Chapitre 14


PDV de Ghost.

Si je me mettais à mal cet évènement que tout le monde aime pour leur faire comprendre que la révolution est en marche.

Je pénètre dans le stade du tournoi de Yuei. Ce n'est pas parce que je travaille avec le symbole du mal que je ne peux pas agir librement. Je vais leur montrer que ce qu'ils considèrent comme une sécurité n'est qu'une illusion. Je vais leur montrer ce qu'est la peur. Avant de leur montrer l'horreur qui se cache derrière les héros.

Je place quelques mallettes rempli d'une petite surprise dans le stade.

Juste avant la deuxième épreuve je lance le système.

PDV de Raito.

Un vent de panique part du public, de la fumée rouge sort d'un peu partout. C'est quoi cette merde ? La sécurité ne devait elle pas être plus élevé.

Les héros nous font tous sortir du stage.

Le tournoi de Yuei est annulé. Enfin pour le moment.

En tout cas, tout le monde va en parler un peu partout dans le pays. Déjà après l'attaque contre le SCA c'était la merde, mais là cela a touché beaucoup de monde.

Bon au moins, à part que le gaz est irritant pour la gorge, et qu'il fait pleurer, il n'est pas dangereux.

On nous a tous demandé de rentrer chez nous. J'ai récupéré Rui qui s'est inquiétez pour moi. Il était totalement stressé.

Je l'ai mis au lit. Il dort dans la même chambre que moi.

Je vais dans ma salle de bain.

Je vois encore une plume rouge, il me surveille, il me traque, ils ne me font pas confiance. Il faut dire que je sais tellement de chose sur eux.

Malheureusement, ils ne peuvent pas simplement me tuer. Cela ne passera pas.

J'ai quelques alliés puissants qu'ils ne peuvent pas juste tuer comme cela.

Je vois Hawks sur le bord de la fenêtre.

-Hawks : Es-tu celui qui a fait rentrer le gaz dans l'enceinte du bâtiment ?

-Raito : Qu'est-ce que tu es en train de raconter ? Déjà que j'ai cru que cela aurait pu être vous, les gens de la commission, allez plutôt chier plutôt que de préparer l'assassinat d'une personne.

Mon jeu de mot ne passe pas, le piaf met ses plumes en position pour me trancher la gorge.

-Raito : Arrête un peu de faire le fier. Si tu comptais me tuer tu l'aurais déjà fait. Alors maintenant tu pars.

-Hawks : Je surveille tes moindres faits et gestes, je n'aime pas que tu défies la politique de la commission.

Je me retourne vers lui.

-Raito : Car brisée une partie de la population, à savoir les sans alter et ceux qui ont un alter dit de type villain s'est de la politique. Oh mais que suis-je bête c'est de la politique mais de la politique digne des plus grands génocidaires. Et après cela se fait appeler la commission héroïque.

Il part.

Je ne sais pas qui tu es, mais tu viens de te mettre à dos la commission héroïque tu risques de crever dans pas longtemps.

J'ai pitié de toi.

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