Chapitre 13
PDV Luke :
En à peine quelques secondes ma mère avait réussi à convaincre toute la bourgeoisie que j'étais le plus apte à contrôler le cube, mais il fallait dire que ce groupe essentiellement constitué de vieux croutons plutôt à cheval sur les règles, n'étaient pas vraiment intelligent. Je n'étais même pas sur qui c'étaient aperçut que j'étais un rêveur vue à la vitesse qu'ils avaient dit oui. Je doutais même que l'agent n'en était pas pour quelque chose.
Néanmoins malgré que ma mère soit aussi froide qu'une vipère et aussi insupportable que ma chère sœur, elle allait comme même beaucoup m'aider dans les jeux, enfin c'était plutôt son argent qui allait m'être utile. Je me demandais parfois comment mon père pouvait avoir un jour aimé cette femme, lui qui était si respectueux et sincère. Ça faisais bien lomgtemps que je n'avais plus vue mes parents ensemble, ils étaient la plupart du temps absents et quand ils déniaient nous honorer de leurs présences, c'était toujours séparément, ils étaient presque devenus allergique l'un à l'autre. Mais malgré cela j'avais espéré qu'il vienne, juste aujourd'hui, comme d'habitude j'avais bien trop espérais de lui.
Je fus soudain libéré de ces pensées maussades par un garde qui m'attrapa violemment le bras sans la moindre douceur pour me conduire ou plutôt me trainer jusqu'à une salle sombre éclairée par plusieurs écrans tapissant les murs de la minuscule pièce. Le garde m'attrapa le poignet et vérifia rapidement que ma puce était toujours bien en marche avant de sortir, me laissant enfin seul. Je parcourais des yeux la salle sombre et vide, ou un siège simple trainait au milieu, je m'y assis, dans l'espoir que le garde revienne vite.
Si j'avais bien compté ça faisait un peu près dix minute que j'étais là, à poireauter comme un con et je commençais à croire que personnes n'allait venir me chercher. Je me relevais de mon siège pour observer de plus près les différents écrans devant moi, certains étaient éteint, mais deux ou trois laissaient apparaitre des images flou, qui n'avaient aucun sens. J'avais beau me creuser la tête et regarder les images dans tous les sens, je n'arrivais en aucun cas à trouver un quelconque sens à se mélange de pixels colorés qui semblaient se déplacer avec une vitesse incroyable, comme si un vidéo défilait en accéléré. Je plissais les yeux pour déchiffrer, les images qui s'affichaient et disparaissaient aussi tôt, petit à petit je sentis ma vue changer et devenir plus claire, comme si on venait de faire disparaitre un filtre devant mes yeux, un filtre qui m'empêchait de voir le monde tel qu'il était.
Alors les images devinrent enfin parfaitement claires, mes yeux étaient hypnotisés par l'écran, mémorisant les moindres détails, le premier écran se transformant en un deuxième écran, puis un troisième, un quatrième, un cinquième, se dédoublant à l'infini, jusqu'à remplir la totalité des murs.
Tout autour de moi, les images défilaient plus rapidement, comme une boucle impossible à arrêter, je ne bougeais pas trop stupéfait pour pouvoir réagir, ou faire quoi que ce soit, la respiration coupé le cœur battant au rythme des écrans en parfaite coordination.
Puis tout s'arrêta, comme par magie tout autour de moi devint blanc, je levais une main tremblante vers le mur, pour sentir quelque chose de lise et froid sous mes doigts. Surpris par cette matière étrange je retirais ma main rapidement, les écrans avaient l'air d'avoir complètement disparut, mais pourtant je pouvais sentir la froideur du verre sous mes doigts, comme si les écrans étaient devenus le mur, comme si ils étaient là mais que je ne pouvais pas les voir.
Un frisson d'excitation, me traversa la colonne vertébrale, tel un coup d'électricité, mais en plus plaisant. J'étais comme un gamin qui venais de recevoir un nouveau joué et l'occurrence mon joué à moi était cette boite. Je ne l'avais pas tout de suite reconnu, mais maintenant tout était plus clair, j'étais à l'intérieur de cette boite, enfin plutôt au cœur du cube.
