Chapitre 13
Hey mes petites mangues fruitées ♥♥♥,
PEACE AND LOVE-
-JFL.
PS: C'est un pavé bien long comme il faut. ^^
Et celles qui jugent l'histoire en disant que c'est inutile d'écrire une histoire où ça va parler de son choix entre Drew et Zeyn ... euh ... j'ai juste envie de dire ... JE N'AI JAMAIS DIT QU'ELLE CHOISIRAIT L'UN D'EUX ! Cette histoire, je l'écris au feeling ! Donc je ne sais pas ce qu'il va se passer... Cette histoire est beaucoup plus profonde et peut-être plus mature vue que le nouvel environnement de DD.
Puis, c'est mon histoire, alors je fais ce que j'en veux et si tu n'aimes pas, je suis malheureusement navrée, mais tu peux quitter l'aventure, je ne retiens personne.
J'ÉCRIS POUR LE PLAISIR POTO ET POUR MES PETITS CARAMBARS ♥ AU CARAMEL ! ;D.
***
JARED
Encore dans ce bar, en ce vendredi soir, notre groupe de professeurs s'amusaient comme des fous. J'étais au bar dans l'attente de ma commande avec celle de Lauren.
Je sentis mon téléphone vibrer dans ma poche, mais je ne voulais pas regarder. En effet, DD était partie plus tôt dans la journée à Los Angeles pour sa mission et je ne voulais pas me faire en sang d'encre pour elle, même si je n'y arrivai pas, et c'était toujours comme ça.
Je regardai au alentour et regardai en direction de l'entrée du bar lorsque je vis Drew y entrai suivi d'une jeune femme qui rayonnait. Il lui sourit tout en lui désignant le bar et elle semblait être sous le charme. Je restai figé tandis que le barman me donnait mes verres, ne croyant pas à ce que je voyais. Drew finit par croiser mon regard et se figea aussi. Sa charmante compagnie regarda dans sa direction et il lui chuchota à l'oreille je ne sais quoi avant qu'elle n'acquiesce et qu'ils ne s'avancent vers moi.
— Hé Jared ! lança-t-il, mal à l'aise.
— Salut Drew. Ton frère va bien ?
Je souris tandis qu'il était visiblement embarrassé et son amie nous regarda tour à tour avant de sourire.
— Oui, ça va. Euh ... Jarred, je te présente Jillian, une collègue de travail et Jillian, voici Jared, un ami de longue date, m'observa-t-il.
— Enchantée, dit-elle en me tendant sa main que je serrai.
— De même. Qu'est-ce que vous faites ici ?
Elle le regarda une nouvelle fois et j'avais presque envie de rire en le voyant si désemparé par la situation. Qu'est-ce qu'il croyait ? Que j'allai le frapper ou lui faire une scène ? J'étais plutôt heureux de voir qu'il avait peut-être tiré un trait sur DD. Ce qui était bon pour tous les deux.
— On est venu prendre un verre, répondit-il. On a des collègues qui vont venir nous rejoindre.
— Ah super ! C'est le QG des travailleurs ici, commentai-je. Je suis là aussi avec des collègues. Et il y a Lauren.
— Ah super ! dit-il.
— Vous pouvez vous joindre à nous, proposai-je.
Il déglutit et Jillian accepta. Je leur indiquai où était notre table pour nous y rejoindre. J'annonçai à nos collègues que d'autres personnes allaient se joindre à nous et je leur expliquai que c'était un ancien ami. Ils finirent par arriver et nos collègues amis les accueillirent chaleureusement. Lauren était heureuse de revoir Drew, après l'anniversaire de Skyler. Jillian n'avait pas l'air de comprendre alors il lui expliqua que j'étais le frère de December-Dan. Elle s'esclaffa et comprit pour Drew était aussi embarrassé, mais je la rassurai en disant que tout était fini. Ils se détendirent donc et nous discutâmes.
Après plusieurs verres, tout le monde décida d'aller danser. Même Drew avait l'air de s'amuser. Ereinté, j'allai m'asseoir. J'en profitai pour regarder l'heure. Il était déjà 2 heures du matin et j'avais été harcelé par Ston et Isaac. Les appels d'Isaac me préoccupèrent bien plus et j'allai le rappeler lorsque Drew s'assit en face moi tout aussi épuisé. Les filles étaient encore en train de danser et elles avaient l'air de bien s'entendre.
