Chapitre 39: Paolo
MARCO
La porte s'ouvre avec un grincement sinistre, brisant le silence oppressant du bureau. L'air est lourd, chargé d'une tension palpable, presque suffocante. Sergei Markov entre lentement, comme une ombre sinistre envahissant l'espace. Chaque pas résonne sourdement sur le parquet sombre, amplifiant son aura intimidante.
Le bureau est un chef-d'œuvre gothique, presque théâtral. Les murs sont tapissés de panneaux de bois noir, ornés de sculptures de gargouilles et de motifs tortueux. Un immense lustre en fer forgé, suspendu au plafond, projette une lumière vacillante, rendant les ombres plus menaçantes. Au fond, une bibliothèque monumentale regorge de vieux livres et de reliques étranges, témoignant d'un goût pour le pouvoir et le mystère.
Le regard de Sergei balaye la pièce avec une froideur glaciale. Sa silhouette imposante semble absorber toute la lumière. Il est vêtu d'un costume noir impeccable, taillé sur mesure, qui épouse ses épaules larges et met en valeur sa carrure imposante. Son visage est taillé à la serpe, avec des traits durs, presque sculptés dans la pierre. Ses yeux, d'un sombre glacial, transpercent tout ce qu'ils croisent, comme s'il pouvait lire les secrets les plus enfouis de quiconque ose le regarder.
Il s'approche lentement du bureau massif en acajou qui trône au centre de la pièce, comme un autel dédié à l'autorité. Sa main gantée effleure le bord, laissant une traînée invisible de pouvoir et de menace. Derrière lui, la porte se referme dans un bruit sourd, scellant l'espace comme un cercueil.
L'air devient plus froid, comme si la présence de Sergei avait aspiré toute chaleur. Son parfum, un mélange de cuir et de tabac, imprègne l'atmosphère, ajoutant à son aura de domination. Lorsqu'il prend la parole, sa voix grave et rauque semble vibrer dans les murs, résonnant comme une sentence inéluctable.
L'ensemble de la scène, avec ses ombres mouvantes et son silence oppressant, donne l'impression que la pièce elle-même retient son souffle, terrifiée par l'homme qui se tient en son centre.
__ il me tardait de vous revoir Marco Giordano. Dit-il en prenant place face à moi.
Mes hommes sont positionnés de part et d'autres de la pièce et mes fils sont à mes côtés; Gabriele et Gino. Je place mes bras le long de la table et l'une d'elle attrape la tasse de thé bien chaude.
__ hier encore on assistait à une soirée de gala ensemble. Dis-je en ramenant mon verre dans ma bouche.
__ Certe mais je voulais m'entretenir avec vous seul à seul sans un regard enfin j'accepterai volontiers deux trois regards. Dit il en faisant un clin d'œil à mes fils.
Ils restent silencieux et Sergei continu son manège:
__ enfin bref pour vous montrer ma bonne foi je suis venue sans aucune protection; si vous voulez vous pouvez demander des comptes à vos hommes; aucun sniper autour de la maison et aucun de mes hommes n'est armé. Si ce n'est pas une preuve de bravoure j'ignore ce que s'est.
__ vous avez eu du courage. Dis-je en remettant ma tasse sur la table.
__ oh vous savez le courage je n'en manque jamais.
__ je n'en doute pas.
__ bon je suis là pour vous faire une offre que vous ne pourrez pas refusé.
Je reste perplexe face à ses dire, Sergei ne fait jamais rien sans rien, venir ici sans garde ne signifie pas qu'il rend les armes ou même qu'il s'attend à ce que j'accepte son offre de je ne sais quoi encore.
__ ça fait des lustres que nous sommes en guerre, depuis l'époque de mon grand père si je ne me trompe pas. Dit-il en posant une main sur son menton.
__ exact.
__ vous ne pensez pas qu'il est grand temps d'y mettre un terme?
__ à quoi pensez-vous ?
__ c'est une nouvelle génération après tout oublions les erreurs commises par nos ancêtres et avançons ensemble. C'est une bonne idée n'est-ce pas?
Je reste perplexe et laisse sa question voltiger dans l'espace. Il racle sa gorge et finit par lâcher un soupire.