Je sentais déjà leurs deux cœurs taper comme un tambour dans leurs poitrines, leurs membres se crisper, leurs stresse monter peu à peu, les dévorant de l'intérieur. Ils avaient peur, ils étaient terrifié, ils ne laissaient rien paraitre, mais pourtant je pouvais le sentir clairement, ils étaient apeuraient par ce que je pouvais leur faire, par ce qu'il allait se passer. Ils étaient désormais mes jouaient et j'avais le pouvoir de faire ce que je souhaitais d'eux, mais surtout d'elle.
PDV Astral :
Je n'avais plus qu'à faire un pas pour entrer, un geste tellement simple, mais qui à ce moment même m'avait l'air si compliqué à faire, je serais les poings, jusqu'à que mes ongles rentre dans ma peau. Je ne pouvais pas le cacher, j'avais peur et ce n'était pas la première fois, j'avais déjà eu beaucoup plus peur dans ma vie, mais cette fois c'était diffèrent, je ne s'aurais pas dire pourquoi cette fois c'était si différent et étrange. Comme si cette émotion qui me torturais de l'intérieur, n'étais pas naturel, presque artificielle, je n'avais pas envie d'être terrifié et pourtant c'était ce que j'étais, complétement mortifié de peur. Et cette émotion imaginaire contrôlait désormais mon corps, des sueurs froides, des tremblements, tout ça sonnaient faux, comme si mon corps essayait de convaincre mon esprit que j'avais peur, mais ce n'était pas le cas.
Un pas, un seul petit pas et je serais à l'intérieur, un pas et je serais sous son emprise, un geste qui décidera définitivement de mon sort. Mon pied se décolle doucement du sol, mon cœur se met à battre plus fort amplifiant mes oreilles de ses battements, empêchant par la même occasion mon cerveaux qui marcher à toute allure de continuer à fonctionner normalement. Alors je ne réfléchissais plus et levais mon pied pour le poser quelques centimètres devant moi, ma deuxième jambe suivi la première dans un geste des plus naturel. Le sol claqua sous mes pieds et la porte dans mon dos claqua elle aussi, faisant vibrer le cube en verre. Je dirigeais soudain mon regard vers la paroi translucide du cube, et mes yeux se heurtaient à un mur blanc simple, me séparant du reste du monde. J'avais beau ne pas les voir, je savaient qu'ils étaient là à m'observer à juger chacun de mes gestes, si je faisais ne serais-je d'un faux pas, ils en profiteront. Nous avions beau être du même peuple, de vouloir tous la même chose, dans un jeu il n'y avait qu'un seul et unique gagnant et tous étaient prêts à tout pour être le gagnant. Maintenant aucuns liens ne comptaient, c'était œil pour œil, dents pour dents.
Rêveurs tenaient vous prêt, les jeux commencent enfin et ça sera vos vies, contre mes rêves et la mienne, contre les vôtres...
Je levais la tête en face de moi, pour affronter du regard mon adversaire, nos regard se croisèrent et la tension monta brusquement, personne ne parla, nous nous fixions sans rien dire, laissant le bruit saccadé de nos respiration remplir le silence qui régnait dans la pièce. Je n'osais pas bouger par peur de briser ce doux silence presque rassurant, attendant qu'il frappe le premier, je ne faisais clairement pas le poids face à lui et s'il arrivait à me porter ne serais-je d'un seul coup bien placé, il gagnerait surement, alors si j'espérais m'en sortir indemne, j'allais devoir esquiver chacun de ses coups, mes pouvoirs ferait le reste.
