Chapitre 5.

[...]Sans prévenir je rua mes lèvres sur les siennes en l'attirant vers moi, la main aggripée au col de sa chemise à demi ouverte.

Sans aucune hésitation le Patron m'offrit tout de suite l'accès à sa langue, que j'acceptais sans plus attendre. Ce n'était pas du tout comme je l'imaginais. Le premier baiser avait été brutal, presque animal, mais celui ci était particulièrement doux. Je ne pensais pas que le patron serais capable d'embrasser comme ça. Nos lèvres se séparent quelques instants après, par manque de souffle. C'est la que je me suis rendu compte que ce que je venais de faire. Je détourne la tête dans un rougissement incontrôlé. Nous restames de longs instants comme ceci, ou j'evitais son regard, jusqu'à ce que le soupir bruyant du patron se fasse entendre.

-T'as pas l'droit de m'galocher et pas assumer ce que t'as fais gamin. Declara t'il sur un tond qui se voulait agacé.

-Tu peux bien parler ! Lui repliquais-je en me relevant brusquement Le visage un poil tendu.

-Alors t'as juste fais ça pour te venger que j't'ai galoché dans la cuisine ? Dit-il en haussant les sourcils.

-Bien sur que non, je... Enfin... Je crois que... Peut-être. Finis-je par formuler en baissant les yeux.

-Alors tu piges qu'c'est à mon tour de me venger gamin.

À ces mots il bondit sur moi, ses lèvres plaquée sur les miennes, à califourchon sur moi. Sa main abaisse la capuche de mon kigurumi avant que cette dernière ne se loge dans mes cheveux pour approfondir le baiser fougeux. Son autre main deboutonnait les premières accroches de mon kigurumi. Dans ma tête c'est le gros bordel. Le patron est en train de ma déshabiller, en m'embrassant Le tout à califourchon sur moi. Dans ma tête sa tourne à cent à l'heure. Il a fallu qu'il détache 4 boutons avant que je ne trouve la force de le repousser. Il me regarda completement perdu comme si il ne comprenais pas comment j'avais pus le repousser. Je finis par me relever après avoir rattaché les boutons de mon kigurumi et me lève vers la porte.

-Je... Je ne veux pas être qu'un simple jouet. Declarais-je en passant dans le couloir, lassant un patron bouche bée assis sur son lit.

Je traverse le couloir et décide d'aller me consoler avec un paquet de bambou séché dans la cuisine. Quand j'entrais dans le salon-cuisine des bruits se firent entendre. Je me rapprochait du canapé pour découvrir l'origine des respiration et soupir que j'etendais. Un homme que je connaissais bien étais par dessus un deuxième aux cheveux complètement sauvages. Mon créateur et son meilleur ami Mr Antoine Daniel. Je profite du fait qu'il ne m'ont pas remarqué pour courir dans ma chambre à toute hâte. Je ferme la piste et me laissé glisser contre celle si, la visions des deux amants tournant dans ma tête.
Moi jaloux ? Non. Enfin... Pas jaloux de l'un d'entre eux. Mais jaloux du couple en lui même. Ils s'aiment tout deux, quelle chance d'avoir quelqu'un qui nous aime autant que nous l'aimons.
C'est sur le visage du patron que je m'endormis à demi assis contre cette porte. Sans savoir que demain allais être chargé en émotions.

Je posterais le chapitre six dans un delai de trois jours promis. Après demain, après demain ou après après demain, je ne sais pas, tel est la surprise.

Louis

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