Chapitre 2 : Tempête cérébrale.

Chapitre 2:

Les rues de la capitale étaient envahi d'un épais brouillard qui ne semblait pas enclin à disparaitre. Une fraicheur humide, envahissait les passants qui à cela avaient la désagréable impression d'avoir leurs vêtements à demi moite. Mais les problèmes météorologique n'étaient pas ce jour-là le sujet de conversation qui agitât la large ville. De perrons en perrons, quelques femmes s'interpellaient entre elles :

- Vous aussi vous l'avez lu ?

- Oui, quel horreur, vous pensez que c'est vrai ?

- Allez savoir !!

Et là se terminait ce bref échange, qui pourtant semblait parler d'un sujet assez sérieux. Mais c'était comme une rumeur qui cour le long des rues et qui parait impossible à contrer. Comme lors d'une course ou un athlète hors paire, fait face à des débutants que peu entrainé. L'écart est énorme et l'empêcher de courir, ou du moins essayer de le rattraper parait peu probable.

Le soir dans les nombreux bars de la ville, des hommes et des femmes buvaient des pintes de bières en échangeant à voix basse sur leurs ressentit. Certain sortaient discrètement l'objet de leurs intérêts. Sur le bois des tables on pouvaient voir un journal au papier jaunie naturellement assez chiffonnait, et qui était passé tellement de main en main que son usure en était prématuré. Le nom du journal était assez peu commun puisqu'il s'appelait, " L'oiseau Bavard ". Le détenir était vu presque comme un crime et très peu toléré par les services policiers de la ville. Car en effet, " L'oiseau Bavard " était un journal clandestin, fait par des détracteurs du gouvernement, et qui cherchait régulièrement à ouvrir les yeux du peuples, sur la situation injuste et difficile des êtres à part. Personnes ne savaient qui était le rédacteur en chef, de ce terrible papier, et aucun n'avaient ne serait-ce qu'un début de doute, quand à cela. Aussi après avoir était longtemps soupçonné et après s'être forcé à vivre une vie des plus tranquille et normal, Iceburg - car s'était lui- avait repris ses activités secrètes.

Lui aussi avait lu l'article de ce journaliste inconnu qui avait tant déplus au souverain, et l'avait plongé dans l'une de ses fameuses colères. Mais à présent que les soupçons s'éloignaient de lui, et que ceux qui gardaient un oeil sur sa personne trouvaient que sa vie était des plus banales voir même ennuyeuses, l'homme au tempérament de glace avait repris ses projets interdit. Avec l'aide de ses complices, il avait enfin pu publier un énorme et épais dossier dans son journal clandestin, sur les horreurs que le gouvernement et ses scientifiques pratiquaient sur " les êtres à part." Longtemps repoussé à cause du danger qui s'était trop approché de lui, Iceburg était fière d'avoir enfin put tenir sa promesses auprès de Sabo , Shanks et Koala.

Sans aucun remord il avait mis les photos horrible et dur à voir sur des charniers souterrains, ainsi que des geôles ou Hommes Femmes, mais aussi Enfants s'entassaient en attendant une mort des plus affreuses et inhumaine. Il avait mis aussi certain passage des rapports écrit de la main même de Judge, ou lorsqu'on le lisait on avait l'impression d'avoir à faire à un boucher parlant de son étalage de viande. Clown n'était pas en reste et les révélations sur ce qu'il avait fait à Mihawk avait été révélé. Et cela en plus de tout le reste parut choquer la population.

- Mihawk a bien servi le roi durant des années, disait certain homme à voix basse alors que les autres écoutaient avec attention. Il n'a jamais rien tenté contre lui, alors qu'au final c'est un des " leurs."

- Justement sont-ils aussi dangereux qu'on le prétend ?

- Mais tu oublies aussi, que dernièrement. Après toutes ses années de services, Mihawk s'est battu avec le roi , et qu'il est à présent recherché pour trahison ?

- Tu crois pas que toi aussi tu serais en colère, si on t'avais dis qu'on s'était servi de toi comme une arme, et qu'on t'avait menti sur ta vrai nature ? Hein ?

- Bah...j'sais pas....

Ainsi une tempête agitait les cerveaux de la population moyenne. Dans tout le royaumes des doutes naissaient ici et là, et faisaient peut-être naitre chez quelques rare d'entre eux , des débuts de remords, qui ne leurs étaient jamais venu jusqu'ici.

- Quand même, disaient certaines femmes les larmes aux yeux. Ces pauvres enfants....même eux n'ont pas été épargné....c'est inhumain..

- Je suis moi même maman, disaient d'autres....et quand je vois ça mon coeur de mère et horrifié. Rien ne justifie ça !

