Chapitre 7: La chute de Tom
Le sang d’Harry se figea dans ses veines. Il était ici et maintenant. Comment était-il parvenu à le retrouver ! Heureusement qu’ils étaient enfin parvenu à détruire le dernier horcruxe avant qu’il n’arrive.
- Du futur ? C’est quoi ce bordel et qui est-ce Harry dont il parle ? murmura une voix derrière eux.
Harry se retourna d’un bloc, imité par Ron et Hermione pour se trouver face à face avec les maraudeurs et Lily.
- Qu’est-ce que vous foutez là, vous ? S’exclama Ron qui termina sa phrase en murmurant sous le regard noir de sa fiancée.
- On peut vous retourner la question, répondit férocement Sirius à voix basse.
- Retournez dans la Grande Salle, ordonna Harry toujours à voix basse. Ou au moins cachez-vous dans les arbres de la lisière de la forêt.
Les maraudeurs et Lily se dirigèrent discrètement vers la lisière avant de disparaître sous la cape d’invisibilité de James. Invisibles et protégés par les arbres, ils purent suivre la conversation.
- Je sais que tes traitres d’amis et toi vous êtes ici. Viens à moi et je laisserai la vie sauve à tes parents. continua Voldemort dont la voix était toujours amplifiée.
Evidemment, il savait très bien que son lui de cet époque finirait par tuer les parents de Potter mais s’il les tuait maintenant Harry n’existerait jamais. Ce serait peut-être une bonne solution pour s’éviter des ennuis.
- Je pourrais même décidé de laisser leurs amis et les professeurs tranquilles si tu décidais de venir. termina Tom d’un ton hargneux.
- Ne me cherche plus Tom. Je suis là et je ne te laisserai pas faire.
Harry, Ron et Hermione sortirent de derrière les professeurs pour se diriger vers Voldemort et Voldemort. Ils s’avancèrent vers celui du futur sous les regards d’incompréhension des professeurs et des maraudeurs. Tom les regarda restant muet avant de rire de façon sardonique.
- Intéressant… C’est bien joué, je ne t’aurais jamais reconnu. Je suppose que j’ai aussi à faire à Weasley et à sa sang-de-bourbe de copine.
- Ne trai… commença Ron avant qu’Hermione ne l’interrompe.
- Vous supposez bien Jedusor, dit-elle froidement en leur rendant leur véritable apparence.
Un hoquet de surprise fut émis par plusieurs professeurs, les maraudeurs et même quelques Mangemorts. Ces derniers ne comprenaient rien à la situation. Le jeune Voldemort bouillait d’une rage contenue. Qui était donc ces trois insolent qui osait utiliser son nom de naissance au lieu de celui qu’il s’était choisi. Au même moment, quatre autres personnes dépassèrent le barrage des professeurs.
- Et bien, je crois que tout le monde est là ou presque. commença le vieux Voldemort. Je suppose que la blonde en tête du groupe est la Weasley sous une fausse apparence.
Il eut un rire à glacer le sang, tandis que Ginny reprenait sa vraie apparence sous le regard ahuri des présents. Le rire s’arrêta brutalement quand il aperçut le jeune homme blond qui se tenait près d’elle.
- Drago ! cracha-t-il. Ainsi mes Mangemorts avaient raison, te voilà donc parmi les traitres à leur sang et les sang-de-bourbe ! Ton père aurait honte de ce que tu es devenu.
- Je pense que mon paternel se fiche de ce que je deviens… Après tout, six pieds sous terre c’est difficile d’avoir honte. commença Drago ironiquement.
Il laissa un blanc avant de reprendre fier de lui.
- En plus, vous êtes mal placé de juger la place de qui que ce soit alors que votre père n’est qu’un simple moldu, Tom Elvis Jedusor. ricana-t-il.
