"L'amour part d'un humain pour contaminé une autre personne. L'amour comme quelque part mais ne se finir nulle part."

Louis était un cas totalement désespéré. Il enchaînait les conneries comme un maniaque pu tout le temps ranger ces affaires, comme un maniaque pu toujours changer de chaussettes. Il collectionnait les passages au poste de police ou dans le bureau du directeur. Il pourrait très bien fuir toutes ces choses tout comme il pourrait très bien rester. Il ne faisait rien de tout cela parce qu'il ne faisait rien qu'aggraver son cas. Il passait le plus clair de son temps à chercher les emmerdes. Il en oubliait carrément comment il était censé vivre. Il avait des cheveux châtains et faisait entre 1m75 et 1m80. Il était dans la taille moyenne des garçons. Il avait des yeux bleus azurs qui passaient un peu partout et se faufilaient dans les endroits où il ne devrait pas être là, qui voyaient des choses qu'ils ne devraient jamais voir. Il aimait se dire qu'il pouvait être n'importe où parce qu'il n'avait sa place nulle part. Il avait 19 ans et venait d'en finir avec l'école, passant de justesse son diplôme. Il aurait comme même aimer rester un an de plus pour faire chier encore plus les professeurs mais cela n'avait pas fonctionner. Il n'avait pas fait assez d'erreurs exprès que pour doubler.

Il se mordait souvent la lèvre inférieure et passait tous ces vendredis, samedis et dimanches soirs en soirée. Il n'avait aucune relation stable. Même bien au contraire, il n'avait rien de stable dans sa vie. Il était devenu une indifférence à tout, des sautes d'humeur tellement fréquente que pas mal de personnes croyaient qu'il était lunatique. Certains prétendaient de la bipolarité. Il passait son temps à faire le con et à se détruire plus qu'il ne l'est déjà. Il soupirait souvent, montrant très clairement quand il n'en avait rien à foutre ou qu'il en avait marre. Il avançait à reculons dans sa vie, s'en battant les couilles de tout. Des terribles choses lui étaient arrivés dans sa vie. Il était la destruction incarnée, faisant le mal autour de lui comme personne ne l'avait jamais fait. Il était beau, terriblement beau et faisait tombé toutes les filles mais encore aucunes ne lui avaient tapés dans l'œil. Il avait envie de partir ailleurs et de parcourir le monde pour trouver quelque chose qui l'aiderait à se maintenir en vie et à ne pas continuer à se faire autant de mal mais il avait commencé à chercher et avait rapidement abandonné. Il perdait sa vie, la laissant filer entre ses mains, jusqu'à même l'oublier carrément. Il détestait tellement de choses que sa vie ne pourrait se résumer qu'à cela.

Il haïssait le monde comme il se haïssait lui-même. Si seulement il aurait pu avoir une vie meilleure sûrement qu'il ne ferait pas autant de mal autour de lui. Il aimait la nuit, le mal, le malheur parce que cela faisait une partie intégrante de sa vie et de lui-même. Il avait été tellement impuissant face à tout ce qu'il avait eu durant sa vie qu'il avait laissé cette vie le définir. Il avait laissé sa vie faire ce qu'il était, le faire devenir la personne qu'il était devenu. Il avait laissé le monde le transformé. Il avait laissé le malheur le changer. Il était intelligent et volait tous les jours. Il aurait pu facilement devenir quelqu'un d'autre mais ses faiblesses et sa fragilité l'avaient détruit. Il n'allait plus jamais être la même personne qu'avant. Il changerait bien sa façon d'être mis il était devenu ainsi alors il allait rester ainsi. Il n'y avait pas d'autre moyen. Il ne pleurait jamais. Même s'il était brisé et qu'il ne le laissait pas paraître, il ne pleurait jamais. Plusieurs fois les larmes menaçaient de couler mais il les contrôlait, ayant l'habitude de le faire depuis qu'il était né. Il aurait pu devenir quelqu'un de bien qui réussirait dans la vie mais la vie l'avait justement perdu de vue quand il s'était imprégné d'elle.

"Quand la destruction rencontre la complexité"

Harry était jeune, à son dernière année au lycée. Il était intelligent et un brillant élève. Il était beau, terriblement séduisant. Mais il avait un problème avec ce qu'on appelle "la confiance en soi". Il en manquait totalement. Il était attirait le regard mais son manque d'assurance en lui l'empêchait de pouvoir plaire comme il le devrait. Il était fragile aussi. Il paraissait fort et robuste, prêt à durer n'importe quoi mais el réalité, il fuyait tous ces "n'importe quoi". Il était blessé au plus profond de lui et passait le plus clair de son temps entre la solitude, l'alcool et la nicotine. Il n'aimait la compagnie de personne, fuyant le monde pour se fuir lui-même. Il aurait pu devenir ce qu'il voulait s'il n'avait pas laissé le monde et sa vie déteindre sur lui, le définir. Il était aussi quelqu'un de très compliqué. Il était même tellement compliqué qu'il ne savait pas où se mettre dans ce monde. Il ne savait pas où était sa place. Il pourrait très bien tenter de la trouver mais cela demandait trop d'effort, de courage et de force que pour qu'il puisse y arriver. Il se laissait emporter par le courant, ne contrôlant plus rien. Il avait des yeux émeraudes, des cheveux châtains et bouclés assez longs que pour faire des chignons, des lèvres rosées et charnues, une taille d'un mètre quatre-vingt-deux, une maigreur sans pareille.

Il pouvait entré dans les jeans de sa sœur s'il le voulait, sans problème mais le seul souci dans l'histoire était la longueur des jambes. Harry avait des jambes plus longues que celles de son aînée. Il s'en foutait bien aussi de ce qu'on pouvait bien penser de lui. Il n'avait pas le monde à ses pieds et collectionnaient les frasques en toit genre. Ce qu'il préférait faire, c'était de taguer un endroit où il ne pouvait pas et ensuite partir en trombe sur son skateboard. Il était doué avec mais ce en quoi il était le plus doué était bien dans le football. Il excellait dans ce domaine au point d'être presque au niveau international. Sauf que de cela aussi, il s'en foutait. Rien ne l'intéressait vraiment sa vie. Tout lui paraissait absurde et sans importance.

Tout était devenu terne et sinistre. Il avait perdu l'étincelle, la flamme qui était en lui. Il avait tout perdu et ne comptait pas récupéré quoi que se soit. Parce que ce qui est perdu est perdu et on ne le retrouve généralement jamais. Il ne brillait plus autant que quand il était enfant. Il n'était plus le même. Il était détruit et aplatit par la vie, se laissant bercer dans la peur et le mal-être dans lequel il vit constamment. Il aimerait trouver la perle rare et ce qui pourrait lui donner à nouveau confiance en lui mais c'était déjà trop demander à la vie qui lui reprend déjà tout, jusqu'à même sa joie de vivre pourtant si débordante dans le passé. Il avait perdu courage et ne comptait pas aller le récupérer. C'était la même chose pour l'espoir et la force. Il préférait admettre qu'il était faible et qu'il avait perdu la guerre plutôt que de continuer à se battre. La vie l'avait laissé tomber, l'ayant perdu de vu depuis bien longtemps.

"Il faut se perdre pour mieux se retrouver. Il faut partir loin pour mieux revenir. Mais il faut surtout être courageux que pour envoyer la vie se faire voir ailleurs."