. U est moins pacifique.
Sans : Arrête... ou je serais obligé de te lancer ma... spécial attaque !
Chara : C'est bon. On sait tous les deux quelle est bidon, ta spécial attaque.
Sans : C'est mon dernier avertissement ! Si tu ne veux pas voir ma spécial attaque, c'est le moment d'abandonner !
Chara : Puisse que je te dis qu'elle est nulle !
Sans : Bon bah tu l'auras voulu. Spécial attaque !
Comme d'habitude, ça "Spécial attaque" était juste rien.
Chara : Whoah ! Vachement novateur.
Sans : Ça ? Pas trop. En revanche, j'ai trouvé le moyen pour ne plus endormir en combat : le café. Mais bon. Comme nous avons l'éternité pour rien faire, autant parler.
Chara : Parceque j'ai envie de parler avec toi ?
Sans : Tu ne sais pas qu'est-ce que ça fait, de te voir tuer indéfiniment tes amis, ta famille, ton frère.
Chara : Non, et je m'en fiche.
Sans : T'es pas très bavarde toi.
Chara : J'attends juste que tu t'endormes, qu'en en finisse.
Du coup, je faisais passer le temps comme je pouvais. Je dessina un cœur brisé sur les carreaux du couloir avec mon couteau. J'écoutais le squidphone de U, qui diffusait toujours ce remix type "Dancetale" de Megalovania. Ça fait d'ailleurs un bout de temps que je l'ai pas vu. Comme l'autre. "Peyper"... Elles sont passées où ?
Je me retourna et vit que Sans c'était enfin endormi. Même le café ne peux pas garder quelqu'un éveillé éternellement. Je levais mon bras pour lui planter le couteau dans le crâne, mais au moment où je l'abaissa...
*Cling !
Mon couteau avait été contré par un katana. Je m'éloigna rapidement et regarda qui m'avait empêcher de tuer ce fichu comédien.
Peyper : Pas. Touche.
Peyper. Y'avais pas grand monde ici maintenant, de toute façon...
/narratorSans
Zzz...
/n Sans ?
Zzz Zzz...
/n Saaaaaaaaans !
Zzzzzzzzzzzzzz...
/n Bon. Où ais-je mit ma seringue d'extrait de caféine concentré... Ha le voilà.
Zzzz... Hein quoi ?
/n Pas trop tôt !
Heu oui, désolé donc...
Je me réveilla sans vraiment comprendre comment j'étais toujours en vie. D'habitude, Chara me tuait dans mon sommeil. Je regarda autour de moi pour voir où elle était passé quand je les vis.
Entre deux colonnes de la salle était tendu des chaînes. Chaque chaînes étaient accrochées à un membre de Chara. Celle-ci était donc étirée de tous les côtés. Mais c'était pas le pire... Chara était couverte d'entailles plus ou moins grande d'où perlait son sang rouge. Ses vêtements étaient sectionné à divers endroits. Mais une chose que je n'avais jamais vu au paravent : Chara pleurait. Elle pleurait vraiment.
Chara : Je-je suis désolée ! Je... je promet que je... le referais plus mais... pitié... laisse moi m'en aller.
De la crainte. Dans la voix de Chara. Je ne compris plus rien. Puis... je vis Peyper. Ses vêtements étaient couvert de sang et d'encre. Ses katanas aussi.
Peyper : Ha ha. T'en a pas eu pendant toute ces années. Je vois pas pourquoi je te donnerai la mienne.
Sans : Peyper non !
Je me téléporta devant elle. Son regard était remplie de folie. Mais cependant... lorsqu'elle me vit, ce regard disparu, laissant place à de la confusion et de la... honte ?
Peyper : Sans ? Qu'est-ce que... ? Ne me dis pas que j'ai...
Sans : Chut. T'en fais pas. Tout vas bien.
Peyper : C'est juste que... Tu comprends... je ne... supporte pas que quelqu'un veuille faire du mal à... mon SANSpi...
J'eu même pas le temps de répondre à sa blague qu'elle fondit en larme. Elle pleura pendant 30 minutes environ. Quand elle s'arrêta enfin, elle ne voulait plus me quitter. Je jeta un coup d'oeil à Chara. Celle-ci avait perdu connaissance. Ce qui m'allais très bien. Mais alors, d'où viennent ces pleurs qu'on entend ? Puis je me souvins pourquoi Peyper était là.
Elle était là, cette petite inkling, attaché à un pilier à cause des chaînes de Peyper, en position fétal. Elle était dans le même état que Chara : Son uniforme scolaire était déchiré un peu partout et son corps était parsemé d'entailles plus ou moins longue. Du vieux tutu qu'elle portait ne restait que l'élastique. Elle était assise dans une flaque d'encre. Très gloque quand on sait que c'est son sang.