À ces mots, les deux Voldemort émirent un cri de rage confirmant les dire du jeune blond. Les sortilèges volèrent dans sa direction, Drago les contra avec un bouclier suffisamment puissant. Les Mangemorts joignirent leurs efforts à ceux de leurs maîtres. Une bataille rangée débuta dans l’entrée du parc de Poudlard entre les Mangemorts et les sept Futuristes. Ils se battaient à un contre trois en moyenne. Charlie et les professeurs, les voyant en difficulté, se joignirent à la bataille. À chaque Mangemort qui tombait deux autres apparaissaient. La lutte allait bon train quand Harry se retrouva face à face avec son vieil ennemi. Celui du passé étant face à Albus pour le moment.
- Dis-moi Potter… Et si je commençais par éliminer ta Weasley chérie ?
Il accompagna sa fausse question par un sortilège de mort silencieux qu’il dirigea vers le dos de Ginny. Le professeur Rickman fut le plus prompt à réagir. Il propulsa sa sœur sur le sol tandis que divers sortilèges de protection jaillissaient des baguettes de Ron et George, et qu’Harry lui lançait un Expelliarmus puissant qu’il dut contrer au lieu de relancer un sort vers sa cible.
- Jedusor, mettez-vous bien dans le crâne que nous ne laisserons personne s’en prendre à notre sœur, c’est clair ? cria Charlie en reprenant à son tour sa véritable apparence sous le regard éberlué de ses collègues.
Voilà maintenant des heures que la bataille faisait rage, Harry se battait toujours contre son ennemi. Il se rapprochait subtilement du jeune Voldemort pour pouvoir régler le problème une fois pour toute. Dès qu’ils furent suffisamment proches du jeune Tom, Harry envoya le signal à tous ses amis. Ils finirent d’encercler discrètement le Voldemort originel.
- Dis-moi Tom, te rappelles-tu de la grande bataille de Poudlard ? l’interrogea Harry en riant sous cape.
- De quoi me parles-tu, sale morveux ? répondit le concerné dans l’incompréhension la plus totale.
- Ton jeune toi n’aurait jamais dû venir ici. Surtout si tu voulais déclencher une guerre. ricana Harry. Je n’étais peut-être pas totalement prêt à ce moment-là. Mais là nous le sommes.
Il finissait ses paroles de mise en garde quand un sort surgit de nulle part en se dirigeant droit sur le vieux Voldemort. Alors que ce dernier se protégeait de l’avalanche de sort qui se dirigeait sur lui Harry se tourna vers le Voldemort actuel.
- Tes Horcruxes sont détruits, et maintenant c’est ton tour. Cria-t-il pour être sûr d’être entendu des deux Voldemort. AVADA KEDAVRA
Son sort fut repris par six autres voix. Chacun des sortilèges atteint sa cible. Ce fût la fin de Voldemort. Alors que le jeune recevait le sort de mort lancé par Harry qu’il n’avait pu éviter contrairement aux six autres et que le vieux disparaissait dans un cri de rage, Drago ironisa une dernière fois.
- Adieu Tommy.
Sur ces bons mots, les Mangemorts qui étaient encore en état de prendre leurs jambes à leur cou s’enfuirent en courant. Le silence se fît dans le parc, même les Mangemorts encore vivant ne disaient rien. Harry se laissa tomber à genou, Charlie pris sa sœur dans ses bras, George posa sa main sur l’épaule de cette dernière. Ron et Hermione s’embrassèrent, et Drago lâcha sa baguette et posa sa main sur une épaule d’Harry tandis que Neville qui avait monopolisé l’attention du vieux Voldemort se laissait tomber dans l’herbe. Aucun des professeurs ne semblait réaliser ce qu’il se passait. Ils avaient l’air aussi choqué que les maraudeurs et Lily. Le plus grand mage noir de tous les temps, qui avait instauré un climat de terreur et de méfiance depuis quelques années, venait d’être tué sous leurs yeux par des adolescents.
