Chapitre 13: Un peuple qui réfléchi ? Un cyborg au coeur tendre.
Chapitre 13:
Depuis que le peuple avait appris quel traitement cruel était réservé au être à part, et ceux qu'importe leurs âges et le genre, bien des réflexions se faisaient dans leurs cerveaux. A présent qu'ils ne pouvaient plus fermer les yeux, et faire comme si de rien n'était, un énorme poids commençaient à peser sur leurs âmes, provoquant des remords bien inconfortable à ressentir. Il n'était pas rare, de voir dans certain bar de la capitales des groupes d'amis réuni et qui à voix basse raconter des exploits du passé bien peu glorieux. Un peu honteux ils baissaient la tête, et garder leurs yeux fixé sur les pintes de bières qu'ils tenaient entre leurs mains.
- Moi, avoua un homme d'environ 25 à 30 ans, je me souviens que quand j'étais gamin, mon meilleur ami, habitait à côté de chez moi. Un jours ma mère, a appris que ses parents étaient des êtres à part......elle a tout fait pour qu'ils soient mal vue dans la rue, afin qu'ils déménagent.....je ne comprenais pas pourquoi elle faisait ça ...mais un jour, elle m'a expliqué que les êtres à part étaient dangereux...que c'était comme des rats qui contamine tout.....alors j'ai arrêté de parler à mon meilleur ami....je voulais pas être " un rat..." .......explique le jeune homme aux courts cheveux châtain.
Il y avait eu dans le groupe d'ami un bref silence pensif, avant que le même jeune homme reprennent la parole.
- Mais ce que je vois là, ce n'est pas que de la haine. C'est aussi et surtout de l'ignorance. Les enfants imites leurs parents, et parfois s'oblige à penser comme eux ! Vous voyez ce que je veux dire ?
- Oui , dite une femme à ses côtés. Quand on est môme, on se dit " Si papa et maman ont dit ça, c'est que c'est vrai."
- Justement, intervient un autre homme blond. Les parents, les adultes, encourage à la haine, sans que l'enfant n'aient le choix quand à quoi penser ! A l'école, on m'avait tenu le même discours que ma mère ! Il faut interdire ce genre de pratique haineuse ! S'emporta t-il un peu en frappant du poings sur la table. On ne vient pas à l'école pour apprendre à détester son prochain......
Ce genre d'idée commençait à germer un peu partout à travers le royaume. Oh bien sûr tout le monde ne se remettaient pas en cause, et bon nombre de citoyens continuaient de croire, que les êtres à part devaient tous disparaitre. Mais ceux-là n'étaient plus autant applaudit comme avant.
Il y eut alors des lettres de pétitions envoyées directement au roi, demandant l'arrêt d'intervenant du gouvernement dans les écoles, et qui encourageait à la haine contre les Alpha et les Omégas. Les signatures aux début assez insignifiante commencèrent à prendre de l'ampleur. Certaines villes, voyaient naitre des manifestations demandant l'arrêt pur et simple des distinctions des " races " sur les cartes d'identité, et certain maires osaient même demander au roi, la possibilité de laisser vivre dans leurs villes n'importe qui, sans qu'ils aient à se déclarer aux autorité sur leurs natures.
- Car après tout, disait certain à partir du moment ou ils payent leurs impôts et qu'ils respectent la loi, le reste on s'en fiche un peu.
Cette petites tempêtes qui avaient agité bien des cerveaux à la fin de l'année précédente ne s'était pas arrêté pour autant. Aussi même si son souffle était moins vif, il n'avait pas éteint pour autant. Parfois des " agitateurs " comme les nommaient les services de polices, haranguer la foule, et entamer des discours parfois écouté parfois ignoré.
Il y avait d'ailleurs dans la capitales un homme qui excellait en la matière. Les cheveux longs blond et bouclé, il avait les yeux noirs et un physique qui donnait des doutes quand à sa nature, - pourtant homme quoi qu'on en dise-. Un corps élancé et souple, il semblait n'avoir peur de rien. Généralement quand il se sentait l'envie de discourir,il grimpait sur les rebords d'une fontaines ou des statues et de sa voix fine mais masculine malgré tout , il interpellait la foule qui au début ignorant finissait toujours par se retourner sur lui.
- Mes amis, criait-il de sa voix puissante ! Écoutez moi ! Ne fermez pas les yeux sur les malheurs qui nous entoure ! Ne faite pas parti de ce qui sera une partie sombre et honteuse de notre histoire. Devenez maître de votre vie et apprenez à décider par vous mêmes...Les êtres à part ne sont pas tels que le gouvernement vous les décris. Leurs buts n'est pas de nous éliminer nous ," bêtas" mais de vivre normalement comme le plus simple d'entre nous. Ne laissez pas la peur dicter vos actes et apprenez à faire confiance. Des gentils et des méchants, il y en a partout...et ceux qu'importe leurs distinctions....Alors pourquoi condamner des gens que l'ont ne connait pas sous le seul prétexte que l'on à peur d'eux...et...
- Et toi l'ami ! l'interrompit un homme la carrure assez large et dont la barbe descendait jusqu'au niveau du ventre. Tout les jours tu viens faire ton discours, mais t'es qui au juste ? Et plutôt t'es quoi....
- Je suis un homme, plaisanta le discoureur avec amusement, en entrouvrant sa chemise, histoire de montrer qu'il ne dissimulait aucune poitrine féminine.
A cette petite boutade, bien des dames sans doute prise dans son charme se mirent à rire. Mais très vite l'homme aux long cheveux blond, se reprit.
- Je suis Oscar Marie , et je suis un bêtas mon ami si c'est que qui vous fait autant peur.
- Mais....je n'ai pas peur ! Bougonna l'interpelant, les bras croisés sur son gros ventre. Mais pourquoi faite vous cela ?
