Chapitre 1
⚠️ Warning⚠️ Il y a eu une majorité de "OUI", alors chose promise, chose due, voici le premier chapitre d'UN NOUVEAU DÉPART ! Il a changé, il est plus ... "mature" et retravaillé et ça a été un plaisir. J'espère que vous allez autant kiffer que moi. Je ne sais pas si je vais continuer à publier ou autre, alors savourez !
Pour POP-UP, vous inquiétez pas, même si je mets du temps, la suite arrivera.
⚠️ Warning 2⚠️ Merci de ne pas spoiler la fin d'Une année là-bas (embarquez dans le bateau, c'est tout), sinon je retire le chapitre tout simplement. Je n'ai pas trop le temps de répondre aux commentaires et messages et tout.
Merci de votre compréhension ! (Même si je sais que ceux qui n'ont pas lu "UALB" ne vont pas forcément comprendre ...
Bref, des bisoooous et merci infiniment ! ❤️
PS : Montrez-moi que vous validez la VIBESSSSSSSSSSS ! Envoyez du lourd en commentaires, votez, aimez et partagez ! Kiss kiss kiss 😎😌
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Chapitre 1
Sept ans plus tard,
Bonjour ou bonsoir,
Bien sûr, tout dépendra du moment où tu liras ces lignes introductives.
Et, cela voudrait dire ... que tu as été assez curieux de savoir la suite de mon histoire.
Alors, savais-tu que sept ans, c'est quatre-vingt quatre mois et trois cent trente-six semaines ?
Je sais, c'est dingue !
Et, il s'en passe des choses. Surtout dans ma vie, si tu as des souvenirs de mon passé.
En sept années, il y a eu des hauts et des bas, de la joie et de la peine, des moments de doutes et de certitudes, et des retournements situations totales. Évidemment, j'ai pris en année, puis que j'ai vingt-quatre ans maintenant, j'ai mûri et j'ai changé. Étonnement changée.
Alors, je ne sais pas si je vais toujours autant te plaire, si tu vas davantage me détester ou avoir un quelconque impact sur toi avec cette dernière histoire, mais, j'ai des choses à te raconter et parce que tu mérites d'avoir cette véritable fin.
Donc, je me doute bien que tu veux savoir ce qu'il s'est passé durant toutes ces années et tu le sauras. Du moins, les grandes lignes parce qu'il faut vivre dans le présent. Et penser au futur qui m'a l'air radieux, lorsque tu seras à la dernière page de mon histoire.
Sache alors que je suis heureuse de te la faire partager. Je ne sais pas si elle sera aussi bien que la précédente mais j'en suis très fière.
Ravie de te retrouver sur ce final et accroche-toi bien, parce que ça promet !
December-Dan.
***
— Et encore une mission réussie, Agent Lee !
Je souris, heureuse et remerciai Sara qui me hurlait dans l'oreille que j'étais la meilleure, tout ça pour gonfler mon égo.
— Je sais que je suis la meilleure. Allez, on se retrouve à la maison pour souffler ses bougies. Je vais pouvoir être à l'heure aujourd'hui, annonçai-je.
— Quel exploit de ta part, me dit-elle, taquine.
Je finis par couper la communication et passai à travers les agents qui finissaient d'embarquer les criminels qui étaient en colère et qui essayaient de se débattre pour s'échapper comme si cela était possible.
Ils allaient tout simplement prendre plusieurs années pour avoir tenté de braquer une banque comme des sombres idiots avec des otages plus futés qu'eux.
Ils auraient pu réussir, malheureusement, leur mauvaise gestion du stress et une faille de leur plan a tout gâché.
J'arrivai auprès de mon agent pour l'informer de mon départ.
— Agent Bennett, je vous laisse finir, je m'en vais.
Mon ancienne recrue que j'avais formé avec fierté, il y a cinq de cela, se retourna vers moi.
— Oui, Agent Lee. Je m'en occupe.
Je lui donnai une tape à l'épaule et lui rappelai de me faire un rapport de la mission pour demain et la date d'arrivée des nouvelles recrues.