/narratorU
Je me réveilla sans autant être éveillé. Je voyais encore Peyper me frapper avec ses katanas, tout en retenant ses coups pour ne pas me liquider. J'avais mal partout.
C'est dans se genre de moment que... tu remets tout en question. Tes choix... Ta vie... Ta voie...
Je senti le remort et le regret monter en moi en même temps que mes larmes. J'enfuie ma tête dans mes genoux et me mit à pleurer.
J'entendis Sans arriver. Qu'il me tue. Je m'en fiche. C'est ce que je mérite.
Sans : Hé. Ça vas ?
Je lui répondis entre deux sanglots :
U : Je… je n'ai jamais rien voulu de tout ça… Je…
Je fut incapable de terminé ma phrase, soucoué par de nouvelles larmes. "Je n'ai jamais voulu tuer qui que se-soit". Voilà les mots qui me restaient au travers de la gorge.
Sans : T'en fais pas, Calamar. Je sais. Heu... Peyper, tu pourrais ...?
Je senti mes chaînes se déserrer. Je ramena mes mains devant moi mais me je continua de pleurer. Si je devais faire une métaphore, mon voyage dans l'Underground serait comme un barrage : Avec de plus en plus d'eau à contenir (mes ... meurtres) et qui finissait par craquer (ce qui se passe actuellement). Je vit une main et quand je leva la tête, je fut surprise de voir Peyper à l'autre bout.
Peyper : Je... je suis désolée. J'y ai peut-être allée un peu fort, tout à l'heure.
J'hésita un instant, puis pris sa main. Elle me releva. J'étais toujours secouée par mes sanglots. Sans et Peyper répétèrent la même chose avec Chara (si Peyper m'avait fait la même chose qu'à elle, je comprenais mieux pourquoi j'ai mal partout) mais celle-ci ne se releva pas. Elle resta assise sur les genoux, le regard vide où on voyait percer des larmes.
Je me dirigea vers mon Squidphone, qui trainait dans le coin et éteignit la musique qui tournait en boucle depuis tout à l'heure. Mais cela eu pour effet de me faire rappeler pourquoi je l'avais mis.
Comme pour répondre à mes craintes, l'éclairage de la pièce clignota puis je le senti arriver. Un bug dans les collisions. Juste sous Sans. Je m'élança vers lui au moment où il tombait...
/narratorSans
Je tombais. Je ferma les yeux pour ne pas voir ça. Soudain, je sentis une main se refermer sur mon poignet. J'ouvris les yeux afin de voir se qui se passe. U avait foncer dans le trou pour me rattraper mais, dans son élan, avait basculé. Elle ne me regardait pas mais la personne qui nous maintenait tous les deux dans Undertale.
U : Chara…
Chara : Je t'interdis de lâcher, U ! Je ne veux pas... perdre la seul personne qui m'a fait ressentir quelque chose !
U : Heureuse d'avoir pu t'aider… mais… Comment tu t'en es rendu compte ?
Chara : De la même façon que toi. Je me questionnais sur le sens de la vie. J'en avais marre de cette routine habituelle. Puis quand tu es tombée... au départ, je voulais juste te... tuer. Mais... on en a fait du chemin, ensemble. Un sentiment nouveau apparu en moi : de l'affection. C'est pour ça que je refuse que tu tombes ! Laisse-moi plus seul ! Je te l'interdit !
Elle avait les larmes aux yeux. Pas la tristesse. Mais du soulagement. Soulagement d'avoir enfin pu dire ce qu'elle avait sur le cœur.
Derrière, je vis Peyper accrocher une chaîne à la taille de Chara. Je l'entendis faire le tour d'une colonne.
Peyper : Accrochez-vous bien !
Dans les secondes qui suivent, Chara fût tirée en arrière, faisant ainsi remonter U et moi hors du bug.
/narratorU
Nous sommes tous en train de souffler. Même si le bug s'est refermé, chacun regardait cette zone du couloir comme si il pouvait se réouvrir à n'importe quel moment. Ce qui est le cas, d'ailleurs. Nous étions assis sur le sol en deux groupes : Sans et Peyper d'un côté, Chara et moi de l'autre. Chara pleurait encore. Je lui pris la main et elle me regarda avec reconnaissance. Ensuite, elle se tourna vers Sans.
Chara : Sans... C'est... trop tard maintenant pour... pour dire "Désolée" ?
Celui-ci ne répondis pas. Il semblait... partagé. Ça se comprenait. Chara baissa la tête et je vis de nouvelles larmes lui monter aux yeux. Je sera sa main encore plus fort.
Chara était vraiment bien amochée. Elle avait des coupures partout, dont certaines qui saignaient encore. Vu la douleur que je ressentais, je devais être dans le même état.
U : Tu viens on va chercher une trousse de secours ?