- On peut vous appeler, Monsieur Marie ?
- Heu....non, répondit le blond qui avait l'impression d'être un personnage de publicité. Appeler moi Oscar, je préfère, dit en faisant un clin d'oeil coquin aux nombreuses femmes présente. Mon ami, reprit-il en direction de l'homme qui lui avait coupé la parole. J'estime que je dois parler afin de changer les mentalités. J'en ai assez de voir tout le monde s'entredéchirer et se détester à cause d'une légère différence d'ADN....Ne vois tu pas mon ami combien il est stupide de faire cela ?
- Mais les êtres à part sont dangereux ! Moi, je refuse de leurs faire confiance ! Intervient un homme assez grand, maigre comme un clou et au regards mauvais.
- Tu as raison de dire ce que tu penses, tu as le droit de t'exprimer, mais dit moi ..? demanda Oscar en descendant dans la foule pour s'approcher de celui qui venait de lui couper la parole. Son pas semblait léger et élégant à la fois. Que t'ont t-ils fait pour que tu leurs voue une telle haine ? Raconte moi tout ! Je t'écoute toi, et tes arguments.
L'homme maigre le regarda s'approcher de lui avec une assurance assez déstabilisante. L'air un peu perdu par cette questions, il sembla réfléchir à toute vitesse alors que tel un feu follet Oscar tournait autour de lui , en faisant comprendre qu'il attendait ses arguments. Les citoyens présent faisaient de même et attendaient, et attendaient, des mots qui ne venaient pas. Des dizaines et des dizaines d'yeux semblaient à présent le fixer sur lui, accentuant ainsi chez l'homme maigre un certain malaise.
- Il doit bien y avoir dans ta vie personnel.... , insista Oscar en faisant courir ses long doigts sur les épaules du type avant de lui faire une légère tape sur la joue. ...une raison puissante qui expliquerait ta haine farouche à leur encontre ? Dit nous tout, ne soit pas timide , nous somme tout ouïe.
Avec souplesse Oscar fit un petit bon en arrière afin d'éviter d'être bousculé par le malotrue devenu encore plus bougons. Les bras croisées, il ne fit pas vraiment attention à ses " admiratrices " qui s'étaient attroupé autour de lui.
- Alors tu la craches, ta pastille ! Quémanda une voix dans la foule ! Explique nous !!
L'homme tout sec sembla hésiter, car à vrai dire, il n'avait aucune histoire qui justifierait ses propos. Alors baissant la tête comme un coupable il marmonna.
-...je n'ai aucune histoire à raconter......c'est juste que ..
- Que ? Parle mon ami, on est entre nous ! l'encouragea Oscar, en lui donnant une fois de plus tape mais sur l'épaule cette fois-ci.
-......ils ont des pouvoir bizarre.....reconnaissez que c'est flippant ? Certain se transforme en animaux...D'autres ...ont des pouvoirs comme...je sais pas moi le froid, les plantes....l'eau... .....ou pire imaginez ..le feu ! Vous vous rendez-compte ? Si un gars à un tel pouvoir il pourrait au moindre caprice cramer la ville .......
- C'est vrai , reconnu Oscar en hochant la tête , provoquant ainsi l'étonnement de beaucoup. Mais dit moi...parmi les bêtas, Pour reprendre ton exemple n'existe pas des gens qui mettent le feu par pur plaisir et juste parce qu'ils en ont envie ...ou sur un coup de folie ?
- Bah si...ça arrive parfois....
- Et ces personnes....sont-ils moins condamnable dans leurs actions plus que discutable sous prétexte qu'ils sont ..Bêtas ?
- Euh...non ça reste dangereux...mais...
- Si cette personne doté de tel pouvoir existe ! Supposa toujours Oscar on marchant parmi la foule qui prenait à témoin...tu ne trouves pas étonnant que pour un être censé vouloir tous nous annihiler il n'est encore rien fait ?
- Euh.....ben....euh....
Face à cette simple logique , il y eut devant discoureur un gros silence gêné. Les spectateurs mal à l'aise face à tant de bon sens se regardaient d'un air de dire " bon sang mais il a raison en plus." . Tout le monde jusqu'ici s'étaient toujours dit que les êtres à part étaient dangereux, mais peu reconnaissaient, où plutôt se rendaient compte de ce simple fait. Malgré leurs puissants pouvoir, ils ne faisaient rien contre eux.
Oscar depuis quelques mois était considéré par la police de la capitale comme un agitateur bon être enfermé. Et dès qu'il paraissait quelques part, il n'était pas rare qu'au bout d'une demie heure, quelques agents cherchent à lui mettre la main dessus pour le faire taire. Aussi lorsque cela devenait trop dangereux, il prenait soins de disparaitre de façon assez théâtral avant de dire....
- N'oubliez pas de réfléchir par vous même, mes amis !!!
Les femmes lorsqu'il disparaissait poussé de gros soupir peiné, et les hommes en proie à de grosses réflexion envoyaient un peu balader les agents de la loi qui venaient les gronder pour avoir oser écouter, ce " menteur " qui ne faisait que semer l'embrouille.
- Je crois plutôt qu'il mets les choses au clair...leurs répondait certain que le jeune homme avait réussi à convaincre.
****
Dans le château céleste Alban avait eu vent de l'existence de ce drôle de type, qui semait le bazar dans l'esprit de son peuple. Trouvant qu'il n'avait pas besoin de ça en plus pour les faire réfléchir sur la question" être à part", le souverain ruminait une colère sourde et silencieuse face à cet étrange bêtas qui luttait contre lui et à visage découvert. Assis à son bureau, le roi était entrain de lire l'un des nombreux rapport de police sur ce fouteur de merde aux long cheveux blonde.