James s’approcha un peu plus près pour observer Terry Smith de plus près, enfin, Harry Potter si l’on en croyait les paroles de vous-savez-qui. Il lui ressemblait comme deux gouttes d’eau, c’était sa copie conforme et Cornedrue ne savait pas quoi en penser. Quels liens pouvait-il y avoir entre lui et ce « Harry » ? Serait-il possible que ce soit… son fils ? Alors que James toujours dans ses pensées avait été rejoint par sa bande et sa petite amie, le directeur Albus Dumbledore sembla reprendre contenance.
- Je crois que des explications s’imposent maintenant ! Pourrions-nous commencer par vos véritables identités jeunes gens ? demanda Dumbledore d’une voix étrangement calme.
- Je m’appelle Hermione Granger, dit-elle en s’écartant de son fiancé, elle continua hésitante. J’aurai bientôt 21 ans et je suis… enfin j’étais l’une des dernières nées moldues de la résistance.
- Comment… commença le professeur McGonagall surprise.
- Nous avons vécus beaucoup de choses malgré notre jeune âge. Probablement trop. Nous sommes tous nés plus ou moins en temps de guerre. Nos vies n’ont pas été roses. Nous avons vu nos familles et nos amis tomber devant nos yeux. Certains de nos amis sont passés du côté de Voldemort tandis que certains que nous pensions être nos ennemis nous ont aidé, expliqua Charlie.
Il reprit sa respiration et son calme avant de poursuivre.
- Nous ne pouvions plus vivre comme ça, il fallait que nous trouvions une solution , même la plus folle qui soit pour nous permettre de vivre dans un monde qui ne serait pas gouverner par Le Lord auto proclamé, termina-t-il.
- Vous devez être un Weasley, non ? sourit le directeur.
- En effet, je m’appelle Charlie Weasley et voici mes frères George et Ron ainsi que notre petite sœur Ginny, les présenta Charlie.
- Charlie ? George ? Comme les fils de Molly et Arthur Weasley ? demanda le professeur McGonagall.
- Ce sont bien nos parents ! intervint Ron.
- Vous êtes donc la prochaine génération d’élève, constata le professeur Chourave. Et vous, qui êtes-vous ?
- Je suis Neville Londubat, se présenta-t-il
- Harry Potter, enchaîna le survivant sachant que les maraudeurs l’entendraient puisque ils s’approchaient.
- Drago Malfoy, termina le blondinet devenu gentil.
- Malfoy ? s’exclama Sirius, qui n’avait entendu que le dernier nom de la liste.
- Black ! Que faites-vous là ? s’indigna sa directrice de maison. Et vous autres ? Vous me décevez Miss Evans. Je vous pensais plus réfléchie. Retournez tous dans la grande salle.
- Malgré tout le respect que je vous dois professeur, si vous pensez vraiment que je vais retourner dans la grande salle alors que je viens d’apprendre que j’ai un fils qui est venu du futur, qui a participé à la chute de Voldemort et qui en plus est ami avec un Malfoy, vous vous trompez lourdement ! rétorqua James
- Maintenant je vois de qui tu tiens ton entêtement ! pouffa George avant de recevoir un regard noir de la part d’Harry.
- Je crois, Minerva, que nous devrions tous retourner au château. Jeunes gens, dit Dumbledore en se tournant vers les voyageurs temporels, pouvons-nous parler de vous aux autres élèves ?
- Vous pouvez faire comme bon vous semble. De toute façon, vous oublierez tout quand nous repartirons pour notre époque.
C’est ainsi que les professeurs et les élèves se dirigèrent vers l’école en silence. Une fois arrivé dans le Hall les voyageurs temporels partirent chercher Teddy et Victoire dans la salle sur demande. Tandis qu’ils revenaient vers la Grande Salle, le professeur Dumbledore expliquait la chute de Voldemort aux élèves. Ils arrivèrent aux portes de la grande salle au moment où les élèves hurlaient leur joie, et la fin des temps sombres. Quand ils franchirent les portes, le silence se fit et tous les regards convergèrent vers eux.
