Chapitre 90


PDV de Tensei.

Je soigne Izuku Midoriya du mieux que je peux. Il a de la chance que je m'y connaisse en médecine. Après tout, j'ai tout lu sur ces « miracles de la science altérique ». De bel connerie, je sais qu'il y a un villain qui peut prendre les alter et les donner aux autres, mais pas la commission. Qu'est-ce que j'ai été stupide de les croire ? Ma haine pour cette société est immense, je la hais de toute mon âme. Malgré ma haine, j'avais décidé de ne rien faire, car j'ai vu mon meilleur ami d'enfance s'élever vers les sommets, sachant qu'il allait œuvrer pour le bien. Je me doutais qu'il s'occuperait des soucis que subissent les sans alter. Donc que je n'allais pas à avoir me salir les mains.

Maintenant malheureusement, il va falloir que je me salisse les mains. Mes mignons me préviennent que les héros approchent de la zone. Izuku dort profondément, je donne l'ordre à mes mignons de le transporter au loin, et de s'occuper de ce dernier pendant que je m'occupe de ses héros en les distrayant. Je ne vais pas me lancer dans un combat aussi stupide, je n'ai pas créé beaucoup de mignon, si une guerre totale devait arriver, je serais dans de beau draps. Autant faire profil bas pour le moment.

Je pourrais abandonner Izuku à son sort.... Non je refuse, je ne suis pas comme ces personnes, je n'abandonne pas les gens lorsqu'ils ne me servent plus à rien. Je suis bien plus noble qu'eux.

J'entends, les héros ou plutôt apprenti héros toquer à ma porte.

Je vais ouvrir la porte. Je vois ce héros nommé Ground Zéro aka Katsuki Bakugo, une autre personne de mon passé. Mais cette personne peut crever dans la douleur que je n'en aurais rien à faire, voir j'aurais du plaisir à le voir mort.

-Katsuki : Ce n'est pas trop tôt maintenant on va pouvoir...

-Tensei : D'abord, un mandat.

Katsuki n'en revient pas.

-Kasuki*hurle* : Comment ça un mandat ? Nous sommes des héros...

-Tensei : Tu es un apprenti héros, et même si tu étais un héros, il te faudrait un mandat. Alors sauf si tu en as et là je dois te laisser rentrer soit tu restes dehors. Je suis malade, alors je ne vais pas laisser des personnes sans mandat touché aux machines qui me maintiennent en vie, pas envie de crever parce que vous les avez un peu abimés. Cela serait une belle mort de merde.

Katsuki semble vouloir se jeter sur moi, mais le gars aux cheveux rouges le retient.

-Eijiro : Katsuki, du calme, il est déjà éloigné de l'endroit où devrait se trouver le traitre.

-Tensei : Ah oui, ce que vous dites sur aux infos. Il y a quand même quelque chose qui me turlupine, avec cette histoire. C'est le timing, un peu comme si on voulait se débarrasser de la possibilité d'un traitre, et que l'on a pris la personne qui nous arrangeait pour se débarrasser du souci.

Je leur ferme la porte au nez.

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