" L'homme aurait déclaré au citoyens que les êtres à part bien que puissant ne nous veulent pas de mal, car jamais ils n'avaient rien fait de grave à notre encontre." ...
A peine Alban avait-il lu cette phrases qu'une grimace se dessina bientôt sur son visage. Avec agacement, il jeta sur son bureau le paquet de feuille qu'il tenait dans sa main. Se relevant de son confortable fauteuil, il fit quelque pas avant de s'arrêter devant le portrait d'un de ses ancêtre et qu'il admirait tant.
" Prenez l'exemple de ce Shanks le roux...."
Cette phrase que lui avait dis sa reine lui revient à l'esprit, et la vérité qui était sortie de la bouche de sa belle dame, chamboulait ses pensées, plus qu'il ne l'aurait cru. Les rapports sur ce monstre d'alpha depuis le jours ou il avait failli réduire à rien une ville sous sa simple colère jusqu'à aujourd'hui était plutôt rare, pour pas dire inexistant. Pourquoi un homme doté d'une telle puissance, ne cherchait-il pas à asservir les bêtas ? Pourquoi ne cherchait -il pas par exemple.. à réunir autour de lui d'autre monstre de son espèce pour renverser son pouvoir et s'emparer du trône ? Pourquoi ne faisait-il rien pour les siens ? Pas même la moindre vengeance sur ce que subissait son peuple ? Pourquoi ?
- Je serais près à tout pour mon peuple..souffla à voix basse Alban , alors que seul les murs étaient témoin de ses paroles. Pourquoi n'est-il pas près à tout pour faire survivre les siens ? Je suis fort , mais ....je suis incapable de quoi que ce soit fasse à des éclaires rouges...alors...pourquoi ne fait-il rien ! Pourquoi ?
Cette question, cette interrogation roulait dans son esprit tel un vague au bord de la plage. Elle venait sans cesse, sans rester, mais sans jamais partir réellement. Pourtant aucune réponses logique, aucune réponses acceptable ne lui venait, quand il cherchait ç expliquer les actions de se fameux rouquin. Il lui était déjà arriver de poser cette même questions à ses ministres, mais fidèle à eux même ils l'avaient observé avec leurs yeux d'ahuri sans parvenir à ouvrir la bouche. Sans doute la peur de le voir s'énerver les avaient saisi, et de se fait les avaient rendu muet. Aucune personne dans se maudit château ne lui disait la vérité, personne n'oser le détromper, ou même le contredire, seul le silence régnait dans ce genre d'instant. Et seul ses idées acceptable leurs délié la langue....
- Seule ma belle dame a eu l'audace de me dire ce qu'elle pense, reconnu t-il, en rejetant en arrière sa longue chevelure blanche.
Sortant de son cabinet de travail, le roi traversa les couloirs du château céleste à grande enjambée. Dans son sillage sa belle et longue chevelure s'agitait dans son dos. De temps à autre il saluait brièvement un membre de la cour qui se courbait devant son passage..parfois une parole aimable comme sortie de nulle part franchissait ses lèvres et l'étonnait lui même...
- Passez une bonne journée....s'entendit-il dire à une vieille comtesse âgé, qui sembla sur le moment pétrifier de surprises.
Après avoir monté quelques marche, le roi arriva enfin devant les appartements de sa belle et douce Reiju, la seule qui lui parlait sans retenu ou presque. Car un peu dérangé à l'occasion mais pas totalement fou, Alban avait conscience que la jeune femme ne lui montrait pas toutes ses pensées, ni ses rêves les plus profonds. Après avoir brièvement frappé à la porte, Alban entra dans la vaste pièce, ou sa femme et sa fidèle Lilia se trouvaient.
- Majesté ? S'étonna Reiju, qui était entrain de répondre de sa jolie écriture à une invitations faites par une dame de la cours à un " gouter " prévu dans l'après midi même. L'idée ne lui plaisait pas plus que cela, car s'était assez futile, mais au moins cela aurait peut être le mérite de la divertir un peu.
- Du thé Lilia, ordonna le roi en plantant son regard vert sur la jeune servante qui se courba avec respect. Voyant le rapide froncement de sourcils de son épouse, il ajouta. S'il te plait.
- Bien Sire, s'exécuta la jeune fille un peu surprises, par tant de politesse.
Cela faisait quelques jours que Alban n'avait pas revu sa femme, depuis le soir même ou il avait quitté leurs chambres commune vexé par les propos qu'elle avait eu. En voyant son visage étonné et un peu inquiet, le roi comprit que même sa chère épouse qu'il adorait plus que tout pouvait avoir peur de lui. Alors poussant un gros soupire, il glissa la main dans sa longue et soyeuse chevelure blanche , puis fit quelques pas en directions de son adorée. Là, après une brève révérence, il embrassa le dessus de sa belle main pâle.
- Ma belle, dit-il dans un grand sourire sincère. Sais-tu que je t'aime plus que tout ? Et que rien au monde me ferait renoncer à toi.
- Oui majesté je le sais, souffla Reiju qui n'était pas tout à fait certaine quand au fait que rien ne lui ferait renoncer à elle, surtout pas si il apprenait qu'elle avait un frère oméga. C'est toujours un honneur pour moi d'être aimé par vous....
- Me promets tu de toujours me dire sincèrement les choses. Ou du moins ....se reprit-il d'essayer ?
- Bien entendu, accepta la jeune femme en se relevant de son siège pour prendre dans ses mains celle du roi. Pourquoi prenait-il un ton aussi solennelle, s'étonna Reiju avant de reprendre. Je veux vous voir heureux et bien dans votre peau !
- C'est vrai que sans toi j'en suis incapable...je veux dire d'être bien dans ma peau et d'avoir une maitrise totalement de moi même. Reconnu le souverain, en hochant légèrement la tête.
