Un autre endroit
Tu viens de tomber: dans l'underlove, tu ne te souviens plus de ce qu'il c'est passée.Surement un coup un peu trop puissant sur ton crâne. Tu ne sais pas où tu trouve mais tu c'est que tu es installée sur un magnifique parterre de fleurs dorées
Tu ne sais par qu'elle miracle tu te souviens que tu aimes la musique, le chant et la dance sont tes plus grand passe temps tu n'es pas particulièrement mignonne mais tu as les bonne formes au bonne endroit. Tous ça c'est toi : (t/p).
-Aie ! Ça fais mal. Je devrais remercier ces fleurs qui ont gentiment amorties ma chute. Ou suis-je tomber ? Je me suis retrouvée dans un endroit tellement différent de chez moi. C'est indescriptible.
Tu aperçois une arche, violette qui plus es, étrange. Tu décide d'enfin bouger tes fesse qui étouffent ces pauvre fleurs qui les ont pourtant sauvés.
Un fois levé un silence lourd très lourd prend place, le bruit de tes pas léger se font entendre c'est déprimant.
Puis tu passe à travers cette étrange arche violette, il ni a plus de sons plus de lumière,effrayant. Tu ne vois rien mais tu continue, tu n'as pas vraiment le choix de toute maniere.
Puis, la lumière fut sur un rond d'herbe où au centre il y avait une...une fleur,encore. Mais cette fleur elle... à des yeux et une bouche, elle te regarde fixement un sourire malsain aux levres,tu n'es pas impoli, du moins en temps normal. Tu lui rend son sourire en moins malsain. Cette fleur commence alors une discussion.
-Bonsoir ! Nous somme le soir ? Tu es un humain je suppose. En plein de mille cademil.
Tu la regarder avec un grand sourire et répondit un simple :
-Oui. Ta répartie est à toute épreuve.
-...Enchanté moi c'est Flowey ! Je vois, super nom pour une fleur
Tu te trouve ici dans l'underlove et moi je suis la pour t'apprendre la seul et unique règle de ce monde souterrain. Une seule règle ? C'est spécial.
-Je vois, pour commencer ton nom te va à ravir. Mais dit m'en plus sur ce monde s'il te plait. Sinon je ne vois pas l'intérêt d'avoir une seul règle. Et puis c'est bizarre une fleur qui parle.
-Laisse moi t'expliquer sans me couper alors. Elle fait de drôle de tête cette fleur, il y a deux minute elle me regarder comme si j'était un bout de viande et maintenant...c'est pire.
Un coeur bleu pointa la bout de son nez ce qui n'est d'ailleurs pas physiquement possible. Après avoir vue ton visage complètement troublé par ... ça. Flowey commença ses explications.
-L'âme est la chose la plus importante de ton corp dans ce monde, si tu la perd tu meurs c'est simple non ? C'est triste. Mais ne t'inquiète pas on ne peux pas la perdre en combattant puis que dans ce monde il n'y a que bonté et amour. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai du mal à y croire.
Il n'y a aucun moyen de remonter à la surface alors oublie cette idée.
-Vraiment il n'y a aucun moyen ? C'est encore plus triste. Comment peuvent ils vivrent comme ça... dans le noir sans jamais pouvoir voir le ciel...
-Aucun. Tu dois te dire que c'est horrible est triste et tu as raison mais... Mais quoi Pourquoi autant de suspense. Nous avons un moyen de comblé ce manque ! Tu veux le connaître ? C'est quoi cette question ? Bien sûr que je le veux !
- Oui ! Dis moi ! C'est quoi qui comble ce vide ?!
-Le love. L'amour nous comblent tous ici. Tu veux recevoir de l'amour ? Tous ça sonne tellement faux... il y a quelque choses d'autre. J'en suis sûr ! Et puis sa proposition de recevoir de l'amour n'est pas dutout adapté. Tu ne me crois pas ? Bon et bien je n'ai plus qu'à te montrer.
