Chapitre 10 : Snowdin forest

À l'extérieur des Ruines se trouvait la forêt de Snowdin.

Cette zone est recouverte d'un manteau de neige ce qui lui donne toujours un petit air de fête de Noël.

Frisk tremblait un peu et mis son pull pour se réchauffer. J'aurais bien fait la même chose mais ça serait inutile. Ce n'ai pas moi qui ai froid, mais les fleurs sur ma tête.

Du coup je suivait l'humaine en flottant en boule à côté d'elle, tout en tremblant de froid.

Frisk : Ça va ?

Chara : Oui t'en fais pas... Juste... Les fleurs n'aiment pas quand il fait trop froid...

Frisk : ...

Je la vie prendre ma couronne de fleur dorée et la placer sur sa tête. Cela eu pour effet de me faire ressentir une étonnante sensation de chaleur intérieur, comme lorsqu'on boit un chocolat chaud après être resté jouer une heure dans la neige.

Frisk : Ça va un peu mieux ?

Chara : O-oui...

Frisk : Il n'y a pas d'autres Goldens Flowers dans cette zone non ?

Je lui répondit négativement de la tête en remarquant qu'il y avait une caméra dans un boisson. Bien que je sais qui est derrière toutes ces caméras. Mais je me demande combien elle en a. On en avait déjà remarqué une dans les Ruines.

Nous repartîmes sur le seul chemin qu'il y avait. C'était un chemin droit avec une sorte de ponton au bout.

La forêt était très silencieuse. Seul les pas de l'humaine se faisaient entendre. Pourtant, c'est dans des jours comme ça que les oiseaux chantent et que les fleurs s'épanouissent...

Le silence était tel que je me mit à fredonner l'air d'une petite contine que j'avais appris il y a bien longtemps... Je me souviens plus beaucoup des paroles. Ça parlait d'une forêt et d'un loup qui s'habille je crois...

Je m'arrêtai d'un coup en entendant une branche craquer derrière nous. Je me retournai doucement comme Frisk mais il n'y avait personne.

L'humaine repris sa route l'air pas rassurée et je la comprend. Le bout du chemin est encore loin.

Plus loin, nous entendîmes d'autre pas dans la neige, comme si quelqu'un nous suivait. Mais comme la première fois, nous vîmes personne quand nous nous retournâmes.

Ce ne fût qu'au moment où nous ayions atteint le ponton que les pas se rapprochèrent.

Frisk était comme paralysée par la peur tandis que moi était en train de croiser les doigts en priant silencieusement. La... Chose qui nous suivait était juste derrière nous.

??? : Humain. Ne sais-tu pas saluer un nouvel ami ? Retourne toi, et prend ma main.

L'humaine déglutis et se retourna très lentement les yeux fermés avant de serrer la main de l'inconnu.

*Prtrrrrrrtrttttt*

??? : Hehe. Le coup du ballon péteur dans la main. Toujours marrant. Mon nom est Sans. Sans le squelette. Enfin bon... T'es une humaine pas vrai ?

Frisk hocha la tête.

Sans : Je le savais. Normalement je suis sensé te capturer ou quelque chose du genre, mais je m'en fiche pas mal là dessus.

Frisk : Ah ?

Sans : Ouaip. Par contre mon frère Papyrus est un maniaque de la chasse aux humains. Tiens, le voilà qui arrive. Vite ! Passe à travers ces barreaux ! Oui ils sont assez espacés pour que tu puisses passer sans problème.

L'humaine traversa le ponton suivi du squelette.

Sans : Vite ! Cache toi derrière cette lampe !

Frisk s'exécuta un peu suspicieuse et se cacha derrière une lampe bleu à la forme comme il le faut. Quelques secondes plus tard, un autre squelette bien plus grand que le premier arriva.

Papyrus ? : SAAAAANS !

Sans : Quoi de neuf bro ?

Papyrus : NEUF ? JE VAIS TE DIRE CE QU'IL Y A DE NEUF ! ÇA FAIT NEUF JOURS QUE TU N'AS PAS RECALIBRÉ TES CASSES-CRÂNES !