- Ha, vous voilà enfin ! Je viens de raconter ce qu’il vient de se passer à l’entrée du parc. Je leur ai aussi révélé vos véritables identités. leur résuma Albus. Qui sont ces enfants ?
- Victoire Weasley et mon filleul Ted Lupin. les présenta Harry.
- Orphelins ? supposa Dumbledore.
- Plus pour très longtemps, répliqua sèchement Harry en serrant Teddy dans ses bras.
- Bien, reprit le directeur. Les cours de la journée sont annulés. Je vous prierai de ne pas importuner nos… invités avec vos questions.
Les huit amis et les deux enfants partirent vers le parc du château et s’installèrent près du lac. Harry s’adossa au saule pleureur en berçant Teddy dans ses bras tandis que Victoire jouait avec les cheveux de feu de sa tante. Le silence qui s’était installé fut brisé par Ron.
- À votre avis, à quoi devons-nous nous attendre en rentrant ? demanda-t-il.
- Je n’en sais rien petit frère, répondit George.
- Ce qui m’effraye le plus, c’est qu’il est possible qu’on ne se connaisse pas là-bas… commença Hermione.
Elle s’interrompit en voyant arriver sept Gryffondors. Ils s’arrêtèrent à bonne distance, mais elle reconnut les maraudeurs, Lily, Frank et Alice. Tous se tournèrent vers le point qu’elle fixait dans leur dos.
- Et bien, ne restez pas planté là-bas comme des cerfs effrayé par la lumière. lança Charlie. Je suppose que vous avez des questions, et ce sera plus facile pour nous d’y répondre si vous venez vous asseoir près de nous.
- Euh… euh… Oui, finit par répondre James en entraînant les autres pour s’asseoir avec les « invités ».
Un ange passa, puis tout un troupeau… Les nouveaux venus étaient soudainement devenus timide.
- Tu es mon fils ? demanda James à Harry en prenant son courage à deux mains.
Harry hocha la tête sans lâcher Teddy.
- Et toi tu es le mien, n’est-ce pas ? demanda Frank à Neville.
- C’est exact, répondit Neville.
- Qui sont vos mères, demanda Sirius curieux.
- Sirius ! s’exclama Remus.
- Non ! rigola Sirius en voyant le regard des deux garçons se diriger instinctivement vers leur mère respective. Je le savais…
- Hein ? Qu’est-ce que tu savais ? Qui est-ce ? demanda Lily qui n’avait pas suivi ce qui se passait.
- Je suis le fils de James et Lily Potter et Neville est celui de Frank et Alice Londubat.
- Waouh ! s’exclama James en se levant pour sautiller. Je vais avoir un fils avec Lily ! Je vais avoir un fils avec Lily ! Je vais… Aïe !
La dénommée Lily venait de se lever pour lui assener une claque sur la tête sous le rire de toutes les personnes présentes.
- Le futur était si terrible que ça ? demanda Alice.
- Oui, malheureusement il l’était. C’est pour ça que nous sommes revenus, répondit Hermione.
- Nous sommes… Enfin,… nous étions morts ? demanda Lily.
- Oui. En 1979, peu avant notre naissance, une prophétie fût faite. Elle disait : « Celui qui a le pouvoir de vaincre le Seigneur des Ténèbres approche... il naîtra de ceux qui l'ont par trois fois défié, il sera né lorsque mourra le septième mois... et le Seigneur des Ténèbres le marquera comme son égal mais il aura un pouvoir que le Seigneur des Ténèbres ignore... et l'un devra mourir de la main de l'autre car aucun d'eux ne peut vivre tant que l'autre survit... Celui qui détient le pouvoir de vaincre le Seigneur des Ténèbres sera né lorsque mourra le septième mois... ». Elle pouvait concerner deux enfants, soit Neville et moi.
Il s’interrompit un instant pour regarder les jeunes gens face à lui.
- Vous êtes sûrs de vouloir tout savoir ? Après tout, tout ça ne se passera pas maintenant que nous avons tué Voldemort.
