La visite
Le lendemain, je me réveillais avec une douleur de cheville pas possible, c'était sans doute quand j'étais tombé hier. Je me levais tout de même et m'habillais sans faire de bruit pour pas réveiller mon frère et ma sœur. Je détestais qu'il se lève en même tant que moi, je voulais être la première en bas.
J'avais toujours aussi résonné comme la fratrie des loups car j'avais horreur d'être ou d'avoir l'impression d'être dominé, c'est pourquoi j'étais insupportable avec mon frère et ma sœur.
Je descendis, pris deux pain en tranches et les mît à griller dans le grille-pain. Je les tartinais de beurre puis m'assit pour les manger . Je guettais par la porte , le moindre signe du lou blanc aux yeux d'émeraude et au doux pelage blanc neigeux.
Je regardais sur mon téléphone des séries , vu que nous n'avions pas encore la télé dans cette maison.
Au bout d'une heure, ma mère descendis, elle me salua puis se fit son petit déjeuner.
-« les Petits ne sont pas levé ? »demandé-Je.
J'adorais les appeler comme ça , pour les embêter, mon frère s'énervait, et ma sœur s'en fichait.
-« Non , il dorme encore. »répondit ma mère.
Le soleil était haut dans le ciel, nous jouons mon frère et ma sœur, toujours à se battre. Comme si hier tout était oublié, mon père avait presque oublié que nous nous étions disputés avec les « Petits ». Je regardais toujours vers le champs, guettant une éventuelle trace du loup. Je crois que mon frère et ma sœur avait remarqué que je regardais toujours la forêt.
-« Y'a quelque chose là ba . S'écria mon petit frère de 6 ans.
- Oui depuis tout à l'heure tu regardes le champ enchaîna ma sœur.
- c'est juste que je voulais voir, répondit-Je précipitamment.
-ok répondit mon frère »
Ouf. Il on failli le savoir.
A midi ma mère nous appela pour manger. Mes parents avançaient bien dans les travaux, la maison était au moins un peu habitable.
C'était salade de pâtes au menu, j'adorais ça , je m'en gavais . Mon père m'arrêtera comme d'habitude pour ne pas que je mange la fin.
Il était 14h30, je regardais l'heure, puis posais mon téléphone. Je m'aventurais dans le champ à la recherches du loup. Je l'appelais mais il ne vint pas. C'est alors que j'eu une idée, il fallait l'appeler par son nom! Je commençais à sortir tout les noms qui pouvait lui aller et qui me passait par la tête , ne voyant que cela ne marchait pas je l'appelai par ma dernière idée : Émeraude .
A ce moment là , il surgit des fougères comme si il y était depuis longtemps. Je compris, il m'avait fait passer un test pour voir si je pouvais trouver son nom!
Il s'approcha de moi et se frotta à moi , c'est à ce moment là que je pu correctement le voir, il était plus grand que les vrais loup. Hier, je ne l'avais pas vu car la peur qui m'avait envahi, m'avais brouillé la vue.
Il s'assit devant moi et à ce moment-là six ou sept autre le rejoignerèrent, mais eux , il faisait vraiment la taille d'un loup, c'est a dire à peux près au début de mes cotes , alors que Émeraude, ses oreilles, m'arrivais en haut de l'épaule
-« Suis moi Léna , j'ai quelque chose à te montrer ».commença Émeraude.
Prise de peur, je reculais d'un pas.
-« Vous.. vous parlez ? » demandé-Je étonné.
Je cru déceler un petit rire de la part du loup.
-« Non tu me comprends c'est tout, dit-il amusé .
-« Comment ça se fait ? Répondit-Je .
- Je t'ai marqué répondit le loup. »
Je laissa s'échapper un hein! Car je comprenais de moins en moins ce qu'on me disait.
-« Sois patiente jeune humaine, bientôt tu comprendras tout. »me répondit-il.
J'ochai la tête, malgré cela, mon cœur s'emballa, qu'est-ce que cela voulait bien dire ?
Il me regarda droit dans les yeux puis me dit:
-« Suis -moi, il faut que tu vienne c'est important.
-« Mais.. mon père et ma mère vont s'inquiéter, je n'ai pas le droit d'aller plus loin que le champ. Répondit-Je
-Ne t'inquiète pas il n'en s'auront rien .
-Mais... »
En fait j'avais quand même peur, mes jambes tremblait.
Émeraude s'approcha de moi et fourra son museau dans mon t-shirt. A ce moment-là toute la peur en moi disparus complètement.
-« Tu ne veut toujours pas nous suivre ?me redemandât-il .
-Si , je vous suit.
A présent j'étais sur de moi . Il m'incita a monter sur son dos.
Je montais, je me cramponnais bien comme il me l'avait dit. Son pelage était très doux, tel celui d'un lapin.
Il prît étonnamment la route qui serpentait le long du flan de la colline , je me cramponnais fort, il parti au galop , heureusement que je faisais de l'équitation, sinon je serai déjà tombé.
On arriva en bas de la colline, je descendis et il me conduisit devant un trou qui était au pied de la colline. Il me fit signe d'y pénétrer, c'est ce que je fis, je dus me mettre à quatre pattes pour le faire, j'arrivai dans un petit tunnel dans lequel je pus me mettre debout. Tandis que je marchais, Émeraude sur les talons, j'entendais quelques bruits venu de devant, ça n'avait pas l'air de perturber les loups, donc je continuais à marcher.
On finit par déboucher sur une immense grotte, un trou laissait passer la lumière, au centre se trouvait douze piliers en pierre assemblée en cercle, et aux centre de ces piliers, il y avait une grande plate-forme en pierre.
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