Au même instant Lilia entrait afin de servir le thé au roi et a la reine. Avec entrain elle s'activa à la tache et commença à disposer sur la table, tasse de thé, sucrier ainsi que tout ce que contenaient son lourd plateau. Lorsqu'elle eut terminée Alban et Reiju s'installèrent autour de la table et après avoir bu quelques gorgée le roi, reprit la parole.
- J'ai deux questions pour toi. Et tu vas me répondre avec franchise d'accord ?
- D'accord, répéta la rose, en reposant dans sa coupelle sa tasse de thé. Les mains croisées sur ses genoux la jeune femme se posait mille questions quand aux intentions du souverain.
- A t-on avis, pourquoi ton Shanks le roux..
- Ce n'est pas " Mon "Shanks le roux, corrigea t-elle dans un sourire un peu taquin qui eu le mérite de faire sourire le roi.
- Bon, bon se reprit-il. Pourquoi, cet Alpha, ne cherche t-il pas à faire payer à moi ainsi qu'à mon peuple, tout ce qu'on leur inflige ? Pourquoi ne défend t-il pas avec plus de violence les siens ?
Clignant des yeux un instant, la jeune femme leva durant quelques secondes les yeux en direction du plafonds. De toute évidence il lui fallait réfléchir un peu quand à quoi dire.
- Et bien, je ne peux qu'imaginer ! Répondit-elle en voyant Alban faire un bref mouvement de tête qui l'incita à continuer. .... Il doit se dire que " nous " les..bêtas, les haïssons déjà bien assez comme cela, et que nous donner d'avantage de raison de les détester seraient contre productifs...Il doit se dire " Je veux pas être comme eux. Je ne veux pas leurs donner d'autre raison.. de nous détester."
- Mais être inactif, n'est pas mieux non plus, tu es bien d'accord avec moi ? Cet être et dans son coin et laisse les siens se faire massacrer par les miens. Je ne supporterait pas qu'on ose toucher à mon peuple.
- Rien ne nous prouves qu'il fait cela..qu'il reste dans un coin à attendre que le temps passe, corrigea Reiju dans un sourire discret. Peut-être fait-il quelques choses pour son peuple, mais que nous n'en savons rien ? Vous connaissez le proverbe sire ! La violence engendre la violence. C'est un cercle vicieux dont on ne sort jamais...sauf si on le souhaite vraiment....
- Hum..C'est possible...reconnu Alban. Ce que tu dis est assez logique. Souffla le roi, en se relevant à nouveau pour faire quelques pas. Son esprit pour une fois était agité par autre choses que sa folie qui pointait parfois le bout de son nez. Il réfléchissait à toute allure et pour une fois depuis sa naissance il cherchait à comprendre " un être à part" . Et pas le moindre....
De son côté Reiju continuait de regardait son époux, réfléchir avec intensité. Lui qui à leurs retour de son couronnement avait affirmait que rien ne pourrait le faire changer d'avis, ni même réfléchir à la questions " être à part," semblait ce jours-là contre dire ses propres paroles.
- J'aimerais......parler à cet être pour comprendre......sa manière de penser ! Bredouilla t-il en s'arrêtant dans sa marche puis en fixant sa belle dame ! Mais ça ne veux pas dire que j'accepte les êtres à part, ni que j'ai changé d'avis, se reprit -il avec plus de vigueur. Je veux comprendre !! Voilà tout !!!
A nouveau il y eut une courte pose durant lequel le couple royal bu à nouveau son thé. De temps à autre Reiju lançait un coup d'oeil discret en direction de Lilia qui la regardait avec des yeux rond comme pour dire." Mais qui est cet homme madame ?" Se retenant de dire face à l'effarement de la jeune fille, la rose se contenta de sourire en se mordant la langue, car si son époux l'entendait rire, il serait capable de croire qu'elle se moquait de lui.
- La deuxième questions, reprit soudainement Alban se qui fit sursauter Lilia qui était sans dos, c'est veux-tu participer aux conseil des ministres à partir d'aujourd'hui ?
- MOI ? S'écria La jeune femme dans une surprises si franche que le roi n'eut aucun doute quand à sa sincérité ? Mais pourquoi sire ? Je ...nos idées son divergentes et..
- Parce que tu es sincères ! Tu n'es pas d'accord, avec moi sur certaines lois et tu es la seule de toutes la cours à avoir oser le dire. Mes ministres sont des idiots avide d'argent, de statue social et prestiges. Ils se fichent du peuple, ils veulent juste avoir un titre avec lequel parader ! C'est pour ça que je te veux au conseil des ministres, qu'ils se sentent en danger face à toi et que ça leurs secoue les puces !!!
Être au conseil des ministres c'était s'assurer la possibilité d'intervenir et de contrecarrer d'éventuel loi en défaveur des êtres à part. C'était peut-être aussi faire le ménage dans ces ministres qui ne savent rien faire de leurs dix doigts, et dont l'incompétence parfois indigne même les gens de la cours. Et puis, être là-bas s'était s'assurer une activité bien plus intéressante que de rester à longueur de journée à écouter les piaillement stupides de certaine comtesses, duchesses etc... C'était agir pour le peuple et ceux qu'importe ce qu'il est ,c'était aussi protéger de loin, son petit frère.
- Alors ? Ma belle quand dis-tu ? Tu serais la premières femme de notre dynastie à avoir un tel honneur.
- Dans ce cas Sire, j'accepte cet honneur que vous me faite.
