Petit film (part 2)
Hey les gens ! Alors ce chapitre est le même que le dernier mais du point de vue de Reborn. Je me suis dit qu'au vue des actions, il était important d'avoir les deux points de vue ! Je vous souhaite une bonne lecture d'un petit lime tout mignon !
Petit film (part 2)
Bien. Très bien. Il fallait que je me retienne de lui sauter dessus pendant trois heures … Ce n'est pas grand-chose. Pas du tout. Je tentais de garder contenance. Je sentis le regard de Tsuna et replaça mon fedora. Il se mit à sourire.
« Qu'est-ce qui te fais sourire bambino ? » Il se mit à rougir. A quoi pensait-il ? J'étais tant perdu que je n'étais pas capable de deviner ses pensées.
« Rien du tout. Je vais faire mes devoirs, je te laisse faire ta vie. » Je te laisse faire ta vie ?
« Très bien. » Puisque c'est comme ça, je vais faire autre chose. Qu'est-ce qu'il voulait dire par 'je te laisse faire ta vie' ?
Je soupirai discrètement une fois seul dans la pièce, je me saisis d'une tasse et me fit un café. Je n'arrivai toujours pas à choisir entre me lancer avec Tsuna ou m'éloigner de lui. Je pris une gorgée du café. Il était si bon. Le Nono faisait exporter du café d'Italie et avait offert une machine à Nana pour les invités Italien. Je pris une autre gorgée. Je jetai un coup d'œil à la porte. Non. Je ne devais pas y aller. Je repris une gorgée. Certes les Vongola accepteraient cette relation sans problème mais les rumeurs et réputation de Tsuna seraient un poids supplémentaire pour lui. Il était le futur boss de la plus grande famille mafieuse, il aurait forcément des difficultés à s'intégrer. Si en plus il se lançait dans une relation homosexuelle, cela indiquerait l'absence de descendance … Je disais à Tsuna de ne pas se poser de question, mais j'étais en train de me prendre la tête. Où étais passé le fier hitman qui ne ressentais rien ? Je soupirai avant de reprendre une gorgée. Pourquoi est-ce que je me prenais la tête ? Avant Tsuna, je n'avais que des plans cul et je me moquai bien des histoires d'amour. Mais, j'étais en train d'accepter que j'étais amoureux de lui. Et j'en étais perdu. C'était bien une première pour moi. On se ressaisie et on ignore les répercutions ! Pour une fois on se montrait égoïste … Mais je venais de penser, depuis quand je me souciais de ce que pensait les autres ? Je lavai mon verre avant de rejoindre Tsuna dans sa chambre. Je le vis dans ses pensées, il semblait perdu. Ou étais le problème ? Surement le même que le mien. Je retins un soupire et pris la parole lorsque je le vis se recroquevillai sur sa table.
« C'est comme ça que tu travailles ? » Il sursauta.
« J'ai déjà fini Reborn, tu m'as amené à être en avance sur tous les programmes, alors pour une fois je ne sais pas quoi faire. » Il fallait que je trouve un truc et vite. Je me saisis d'une feuille et d'un stylo.
« Je vois, il faudrait peut-être que je vérifie ton niveau dans ce cas ? » Je m'étais mis à ses côtés. Cette proximité m'avais manqué. Cela m'étonnait de ressentir une telle joie d'être juste à ses côtés. J'écrivais rapidement un exercice anodin. Ce fut la première chose qui me vint à l'esprit. Je posai la feuille et lui tendait le stylo. Je le tenais de manière à ce que nos doigts se touchent. Cela me fit sourire de le voir rougir ainsi. Il était si mignon. Je le voyais tenter de faire l'exercice et en être incapable. Il était d'une simplicité affligeante, au point que même sans mon enseignement, il aurait su le résoudre. Il serait peut-être temps d'arrêter de ce cherché des excuses et de se dérober. La seule excuse qui m'était nécessaire était pour justifier ma présence ici. Je pris le stylo et le ferma. « Il faut croire que j'ai encore une mission à t'apprendre. Qu'est-ce qu'un parrain qui ne sais pas garder son sang-froid devant une personne qu'il apprécie ? » Je me rapprochai doucement de son visage. « J'ai encore à apprendre aussi. » Ses lèvres m'appeler.
« Pourquoi ? » Il sembla étonné de ses propres paroles.
« Qu'est-ce qu'un tuteur qui ne peux s'empêcher de vouloir embrasser son élève ? » J'avais parlé avec sensualité, comme par automatisme. Il était si désirable, je ne pouvais me comporter autrement.