Le premier coup arriva si rapidement, que je dû faire un bout d'au moins 1m, sans aucune exagération. Le rêveur devant moi, eut l'air surpris de la vitesse à laquelle je m'étais déplacé, pendant ce moment d'hésitation j'en profitais pour tentais de lui envoyer mon pied dans le ventre, mais tous d'un coup une douleur brutal me traversa la jambe, comme si quelqu'un venait de me planter une lame dans la cuisse, surprise par la douleur mes jambes lâchèrent d'un seul coup. Le candidat en profita pour m'envoyer son pied dans les côtes, par reflexe je roulais sur le coté, mais je n'avais dû réagir assez vite, puisque mes cotes craquèrent sous le poids de son pied. Habituée je m'attendais, à ressentir une petite douleur qui allait disparaitre rapidement, mais une immonde douleur me traversa tout le corps, je sentis un liquide chaud et métallique couler dans ma gorge, du sang, ça, ce n'était pas très bon signe.
Ignorant le plus possible la sensation d'étourdissement qui commençait à devenir de plus en plus forte, je tournais ma tête vers mon adversaire, pour lui cracher avec haine le contenue de ma bouche en pleine face, le sang gicla dans l'air pour atterrir pile dans ses yeux. Je profitais qu'il soit aveuglé quelques instants, pour vomir le reste du sang sur le sol parfaitement blanc. Plus glamour tu meurs, une fois mes vomissement sanglant calmés, j'essayais de me relevais, mais mes membres restaient immobiles, incapables de bouger. Je leurs criais intérieurement de réagir, de ce mettre en mouvement, mais rien ne se passait j'étais paralysé, mon corps refusait de m'obéir.
Mais le combat lui continuait toujours, remis de tout à l'heure mon adversaire se plaça derrière moi, j'aurais voulu crier, mais ma voix aussi avait disparue, j'étais prise au piège, sans aucun échappatoire. Alors comme si je n'étais qu'une simple poupée de chiffon, il enchaina les coups, libérant toute sa fureur sur mon pauvre corps qui n'avait plus l'air d'être le mien, quelqu'un c'était comme introduit dans mon esprit, pour en tirer les ficelle et cet intrus me contrôlais entièrement, me brisant de l'intérieur, désormais je ne pouvais plus rien faire.
Luke... avait définitivement gagné, les coups devinrent moins douloureux et mon corps anéantie lâcha doucement prise, ce laissant contrôler sans plus aucune résistance, je fermais les yeux dans l'espoir que tout ce finisse vite, ignorant la petite voix qui me hurlais que tout ça n'était pas réel.
Réel ? Et si cette douleur n'était qu'une allusion, après tout cette boite étais une illusion parfaitement contrôlé par son maitre, je rouvrais subitement les yeux, quand un coup d'électricité me traversa le bras droit, réveillant mes muscles comme ramollis et tout disparut la douleur s'envola rapidement, les coups dans mon dos se stoppèrent et je pus me relever sans difficulté.
Je faisais une fois de plus face au candidat devant moi et c'est là que tout ce transforma, je vus ce que je ne pouvais pas voir, trop terrifié pour m'en rendre, cette personne devant n'étais rien du tout appart une image de synthèse, une parfaite illusion qui ne pouvait rien faire, même pas me frappais, si j'avais eu si mal et peur c'était parce que Luke le voulait et seulement pour ça. Tout çà n'étais d'une pauvre mise en scène et si je ne m'étais pas rendu compte tout de suite, il aurait surement réussit à me tuer, me frissonne à cette idée, laisser le plaisir à Luke de me tuer de ses propre mains, hors de question !!
Dans un excès de fureur, je levais la main gauche vers l'illusion devant moi, et d'un geste la faisait exploser en mille morceaux, faisant voler des étincelles dans l'air. Un sourire victorieux accompagnais mon geste, je savais qu'il me voyait, qu'il voyait ce que j'étais capable de faire et même s'il ne le montrera jamais, il avait peur, très peur.
Je me tournais vers un mur du cube, puis je laissais mon regard se poser au milieu de la pièce et comme si je savais qu'il était là qu'il pouvait bel et bien m'entendre, je m'exclamais d'un air habituel qui me rappelait notre enfance.
-On se retrouve à la prochaine épreuve, Luke.