Toujours ce sourire pervers aux lèvres... Tu doit répondre ou tu n'auras plus le choix !
-Non. Laisse moi ! Je ne suis pas dupe non plus. Je ne veux pas de ton amour ! Cette fleur est répugnante...
- Tu pensait réellement avoir le choix ?Ce monde, non cette fleur elle m'avait seulement berner d'illusions, elle m'avait fais espérer et je l'avais crus...
Tes pensées furent stoppés au moment où Flowey empoignait tes jambes et tes bras avec ses racines sortie de tu ne sais d'où. Tu te débattait de toutes tes forces mais rien à faire tu ne pouvais plus bouger.
-Lâche moi ! Laisse moi tranquille ! Ne me touche pas ! Tu avais dit qu'il n'y avait pas de combats ! Tu n'as fait que mentir ! Je peux pas... Je ne peux rien faire... mon rêve,mes amis,ma famille...
-I c i c ' e s t v i o l é e o u ê t r e v i o l é ! Quoi ?! Ce monde n'a qu'une seule règle et c'est ça ?! Non c'est horrible ! C'est pire que la mort ! Pourquoi moi ?!
Une racine trouva son chemin jusqu'à sous ton T-shirt alors qu'une autre se faufilé dans ton short, c'était fini tu allais perdre ce qui faisait de toi une enfant, tu n'en n'etait plus une déjà mais... ta pureté, ton innocence faisait partie de toi...
C'est à lors qu'une dame chèvre apparue. Elle te vis souffrir, elle hésité à venir t'aider mais les souvenirs que tu ranimé en elle, elle ne pouvait plus regarder ça !
La jeune femme chèvre s'empressa d'invoquer sa magie pour te sauver, du feu, des boules de feu. Elle brillait d'un violet si doux et si beau à voir, visiblement se monde avait un problème avec le violet mais sur le moment tu ne te posais aucune question tu le regarder, il te calmer comme si il ne se passait rien.
Elle fit fuir ton agresseur, tu tombais alors dans ses bras et murmura un merci insignifiant. Tu t'endormi toujours dans ses bras. Tu fut ramener chez elle, elle te déposa délicatement dans un lit parfumé d'une douce senteur cannelle.
Tu te réveillai plus tard, un autre parfum que celui de ton nouveau lit fit son apparition, celui d'une tarte au caramel posait sur le sol à côté de toi. Tu te rendis compte que tu était affamé et tu ne savais même pas pourquoi. Tu t'empara de la part de tarte et l'obersa. On ne sait jamais après ce que tu venais de vivre tu te méfier un peu et c'était compréhensible.
-Tanpis, je meurs de faim... ce n'est surement pas une bonne idée mais après tout cette femme ma sauvais et habriter. Hum chez trop bon ! Woaw moi qui pensait que il n'y avait pas meilleur tarte qu'à l'orfelinat. Il n'y a plus cette foutue fleur c'est déjà très bien pour moi.
Tu te decidais encore une fois à bouger ton fessier de cette chambre et entra dans le couloir.
-Puis que je suis ici autant visité les lieu. C'est peut être impoli ? Tanpis.
Tu te retrouvais alors devant la chambre qui etait à coté et tu vis un petit carnet où etait ecritent des blagues très peu... conventionnelle ?
"Qu'est ce qu'une lesbienne sans poitrine ?Une omo plate ; une chose passe entre les seins, s'allonge avec la main et entre dans un trou, qu'est-ce que c'est ?... Ne pensez pas trop, c'est la ceinture de sécurité !; Quel est le point commun entre une fille vierge et une chaussette mouillée ?Elles sont toutes les deux difficiles à enfiler; Quelle est la similitude entre une marée noire et une minijupe?- Dans les deux cas, la moule est en danger !