Je rangeai mon téléphone et lui souris.
— Ça va ?
— Ça faisait longtemps que je n'avais pas dansé autant, dit-il. Et tes collègues sont top. Lauren est vraiment sympa.
Je le confirmai et lui retournai son commentaire. Lui aussi avait de supers collègues, comme un Curtis qui avait épaté tout le monde avec ses talents de danseur.
— Tu as l'air de lui plaire à Jillian, ajoutai-je.
— Tu crois ?
— Ça se voit, répondis-je.
Il laissa échapper un petit rire.
— Et tu n'avais pas à être embarrassé en début de soirée, rétorquai-je. Je n'allai pas le dire à DD ou peu importe.
— Je sais, dit-il. C'est juste avec ... les histoires quoi. Elle va bien d'ailleurs ?
— Oui. Elle est à Los Angeles pour du boulot là. Mais, tu vas la voir demain, puisqu'on sera là pour le mariage de tes parents.
Il hocha la tête et il esquissa un sourire.
— Elle ne voudra jamais arrêter « son boulot », n'est-ce pas ?
— Je ne pense pas, répondis-je en jouant avec ma paille. Même lorsqu'elle prendra la place de John, elle continuera à être agent de terrain. Je ne sais pas comment elle va pouvoir tout gérer mais, je pense qu'elle trouvera une solution. C'est December-Dan après tout.
Il se mordit la lèvre inférieure et je reportai mon attention à nos deux danseuses du soir.
***
DREW
Notre soirée toucha à sa fin vers 4 heures.
Et ça avait été génial. Ça faisait longtemps que je ne m'étais pas autant amusé. Ston avait fini par nous rejoindre. J'avais l'impression de retrouver Ston et Jared comme au bon vieux temps.
Après un dernier au revoir avec tout ce beau monde de différents métiers, je raccompagnai Jillian chez elle. Elle savait tellement se faire aimer des autres et s'amuser que j'avais été émerveillé toute la soirée.
Nous marchions côte à côte silencieusement. Je ne m'empêchai pas de la regarder. Et elle le voyait bien car elle sourit.
— Qu'est-ce qu'il y a ?
— Rien. Tu rayonnes, même après avoir autant dansé.
— Merci Dr Davis. Ça me flatte.
Je souris et fourrai les mains dans mes poches. Ça faisait du bien, de se sentir revivre.
— Tu penses à elle ? Après avoir passé la soirée avec son frère ?
— Arrête de croire que je pense tout le temps à elle, ricanai-je.
— Attitude d'une femme trompée.
Je levai les yeux avec un petit rire.
Pour toute vérité, j'avais un peu peur de cette possible relation. Jillian avait l'air si possessive que ça me faisait flipper. J'avais l'impression qu'elle se mettait en concurrence avec DD qui ne connaissait même pas son existence.
— Tu ... te verrais avec moi ?
Je m'arrêtai de marcher, déconcerté par sa franchise ce qui la fit sourire.
— Tu rougis, Drew.
— Eh bien, tu m'en donnes l'occasion, me justifiai-je en clignotant des yeux.
Elle se mit sur la pointe des pieds et m'embrassa chastement avant de me regarder.
— Eh bien moi, c'est le cas. J'ai ... J'ai vraiment envie d'essayer avec toi. En plus, tu restes. Tu as l'air d'un type bien puis on se comprend. Même si c'est précipité, je sais aussi que la vie est courte et qu'il faut saisir les occasions le plus rapidement possible alors ...
Je l'observai avec minutie. Elle avait raison sur la dernière partie. Après, je ne pensais pas être un type bien. Je pouvais bien être aussi horrible que DD et Zeyn réunis puis après tout, nous étions pareils.
— Alors ?
J'haussai les épaules et pris une petite moue qui la fit rire.
— On pourrait essayer, répondis-je. Mais, prenons notre temps.
Son sourire irradia son visage et ensuite, elle m'emmena chez elle.