— Merci encore, Judith, dis-je doucement pour ne pas que les agents du FBI, de la CIA et de la NSA entendent son vrai prénom.
Parce que oui, son nom d'agent était Becca Bennett mais au QG, sa véritable identité est Judith Terry.
— Ça sera fait. Et vous lui souhaiterez encore un joyeux anniversaire.
— Je n'y manquerai pas.
Je quittai les membres de mon équipe en veillant bien que leurs identités ne soient pas découvertes même si nous travaillons de temps à autres sur des missions avec la CIA car ils avaient besoin d'aide ou du moins, de mes services pour réussir une mission avec succès.
Cela n'avait pas réellement changé en sept années. La CIA était parfois défaillante et laissait à désirer sur certaines décisions à prendre. M'enfin, lorsqu'il fallait éviter plus de dommages, j'étais ravie que le QG prenne la relève et règle le problème de la meilleure façon qu'il soit.
Par ailleurs, John et moi, étions l'interface entre le QG et eux. Évidemment, ils avaient essayé d'en savoir davantage sur notre QG, mais nous leur donnions des fausses pistes et de fausses informations qui ne les aidaient pas. Ils avaient fini par lâcher l'affaire en sachant que nous ne voulions que le bien de la patrie et rien d'autres.
Je m'apprêtai à quitter la banque et j'enfilai ma casquette ainsi que des lunettes de soleil, lorsque l'agent Marc Whyte, responsable d'une branche de la CIA, m'interpella.
— Tu fuis déjà ? Il faut que je te félicite quand même, ajouta-t-il.
— De rien, Marc. C'est toujours un plaisir de venir en aide à ces organismes que l'État finance alors qu'ils sont nuls à chier pour des simples missions. Je me sens tellement puissante.
Marc Whyte ricana me connaissant pour mon humour plus ou moins sincère. Ça faisait déjà plusieurs années que je le connaissais et que je le côtoyais ici et là. Il connaissait bien John et il était de confiance.
— Si seulement tu travaillais pour nous, tu pourrais faire bouger les choses en haut, me dit-il. Le gouvernement réaliserait que certains membres des organismes de la sécurité nationale, sont défaillants et dangereux.
— C'est là que nous rentrons en jeu, lui expliquai-je pour la énième fois. Pas besoin d'être sur le devant de la scène. Alors, non merci Marc, et je suis bien où je suis. Ne poussons pas mémé dans les orties.
Je lui tapotai l'épaule et il m'expliqua que c'était vraiment regrettable que je ne considère pas l'idée en tentant de me convaincre avec un salaire mirobolant comme s'il n'y avait que cela qui m'intéressait. Ce fut à mon tour de ricaner avant qu'il ne m'interroge sur mes recherches, d'un employé doué pour l'informatique et plus.
— Sinon, vous avez trouvé un informaticien de renom ? me questionna-t-il tandis qu'il me raccompagnait.
— Toujours pas.
— Nous en avons des excellents à vous proposer ...
— À bientôt Marc !
— Salue ton patron de ma part et dis-lui qu'il faut qu'on aille se boire un verre.
Je lui fis signe que le message serait passé et j'entrai dans ma voiture.
***
J'attendis patiemment devant l'entrée de l'établissement scolaire.
Il y avait un monde fou et une cacophonie qui me donnait envie de déguerpir au plus vite. Les cris des morveux m'agaçaient toujours autant.
L'enseignante sortit avec ses élèves et mon petit bébé repéra sa maman et son visage s'illumina de bonheur. Elle accourut vers moi et encercla ses bras autour de mon cou dès que je la réceptionnai, heureuse de la retrouver en cette fin d'après-midi.
— Je suis contente que tu ne sois pas en retard ! me dit-elle. Aujourd'hui, tu as été parfaite sur le timing.
— C'est quand même ton anniversaire alors oui, aujourd'hui je fais des supers efforts pour ma petite princesse. Joyeux anniversaire pour la centième fois depuis ce matin.
Je lui embrassai fortement la joue et la reposai au sol sans qu'elle ne cesse de sourire, des étoiles pleins les yeux. Je l'intimai à entrer dans la voiture quand son enseignante, madame Hall, s'approcha de nous.