__ j'accepte de signer un traité de paix avec l'un de vos fils, celui de votre choix bien évidemment. Parce qu'il faudra bien avoir un nouveau parrain étant donné que l'actuel ne sera plus vraiment là.
Et à ces mots mon visage se froisse, il lé remarque et un sourire mesquin se trace sur ses lèvres. Aussitôt un homme pénétra dans le bureau avec un paquet emballé comme un cadeau. Il franchit le seuil de la porte et se dirige vers moi. Il pose le paquet sur la table m'empêchant de sculpter le visage de Sergei.
__ en signe de bonne foi je vous ait ramené un petit présent qui je pense touchera votre cœur.
J'hésite un instant avant de faire signe à l'un de mes hommes d'approcher. Mais Sergei n'est pas de cet avis, il s'interpose.
__ j'aimerai que vous l'ouvrez personnellement et si ce n'est pas possible l'un de vos fils peut le faire. Voyez-vous c'est un cadeau très personnel et je vous promet sur mon honneur qu'il n'y a aucun piège rien n'explora. Et si c'était le cas bah nous mourrons tous.
Le cœur battant je me lève pour faire face à son visage par delà le carton, il me sculpte du regard amusé de la situation.
Je me porte donc volontaire pour ouvrir le paquet. Je défais les noeuds et j'ouvre le carton, une marmite se dresse sous mes yeux et l'odeur est insupportable au point où je n'ose même plus retirer le couvert.
Cependant, je m'approche lentement de la marmite, le cœur battant à tout rompre. Une odeur métallique, nauséabonde, satire l'air, me soulevant déjà l'estomac.
Je tend la main vers le couvercle, mais elle tremble, hésite.
Quelque chose en moi hurle de ne pas regarder. De laisser le couvercle a sa place initiale, mais ma curiosité se fait de plus en plus intense.
Je dois savoir.
Sous le regard intense de mes fils et amusé de Sergei, j'ouvre à contre coeur le couvercle et ce que je vis, me glaça le sang.
Aussitôt le spectacle offert à mes fils, les hommes présents dans la pièce posèrent tous sans expectorons leur arme sur la tête de Sergei prêt à tirer au feu vert.
Des morceaux....des morceaux de chair humaine. Des bras, des jambes, désarticulés, baignant dans un liquide sombre et épais. Une main flotte à la surface, immobile, et c'est là que mon cœur cessa immédiatement de battre.
Ce bracelet.
Mon souffle se coupe, je connais ce bracelet je l'ai vu des dizaines des fois sur sa main...la main de mon fils.
Ça ne peut pas être vrai...
Je recul brusquement sous les r gars des mes fils, cependant mes jambes vacillent sous moi. Mon regard, comme aimanté revient à cette vision d'horreur. Et là, je le vois, sur son avant-bras qui dépasse à moitié du bouillon.
Ces désignes choisies par lui-même, il en était si fier.
Je sens un cris monter dans ma gorge, mais aucun son de sort de ma bouche. Je suffoque. Ma poitrine se serre, et l'air refuse de remplir mes poumons. Mon esprit tourne à vide, cherchant désespérément une explication, un espoir, quelque chose pour me dire que je me trompe mais tout est là.
C'est lui....
Et comme ci il lisait dans mes pensée Sergei lance:
__ exact c'est bel et bien lui, figurez-vous que votre fils cadet est venue vers moi me proposant son aide pour punir votre fils cadet illégitime, je ne pouvais pas refuser son offre donc j'ai trouvé un moyen de le rendre utile.
D'un geste de la main je retire cette marmite de la table, les morceaux de mon fils Paolo, tombèrent à terre.
__ Comment oses-tu!? Dis-je furax.
Il lâche un rire, comme ci les armes posées sur sa tête ne valaient rien et ne l'intimidait même pas. D'un geste il retire une arme de la poche de sa veste. Il se la pointe sur la tête.