D'autre restait quand même butté dans leurs visions raciste et trouvaient toujours que les êtres à part méritaient tout ça ! Mais ces dernier ne se faisaient plus applaudir comme avant, comme à l'époque, ou tout le monde fermaient bien les yeux pour ne pas avoir trop de remords et de regret sur la conscience.

- C'est pas pour autant qu'ils doivent vivre avec nous ! Ce sont des animaux !!!!

- Ils sont peut-être au final juste un peu différent de nous ? Osaient alors suggérer certain ! Rien de plus !

Mais des regards de haines leurs étaient alors lancé pour avoir eut cette horrible idée de comparaisons.

Mais les graines du doutes étaient à présent semé à travers le pays, et bien des gens commençaient à se poser des questions, qu'ils n'auraient jamais cru venir dans leurs esprits. Certaines mamans, chez elles observaient leurs progénitures à l'heure du goûter ou des devoirs. Le coeur battant à tout rompre elles essayaient de se mettre à la place des ces mamans et de ces papas omégas - qu'elles assimilaient aux femmes. Eux aussi devaient certainement aimer leurs enfants ? Comme ils devaient avoir peur pour l'avenir de ses derniers.

Le jours même ou ce journal clandestin avait été distribué à travers la capital et ses environs, Iceburg décida à nouveau de jouer l'homme à la vie des plus ennuyeuses.

- Patrons, lui avait dis l'un de ses complices qui s'amusait à faire des nœuds avec une corde, vous devez plus paraitre dans le coin avant un bon bout de temps. Restez à votre bureau et continuez de vivre normalement. Lui avait-il dis.

- Toi aussi Pauly et c'est pareil pour tout les autres ici. Nous ne devons pas revenir " ici " avant un bon bout de temps !!

- Hey, c'est cool ! Tenta de plaisanté l'homme aux cheveux blond brossé en arrière avec un cigare de coincé entre les lèvres. Je vais pouvoir m'adonner à ma passion ! Les jeux d'argent !!

- Tu vas encore de ruiner, gronda Iceburg, le regard sévère.

Mais de nouveau l'homme que Shanks appelait malicieusement " mon glaçon préféré ", devait de nouveau se faire discret, lui ainsi que ses hommes et complices. Pourtant cette petite bombe qu'il avait lâché dans son journal clandestin lui plaisait au point de le faire sourire. Le soir chez lui à l'abri de possible doute extérieur, il s'était autorisé une grand verre de Whisky.

******

Le roi de son coté continuait de fulminer de rage. Et si l'article précédent l'avait plongé dans une énorme colère, l'impacte de ce dernier venu, manqua de lui faire faire une véritable crises de nerf. Au beau milieux des pages de ce torchons aux feuilles jaunes s'étalait tout ce que lui savait et encourageait secrètement depuis des années. Il y avait dedans des photos à faire vomir d'horreur quiconque les voyaient, des frissons faisaient trembler les corps de ceux qui avaient devant leurs yeux ces visions abjects. Et même certains nobles de la cour n'avaient pu s'empêcher de trouver toute cette histoire " ignoble". Pourtant à l'inverse de la populations des petites et grandes villes, eux se gardaient bien de le dire. Mais donnaient à l'avenir à Reiju et ses projets de potentiel soutient.

En lisant tout ce que lui et son gouvernement s'étaient évertué à cacher depuis des années et des années, Alban en était sur le moment resté coi. Les yeux écarquillés, la bouche entrouverte, on avait l'impression lorsqu'on le regardait, qu'il venait de se prendre un immense coup de poing dans l'estomac. Ses ministres ainsi que ses serviteurs personnels qui n'étaient jamais loin, avaient attendu le coeur battant à tout rompre, que la pulsion de colère qui n'allait certainement pas tarder à éclater, pet un bon coup. Le nez baissé en direction de la longue table autour duquel ils étaient tous réuni, aucun ministres n'osaient le regarder en face. Les serviteurs quand à eux, se demandaient intérieurement si ils n'auraient pas préféré travailler ailleurs qu'au service de ce roi imprévisible et terrible.

Et puis se fut soudaine, un cri de colère éclata dans la salle de réunion, alors qu'avec brusquerie Alban envoyait valdinguer au sol tout ce qui se trouvait devant lui. Avec fureur il s'était relevé de sa lourde chaise qu'il fit pourtant tomber en arrière. L'assemblée de ministre se mit à sursauter, alors qu'aucun d'entre eux n'avaient la moindre envie d'ouvrir la bouche.

- Bon dieu, mais faites quelques choses, pour que ceci s'arrête ! Cria Alban face à ses ministres dont l'un se pris les papiers dans la figures ! Je vous donne des postes prestigieux, des devoirs admirable et vous ....vous restez comme une assemblée de con, les bras ballant !

