Partie 1

Il n'y a rien de pire qu'un fou, qui traite un homme a conviction de tueur.

Le froid glacial venait de remplacer la chaleur etouffante, et la fraicheur de la nuit venait peu a peu embaumer et corrompre les corps.

Au loin, on pouvait encore entendre quelque tirs d'artillerie, sur l'ancien vilage de Pororosk.

Au debut du conflit, on pouvait encore voir certains habitant, non touches par la guerre s'aventurer inocemment ou dans un elan de revolte, au milieu des tranchees et des balles.

La plupart tombait rapidement sur le sol, le corps troue.

J'ai aussi pu voir l'insensibilisation que cree la guerre dans le coeur des soldats.

L'autre jour, j'ai entendit ceux ci parier sur le temps que mettrai un jeune chien, qu'ils venaient de lacher au milieu du conflit pour mourir.

Tres vite, on pouvait observe le corps inerte du malheureux....