D'après mes souvenirs, la forêt de Snowdin n'est pas très grande. Mais la présence de pièges et de cul-de-sacs rendent la traversée très longue.

Nous avons croisé plusieurs fois Papyrus ainsi que deux chiens de la Garde Royale. Mais surtout beaucoup de neige.

Plusieurs monstres nous ont sauté dessus également. Un qui faisait une fixette sur son chapeau, un autre qui racontait des blagues et... Jerry. Je n'ai pas de mots pour le décrire. Je dirais juste que tout le monde connais Jerry. Les attaques durent deux secondes de +.

Nous sommes aussi tombées une porte mystérieuse dans une impasse. Aucun moyen de l'ouvrir. La seule chose qu'on a trouvé c'était une monstre en forme de poisson souriant qui semblait vouloir qu'on lui porte de l'attention.

Nous étions actuellement sur un plateau couvert de tas de neige et Frisk s'amusait à fouiller chacun d'entre eux. Mais bon ce sont des quoi déjà ? Des tas de neige. Qu'est-ce qu'elle espère trouv- Il y avait 30 PO sous ce tas de neige !? Bon ok. Pourquoi pas.

Mais au moment de regarder le dernier tas, une tête de chien apparus, suivit bientôt du grand corps en armure de ce dernier, et un combat se déclancha.

Chara : C'est le Maxichien. 15 d'attaque 8 de défense, il est si excité qu'il pense que les combats sont des jeux.

Le Maxichien attaqua avec des aboillement sonores que l'humaine esquiva en faisant une roulade sur le côté en faisant incontionellement tomber ma couronne de fleurs dorées dans la neige.

Cette dernière appela le Maxichien qui couru vers elle avant de se mettre en position assise. L'humaine eu une idée et sortis le bâton qu'on avait gardé puis le lança dans la neige. Le Maxichien partis à sa poursuite puis le ramena à Frisk.

Ils refirent ça plusieurs fois avant que le chien lui saute dessus pour lui lécher le visage. L'humaine lui caressa la tête puis le chien partis.

L'humaine se releva et se retourna vers moi.

Frisk : Ça va ? Tu fais une drôle de tête.

Chara : T'es en train de marcher sur ma couronne de fleurs idiote.

L'humaine recula et regarda à l'endroit où était son pied une seconde au paravent. Elle ramassa la couronne de fleurs dorées qui en avait prit un sacré coup.

Avec un petit grognement je lui pris la couronne des mains et, en me concentrant un peu, réussi à les raviver en demandant de l'aide aux autres fleurs. Cette aide se manifeste souvent par un flux d'énergie. Personnellement, je ne vois rien quand je fais ça, ayant les yeux fermés. Mais d'après Frisk c'est un spectacle très beau à voir, fait de lumière dorée qui émanaient de moi.

Je lui rendis la couronne de fleur en lui disant de faire plus attention la prochaine fois et celle-ci hocha la tête avant de remettre sur cette dernière.

Devant nous se dressait un pont suspendu en bois passant au dessus d'un gouffre. À l'autre bout on pouvait voir Papyrus et Sans et plus loin les premiers bâtiments du village de Snowdin.

L'humaine s'engagea sur le pont tendis que je la suivais en flottant à côté d'elle. Lorsque nous arrivîmes à quelques mètres du grand squelette, celui-ci prit la parole.

Papyrus : HUMAINE ! TIENS TOI PRÊTE POUR MON ULTIME CASSE-CRÂNE ! LE PONT DE L'ULTIME TERREUR !

Il sortit une télécommande et appuya sur un bouton. Et... Un lance-flamme, deux lances, un canon, une boule à pointe et même un chien !? Sortirent du décors, tous pointés sur Frisk qui regardait autour d'elle apeurée.

Papyrus : NYEH HEH HEH HEH HEH ! QUAND J'APPUIRAI SUR CE BOUTON, LE PIÈGE SE REFERMERA SUR TOI ! ET FIGURE TOI QUE JE SUIS. SUR LE POINT. DE L'ACTIVITÉ !

.  .  . 
Mais rien ne se passa.

Sans : Eh bien alors ?

Papyrus : SILENCE SANS ! JE SUIS SUR LE POINT DE L'ACTIVER !

. . .
Mais rien ne de passa de nouveau.

Sans : Alors ?

Papyrus : Aaaaah j'y arrive pas ! Ce piège c'est tellement direct il n'y a pas d'ingéniosité c'est tellement pas Papyrus !

Il désactiva le piège et tout disparu. L'humaine poussa un petit soupir de soulagement.

Papyrus : NE CROIS PAS QUE J'AI ABANDONNÉ, HUMAINE ! CE N'EST QU'UNE NOUVELLE VICTOIRE POUR LE GRAND PAPYRUS ! NYEH HEH HEH HEH HEH HEH !

Il fit demi-tour et partis vers le village. Le petit squelette ne bougea pas, demandant si Frisk s'était entraînée à esquiver les attaques bleu.

Nous entrâmes ensuite dans Snowdin Town. Pour être franche, je redécouvre ce village presque autant que l'humaine le découvre. Je ne l'avais de base pas beaucoup vu de mon vivant, mais il y a plein de chose qui ne coinsident pas avec mes souvenirs. De plus, on ne trouve aucune fleur dorée en extérieur. Donc à part l'intérieur de certains bâtiments, je ne peux pas voir grand chose ici.

Papa a fait des fleurs dorées l'un des symboles de la famille royale, comme elles étaient apparues à notre mort. Ce qui fait qu'on peut en trouver dans chaques bâtiments publics ou officiel de l'Underground. Ça m'arrange.

L'humaine se dirigea vers le bâtiment le plus proche, qui semblait un magasin. Elle a un peu discuté avec la vendeuse lapin, acheté plusieurs pains à la cannelle, un biscuissimo pour goûter et un Bandana Viril également. Elle l'aimait bien parqu'il y avait des biscotaux dessus, mais je soupçonne plus qu'elle aime bien le style "bagarreuse" que ça lui donne avec les MaraudGants.

Mais elle avait aussi gardé le Ruban Délavé, bien que je lui ai dit qu'un seul objet défensif pouvait être actif à la fois. Dans le cas où on en a plusieurs, c'est celui qui offre la meilleure défense qui rentre en actif et les autres deviennent juste estétique.

Elle visita aussi le petit hôtel du village. La réceptionniste est très sympa, une lapine aussi.

Elle visita aussi la bibliothèque, où on pouvait remarquer une faute d'orthographe sur la pancarte. Mais sinon rien d'intéressant.

Il y avait aussi plus loin le Grillby's. Il y a une fleur dorée dans un pot sur une étagère là bas. Je sais que Sans y passe beaucoup de temps et qu'il y est apprécié de tous. Par contre, payer, c'est pas son truc.

En continuant, nous arrivâmes devant la maison des deux squelettes, d'après les boîtes aux lettres. Celle du squelette blagueur était pleine contrairement à celle de son frère totalement vide.

Plus loin devant nous, une tempête de neige nous empêchait de voir vers où allait le chemin. Portant, va savoir pourquoi, cela remplie l'humaine de Détermination, et s'y engagea de pied ferme.

À suivre