- Ma..majesté ...nous...ne savons pas d'où ça viens, ni comment de tel document ont pu se trouver dans les mains des ennemies du royaumes.

- Imbécile !!! A quoi te sert ton cerveau si se n'est à t'en servir hein ? Qui à quitté brusquement son poste de larbin dernièrement ? Qui à cherché à se servir de mon épouse, pour se protéger et mettre son odieux petit nez partout dans mes affaires ? ...Qui à failli faire crever Lucci l'un de mes plus fidèle milicien, hein ? Qui à été retrouvé à fouiner dans MON bureau hein ? QUI ?!

- Sa...Sabo ? Osa l'un des hommes qui lui faisait face, en levant bêtement la main, tel en enfant hésitant face à une questions de la maitresse d'école.

- BRAVO ! Ironisa Alban qui marchait dans tout les sens ! On a un gagnant ! Abrutie ! Vous êtes payé des fortunes pour être mes ministres, ou vous n'êtes pas fichu de me retrouver ses ennemies qui cherchent à me faire détesté par mon peuple !! Bougez vous le cul, ou vous finissez tous en taule !!!! J'en ai marre d'avoir à faire à une bande de débile, qui cherche juste à s'enrichir à mes dépends !!! Vous ne foutez rien de vos journée, et passez votre temps à me dire " On sait pas." " On a pas trouvé " " On ignore " .......

Et puis les cries et reproche avaient tant et si bien augmenté, que le roi parut au fil des minutes écoulé devenir complètement dingue de colère. Ses yeux vert s'étaient écarquillé comme si la folie s'emparait de lui, alors que des coups de pieds dans les meubles étaient distribué sur son passage. Parfois il giflait un ministre qui se défendait en croisant les bras devant lui. N'ayant pas sa femme près de lui pour le calmer Alban a cet instant était une bombe de rage qui était entrain d'éclater. Ses hurlement avaient envahi tout le château, et au bout d'une heures il s'était évanouie, tout simplement la colère. L'instabilité émotionnel qu'était la siennes avait été trop forte pour son métabolisme.

*****

Dans la ville de Durangue Reiju ignorait bien entendu les problèmes de son époux. Le petit village que ses frères avaient pris en otage, était pour le moment encore dans l'ignorance de ce que le journal clandestin d'Iceburg avait révélé. Maline elle avait su gagner la sympathie de son jeune garde du corps, qui bien que ne payant pas de mine, s'avérait être autre choses qu'un gringalé timide. Parfois au fil d'une conversation anodine, elle lui demandait son avis sur des sujets assez banale, afin d'avoir une idée sur sa manière de penser.

- Et les êtres à part qu'en penses-tu ? Lui demanda t-elle une fois, alors que Lucci et les siens fouinaient à travers le village et ses alentours.

Le jeune homme à cet questions parût embarrassé. Ses grands yeux se baissèrent en direction du sol, signe qu'il avait peur de ne pas penser " comme il faut." Et puis ses mains qui étaient régulièrement croisées dans son dos, s'étaient mise le long de son corps un bref instant, avant qu'il ne commence à se tordre inconsciemment les doigts, signe qu'il n'était pas très l'aise.

- Je n'ai aucune haine contre eux ! Avoua t-elle en buvant une tasse de thé afin sans doute l'encourager à dire ce qu'il pense sincèrement. Toujours à ses côtés, sa fidèle Lilia, le fixait à son tour avec une terrible intensité.

- Et bien....hasarda Koby, Je....je ne comprends pas vraiment la peur qu'on peut avoir d'eux....bafouilla t-il à toutes vitesses. Ce ne sont que des gens comme vous et moi...avec juste...Des capacités différentes.

- Je suis d'accord, répondit Reiju dans un beau sourire encourageant. Tu peux me parler librement, je ne dirais rien de tout ça à personnes...pas même à mon époux. Comme toi, tu garderas tout mes petits secret pas vrai ?

- Bien sûr majesté, je ne trahirais jamais votre confiance, s'exclama le jeune homme en posant un genoux à terre.

- Merci pour ta fidélité, sourit la jeune femme en lui proposant une tasse de thé, que le garde du corps refusa poliment. Très bien si tu n'en veux pas.....dit la jeune femme en donnant la tasse à sa servante qui après une révérence de remerciement commença à boire la tasse. Dit moi en quoi tu trouves que les êtres à part sont comme nous ?