Les détails n'étaient pas nécessaires, mais j'étais fier de moi du sens que je sentais cette envie de tourner la page au plus vite. Dans un sens, comme Skyler n'était pas ma fille, plus rien ne me rattachait à DD et ses fantômes.
Nous pouvions donc être définitivement des amis.
Et ça, je lui dirais demain.
***
WILL
J'étais affalé sur ma chaise en attendant le coup de fil de la future héritière du QG.
Vendredi était enfin arrivé et elle devait déjà être arrivée à Los Angeles à l'heure qu'il était.
Et sincèrement, la reine me manquait, même si ça ne faisait que quelques heures qu'elle était partie. Oui, December-Dan me manquait parce qu'au moins, elle arrivait à contrôler sa chiante et folle de meilleure amie. Qu'est-ce qu'elle était insupportable !
J'étais au bord de la folie avec elle. Comment DD faisait pour la supporter ? Je me demandais comment j'allai tenir tout ce temps. Un supplice, je vous assure !
D'ailleurs, à l'instant même où vous lisez mes mots, elle était en train de jouer avec son stylo en appuyant dessus frénétiquement. Elle savait que ça me faisait chier. Elle le savait parce que je lui avais dit ! Et depuis, elle faisait exprès de m'énerver avec.
Je soupirai pour la millième fois et me redressai sur ma chaise.
Le bruit et ses doigts n'arrivaient pas à quitter mes pensées. J'avais envie de lui arracher ce style des mains et de le casser.
— Arrête, lâchai-je la mâchoire crispée tandis que je regardai sa main.
Elle me lança un regard désinvolte et fit éclater son chewing-gum.
Connasse...
— T'es dans mon bureau, cracha-t-elle en haussant les épaules.
Elle reprit son cliquetis frénétique. Je fermai les yeux et me serrai fortement l'arête du nez.
Une. Deux. Trois. Quatre.
Et si je l'étranglai avec la chaine de mon unique menotte ?
Cinq. Six.
Je soupirai encore une fois.
Sept. Huit. Neuf. Dix.
Elle me jeta un bref coup d'œil empreint d'une fierté malsaine.
Onze. Douze. Trei..
Je lui arrachai le stylo de la main, le jetai au sol et l'écrasai, comme un fou.
Elle me regarda les yeux écarquillés et plein de fureur.
Elle serra les poings, ouvrit un tiroir et sortit un autre stylo. Elle reproduit le même mouvement devant mes yeux, la mine crispée.
— Arrête ! la menaça-je.
— Arrête quoi ? C'est chez moi ici Will ! Je n'en ai rien à foutre de ce que tu penses !
— Eh bien, sache que je ne m'excuserai pas pour la mort de ton Wallas, si c'est ce que tu attends de moi, m'écriai-je au bord de la crise de nerfs.
Je sentais mes veines de la tempe, palpiter à une vitesse phénoménale.
— Je n'en veux pas de tes excuses merdiques ! Tu es un salopard William Wilkin. Une merde comme ton oncle.
Je me levai d'un bond auquel elle ne s'y attendait pas et la poussai contre le bureau, la colère s'emparant de moi.
— Je ne suis pas un Wilkin et ce n'était pas mon oncle ! lui crachai-je à la figure.
La tension était palpable. Nos visages étaient à quelques centimètres et je tentai ardemment de mettre en veille les pulsions meurtrières et de désir.
J'étais tellement mais tellement en manque ...
— Mais encore ?
Elle tenta vainement de me repousser sauf, que je ne bougeai que de quelques millimètres.
— T'es pourri de toute façon ! Je ne comprends pas pourquoi DD veut à tout prix sauver les gens.
— Peut-être parce qu'elle a un cœur que les autres n'ont pas.
Elle ouvrit la bouche, prête à m'asséner une réplique tranchante mais rien n'en sortit.
Je venais de lui clouer le bec. Il était clair que pour DD, c'était important pour elle. Peut-être qu'elle parvenait à voir ce qui pouvait être encore sauvé du côté obscur de ce monde.
— J'ai tué des gens et ? repris-je. Dis-moi que tu ne l'as pas fait.
Elle me fixa sans rien dire. Je venais encore une fois de la prendre de cours.