*****
Comme toujours lorsqu'il y avait une fête, le monastère sembla ce jours-là grouiller d'activité. Les gars de Franky étaient entrain d'installer à l'extérieur un gigantesque Barbecue. Tandis que le soleil toujours aussi beau promettait une journée digne d'un magnifique printemps. Les tables qui avaient été utilisée lors du Mariage de Sanji et Zoro, avaient été amené ici lors du déménagement, et étaient à présent installé dans la large cours du monastère. Des chaises commençaient à être installé, et les enfants qui durant leurs cours d'art plastique avec Ussop avaient fait une grande banderole en l'honneur du cyborg, regardaient avec de grands yeux brillant cette dernière être accroché. Un ambiance festive animait le lieu et comme toujours et même si il en avait plus besoin pour se redonner le moral, Shanks s'enivrait de ses moments joyeux. Il déambulait parmi la foule en activité et proposait son aide à qui en avait besoin. Près de lui Mihawk qui avait proposé de garder Suzie le temps que Zoro accompagne Sanji à l'infirmerie, semblait se noyer dans son côté Oméga.
Lui si peu souriant offrait de beau rictus à la petite demoiselle, qui marchait dans la pelouse tout en étant maintenu par les mains puissante du sabreur. Ce dernier avait beau savoir qu'elle savait marcher, l'idée qu'elle se fasse le moindre petit bobo, lui trottait trop à l'esprit pour la laisser agir selon son bon vouloir. Parfois la petite "princesse " comme continuait de l'appeler Kidd, s'arrêtait au beau milieux de son aventure pour tenter de cueillir une fleur, qui finissait mal en point dans sa petite main avant d'être tendu en direction du faucon, qui observait le regard brillant cette petite puce.
- Tu sais que tu es mimi, Mimi ? Taquina au bout d'un certain temps Shanks qui l'observait faire ! Je veux dire quand tu te noies dans ton côté oméga, t'es toujours à deux doigts de me rendre dingue, expliqua t-il dans un large sourire en montrant un faible écart entre ses doigts.
- Tu n'as pas besoin de ça pour être barge ! Répliqua d'un ton neutre le faucon, ou pourtant le chef rieur arriva à y desceller de la malice. Tu l'as toujours été plus ou moins.
- Charmant , ria t-il ! T'es mots d'amour sont de vrai coup de poignard des fois ! Continua t-il sur le même ton.
Prenant la petite Suzie dans ses bras, Mihawk s'éloigna un peu de la foule de curieux que pouvait être les membres du refuge. Dans les cieux une multitude oiseaux chantaient et gazouillaient, heureux sans doute d'être ainsi libre. Après s'être installé sur un banc en bois, alors que la petite semblait fasciner par toute l'activité qu'il y avait dans la cours du monastère, Mihawk reprit d'une voix étrangement discrète et basse. Ce qui pour quelqu'un qui avait l'habitude de dire les choses avec une franchises déstabilisante était assez étonnant.
- Shanks, je suis une bonne santé à présent. Law a dis que je n'avais plus besoin de traitement, de piqure, de soins, ou bien même de repos..je suis....
- En pleine for.....
- opérationnel ...pour...
- Bon sang, ria le rouge, t'es pas un robots ! Opérationnel .....franchement t'as pas trouvée mieux..comme terme ?
- ....créer notre famille ! Je suis apte à porter un enfant !
Durant un bref instant Shanks écarquilla les yeux de surprises. L'idée était tentante, mais la façon dont en parlait encore son oméga donnait toujours l'impression qu'il parlait d'un devoir à accomplir, plutôt que d'une envie ou bien encore d'un souhait. Pourtant il y a de cela quelques mois, il avait bien reconnu vouloir des enfants un jours, mais malgré l'année passé, le brun était encore à confondre devoir et envie. Enfin c'est l'impression qu'en avait le chef des lieux, qui le fixa avec un mélange d'amour et d'hésitation...
- Quand ton esprit fera un peu plus la différence entre envie et devoir...on se lancera dans l'aventure ! D'accord ? Sourit-il, se disant sans le moindre doute qu'il avait raison de repousser encore une fois ce genre de discussion.
- Mais je peux porter des enfants, insista le brun aux regard dorée, ..je veux dire mon corps n'a plus de séquelle..
- Mihawk , je te l'ai déjà dis ! Coupa le rouge, en posant la mains sur son genoux. Ce n'est pas un devoir, tu n'es pas une machine à porter des bébés. Tu dois avoir envie, et pas juste le vouloir parce que ton côté oméga t'enivre parfois fasse à Suzie , Andrew , ou même les jumeaux. Tu dois le vouloir vraiment !!
- Je vois ....
- Je ne dis pas ça méchamment mais..
- Je vois surtout que tu es sourds comme un pot, mon vieux ! Et bien reste sourds, à ce que je te dis ...mais n'oublies pas Shanks qu'on a le même âge ....je suis pas l'un de tes " petits " ....compris ! Et je ne confonds plus..ordre et envie !
Et puis prenant Suzie dans ses bras, qui pour il ne savait quelle raison lui faisait un gros câlin, Mihawk s'éloigna de son Alpha avec des coups d'oeil digne de chat furieux en direction du chef. Surpris par un tel excès d'humeur, Shanks le regarda s'éloigner de lui, la bouche grande ouverte, un air surpris qui était rare de voir sur son visage, se dessina peu à peu! Près de lui Marco s'était approché , pour lui faire une petite tape sur l'épaule. Ace était partis changer les couches des jumeaux et Koala avait tenu à l'accompagner dans cette tâche pas très agréable, et dont Phoenix était assez satisfait d'y échapper pour une fois.
- Bienvenu dans la vie de couple chef ! Tu viens de subir la première colère de ton oméga !
- Mais je n'ai rien dis de vexant ! S'indigna presque le chef, en se relevant du banc le poing sur la hanche. Pourquoi il réagit comme ça ? Demanda t-il en suivant du regard Mihawk qui était un peu plus loin. J'ai dis ça pour son bien.