- Et bien, ..hésita Koby en prenant un instant de réflexion.... A la base ..nous sommes tous différent ! Même parmi les bêtas, certain comme moi, ou même Lucci, Kaku et j'en passe...avons des capacités physique au delà de la norme populaire. Et pourtant on nous voit comme des gens " normaux". Les êtres à part, ses pareils ils ont des capacités plus exceptionnel que les notre c'est vrai..., mais les fois ou ses derniers s'en son servi contres des bêtas, pour de mauvaise raisons, sont extrêmement rare.....Ce qui me laisse à penser, que comme dans toutes sociétés, il y a des bonnes personnes, et des mauvaises. Et ceux qu'importe le " côté " d'où ils viennent.

- T'es arguments ne sont pas mauvais ! Reconnu Reiju, belle et calme à la fois.

Sans doute était-ce parce que Koby se sentait encouragé par la détente de la souveraine, qu'il continua de révéler sa manière de voir les choses.

- Prenez l'exemple de ce " Shanks le roux ", Expliqua t-il en constatant l'air surpris de la jeune femme à cette évocations. On dit que s'est un monstre capable de raser des villes. Ce qui est sans doute vrai au vu des nombreux témoignages attestant de cela. On dit aussi de lui, qu'il ferait tout pour nous annihiler... nous les " bêtas"....et pourtant pas une seules fois ces dernières années, on a eu à faire à lui... pas une seules fois on a constaté un méfait venant de sa part contre des bêtas.... le peu de fois ou il a été repéré , c'était pour ce défendre contre des chasseurs d'être à parts.......ce qui me fait dire que sa réputations de " monstre sanguinaire" et surfaite..... je ne penses pas qu'il cherche à nous détruire ....ou quoi que se soit approchant...sinon il l'aurait fait depuis longtemps !!! Je penses qu'il a un autre but plus important que de tous nous détruire....

- Il protège les siens.... supposa Reiju un peu pensive, en inclinant légèrement la tête.

- Il protège les siens ! Répéta Koby avec certitude.

- Ce que tu dis et très malin, et je n'y avais que vaguement pensée, dut reconnaitre la souveraine. Et j'en conclu que tu n'es pas d'accord, avec la manière de pensée du roi et ses ministres, avoua la jeune femme en braquant son regard bleue sur son jeune garde du corps. Mais ne t'en fait pas Koby je suis tout à fait d'accord avec toi. Je penses que les êtres à part ont autant le droit de vivre que nous !!!

- Est-ce pour cela, majesté que vous êtes venue dans le village de Durangue ? Pour savoir...pourquoi des êtres à part ont...ont......supprimés vos frères ? Demanda Koby, qui sembla aussitôt regretter l'audace de sa question.

La jeune souveraine plissa les yeux, et sembla réfléchir un instant. A voix basse la jeune Lilia lui demandait de garder la plus grande prudence quand à ses révélations, n'osant croire tout à fait qu'une personne venant de l'armée royal ne soit pas aussi pourrit que Lucci et les autres.

- Je veux juste comprendre pourquoi mes frères sont mort ici , répondit évasivement Reiju. Cette chambre ou nous somme était là leurs ! Elle a été remis à neuf dernièrement.... et j'enquête pour comprendre ce qui s'est passé...Dans le moindre détail !!

- Est-ce juste pour cela ? Ne put s'empêcher de demander Koby, avant de s'excuser pour son indiscrétions.

- Lorsque je serais certaine, de tes intentions ..tu en sauras peut-être plus !

Au même moment, dans le cabinet médicale du médecin du villages, Lucci rongeait son frein pour ne pas se laisser aller à ses menaces habituel, lorsque ses questions ne trouvaient pas de réponses satisfaisante. Sachant que faire preuve de menace auprès de personne ayant subi un danger de mort était inutile, voir peu productif, il avait encouragé fortement ses hommes a agir avec subtilité.

" Gare à toi Jabura si j'apprends que tu ne m'a pas écouté ! "

L'homme qui faisait penser à un loup, de par son attitude, avait marmonner dans ses moustaches comme un gamin boudeur, mais avait promis d'être discret. Depuis l'équipe de l'homme léopard, arpentait la petite ville en noyant de questions les habitants, désireux de laisser toute cette histoires derrière eux.

- C'est comme j'vous l'ai dis ! Ils ont déboulé de nul part !! Affirma le vieux médecin, en triant quelques dossier. On avait l'impression qu'ils étaient tombé tout droit du ciel !!

- Et vous avez soigné leurs blessures, malgré ce qu'ils sont ? Questionna Lucci avec un visage franchement méprisant quand à cette simple idée.

- C'était la moindre des choses quand même! Bredouilla le vieil homme ! Ils nous ont quand même sauvé.....Celui qui avait les plus grave blessures n'était qu'un môme ! Il avait été passé à tabac, par ses monstres de frères Vinsmoke ...eux par contre étaient des monstres!!!