— Tu vois ! J'ai tué pour le mal et toi, pour le bien mais nous sommes au même niveau. Nous avons enlevé des vies.
Son souffle chaud atteignit ma peau et je fus attirer par ses lèvres, mais je relevai bien rapidement mon regard vers ses yeux. Je reculai d'un pas pour nous donner plus d'espace et surtout pour que je revienne à la surface car je n'allai surement pas toucher la meilleure amie de DD et surtout une fille qui avait du mal à oublier son stupide petit-ami. Il était mort. Point final.
— Mais je n'ai pas tué Wallas et ça, tu devrais commencer à le comprendre et à te le mettre dans le crâne. Il ne reviendra pas. December-Dan l'a compris. Aucun mort ne revient d'outre-tombe.
Je me rassis lourdement et regardai les écrans tandis qu'elle restait debout à me regarder.
Qu'elle me mate comme une folle, je n'en avais rien à battre. Je disais la vérité et elle le savait.
— Je sais qu'il ne reviendra pas, dit-elle après plusieurs minutes où le silence était maitre.
Je lui jetai un bref coup d'œil et passai une main dans mes cheveux.
Quelle illumination de sa part.
— Mais tu ne sais pas ce que ça fait de perdre un être cher, renchérit-elle. Quelqu'un qu'on aime. Tu ne sais rien de tout ça William.
Elle me regarda d'un regard que je ne pouvais pas qualifier. Avait-elle pitié de moi ? Si c'était le cas, j'avais envie de lui rire à la figure.
— Et je n'ai pas envie de le savoir. Je me porte mieux sans ces conneries, dis-je en reniflant, de comment on appelle ça ?! L'amour ?! Ça rend tout le monde con et moins lucide !
Elle me dévisagea incrédule tandis que je plaçai mes mains derrière ma tête. Je pris mes aises en posant mes pieds sur le bureau, mais d'un geste de main, elle les repoussa.
Je le refis et elle leva les yeux.
Quand est-ce que DD allait appeler ?
Je ne voulais pas parler d'amour et de bonheur avec cette fille.
Puis, j'avais d'autres problèmes. Comme ces menottes de merde et la recherche de mon identité, même si je savais qu'elle bossait dessus d'arrache-pied. Ah. Et, essayer de parler à deux de ces petits jeunes qui ont attiré mon attention. En effet, il y avait un dénommé Wyatt qui ne me semblait pas nette et son dossier aussi me laissait perplexe, ainsi qu'un Alex qui recherchait des informations bien étranges sur un cartel. Et grâce au QG, bien qu'ils avaient une certaine limite, ils avaient accès à quelques uns de nos dossiers. Si je savais ce qu'ils trafiquaient, peut-être que DD ferait en sorte que je n'ai pas d'agents pour me surveiller et que je n'ai plus ces foutus menottes.
— Arrête de mater comme ça. Je sais que je suis beau. Sans prétention bien sûr, mais tu refuses toute coopération d'un sport qui se pratique sur un lit. De là, je t'invite à regarder ailleurs.
Elle se mordit la lèvre tout en secouant la tête avant laisser échapper un petit rire.
C'était bien la première fois que je la faisais rire que j'en étais presque flatté.
C'est vrai que j'étais drôle. Et les filles adoraient ça.
— Tu ... n'as jamais été amoureux ? me demanda-t-elle.
Je ne fus pas un seul instant déstabilisé par la question conne qu'elle venait de me poser.
— Non. Est-ce que j'ai une tête à être raide dingue d'une nana moi ?
— Avec December-Dan, on pourrait le croire.
Nous nous jaugeâmes et je souris en coin.
— Tu es jalouse hein ?
— Absolument pas, prit-elle une mine brusquée.
— Soyons clair. December-Dan et moi, c'est une relation basée sur la force. On aime se mesurer à l'autre. Je n'ai pas peur de me battre avec elle et elle non plus.
— La force ?
— Yep ! Et j'aime la faire chier.
Elle me lorgna en croisant les bras.
— Elle ne t'attire pas ?