Elle me sourit et se leva avec moi en laissant Sans et Peyper seul. Nous sortîmes du couloir par le côté opposé à celui que gardait Sans, il y a maintenant 2 heures. J'avais vu par les vitres une ville dehors, nous allons donc forcément tomber sur une maison dans cette direction. Nous continuâmes sur une sorte de pont pour nous retourner ensuite dans le sous-sol de se qui semblait une grande maison. Chara s'assit sur un fauteuil tandis que moi j'explorais les lieux. Quand j'eu enfin trouvé la salle de bain, il fût facile de trouver une trousse de premier secours. Je l'ouvrit et vis qu'elle contenait des pansements, du désinfectant, des cotons et des bandages. Exactement se qu'il me fallait.
Je retourna vers Chara et m'attela à la tâche. J'ai du pour ça lui demander de se mettre en petite tenue et cela me dérangeait un peu. Je fit de mon mieux. Pour les petites blessures, la routine était "Désinfecter, Coller le pensement". Pour les blessures un peu plus grave (soit 98%), ça devenait "Désinfecter, Enrouler le bandage, Couper le bandage". Quand j'eu fini avec Chara, elle s'occupa de mes blessures. Ensuite nous prîmes un autre raccourci qui nous ramena dans le couloir du jugement.
Notre arrivée mit Sans et Peyper mal à l'aise. C'est sur que couvert de bandage et de pensement comme ça, nous devions ressembler à des blesser de guerre. Ce que nous étions, en quelques sortes.
Sans : On a parler, Peyper et moi. Et on a décidé qu'il fallait régler ce problème de bug.
Chara : Je suis d'accord.
C'était la première fois qu'elle parlait depuis la non-réponse de Sans.
U : On fait comment pour atteindre les codes du jeu ?
Sans : En prenant un raccourci.
Et la dessus, Sans marcha dans un mur, suivi de Peyper puis de Chara. Je reste un peu en arrière. Je regarda le couloir. Il aurait pu être digne d'un décor de film d'horreur, avec ce sang partout... Je fonça dans le mur à mon tour.
La salle des codes n'était qu'un endroit vide avec des ténèbres infini. Il n'y avait qu'une boîte de dialogue, au centre. Sans s'en approcha.
Sans : Bon. Même si j'ai ma petite idée, vous savez pourquoi y'a tous ces bugs ?
L'âme de Frisk sortit de mon corps pour répondre.
Frisk : C'est à cause des intrusions récente.
Sans : Effectivement. La phase d'analyse de U ou de Peyper a du mal se passer.
Peyper : Mais j'appartiens déjà à Undertale !
Sans : C'est en partie vrai. Tu appartiens à l'Undertale d'une autre fanfiction.. Tu ne fais donc pas partit de ce Undertale.
Sans toucha la boîte de dialogue et ouvrit le "debug mode". Pour les non initiés, le debug mode regroupe tous les rapports d'erreurs d'un logiciel. Il en avait beaucoup. Et un nom revenait : Untite_Peyper (Yes ! C'est pas moi qui fait bugger le jeu !)
Sans se tourna vers cette dernière :
Sans : Pour régler ces bug, va falloir que tu repasse l'analyse.
Peyper : Ok.
Frisk : Sans, maintenant qu'on est tous là...
Sans : Je suis désolé Kiddo. Je sais se que tu veux. Mais je ne sais pas comment tu le veux. Viens donc ici.
Sans et l'âme de Frisk discutèrent pendant longtemps. Je me rapprocha de Chara, et après un échange de sourire, nous assîmes.
Chara : Je... je suis désolée U. Pour tout... pour tout ceux que j'ai t'ai obligé de faire depuis que tu es tombée.
U : T'en fait pas. Tout est pardonné…
Je lui fis un petit clin d'œil et elle sourit. Peyper nous rejoins. Elle avait du passer son analyse avec succès.
Peyper : Vu comment c'est parti, ces deux là en ont pour longtemps... ça va vous deux ?
Je ria doucement. Comme si elle savait pas qu'on était toute les deux en état critique.
U : Plus ou moins bien. Faut dire que tu t'en sors bien avec ces katana.
Peyper : Merci. T'es pas mal non plus, avec ton sorte de pistolet.
U : Tu parles ! J'ai jamais réussi à te toucher !
Peyper (en riant) : Mais t'y était presque
U : Faudra que tu me donnes des cours d'arme de mêlée un jour. Je suis nulle quand j'en ai une dans les mains.
Peyper : Ça, faudra voir avec Lénaïc et Angel-Darki.
Frisk et Sans nous rejoingrîrent.
Sans : Bon. On a fini de recoder certain trucs. Bon. Tout le monde est près pour le reset ?
Tous : Oui !
---Reset---
Heya ! N'oubliez pas de lire l'épilogue !
Énorme merci à Angel-Darki qui m'a plus qu'aidé pour les deux derniers chapitres !
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