- Vous savez pourquoi ils se sont acharnée sur ce type précisément ? Comment était ce dernier ? Je veux dire physiquement. Demanda Lucci, toujours assis sur sa chaise en prenant parfois des notes sur un petit calepin. Sur son épaule un pigeons à l'air arrogant donnait l'impression de toiser le médecin !

- Hum ? Fit le vieux docteur en massant son menton d'un air pensif. Il était blond. Grand, mince, avec des yeux bleue. Sur son menton il y avait une petite barbichette noir.....Il avait près de lui son Alpha très certainement ...un type avec des cheveux vert c'est lui qui à tué le frère Vinsmoke à cheveux rouge...enfin je me souviens biens. Et franchement si je pouvais je lui dirais merci !! Ce type voulait tous nous tuer, ou plutôt nous" cramer "....En plus de ces deux là, repris le vieux. Il y avait un médecin très intelligent ! Brun, encore plus grand que les deux autres, avec plein de tatouages ! Il appelait le blond.. petit frère...Visiblement ils étaient de la même famille...

- Avait-il un signe distinctif, je veux dire le jeune homme blond. Puisque l'attention des frères de la reine s'est porté sur lui.

A nouveau le vieil homme prit un air pensif, puis frotta son crane. Dans sa mémoire c'était comme si il y avait un troue impossible à combler. Il se rappelait bien s'être fait une réflexion quand au visage de ce gamin martyrisé ...mais il ne se rappelait plus duquel ....

- Je ..ne crois pas ! Marmonna t-il un peu perdu !

- Vous êtes sur ? Insista Lucci qui avait senti son hésitations.

- Ben oui....j'ai beau réfléchir je ne vois rien d'autre ! Ce n'était qu'un gamin lambda quoi ! assura le médecin en rangeant les dossiers dans différents tiroirs. Mais et vous Mr Lucci, vous allez bien ? Demanda t-il en fixant son regard d'expert dans les yeux féroces du chef Milicien.

Surpris pas une telle questions, le brun fronça des sourcils alors que son pigeons s'agitait sur son épaule d'un air indigné. Comme si cette questions était très déplacé.

- Bien évidement ! Répondit subrepticement l'homme, en se redressant. Pourquoi cette questions ?

- Je ne sais pas ..reconnu le docteur. Il y a quelques choses chez vous qui me donne l'impression que vous n'allez pas bien....Ou plutôt c'est votre regard....

Cette fois-ci Lucci sembla agacé, un grondement digne de la bêtes qu'il pouvait être à l'occasion se fit entendre. Faisant trembler le pauvre vieil homme de peur.

- Je....je suis désolé.

- T'es yeux te jouent des tours l'ancêtre .. Tu devrais prendre ta retraite.

Sans rien ajouter de plus, le dangereux miliciens sortit du bureau médicale, avec autour de lui une sorte d'aura menaçante et inquiétante. Apeuré le vieux médecin l'avait vu sortir non sans quelques soulagement au coeur. Avoir à faire à un type pareil n'était décidément pas une partie de plaisir.

Combien de temps, lui et son village allaient-ils devoir subir leurs présences malfaisante. Sans rien dire, le vieux médecin voyait bien ses concitoyens être ennuyés par ces miliciens tout droit envoyé par le roi et ses ministres. Il avait bien vu , cette femme blonde poser des questions d'un air sévère, alors qu'elle accusait de harcèlement tout ceux qui osaient flatter sa beauté. Il avait aussi observé cet homme au long nez carré, mais au visage plus doux que ses collègues. Au moins lui ne faisait pas aussi peur que les autres, et certain l'avait même surpris à rire avec quelques enfants. Un autre qui avait l'air complètement bizarre et dont le prénom était déjà retenu par tout le monde était ce " Jabura." Il ne cessait de raconter des histoires bidons et affirmant à quiconque..

" Il ne faut jamais croire un loup menteur."

A dire cela il passait plus pour un barjot qu'autre choses. Ce qui agacé son chef bien évidement, et visiblement c'était le but qu'il cherchait à atteindre. Mais pourtant malgré les réponses sincère mais peu intéressante qui leurs étaient servi, aucun d'eux ne semblaient décidé à partir. Et souvent ils revenaient posé de nouveau les mêmes questions au même individu, afin sans doute de voir si leurs réponses varié au pas.

Mais ce qui était satisfaisant c'est que pour le moment aucun doute quand à l'existence d'un refuge ,près d'ici n'était venu à l'esprit, ni dans la bouche des questionnés. Et cela rassura les proprios de l'hôtel qui s'en voulaient encore d'avoir trahi le chef auprès des dangereux frangins.