— Mh, fis-je mine de réfléchir, elle est sexy, c'est indéniable. J'sais pas, elle a un truc. Et elle est attirante. Très même. Ouais elle pourrait m'attirer, mais elle a déjà Isaac et tout. Un autre, ça ferait trop t'as vu !
Elle rit et étrangement, je me joignis à son rire.
— Y'a quoi de drôle ?
— En gros, elle serait célibataire, tu aurais tenté ? me questionna-t-elle à nouveau.
Qu'est-ce qu'elle était curieuse !
— Je tente tous les jours mais elle me repousse chaque jour ! répondis-je.
Elle leva les yeux. Si elle continuait comme ça avec moi, ses yeux allaient lui sortir de la tête, la pauvre.
— Pourquoi tu me demandes tout ça ? C'est parce que les gens fantasment sur notre couple ? Notre duo de choc ? Notre alchimie ?
— C'est un peu près ça, avoua-t-elle en acquiesçant. C'est pour ça qu'Isaac a aussi envie de t'encastrer dans un mur.
— Tss. Je lui refais sa gueule d'ange à ce type mais par respect à DD Lawson, je ne l'affronterai jamais. Je craindrais qu'elle tombe amoureuse de moi, vois-tu !
Elle rit une nouvelle fois et je souris doucement.
Pour DD n'était pas là pour voir ça ? Elle serait carrément fière de nous là. C'était la première fois qu'on avait tenu une conversation sans se crier dessus, même si au début, ce n'était pas gagné.
D'ailleurs, elle passa afin le coup de fil tant attendu et Sara se tourna, cliqua sur une touche du clavier ce qui me permit d'avoir son joli postérieur en plein champ de vision.
Nous la vîmes à l'écran et je ne pus m'empêcher de sourire. DD avait une tête trop craquante. Ne me demandez pas pourquoi mais parfois, même si j'aimais la faire chier, elle me faisait penser à une petite sœur. Un peu comme avec Marysa, à une certaine période de ma vie.
— Hé ! fit Sara. Alors, ça s'est bien passé ?
— Très bien. Rien de suspect jusqu'à présent. J'ai été choyé comme une princesse du début à la fin, sourit-elle. Je pense que je vais m'acheter un jet privé.
— Comme ça, on pourra réaliser l'un de mes fantasmes DD. M'envoyer en l'air dans le ciel, lâchai-je avec nonchalance et plus ou moins de sérieux.
— Ha. Ha. Qu'est-ce que tu es drôle William. Sinon, ça va ? Vous ne vous êtes pas entretués ?
— Eh bien, on a failli, répondis-je en devançant Sara. Avant que tu nous interrompes, elle me suppliait de tomber amoureux d'elle mais j'ai refusé.
— C'est bien que tu me sois fidèle William, sourit-elle à la caméra frontale de son téléphone.
— Heureusement que je te connais depuis des années Dan, parce que je suis à deux doigts de briser notre amitié, rétorqua Sara.
— Pardonne-moi, Sara. Bon, je vais me préparer. L'heure approche. Je vous rappelle dans une heure. Jared ne préfère pas voir ça. Et pas de meurtre avant qu'Isaac n'arrive. Il ne devrait pas tarder.
— Ils vont probablement tenter, Lawson ! répliquai-je ce qui la fit rire.
Elle raccrocha et l'écran redevint noir.
Sara se tourna vers moi avec le sourire avant de me gifler avec force, puis elle s'abaissa vers moi en me prenant par le col du tee-shirt.
J'avais littéralement sa jolie poitrine devant les yeux. Elle le remarqua car elle leva ma tête avec le sourire et lâcha :
— Ne prends pas trop la confiance avec moi Will. Je te hais toujours.
— Je ne prends pas la confiance, lui souris-je. Tu tentes de me provoquer alors que tu sais très bien que ça fait loooonnngtemps que je n'ai pas eu un lien intime avec une femme. Tu sais quoi ? La prochaine fois que tu me gifleras, je me mettrai à nue pour toi. T'es carrément sexy, Carlton !
Je ris tandis qu'elle me repoussa violement en m'insultant de connard avant de s'asseoir sur sa chaise, rageuse.
Ah là là ! Qu'est-ce que j'adorais rendre les gens fous ! Et surtout elle.
***
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