« Et qu'est-ce qu'un être humain qui retient ses sentiments ? »
Je ne pus m'empêcher de sourire d'autant plus. La fierté avait pris place dans ses yeux. Il était à croquer. Je déposai doucement mes lèvres sur les siennes et mes mains sur sa nuque pour le rapprocher de moi. Ses mains se placèrent sur moi. Ce fut comme le consentement pour approfondir. J'ouvris un œil, que je n'avais conscience d'avoir fermé, pour l'admirer. Il était rouge. Il était si mignon. Nos langues entamèrent une valse, je le sentais quelques peu perdu. Je guidais l'échange tout en l'allongeant sur le sol. Je déplaçai ma main sur sa joue en feu, alors que mon autre main allait se perdre sur ses hanches. Le sentant à bout de souffle, je mis fin au baiser. Je rouvris les yeux pour l'admirer, m'éloignant quelques peu de son visage. Il ouvrit doucement les yeux, des étoiles dans ceux-ci. Arrêter moi avant que je ne commette un viol ! Reprenant des pensées plus catholiques, je voulus le rassurer. Mio Dio ! Que m'arrivait-il ? Moi ? Rassurant ?
« Tu te débrouilles bien pour un premier baiser, ne t'en fais pas. » Je l'embrassai rapidement. « Tu devrais m'arrêter, ou je ne m'arrêterai pas du tout. » Il devint rouge cramoisie. A croquer !
« Je ... Tu … Je … Non … Je veux juste t'em … T'embrasser … Je ne suis pas prêt pour … Plus. » Il était mignon à bégayer. Je me saisis de son visage pour qu'il me regarde. Il détourna tout de même le regard.
« Regarde-moi Tsuna. » J'adorai dire son prénom de cette manière. Le susurrai du bout des lèvres. Je pense que lorsque nous serons seuls une autre fois, je le redirai de la même manière. Il planta son regard à l'entente de son prénom. Nos yeux ne se quittèrent plus. On se reprend et on reparle. « Ne sois pas gêner, il n'y a rien d'honteux à vouloir prendre son temps, ok ? » Je le vis se poser des questions. Je ne pouvais lui en vouloir, j'étais moi-même perdu. « Arrête de te poser des questions. » Je l'embrassai chastement avant de me relever. Il me saisit timidement la main. Je saisis le plaid de mon autre main et nous amena dans le salon. Je pris la télécommande, m'installa dans le coin du canapé et le vis hésité. Je ne lui ai pas laissé autant de place pour rien. « Tu ne t'allonges pas ? » Son visage pris une teinte cramoisie alors que je me mis à rire. Il y avait bien longtemps que je n'avais pas ris de la sorte. Cela me surprenait d'être si naturel avec lui. J'en avais perdu l'habitude. Je le vis sourire largement en me regardant. Je regardai les films disponibles pendant qu'il s'allongeait de tout son long sur le canapé. Il posa sa tête sur mes genoux. J'installai le plaid sur lui et en profitai pour laisser mon bras sur lui. Je me surprenais à être si bien. Je tombai sur un film d'une heure cinquante. Il avait l'air … Passable. Mais fallait s'occuper pour éviter que je sois trop pressant pour lui. « Il nous reste deux heures tous les deux tu veux qu'on regarde ça ? »
Je le regardai pendant qu'il lisait le résumé. Il était beau. Ses cheveux en bataille, sa main posait sur mon genou alors qu'il regardait l'écran, son torse légèrement dévoilé par son haut mal placé. Il sera difficile de se concentrer sur autre chose. Il tourna son visage vers moi et s'arrêta les lèvres légèrement ouverte. Se retenir de l'embrasser. Se retenir de l'embrasser. Allais-je tenir deux heures sans le prendre sur ce canapé ? Je le voyais fixé mes lèvres, je pense que le film ne nous intéressera pas. Il prit appuie sur ses coudes et se rapprocha de moi. Tsuna prenait l'initiative ? J'étais étonné mais ravi. Ses lèvres se posèrent sur les miennes dans un baiser léger que je m'empressai d'approfondir. Je l'observai bouger tout en continuant à m'embrasser. Il prit place sur mes genoux et vint m'enlacer, je fis de même ravi de ses initiatives. Finalement, je n'aurai pas à tenir trop longtemps avant de pouvoir le faire mien. L'idée me ravi. J'avais envie de passer à l'étape suivante, mais il ne fallait pas le brusquer non plus, je le laissais continué à prendre des initiatives seul. J'étais excité, alors qu'il s'était contenté de s'assoir à califourchon sur moi et de m'embrasser. Il allait me rendre fou ! On ne cessait de s'embrasser, avec de plus en plus d'envie au fur et à mesure des baisers et des minutes. Ses mains, plaçaient derrière mon cou, glissaient de temps à autre sous ma chemise. J'avais envie d'accélérer les choses, mais je me retenais, pour lui. Je me choquai toujours de mon comportement. Je soulevais un peu son haut pour aller effleurer son dos. Il gémit en s'arquant. Je le fixai avec curiosité, aurais-je trouvé un point sensible ? Il me regarda avec étonnement. Je passai de nouveau ma main au même endroit qui lui provoqua un gémissement. C'était une information intéressante. Je me rappelai la scène des questions avec l'élève, j'avais