PDV de Katsuki Bakugo.

Je suis entrée à Yuei, je vois un type que je connais bien, c'est un sans alter mais ce n'est pas Deku.

Je le regarde, il n'est pas en apprentissage héroïque, peuh, encore un faible mais il m'étonne qu'un âne de sans alter ait pu rentrer dans Yuei.

Ce qui m'intrigue ce sont ces blessures apparente, il a dû faire le mâlin.

On est accueilli par une sorte de chenille, elle nous fait passer des examens physiques. Ils sont tous nazes dans cette classe.

J'entends des cris ou plutôt des hurlements de terreur.

Je cours voir ce qui en retourne, je vois le cadavre d'un type qui a été pendu en l'air avec des clous, ces intestins descendent vers le bas.

Un message dans le sang a été tracé : « Il y en aura d'autres dans ce cirque que l'on appelle Yuei, dont les clowns sont les héros, attrapés moi si vous y arrivez messieurs, les faux-héros ».

C'est quoi ce bordel ?

On est tous évacués en vitesse, la peur tient les élèves en haleine. Un type aux airs de Tintin scrute tout le monde avec une certaine hargne.

Un type en armure limite militaire avec des gants de métal, vérifie l'identité de chacun.

- ???: Que tout le monde garde son calme, je suis là, personne ne se fera tuer sous ma protection.

-Elève : C'est un héros.

Ce héros je ne le sens pas, il a un air lubrique quand il nous regarde, j'ai peur de lui.

Un autre héros arrive et lorgne méchamment du regard l'autre héros.

-Héros 2 : Tu fais quoi là, monsieur qui n'a pas le droit d'approcher des enfants.

-Héros 1 : J'en ai le droit, je suis un héros, monsieur a fait la guerre donc il ne se sent plus pisser, je suis un héros au même titre que toi. En réalité tu n'es qu'un vieux fossile.

Le héros qui vient d'arriver à un air très sévère, cela se sent qu'avec lui on n'a pas intérêt à faire le mariole.

-Héros 2 : Dès que c'est fini, je te montre ce qu'est encore capable de faire le vieux fossile. Je peux encore manger solide mais toi après notre discussion, une paille ne sera pas de refus pour toi.

On est tous renvoyé chez nous, j'arrive chez moi et je vois ma mère qui va encore ma casser les couilles. Elle me casse plus les couilles que la Castafiore ne casse du verre avec son chant.

La journée se finit comme cela.