— Mademoiselle Lawson, je voulais vous parler. Il y a une rencontre parent-prof ; la semaine prochaine. J'aimerais vraiment que vous soyez là, insista-t-elle.
Je la regardai et elle sourit à ma fille qui était en train d'attacher sa ceinture comme une grande.
Ne vous inquiétez pas, respirez, il va de soit que vous méritez une explication ...
— Euh ... d'accord. Tout va bien avec Skyler ? l'interrogeai-je.
— Oui, rassurez-vous. C'est juste que je préférais m'entretenir avec vous, au lieu que ça soit votre père, votre belle-mère ou votre frère. Il faut que ça change, insista-t-elle. Surtout, lorsqu'il s'agit de vous savez quoi ..., sous-entendit-elle. Je pensais que vous lui diriez la vérité avant son anniversaire ...
J'avais envie de lui dire de se mêler de ce qui la regarde mais je me retins. Je comprenais totalement où elle voulait en venir.
En ce 24 septembre, date de naissance de ma fille, Skyler Brannen Lawson, je n'avais pas envie de m'énerver, surtout que je n'avais pas forcément raison.
— Je suis très souvent occupée, madame Hall. Et, je fais mon maximum pour être présente pour ma fille, dis-je. Et, ... je vais le faire.
Elle me lança un regard plein de bienveillance, ce qui m'aida à réprimer mon agacement à son encontre.
— Je sais que votre métier de policière vous prend du temps et je sais que votre famille vous aide, mais je pense que ça ferait plaisir à Skyler. C'est très important pour elle et son développement. Par exemple, aujourd'hui, elle était toute excitée à l'idée que sa maman vienne la récupérer, parce que c'est rare, après qu'elle soit venue la déposer à l'école ce matin. Alors, rendez-vous vendredi prochain à 18 heures. Et, si vous avez un imprévu, faites-le moi savoir.
Elle n'ajouta rien de plus, salua Skyler à travers la vitre et s'en alla.
Je soupirai et entrai dans ma voiture en étant accueillie par les questions de Skyler.
— Ta prof veut juste me parler. J'espère être disponible, lui expliquai-je. Sinon, ça s'est bien passé ta journée ?
Elle me raconta qu'elle avait soufflé ses sept bougies avec ses camarades de classe et que le gâteau de mamie Hopie aka Hope, était excellent et qu'ils s'étaient tous régalés. Elle ajouta qu'elle avait hâte de retrouver toute la famille pour souffler encore une fois, ses bougies.
En chemin, je me rappelais que le grand Karl Lawson m'avait rappelé ce matin de faire quelques courses pour le diner de ce soir, où nous serons tous réunis.
Nous nous arrêtons donc chez notre commerçant du quartier, Barny's, pour accomplir notre mission. Ce petit commerce était très sympa et on y trouvait plein de bonnes choses. C'était coûteux mais de qualité.
Sans attendre, elle se dirigea vers le rayon des livres. Elle préférait m'y attendre, comme d'autres enfants, pendant que je faisais rapidement les courses.
Je passai au rayon de la boucherie pour acheter de la viande et il y avait Palson Raynold, un vendeur aimable et souriant qui m'accueillit avec le même engouement que d'habitude.
— Ça faisait longtemps, December-Dan.
— C'est vrai. Vous savez très bien que je déteste faire les courses. Alors, comment va madame Raynold ?
— Très bien, merci, me sourit-il.
— Super. Vous la saluerez de ma part.
— Bien entendu. Tu désires la même chose que d'habitude.
— C'est ça. Je pense que papa veut faire quelques grillades pour l'anniversaire de Sky, demain.
— Déjà ? Que le temps passe vite. Elle a donc 7 ans, maintenant.
— Tout à fait. Elle doit être plongée dans un livre, dis-je en la cherchant du regard.
Elle était assise par terre avec un bouquin en main. Elle passait son temps à faire ça et ça me rendait fière d'elle.
— Elle est adorable. Allez, c'est cadeau toute cette bonne viande.
— Quoi ? Non !