Tu te devais de l'avouer, mais ces blagues n'etait pas si nulle que ça. Tu as même rigolais à certaines pour ton plus grand déshonneur. Tu reprenait ta visite des lieu jusqu'à arrivais devant un porte fermée à clef. Ça ne fait pas avançait l'histoire ça... Tu continues ta route jusqu'au salon. Tu pouvais enfin appercevoir ton sauveur: La femme chèvre ! Elle était entrain de lire un bouquin qui se nommait "Les 50 pauses les plus exitante du Kama..karma..kamaquoi-karmasutra... ? du Kamasutra !
-Dites moi dame chèvre... Pourquoi ? C'est vrai quoi... Pourquoi elle ma sauvé ?
-Oh euh n-ne fais pas attention à mes lectures s'il te plait. Je ne parlais pas dutout de ça... Et y'avait pas besoins de me le dire..
-C-Ce n'est pas ça qui... que je demander... Je voulais savoir pourquoi vous m'avez sauver, je croyais que dans ce monde c'était.. violé ou être violé.... Je n'ai pas entendue de "sauver et héberger" dans le discours de la fleur...
-Tu es comme les enfants que je n'ai pas pus sauver. J'ai comme eu de l'espoir en te voyant...Si je comprend bien je lui rappellent les autres enfants qui sont tombés mais qui ont était .... C'est toujours aussi triste. J-je suis Toriel et je suis la gardienne des ruines... j'imagine que toi aussi tu voudras sortir comme tous les autres..
-Oui c'est effectivement ce que je veux mais... pas pour le moment ! Je vais rester avec toi pendant un temps si ça peux soulager la peine immense que tu as en toi ! Je lui ai souris comme jamais je n'ai souris à quelqu'un, elle est tellement seule ici. Je ne peux pas la maintenant.
-Mon enfant...quand tu te decidera à sortir prend garde à toi ! Les gens d'ici ne sont pas comme toi et moi, eux ils n'hésiterons pas à faire de toi un objet de convoitise. Mon enfant je t'en pris fais attention à toi. Je comprend, ce monde est ravagé par un système des plus atroces.
-Viens avec moi. Viens avec moi sauver ce monde, viens avec moi à la surface ! Flowey ma dut qu'il n'y avait aucun moyen mais je suis sur que c'est faux. Il y a forcément un moyens non ? Un plan, une idée, mais quand on y réfléchis... le meritent-ils ? Ce sont tous de même des violeurs...mais il y a aussi des monstres comme Toriel. Bon de toute façon j'ai annoncé à Toriel que j'allais le faire, je n'ai plus le choix.
Même si tu doutais tu lui avait dis ça avec un énorme sourire, Toriel ne pouvait plus refuser, l'espoir qu'elle avait vue en toi n'était pas qu'une impression, mais elle ne pouvait pas te suivre Si elle le faisait elle les abbandonait, eux les monstres des ruines qui n'était pas aussi cruel que ceux de dehors.
-Oh mon enfant, je ne peux pas quitter ces ruines, tous ces monstres à l'intérieur... je l'ai protégent. Moi qui m'était dis que j'aurais pus avoir une protectrice... Bon je me débrouillerai seule, ce n'est pas un problème.
-Tu es si gentille avec tout le monde... Je ne vois pas pourquoi tu es né dans cette réalité ! Ce n'est pas possible. Je le pense vraiment.
Je sais que je viens de dire que je restait mais...
Toriel souris, elle était ému et ça se voyait elle te remerciais et te pris dans ses bras puis descendit à la cave en ta compagnie.
- Je t'en pris mon enfant. Ne viole personne et surtout ne tue personne...Quoi ? Alors ça aussi c'était aussi un mensonge ? On peut vraiment être tué alors ?
Adieu mon enfant...
- Ah bientôt Toriel ! Je reviendrais après avoir sauvé le monde! Je te le jure !
Tu dis ça en t'eloignent de plus en plus de ce qui avait était chez toi pendant un simple mais joyeux quart d'heure.
Mato.
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