******

Dans le refuges, l'hiver qui s'était pointé en avance, continuait de prendre ses quartiers. Bientôt les arbres squelettiques, commencèrent à geler sous le poids de la neige et parfois de la glace. Certain courageux, déblayaient régulièrement la neige, afin qu'il y ait ici et là, quelques chemins praticable, pendant que d'autres continuaient de gratter régulièrement les nombreuses vitres afin d'y chasser le gel accumulé. Les après midi lorsque le vent était absent quelques habitants allaient faire un peu de patins à glace sur le lac gelé.

Le chef des lieux qui pour une fois avait le droit de s'amuser plutôt que de travailler, car après tout leurs refuges était en mode " hibernation". Avait réussi à convaincre son très retissant d'oméga d'y faire un tour. Debout devant l'immense patinoire naturel Mihawk observait la choses d'un air dubitatif. Autour de lui, il voyait quelques couples patiner main dans la main. Quelques enfants eux y allaient avec la plus grande des prudences. Alors que des fous dangereux comme Luffy fonçaient et s'étalait avec perte et fracas, dans des positions toujours plus hilarantes.

- Allez viens ! Bon dieu amuse toi Mi' ! S'exclama joyeusement le chef dont la stabilité sur la glace semblait toute relative.

Mais à cet instant Mihawk bien loin de ressembler à un faucon, tenait plus de l'âne têtu. Et refusait avec obstination de mettre les pieds sur cette choses gelé que les siens trouvaient pourtant si amusant. Non loin de lui Sanji qui avait emmitouflé comme il faut sa fille avant de la garder contre lui et dans son propres manteau, observait en riant comme un maniaque, Zoro se prendre pelle sur pelle, tout en se retenant de jurer. Law était dans le même état que son frère de coeur, car Kidd qui encore une fois s'était opposé au bretteur, tombait en bramant de douleurs....Le petit Andrew s'agitait dans les bras de son papa oméga, et frappait de ses petites mains gantées lorsque son père s'étalait comme un malpropre au sol.

- Papa, disait-il en pointant du doigts le rouge qui s'appuyait sur Zoro pour se relever provoquant la chut de ce dernier !!!

- Pourquoi tu lui dis à lui et pas à moi ! Se désola le chirurgiens en se pointant du doigts. Papa ! Dit moi, Papa !!

- Mama....!

- Ah non, Papa ! Corrigea Law horrifié à l'idée d'être appelé mama...Pourquoi mama...hein ? Discutait-il alors que son fils lui mettait un vent en babillant avec une petite Suzie qui semblait lui répondre. Papa....

Bien à l'abri dans le manteau paternel, - en plus du siens- Suzie continuait ses petites vocalises en regardant son Alpha de père collectionner les bleue dans des chutes mémorables. Mais toujours en éternel compétition avec Kidd, Zoro refusait de capituler avant ce dernier. Parfois lorsqu'il était debout sans tomber, il observait son chef négocier avec Mihawk qui observait la glace comme si s'était son ennemie héréditaire.

- Heureusement que l'épaisseur a super augmenté, commenta Franky visiblement très agile sur des patins. Main dans la main avec sa magnifique compagne, il semblait narguer tout les tombeurs compulsifs qui les entouraient.

Chopper n'était pas en reste et avait toutes les aptitudes d'un champions olympique. Grace à ses conseille et à sa patience, il avait su entrainer idéalement Ussop, pour qu'il arrête de flipper, ainsi que Luffy qui au début ne tenait pas mieux que Kidd et Zoro. Occupé avec leurs nouveaux nées Ace et Marco, observait la scène du couloir Arum et riaient de bon coeur lorsqu'ils percevaient la chute de l'un de leurs amis. Ne voulant surtout pas exposer leurs bébés au temps glacial, et ne tenant tout simplement pas à mettre le nez dehors, l'un comme l'autre étaient heureux de rester au chaud.

- Je te parie que Mihawk ne va pas monter sur la glace, et va rentrer dans moins de 10 minutes. S'exclama le Phoenix, qui donnait le biberon à celui que Luffy nommé , "mini Marco." Tétant avec une certaine fainéantise son biberon, il fallait parfois le réveiller pour qu'il continu de boire son lait. Détendu comme son père, sa jolie petite mèche blonde sur le sommet de son crane faisait l'admiration de tous.

- Tenus ! Shanks va finir par le convaincre j'en suis certain ! Assura Ace en regardant sa petite fille téter avec fureur son biberon. On avait l'impression en la voyant qu'elle ne comptait pas renoncer sans l'avoir fini. Elle aussi lui ressemblait un peu avec ces petits cheveux noir comme les siens....J'aimerais bien qu'elle ait des tâches de rousseur comme moi ! Marmonna t-il plus pensif qu'autre choses, en continuant comme toujours d'admirer sa fille.

