Le soleil couchant baignait Konoha d'une lumière dorée, semblable à celle qui avait vu naître les plus doux moments entre Iruka et Naruto. Leur relation, longtemps cachée derrière les murs de la modestie et de la retenue, était désormais exposée à la lumière, libre et vibrante.

Dans leur appartement, un silence complice régnait. Naruto, assis sur le canapé, fixait Iruka avec un sourire espiègle. Ses mains caressaient doucement celles de l’homme qu’il aimait. Iruka, en retour, plongeait son regard dans celui de Naruto, ses joues légèrement rosies, mais ses yeux brillants de détermination et d’amour.

"Tu te rends compte, Iruka-sensei," murmura Naruto, sa voix pleine de douceur, "que je ne veux plus jamais cacher ce que je ressens pour toi ?"

Iruka esquissa un sourire tendre. "Et tu te rends compte, Naruto, que je n’ai jamais été aussi heureux que maintenant ? Avec toi, tout semble juste… parfait."

Naruto se pencha lentement, ses lèvres frôlant celles d’Iruka dans un baiser passionné, empreint de tout l’amour qu’ils avaient gardé en eux pendant si longtemps. Leurs gestes étaient lents, presque timides au début, mais l’intensité monta rapidement, chaque caresse et chaque regard les rapprochant davantage.

Alors que la nuit enveloppait Konoha, leur passion devint le langage de leur amour. Dans cette intimité, il n'y avait plus de barrières, plus de doutes. Iruka, avec une délicatesse infinie, murmurait des mots tendres à Naruto, tandis que ce dernier riait doucement, savourant chaque instant.

"Iruka-sensei," chuchota Naruto, blotti contre lui, "je n’aurais jamais pensé que quelqu’un comme toi puisse m’aimer. Mais maintenant, je sais que je veux passer chaque jour de ma vie à te rendre heureux."

"Et moi, Naruto," répondit Iruka, en pressant un baiser sur son front, "je veux être celui qui te soutient et t’aime, pour toujours."

Les étoiles brillèrent plus fort cette nuit-là, comme pour bénir leur union. Et dans leur petit coin de paradis, Naruto et Iruka commencèrent un nouveau chapitre de leur vie : celui où l’amour n’avait plus de limites ni de frontières.

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