posé ma main juste à côté de cette zone. Je ne pus m'empêcher de sourire face à cette remarque. Je me reconcentrai sur Tsuna et effleurai une fois encore cette zone qui lui procurait tant de plaisir. Souhaitant accéder plus facilement au reste de son dos, je lui retirai son haut. Cela lui provoqua un rougissement adorable. J'ouvris la bouche pour parler mais il m'embrassa. Je répondis au baiser tout en caressant son dos, passant naïvement sur cette zone si appréciable. C'était si agréable et excitant de l'entendre gémir. Je le rallongeai sur le canapé et me plaçait au-dessus de lui. Je l'embrassai avec passion. On allait passer à quelques choses de plus sérieux. Je l'embrassai des lèvres à sa nuque en passant par la mâchoire. Il gémit lorsque j'atteins sa nuque. Serait-ce un nouveau point sensible ? Mon visage était toujours proche de sa nuque, seul ma respiration l'atteignait et suffisait à rendre sa respiration plus erratique. Je m'amusai à souffler légèrement à cette endroit. Il semblait déjà à bout. Je retins cette nouvelle information dans ma tête et m'attaqua à son torse. Mes mains effleurer chaque zone jusqu'à ses hanches. Mes lèvres embrassaient chaque parcelle de peau à leurs dispositions. Inconsciemment, mon corps se rapprocha du sien, au point que nos sexes se frôlèrent. Je ne pus retenir un gémissement, tout comme lui. Mes lèvres retournèrent sur sa nuque, pendant qu'une de mes mains allaient caresser le bas de son dos et que l'autre aller frôler son sexe. Ce fut trop pour lui, je le sentis venir dans un gémissement. Je ne lâchai pas sa nuque avant qu'une belle marque n'apparaisse. Je dois avouer que j'étais assez déçu de m'arrêter ainsi, mais pour une première fois, il avait accepté de faire beaucoup de chose et j'en étais fière. Je ne sus empêcher le sourire qui prit place sur mes lèvres lorsque je le vis. Je ne me reconnaissais pas. Je l'embrassai avant de placer le plaid sur nous deux et de l'enlacer. Je voyais qu'il était épuisé, même s'il faisait semblant que non. Je le forçai à dormir en le menaçant de me comporter comme avant, et le rassura en lui disant que je le réveillerai au retour de sa mère … Ou pas. Je le sentis s'endormir. Mio Dio ! Qu'est-ce que je l'aimais cette petite bouille. Pensant qu'il c'était déjà endormi. Je lui chuchotai ses quatre mots, désormais si chère à mon cœur, et que j'acceptai enfin.
« Je t'aime Tsuna. »
« Je t'aime Reborn. » J'espèrai qu'il m'avait répondu dans son sommeil. Un sourire idiot prit tout de même place sur mon visage. Il ne fallait pas que je me comporte ainsi en présence de d'autre personne. Il m'avait changé, juste tombé amoureux de lui m'avait changé. Mais je ne l'avouerai pas de sitôt. Du moins, pas lorsqu'il est éveillé.
J'entendis la porte s'ouvrir. Je me séparai de Tsuna, plia son haut que je posai au coin de la table. Saisit la télécommande par terre ainsi que mon fedora que je replaçai sur ma tête. Je posai un oreiller sous la tête de Tsuna, le bordai et m'installai sur un fauteuil. Nana rentra dans la pièce pendant que je zappai. Elle regarda le jeune châtain puis fixa son regard dans le mien. Son sourire s'agrandit pendant que je replaçai mon fedora.
« Tu le réveilleras quand on passera à table ? Il ne dormait pas beaucoup depuis ton départ. » J'hochai de la tête. Il ne servait à rien de faire semblant avec elle, je l'avais désormais compris. « Prend soin de lui Reborn, je te le confie. »
Je l'observai quitter la pièce. Cette Nana-là me surprendra toujours. Je l'entendis commençais à préparer le repas en chantonnant. Elle vint en silence dans le salon, me passa un café et repartit, embarquant I-Pin avec elle. Ils étaient tous dans la cuisine, j'en profitai pour observer Tsuna. Je vérifiai que personne n'étais présent et le pris en photo. Il était si mignon. Je pris une gorgée de café. Je ne sais comment elle faisait, mais ses cafés étaient les meilleurs. Il était toujours torse nu, à vue de tous. Je vérifiai une nouvelle fois l'absence de toutes personnes. Je posai ma tasse sur la table, et m'accroupit contre le canapé. Je posai délicatement mes lèvres sur celles de Tsuna. Ses yeux papillonnèrent. Je lui déposai un chaste baiser avant de lui indiquer le retour de sa mère. Il rougit avant d'enfiler son tee-shirt. Je survolai avec ma main le suçon que je lui avais fait. Il rougit d'autant plus avant de se saisir du plaid et de monter dans sa chambre. J'eu un sourire sadique. Il aura du mal à le cacher. Ainsi je ferais comprendre à Mukuro qu'il s'agissait d'une propriété privé. Je m'installai sur le fauteuil, café à la main, sourire sadique aux lèvres. Je sentais que tant que notre relation ne sera pas explicite, se sera aussi intéressant que lorsqu'elle le sera. Il y en a qui vont souffrir.
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