- Oui, nous sommes sûrs ! répondit Lily après avoir échangé un regard avec les autres.
- Très bien, mais je vous préviens que ce n’est pas facile à entendre. répondit Harry.
- Nous sommes prêts à tout entendre, confirma Alice.
- Frank et Alice furent torturés par quatre Mangemorts dont Bellatrix Lestrange. Ils subirent tellement de Doloris qu’ils en perdirent la raison et Neville fût confié à sa grand-mère alors qu’il avait à peine un an. Quant à moi, j’étais l’enfant de la prophétie. Mes parents furent cachés mais quelqu’un les a trahis et les a vendus à Voldemort. Ils furent tué mais lorsque Jedusor essaya de me tuer, le sortilège rebondi et se retourna contre lui grâce à la protection de ma mère.
- Tu as survécu au sortilège de mort ? s’étonna Lily.
- Oui et cela grâce à toi Lily, répondit Harry.
- Qui… qui les a vendu ? interrogea Peter en bégayant.
- Regarde ton bras gauche et je suis sûre que tu auras la réponse à ta question Queudver ! cracha hargneusement Ginny.
- Quoi ? s’écrièrent les trois autres maraudeurs.
- Montre leur donc ton joli tatouage, Pettigrow ! insista Ron.
- Non… Peter ! Dis-nous que c’est faux ! Dis-nous que tu n’es pas un Mangemort… Peter ? interrogea James.
- Je… je… commença-t-il en reculant.
- Dégage de là ! cria Sirius en se levant. Casses-toi !
Peter s’enfuit en courant. James se tourna vers son fils, encore secoué par ces révélations.
- Qui t’a élevé alors ? Sirius ? Remus ? demanda-t-il.
- Remus ne pouvait pas à cause de…
- Ma condition, termina Remus à sa place.
- Oui. Quant à Sirius, tout le monde pensait que c’était lui qui était le gardien du secret de mes parents. Il fut donc envoyé à Azkaban sans procès pour trahison et le meurtre d’une douzaine de Moldus qui ont été tué par Pettigrow qui s’est réfugié sous sa forme de rat dans une famille de sorcier. C’est donc la sœur de ma mère qui m’a élevé, raconta Harry.
- Mais… Mais Pétunia déteste la magie ! s’exclama Lily.
- Oh, ça oui, je le sais. Elle et son mari m’ont détesté tout le temps où j’ai habité chez eux. Mais quand j’ai eu onze ans, j’ai découvert, malgré tous leurs efforts pour l’empêcher, que j’étais un sorcier, célèbre en plus, et que je devais intégrer Poudlard. Dans le train j’ai fait la connaissance de Ron et Hermione…
- À ce moment-là, elle m’insupportait tellement qu’il nous a fallu, un cerbère, un troll et empêcher le vol de la pierre philosophale pour que l’on puisse devenir ami ! rigola Ron en serrant sa fiancée contre lui.
C’est ainsi que tous racontèrent leur vie à Poudlard, leurs histoires, leurs batailles. Lily et Alice étaient toutes les deux dans les bras de leur futur époux, les larmes aux yeux. Sirius regardait dans le vide suite à l’annonce de sa mort des mains de sa propre cousine. Il était tellement perdu dans ses pensées qu’il sursauta en entendant que sa petite cousine de cinq ans finira par se marier avec Remus. Ce dernier fût surpris par cette annonce, finalement sa condition de Loup-Garou ne serait pas une entrave à son avenir. Il aurait même un fils, Ted Lupin, le petit garçon dans les bras d’Harry était donc son fils. Certes, il aurait dû voir ses deux meilleurs amis mourir à cause du troisième, mais grâce à Harry, le fils de James, et à ses amis rien de tout cela n’arriverait. Oui, grâce à eux le monde sorcier sera en paix à partir de maintenant. Ils pourraient tous vivre en paix et heureux.
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