Je pouvais déjà l'entendre rigoler dans mon esprit, ce qui y eu le don de me faire sourire. Alors je me retournais face au mur et l'effleurais des doigts, mais au lieu de sentir quelque choses de dur et plat sous mes doigts, ma main traversa le mur, mon bras suivit ma main et mon corps tout entier bascula à son tour de l'autre côté de l'illusion.
~
Quand je sentis que j'étais enfin sur la terre ferme, je rouvris les yeux m'attendant à voir une foule rêveurs assis me fixer avec de grands yeux ronds, mais non j'avais atterris autre part, dans une pièce inconnue, qui avait l'air de ressembler à une petite chambre, seulement meublé d'un grand lit qui aussi surprenant que ça pouvait l'être, avait l'air incroyablement confortablement, avec son gros matelas et ses centaines de cousins. A vrai dire je m'imaginais déjà bien, plonger dans ce lit douillet et rattraper toute mes heures de sommeils raté. J'avançais un peu plus dans la pièce, marchant sur le sol découpé en millions de petits carreaux de pierre grise, puis je me stoppais quand un grésillement familier se fit entendre.
-Epreuve 1 : terminée, gagnant candidats mauve et rouge, perdant candidat jaune. Annonce la même voix que tout à l'heure.
Je bouillonnais de rage à l'entente de ces résultats, le candidat jaune n'était même pas réel, tout ça devenait vraiment ridicule, le petit Luke devait encore être allé demander de l'aide à sa cher maman, des fois j'avais vraiment du mal à me dire que Luke était censé être plus grand que moi, du moins en âge car mentalement ce n'était pas encore ça.
-Commencement de l'Epreuve 2 : La description et les règles de l'Épreuve son noté sur le mur de votre chambre. Bonne nuit chère rêveurs.
J'aurais juré que la dernière phrase avait étais prononcé par une vrai personne, un humain sans doute et ton de cet humain ne plaisait pas du tout, il avait dit cela d'un air amusé, qui m'avait presque donné froid dans le dos. J'ignorais le mauvais pressentiment qui commençait à germé dans mon esprit et je me tournais vers le mur gris à côté de moi, jr repérais facilement de fines lettres, gravées dans le béton gris juste au milieu du mur, je m'y approchais alors pour les lire plus facilement.
1-L'avenir appartient aux personnes qui se lèvent tôt et encore plus aux personnes qui ne se couche pas du tout.
2-Ne rêve pas trop longtemps, tu risques d'avoir très mal en tombant de haut.
3-Si tu as les yeux plus grand que le ventre, fait attention que les deux n'explosent pas.
Je relis plusieurs fois les trois phrases, avant d'éclater de rire, sérieusement c'était juste de vielle expressions un peu modifié, j'étais pratiquement sur de les avoir déjà lu dans un livre, aucun doute c'était bien un humains qui avait écrit ça. Les humains devaient les trouver très drôle, mais pour moi elles n'avaient aucun sens, c'était certainement une mauvaises. C'était bien connut les humains avaient un humour plutôt spécial, que seul eux arrivaient à comprendre.
Trop fatigué, je m'asseyais sur l'immense lit et hottais mes chaussures ainsi que mes chaussettes, avant de les lancer plus long dans la pièce. J'enlevais également ma grosse veste que je posais au pied du lit et je me levais enfin tomber dans le lit tellement confortable, je me glissais sous la couette toute douce à l'odeur de linge propre, pour une fois ce linge n'étaient pas propre grâce à moi. J'enfonçais ma tête dans un gros oreiller en rabattant la couette sur mon visage, pour pouvoir être dans le noir complet, je fermais ensuite les yeux et m'endormais en à peine deux minutes.
C'était sans doute le meilleur moment de toute ma journée plutôt pourrie.
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N.A : Salut les petits hiboux !!!
Pour une fois j'ai rien à dire, appâts que la première épreuves est terminé, je sais elle était très courte, mais les autres vont être beaucoup plus longue 😸
Une idées de ce que pourrait vouloir dire, les 3 phrase sur le mur ?
Bye Bye !!!!
~un hibou râleur~
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