- J'imagine, répondit tranquillement Marco qui marchait les mains dans les poches. Mais ..enfin comment dire ! Hésita l'homme oiseau en passant la main dans sa crêtes rousse clair......vous avez le même âge.....et ton tempérament d'Alpha te pousse à lui parler comme un môme..et sur de tel sujet sérieux..il y a de quoi être vexer.......
- Je fais ça moi ? S'étonna le rouge les yeux écarquillés en ce pointant du doigts. Vraiment ? Mais je ne m'en rend pas compte, avoua t-il en fouillant à présent dans sa mémoire.
- Bah ça arrive....avoua le Phoenix, d'un ton détendu...Parfois tu lui parles normalement et d'autre fois....Franchement.....
- Hum..je vois. Quand il sera calmer je m'excuserais auprès de lui ! Souffla le chef qui ne s'était vraiment pas rendu compte qu'il infantilisait parfois son oméga. D'un bref coup oeil il observa Marco....A ton avis combien de temps je dois attendre avant qu'il accepte de m'écouter sans vouloir m'envoyer chier !
- A ça ? J'en sais rien ! Reconnu avec son éternel tranquillité Marco. J'ai l'impression que les omégas ici ont la rancune tenaces....avoua t-il en se rappelant le nombre de fois ou Ace lui avait fait la gueule .....très tenace, reprit t-il pensif.
- C'est pas faux ! ricana Le chef, en glissant ses doigts dans les cheveux pourpre qui s'agitaient sous une brise légère.
En tout et pour tout Sanji, Law, ainsi que leurs Alphas restèrent une bonne heure à l'infirmerie. Et depuis son arrivée ou plutôt leurs emménagement au monastère c'était la première fois que le blondinet y mettait les pieds. Si il avait été un peu plus en forme ou plutôt un peu moins nauséeux , il aurait très certainement trouvé l'aménagement bien plus pratique que la précédente infirmerie dans l'ancien refuge. Mais à vrai dire ces maux d'estomac était tel que son teint semblait chercher à s'accorder avec la couleur particulière des cheveux de son époux. Law de son côté n'avait pas meilleur mine et bougonnait un peu sur le fait que depuis le milieux de la nuit, il ne se sentait pas très bien. Chopper ravit dans un certain sens d'apprendre que les deux meilleurs amis attendaient très certainement des bébés, leurs proposa de faire une prise de sang le lendemain, puis leurs donna un médicament un peu plus efficace contre les nausées. Afin de s'assurer que tout allait bien et que ce n'était pas un éventuel virus qui les avaient ainsi rendu malade, ils furent ausculté tout les deux, tandis que Zoro et Kidd attendaient dans la salle d'attente bien plus confortable que la précédente.
- Cette fois-ci, assura Kidd je ne vais pas leurs donner l'occasion de se foutre de ma gueule, sous prétexte que je cherche juste à protéger Minou..
A cette phrases Zoro ne dit rien mais un sourire un peu moqueur se dessina rapidement sur ses lèvres mince. D'avance il voyait déjà le géant à cheveux rouge, marcher et rester coller aux fesses de son oméga de peur qu'il ne se brise au moindre petit coup de vent. Mais ce que Zoro voyait chez Kidd, il ne le voyait pas vraiment chez lui, et même si lors de la première grossesse de Sanji il avait été plus discret, il avait su se montrer à certaine occasion assez collant. Mais de touts ces détails le bretteur s'en fichait complètement, car le simple fait d'avoir prochainement un deuxième enfants le faisaient sourire plus que de raisons.
Lorsque les deux couples ressortirent de l'infirmerie, Kidd oublia bien vite son objectif et lança en direction de Law, dont la mine était moins pâle, une demande qui montrait déjà son excessivité.
- T'es en congé aujourd'hui tu vas donc te reposer et ...
Mais très vite, une mains tatoué avait clôturé la bouche au volume souvent trop puissant..
- Ne commence pas à me couver comme une petite choses fragile, s'il te plait.
- Bon...marmonna Kidd un peu boudeur, en baissant la tête comme un môme. Je disais ça pour toi...Minou...
- Je sais bien...sourit enfin le brun en lui prenant la main. Mais ça va bien. Alors allons chercher Andy et profitons de cette belle journée.
- J'espère qu'il ne martyrise pas le nez de Ussop.
Regardant son frère de coeur avancer à grande enjambée en direction de parc extérieur, Sanji se mit à sourire, heureux de pouvoir de nouveau partager une grossesse avec lui. Rapidement son regard bleue dévia du chirurgien pour aller se porter sur un Zoro dont la bonne humeur semblait persistante. A présent que son petit Cook n'avait plus aucune chance de lui vomir dessus, il l'interrompit dans sa marche en direction de l'extérieur pour le prendre dans ses bras.
- Tu me rends tellement heureux, souffla t-il près de son oreille, tandis que ses bras se croisaient autour de sa taille. Il n'y a que toi pour me rendre aussi heureux.
Un sourire illumina le visage encore un peu pâlichon du jeune homme, qui déposa un petit baiser sur la joue de son sabreur chéri, en entendant ses mots d'amour. Comme il aimait être dans ses bras, dans ces instant-là. Parfois, quand il avait besoin de calme et de tranquillité c'était toujours là ou il se sentait le plus apaisé. Mais les minutes et les heures défilant, il dut s'arracher de son nid douillet qu'était les bras de Zoro.
- Je vais aider en cuisine ...enfin au barbecue. Expliqua t-il avant de l'interrompre, promis je fais attention et je ne me forcerais pas si je me sens pas bien.
- Bon ..bah ne je n'ai plus rien à dire alors ? Ce contenta de répondre le bretteur, les mains sur les hanches.
- Non rien du tout ! Sourit le blondinet en caressant la joue de son mari, avant de s'éloigner. A tout à l'heure.....