Sans : Oups. Tu vois, j'ai adopté une nouvelle éthique de travail. Une squel-éthique.

*Badam tss*

Papyrus : SAAAAAAAANS !

Sans : Quoi ? Il semblerait que tu échine à la tâche.

*Badam tss*

Papyrus : Pourquoi moi, le grand et manifique Papyrus, dois me coltiner un frère comme ça... NÉANMOINS, LE GRAND PAPYRUS VA ALLER VÉRIFIER SES CASSES-CRÂNES NYEH HEH HEH HEH HEH HEH !

Il reparti avant de revenir une seconde plus tard.

Papyrus : heh.

Et il reparti vraiment.

Sans : C'est bon tu peux sortir.

L'humaine sortis donc de sa piètre cachette tandis que je regardais le sorte de stand de hot-dog qui se trouvait à ma gauche.

Sans : Dis, j'ai un service à te demander. Tu vois, mon frère aime beaucoup les humains. Et je pense qu'en voir un le rendrait très heureux. Tu peux faire ça ? T'en fait pas il n'est pas dangereux.

Frisk : Heu... Ok.

Le squelette la remercia et partis vers là d'où on venait. Je sais pas pourquoi, mais je sens que ça va être un monstre qu'on sera amené à beaucoup recroiser durant notre aventure.

Papyrus, je l'ai vu quelques fois à Waterfall. Il a de grand projet et rêve d'être populaire et admiré, mais c'est encore un grand enfant intérieurement. Je ne pense pas qu'il soit un obstacle très résistant. Je suis sûre qu'on pourrait tous devenir amis !

Enfin si je n'étais pas un fantôme. Et si les fleurs dorées ne craignaient pas tant que ça le froid.

Nous continuâmes jusqu'à un carrefour. Sur un côté du chemin il y avait l'une de ces boîtes comparables à des coffres du néant (ou Ender Chest) qui sont reliés à une dimension personnelle et commune à chaque boîte. Pas très logique ce que je viens de dire.

Lorsque l'humaine l'ouvrit, je fût aussi surprise qu'elle en voyant qu'elle contenait déjà quelque chose. Des Gants du Maraud ou "MarauGants" comme j'aime bien les appeler. C'est juste des gants en cuir rose usé pour nos amis à cinq doigts.

Frisk les pris et les rangea dans son sac avant de prendre le chemin du haut. Là se trouvait une canne à peine. On voyait qu'à la place de l'appât se trouvait un morceau de papier et on décida de laisser la canne en place et de faire demi-tour.

L'autre chemin menait sur un autre chemin droit qu'on empreinta. Après quelques secondes, deux voix connues se firent entendre.

Papyrus : Bref. Comme je disais au sujet d'Undyne, j'ai dessiné ça pour elle. Tu penses qu'elle l'aimera ? Est-ce qu'elle pourrait l'accrocher sur son réfrigérateur ? Est-ce que tu nous verrais en couple Sans ?

Sans : Heu...

Papyrus : Silence Sans ! N'oublie pas pourquoi nous sommes là. Nous devons trouver et capturer des humains.

Sans : Heu... Un peu comme celle-là ?

Dit-il en pointant Frisk.

Papyrus : OH MON DIEU ! C'est une humaine n'est-ce pas ?

Sans : Ouais.

Papyrus : OUI ! Excellent. Ahem ahem. HUMAINE ! SACHE TU NE PASSERAS PAS CETTE ZONE ! CAR MOI, LE GRAND PAPYRUS, VAIS T'ARRÊTER.

Il se retourna très rapidement lorsqu'il compris qu'on était déjà derrière lui et qu'il parlait dans le vide, ce qui me fit glousser.

Papyrus : Évidemment il va falloir jouer à un petit jeu de capture. COMME TU VOUDRAS ! Il n'y a rien qui puisse échapper à un futur membres de la Garde Royale.

Sans : La p'tite s'est barrée.

À suivre

Décidément je l'aime beaucoup cette vidéo.

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