Allez Mi', insista à l'extérieur le chef, qui semblait un peu plus à l'aise et faisait des petites arabesques près de l'homme aux regard dorée. Sinon je t'appelle " mon fauconou" devant touuuut le monde.

- Tu n'oserais pas ! S'exclama Mihawk encore une fois horrifié comme si on venait de le condamner à mort. Le chantage est un acte honteux et indigne !! Commenta t-il.

- Allez mon Fauconou !! Titilla le turbulent chef..

- Wouah ah ah ah ah ah , ricana comme un fou Luffy en se tenant les côtes. Démontrant comme toujours qu'il était loin d'être sourd ! Fauconou, s'est trop marrant !

N'aimant pas être un sujet de moquerie, ni de raillerie Mihawk qui n'aimait pas non plus tourner le dos au moindre problème, ce décida enfin à mettre un pied sur la glace. Son regard qui en temps ordinaire imposait le respect , et semblait même que peu porté sur la douceur, prit une sorte d'air incertain. Ce qui était assez choquant. Il s'agrippa alors au bras unique de son Alpha tel un noyé à sa bouée.

- Ne m'appelle plus jamais avec ce surnom stupide et horrible. Sinon ...continua t-il d'un air menaçant , plus jamais tu ne me toucheras ! Et un petit cochon de ton espèce aura bien du mal à supporter ça !

Comme toujours Mihawk n'avait aucun barrage entre sa bouche et ses pensées, et ce genre de menace bien loin d'être dit à voix basse avait franchie ses lèvres dans un volume parfaitement audible. Aussi aucune des personnes présentes, ne jugèrent utile de réagir à cela, sauf encore une fois Luffy qui faillit éclater de rire. Heureusement, Ussop toujours prompte à réagir avait clôturer sa bouche de ses deux mains et l'avait éloigné des deux puissants combattants.

Rapidement Sanji tout comme Law, avaient abandonnée l'idée d'observer leurs têtues d'Alphas qui refusaient d'abandonner avant l'autre, et étaient rentrée bien au chaud afin de donner le gouté à leurs enfants.

Sabo lui était enfermé à la bibliothèque et semblait assez triste pour que la pétillante Koala s'en inquiète. En se mettant en mode silencieux Sabo avait prévenu ses contacts Bêtas rebelle qu'il ne pourrait être joignable avant la fin de l'hiver. Certain s'étaient contenté de répondre un vague " Ok". Alors que d'autre plus amers , lui avaient envoyé un message rageur.

" C'est ça ....continues comme ça, sale planqué ! "

Les mots avaient été fort, et le jeune bêtas rebelle qui avait plus d'une fois mit en danger sa vie, afin d'accomplir des missions, ressentit cette insulte avec bien de l'amertume au coeur. Leurs groupes quoi que décidé commençaient lentement à se dissoudre, ou plutôt à se séparer en plusieurs groupes indépendant. Sans doute était-ce par ce que chacun n'avait pas la même vision des choses, et voulait même agir de façon assez radicale.

- Comment prôner la paix, quand on ne la pas dans son propres camps....s'était-il dis.

Se mettre au vert si longtemps malgré les menaces qui avaient plané sur sa vie, ne plu pas vraiment à ces comparses. Assis dans un fauteuil de la bibliothèque ou pour une fois Robin était absente, il se laissait allé à la déprime soudaine qui le saisissait.

- Allons tu sais bien que les gens réellement décidé et juste son rare dans notre mouvement. Et le peu qu'il y a sont ceux qui continuent de te soutenir. Ils comprennent ton choix. Alors ne te laisse pas aller à cause des paroles maladroite de quelques crétins.

- Tu as sans doute raison, mais c'est assez blessant , avoua Sabo. Au même moment Koala lui tira sur les joues. Cha...fait longtemps que tu avais pas fait cha'....

- Écoute, peu importe les diresdes " autres" tant qu'on reste fidèle à nos convictions, on a rien à se reprocher ! Murmura t-elle en baissant un peu la tête.. Tu sais.....j'aime les gens ici, et j'ai envie de me battre avec eux. Je veux défendre Nami et toutes mes amies ici....et puis...si....si Lucci et les autres viennent à les trouver...... Pourquoi partir ailleurs, alors qu'ici ils ont besoin de nous, hein ?