— Mais si. Allez December-Dan, ça me fait vraiment plaisir.
Il plissa les yeux avec un léger sourire. Ce type avait un cœur en or.
— OK, mais vous et madame Raynold, venez manger demain à la maison pour l'anniversaire de Sky.
— Avec plaisir.
Il me prépara rapidement l'emballage tandis que je reçus un appel de Marysa. Ça aussi, c'est surprenant hein ? Je vous expliquerai tout ça plus tard parce que je suis pressée par le temps ...
— Allô ?
— Saluuuut ! Je suis en chemin. Vous avez besoin de quelque chose ?
— Je vais bien Marysa et toi ?
— Parfaitement. D'ailleurs, tu préfères les orchidées aux roses, n'est-ce pas ?
Je ris doucement. Elle était toujours aussi agaçante. Mais elle aussi avait changé. En bien.
— Oui, je vais bien DeeDee Lawson. Et on s'est parlé ce matin. Ça a été ta mission ? Et, je suis juste stressée par ton mariage, dit-elle en enchainant ses propos.
Oui, je sais bien que c'est une autre information qui doit vous en boucher un coin. L'explication arrive.
— C'est moi qui devrais l'être. Et oui, je suis dingue des orchidées et des lys.
— C'est noté. Comment tu fais pour ne pas l'être ? Seigneur, tu vas te marier et tu n'es pas stressée ?
— Nope, souris-je, parce que je l'aime.
Elle prit une voix attendrie tandis que je récupérai le sac et je calai mon téléphone entre mon oreille et mon épaule, puis fis un signe du pouce à Palson avant d'aller retrouver mon trésor de fille.
— Je suis heureuse pour toi, DD. Sincèrement. Tu le mérites tellement. Et Sara et moi, on te prépare un mariage royal. Ne t'inquiète pas, ça va être FA-BU-LEUX. Bon, je passe la commande définitive de tes fleurs et j'arrive. Et merde ! Je viens de me trahir moi-même. Bref, attendez-moi pour souffler ses bougies, sinon, je boude tout le monde.
Je ris face à sa désinvolture.
Je m'avançai dans l'allée, l'écoutant dire des bêtises et m'apprêtai à dire à Skyler que j'avais fini, lorsque je la vis parler avec un homme. Ça m'agaçait lorsqu'elle parlait à des inconnus alors j'allai gentiment la réprimander encore une fois, mais je restai figée sur place.
Mon sang se liquéfia littéralement et je me sentis légèrement chanceler face à cette vision inattendue. Je ne m'étais pas préparée à ça. Pas aujourd'hui.
Ce fut la voix criarde de Marysa qui me fit sortir de ma léthargie et en vitesse, je filai me cacher derrière le rayon, la voix haletante et angoissée. Ma main tremblait ainsi que ma voix.
Non ! Non ! Non ! Ce n'était pas possible ! Pas au moment où je dois vous raconter ma nouvelle vie !!!!
— Tu ne m'écoutes même pas DD ! C'est très vexant.
— Marysa ...
J'avais une soudaine envie de faire une syncope. Je ne m'y étais pas préparée à ça.
Ces sept dernières années venaient de me resurgir en pleine face tel un coup de poing à la figure auquel on ne s'y attend pas.
La surprise, la crainte, la vérité me prenait dans mon être entier et c'était affreux.
Ce n'était pas comme je me l'imaginais...
— Dan, ça va ?
— Il est là, bégayai-je avec un sentiment de panique qui m'envahissait. Il est là.
— Qui est là ? Je ne comprends pas. Je ...
Elle laissa sa phrase en suspens et devina mes mots. Elle laissa échapper un hoquet de stupéfaction.
— Merde !
C'était clairement ça.
Une grosse merde que j'avais réussi à oublier mais finalement qui me revenait en pleine gueule, parce que ... bien que l'image ne soit pas très attrayante, je ne m'étais pas préparée à la recevoir.
***
TADAM ! J'avoue que je kiffe très très bien même ! 😎
Qu'avez-vous pensé de cette nouvelle version, plus directe, moins de bla-bla et tout ?
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