Robin qui avait l'art de garder des secrets ,s'amusait mentalement de la surprise qui était préparer dans le dos de son compagnon. Cette promenade au beau milieu de cette nature en pleine éveil était des plus charmante. Dans la forêt, ils pouvaient voir à l'occasion et si ils restaient assez calme pour cela, des animaux dont la taille impressionnante restait toujours un mystère pour eux deux. Ils découvrirent aussi de nouveau sentier de promenade, qu'il faudrait sans doute baliser à l'avenir , pour que les prochains promeneurs de ne se perdent pas.
- Surtout si c'est Zoro qui part seul à l'aventure, avait ajouté Franky, ça serait super pas prudent.
Main dans la main, ils avaient pris le chemin du retour, lorsque la belle bibliothécaire après avoir jeté un oeil à sa montre compris que les préparatifs devaient être terminé. Parfois elle posait sa belle tête brune sur l'épaule du cyborg qui fière d'avoir une si belle compagne paradait au beau milieux des montagnes, comme un vrai petit coq de basse court. La vie avait été plutôt cruel avec eux, l'un avait été contraint de se cybernetiser pour survivre, et l'autre avait été stériliser de force à ses 18 ans dans le petit village ou elle habitait alors , en lui retirant ainsi toute possibilité de créer leurs propres famille un jour. Mais cette histoire trop intime pour être raconté, Robin n'en avait parlé qu'à peu de ses amis, Nami et Kaya. Bien sur le personnelle médicale était bien au courant de toute cette triste et affreuse histoire, mais chacun avaient compris le souhait de la jeune femme de garder tout ceci sous silence....De tout coeur, elle ne souhaitait pas être regardé avec peine sous prétexte que la barbarie de leurs époques, lui avait retiré la possibilité d'enfanter.
Ils étaient tout les deux sur le chemin du retour, et bientôt la haute silhouette du monastère commença à apparaitre. Une odeur des plus délicieuse vient immédiatement charmer leurs narines, alors qu'à leurs montres midi sonnait.
- Ça sent super bon, s'exclama avec gourmandise Franky qui reniflait un peu bruyamment.
- Oh oui, fit Robin qui mima l'étonnement à merveille, démontrant ainsi un certain tallent pour le théatre. C'est incroyable....ce que ça sent bon !
- Ils ont du improviser ça, peut de temps après qu'on soient parti se balader, si tu veux mon avis.
- C'est certain même! Assura dans un long sourire Robin.
Grimpé sur le toit grâce à ses capacité Élastique, Luffy qui avait embarqué un Ussop hurlant de terreur dans l'aventure, - après qu'il ait rendu Andy à ses parents- observait avec les jumelles de ce dernier le chemin menant au monastère. Son estomac toujours en proie à la gourmandise grondait aussi fort qu'un puissant orages. Se laissant tomber sur son postérieur, il confia la mission de surveillance à son copain de bêtises, afin qu'il prenne sa relève.
- J'ai faim...marmonna le petit brun la main sur l'estomac, la langue pendante. Sa sent tellement bon......je vais mourir si je ne mange pas bientôt....
- De toute manière tu as toujours faim ! Corrigea Ussop, indifférent à la mort prétendument imminente de l'homme élastique.
- Et alors ? C'est pas un crime, bouda un peu la petite tête de linotte.
- Alors ? Demanda Nami accompagnée de Koala, qui se penchait à l'une des fenêtres du monastère pour regarder en direction du toit ! Vous les voyez ?
- N...ah ? Si ! S'exclama Ussop en s'agitant manquant à peu de choses près de glisser sur quelques tuiles ! Ils arrivent ! Vite allez prévenir tout le monde le temps qu'on descendent.
- Toute de suite chef ! Plaisanta Koala, en tirant Nami à l"intérieur du bâtiment avant de courir comme une furie dans les couloirs.
- Wouah, doucement cria la petite rousse.
Au même moment, Ussop réalisa qu'il ne servait à rien d'envoyer les filles au devant d'eux ,car avec un personnage tel que Luffy, il était certain qu'ils allaient descendre, dangereusement certes ,mais rapidement,c'est certain. Hurlant si fort que même Franky et Robin encore assez loin les avaient entendu, le long nez était à présent à genoux au sol, les mains crispées sur le coeur, alors que sa douce compagne le rassurait en lui disant que ,non il n'était pas entrain de faire une crises cardiaque....
A présent Robin et Franky étaient devant la large grille de la cours du monastère. Au dernier moment la jeune femme avait demandé à son compagnon de fermer les yeux et de la suivre, et surtout de ne pas tricher. Obtempérant sur cette demande un peu étrange, Franky avait suivi la belle brune qui le tirait pas la main et faisait attention à ce qu'il ne se cogne pas, ou ne manque pas non plus de tomber. A présent ils étaient tout les deux debout face à la foule des habitants du refuges dont le silence totale était un vrai miracles. Au dessus de leurs têtes s'étendait une banderole, avec écrit dessus.
" En l'honneur de Super Franky. "
La banderole était agrémenté de petits dessins mignons fait par les enfants. Une odeur délicieuse envahissait toujours l'air, alors que bien des estomacs se mitaient à geindre de gourmandise presque aussi fort que celui de Luffy. Il y eu alors un décompte silencieux, puis après avoir autorisé son compagnon à ouvrir les yeux, un grands cri raisonna faisant faire un bon d'étonnement à l'homme aux cheveux azure, qui resta bouche bée, les yeux écarquillé.
- SUR-PRIIIIIIIISE , hurlèrent presque d'une seule voix les habitants du monastère.
- Mais....Mais....mais .....Commença à bredouiller Franky , qui sortait un immense mouchoir de sa poche.