Elle avait dis ça avec sa franchises habituel. Et il fallait le reconnaitre Koala n'avait pas tord. Pourquoi chercher à partir alors que le danger menaçaient ceux qu'ils cherchaient justement à défendre ? Et puis Sabo devait admettre une choses, quitter ses frères semblait chaque jours plus difficile. Et cette même difficulté s'accentua avec la naissance de son neveu et de sa nièce.

- Je ne veux pas partir non plus....reconnu enfin Sabo en passant la main dans ses cheveux ondulé.

- Alors restons encore un peu, et on verra par la suite ? Proposa Koala le regard plein d'espoir. Si on est pas capable de défendre une soixantaine de personne, ça sert à rien alors de chercher à en défendre 100 ou 1000 ! Notre devoirs est ici pour le moment !!!

- D'accord, restons encore un peu ! Sourit le jeune homme. Écoute ne parle pas de toute cette conversation à mes frères ou qui que se soit ! Nous passerons l'hiver ici, et si par la suite ils ont encore besoin de nous...nous resterons. Si la colère des membres de notre groupe et causé par un simple titre de " chef," je leur donne bien volontiers.

A l'heure du repas ce soir là personne ne put se rendre compte du moment de doute qui avait un peu abattu le jeune bêtas rebelle. Souriant blagueur et toujours aussi proche de ses frères, il s'était mis à sourire lorsque Ace lui avait confié dans les bras son adorable petite fille à demi endormi.

- Elle te ressemble beaucoup Ace, avait-il affirmé alors que ce dernier bombé le torse de prétention.

- Mes bébé sont merveilleux, tout simplement.

Un peu plus tard ce soir là, une petite fille aux cheveux vert, et aux yeux bleue dormait à poing fermé. A coté de sa chambre des gémissements de douleur se faisaient entendre. Bien loin de se faire un câlin coquin, son papa oméga observait avec un mélange d'effarement et de fatalisme les nombreux bleues que son Alpha avait sur le dos, aux jambe et même sur les fesses. Obstiné tout comme Kidd, il avait fallu attendre la tombé de la nuit avant que ces deux idiots se décident enfin à rentrer, sous peine de finir gelé. Courbaturé , à cause de toutes ses chutes, après réflexion Zoro regrettait comme toujours de s'être laissé embarqué dans les bêtises de Kidd.

- Ce n'est sont pas que ses bêtises, mais les tiennes aussi ! Soit plus mature , corrigea Sanji. Quand vous serez vieux, vous ferez toujours ça ! J'en suis certain....Je vous imagines bien en petit vieux ....qui se donnent des coups de cannes avec méchanceté.

- Meuh..aie..non voyons... ! Marmonna vaguement le vert ! Qui après s'être allongé refusa de se redresser pour éteindre la lumière.

Poussant un long souffle fataliste Sanji s'était penché au dessus de lui, pour éteindre la lampe et fidèle à ses habitudes s'était lover contre son époux. De temps à autre l'une de ses mèches de cheveux blond chatouillait le bout du nez de son alpha et menaçait de le faire éternuer.

- Dit Zoro ? Tu as été à la réunion ce matin pas vrai ?

- Ouais !

- Et...ils ont trouvé une solutions au cas " ou" on serait repérer.....

- Non, il y a beaucoup de possibilité mais certaine sont trop risqué et d'autre trop compliqué à cause du temps...

- Ah oui...souffla Sanji un peu inquiet.

- Robin nous a dis que personne n'a jamais cherché à grimper la montagne des âmes, a cause de la trouille que tout le monde en a....et que son véritable point culminant et à ce jours parfaitement inconnu. Elle pense qu'on devrait faire une sorte d'expédition là-bas, afin de voir si on ne peut pas construire quelques choses là-bas.....

- Ça serait une idée! Reconnu le cuisinier en hochant la tête sur l'épaule de son mari. Mais tu sais...j'aime beaucoup ce refuge.....si on devaient le quitter un jour, j'en serai assez triste.....

- Moi aussi, admit Zoro. C'est ici qu'on s'est retrouvé et qu'on a eu notre bébé et qu'on s'est marié. Mais notre survie malheureusement en dépend...il faut savoir faire des sacrifices.

Oui la survie parfois implique des sacrifices. Et dans ce monde en proie au changement des plus diverses, il était évident que des changements et des risques jalonneraient le chemin de leurs avenir. Mais pour vivre près de ceux qu'ils aiment Zoro tout comme Sanji étaient près à se battre....se battre pour les leurs,....se battre pour leurs bonheurs.

*****

Et voila, pour se chapitre 2 :

Une jolie petite bombe largué par Iceburg et ses complices mets un peu à mal le pouvoir royal, et force les bêtas à se poser des questions.

J'espère que ce second chapitre vous a plu.

Merci pour votre lectures, vos commentaire et surtout votre fidélité.

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