- C'est pour te remercier de tout ce que tu as fais pour nous tous dernièrement ! Intervient le chef, en allant faire une tape sur son épaule. Ces derniers mois tu as travaillé d'arrache pied , pour nous assurer un toit au dessus de nos tête, ainsi qu'un endroit sûr, pour nous. Alors merci Franky, expliqua le chef qui d'un simple coup d'oeil incita les autres à répéter.
- Merci Franky, hurlèrent-ils.
- Mais...j'étais pas seul...commença à renifler bruyamment Franky, tandis que des larmes commençaient à apparaitre aux coins de ses yeux...
- Oh allez ! Franky, intervient l'un de ses fameux petits gars ! Tu as travaillé 100 fois plus que nous ! Tu mérites amplement cette petite fêtes en ton honneur !
- Ouin.....c'est trop gentil ! Se lâcha enfin le cyborg, malgré le câlin affectueux de sa compagne. Me regardez pas pleureeeeeeer ! Ouinnn...
- Bon sang, mais c'est vrai qu'il pleure vraiment ,s'étonna Sabo mit amusé, mit compatissant.
- C'est un cyborg au coeur tendre, que notre Franky , plaisanta Ace qui voyait Satsuki s'agiter car une petite faim se faisait ressentir. Pour manger t'es jamais en retard ma puce.... ria t-il avec tendresse.
- Comme toi, ajouta Sabo en glissant les doigts dans sa chevelure blonde ondulé.
Le petit Edward toujours aussi tranquille que son papa Alpha, s'agitait sans grande conviction mais semblait quand même faire comprendre qu'un petit biberons ne serait pas de refus. Sa belle petite mèche de cheveux au dessus de son petit crâne rond, ondulait sous le souffles du vent léger.
- Toi aussi, tu as un petit creux ? Demanda l'homme oiseau en direction de son bébé qui l'observa de ses grands yeux marrons identique à ceux de Ace.
Chacun ou presque était venu faire une petite tape amicale, sur l'épaule du cyborg. Les enfants eux s'étaient pressé de lui dire que s'étaient eux qui avaient fait la banderole, qui fut flatté comme il se doit par Franky lui même. De la musique commençait à être diffusé et bientôt une ambiance des plus joyeuse régna dans la cour du Monastère. Des petits verres d'alcools et de jus fruits furent servi et un brouhaha de discussions débuta.
- Qui à eut cette idée ? Questionna enfin Franky les yeux presque sec, en tournant son visage en direction de Robin. C'est toi ?
- J'aurai aimée, avoir cette charmante attention ,reconnu Robin dans un sourire d'excuse. Mais cette idée vient de Sanji, et de Law.... je n'ai fait qu'aider un peu.
- Oh les gars c'est trop mignon, s'exclama le cyborg émotif, en se retournant en direction des deux amis.
A grand enjambée, il s'approcha de Law à qu'il donna une accolade un peu bourru, qui sembla le secouer entièrement ! Après lui avoir fait une grande tape ,dans le dos qui fit faire au docteur un pas en avant, sous le regard éberlué de Kidd, qui se retenait de râler, Franky se dirigea vers Sanji afin de le remercier lui aussi.
- Et c'est moi le bourrin ? Bougonna le géant à cheveux rouge.
- Ou là...gentil....gentil .... Franky, ...S'exclama le cuistot en agitant les mains devant lui en le voyant arrivée tel un menace......dou...doucement ! Fit il en recevant à son tour une accolade un peu bourru, ...ou là là me secoue pas s'il te plait...murmura t-il la main sur la bouche. Et puis mouche toi .....
Suzie perchait dans les bras de Zoro, applaudissait toute heureuse de cette bonne humeur, alors que son papa oméga à être secoué ainsi, même amicalement prenait un visage un peu pâle. Près de son oreille des cuistots vinrent lui dire...
- On s'occupe du reste chef...vous avez une sale mine.
- T'es malade ? Demanda le cyborg qui se demandait enfin s'il n'aurait peut-être pas du le secouer autant.
- Une maladie qui se soigne en neuf mois, si tu vois ce que je veux dire, intervient le chef, en donnant un petit coup de coude à l'invité d'honneur. Et c'est pas le seul, dit-il en pointant du doigts Law, qui s'était assis sur une chaise....
- Pour la discrétions on repassera...marmonna Law, en secouant un peu la tête....
A nouveau l'émotif Cyborg se mit à pleurer en apprenant ces bonnes nouvelles. Et même si il prétendait ne pas faire l'évidence, et que ses larmes étaient causé, parce qu'il avait une poussière dans l'oeil. Bien peu de personnes crurent ce mensonge absolument pas crédible. Mais cela importait peu, de toute manière car chaque personne dans ce nouveau refuge, trouvait que la mise à l'honneur du Cyborg étaient amplement mérité. Durant des mois il avait travaillé comme un dingue, ne dormant que très peu, se fatiguant et allant parfois au delà du raisonnable , afin d'assurer la protections des siens. C'était peut-être un émotif à la larme facile, mais s'était avant tout un homme bon et généreux, et chacun ce jours-là fut heureux de pouvoir lui dire tout simplement !
Merci Franky.
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Et voila pour la fin de ce chapitre 13.
Ou le peuple continue de se poser des questions et ou certain cherchent même à agir. Un intervenant prénommée Oscar continue d'agiter les cerveaux de ses compatriotes. Pendant ce temps le roi Alban cherche à comprendre pourquoi un alpha aussi puissant que Shanks ne cherche pas à se venger d'eux ? Reiju de son côté continu son bonhomme de chemin...en intégrant prochainement le conseil des ministres.
La fêtes en l'honneur de Franky bat son plein. Et Shanks pour une fois ce dispute un peu avec Mihawk.
Sanji et Law eut continu de lutter avec leurs nausées, et les accolades de Franky n'aide en rien.
J'espère que ce chapitre vous à plu.
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