__ Tuez moi si vous le voulez mais la mort de votre fils n'aura servit à rien dans ce cas.
__ Sergeiiiii. Cris Gabriele avant de lui aussi sortir une arme de sa poche et de la pointer dans la bouche de Sergei.
Il lâche un rire bruyant amusé de la scène qui se présente à lui. Des dizaines des armes posées sur lui et pourtant il n'a même pas un peu reculer.
__ si vous m'abattez maintenant sachez que Certe je périrai mais vous savez que vous risquez gros Marco. Dit il en reposant son arme sur la table.
Il se lève et me sculpte du regard en ajustant sa veste.
__ Dans six jours je récupérerai ma sœur, mais voyez vous je connais assez Alvize pour savoir qu'il ne reculera devant rien pour la récupérer sûrement juste pour m'emmerder. Je veux donc que vous m'aidez a le neutraliser.
__ comment oses-tu me demander de tuer mon fils alors que tu viens de me retirer l'un de mes héritiers.
Il fait un signe négatif de sa tête.
__ je n'irai pas jusque là voyons; je n'ai jamais dit que je devais le tuer mais juste le neutraliser disons qu'il sera à moitié mort.
__ tu oses continuer les démarches de ton plan diabolique tout en sachant que ces hommes pourraient t'abattre dé qu'ils auront le feu vert?
__ Marco Marco; ce n'est pas la première fois que je me retrouve dans ces genres de situation et pourtant voyez par vous même; pas une égratignure et toujours vivant au cas où vous l'aurez oublié. Il lâche un rire moqueur. Sois vous marchez avec moi sois vous êtes contre moi, je ne tuerai pas Alvize car il aura un rôle important à jouer au moment voulu et je sais à quel point vous tenez à lui.
__ qu'est ce que tu prévois?
__ eh bien disons qu'il sera juste à moitié mort; et vous devriez déjà vous mettre à choisir un nouveau chef pour votre dynastie; c'est avec ce nouveau chef que je signerai volontiers la traité de paix.
__ qu'est ce qui me garantit que vous ne ferez pas de mal à mon fils. Je ne peux pas croire en vos mots jamais.
__ Marco regardez moi bien et tout au fond de vous, vous verrez qu'Alvize et moi on se ressemble? Vous pensez que je tuerai un atout si important pour mon plan? Vous pensez que le courage d'Alvize et sa détermination viennent de vous? Vous pensez que sa mère est morte parce qu'elle avait un utérus faible? Vous êtes pathétique.
Je lève une main pour indiquer à mes hommes de l'abattre mais je me retiens aussitôt et ces mots sortirent de sa bouche:
__ Lucìa était également ma mère, et la vérité sur cette femme est bien pire que vous le pensez. Vous pensiez qu'elle vous aimait? Ou qu'elle vous étiez soumise par amour pour vous? Non non Marco détrompez vous. Vous étiez pour elle ce qu'on appel la dernière chance de survivre, mais vous n'avez même pas pu la sauver vous n'avez jamais réussi à sauver quiconque. Allez en Amérique du Sud et cherchez des informations sur Lucìa Donovan et croyez moi ce que vous découvrirez vous glacera le sang. Mais quoique vous faites ne rencontrez jamais son père. Et pourtant mon petit doigt me dit qu'Alvize l'a rencontré récemment; attention à ce qu'il ne meurt pas.
Il déplace sa chaise pour se frayer un chemin pour sortir. Il se tourne dos à moi mais avant de débuter sa course il lance:
__ si vous ne m'abattez pas maintenant vous n'aurez plus jamais la chance de le faire Marco réfléchissez soigneusement à mon offre, une guerre des mafieux se prépare et je ne veux pas avoir l'empire Giordano à mes trousses. Réfléchissez bien. On signe un traité de paix vous nommez un nouveau chef apte à se battre corps et âme à vos côtés et en plus de ça la famille Markov sera également présent pour vous ou alors. On ne signe rien et c'est vous que j'abattrai le premier.
Il se dirige lentement vers la porte, mes hommes sont toujours en position prêt à tirer à mon signal mais je n'ose pas donner le feu vert.
Une question trône dans ma tête.
__ où est la tête de mon fils?
Il eut un mouvement de recul, mais continu sa route vers la porte de sortie, il ouvre celle-ci et se retourne une dernière fois pour croiser mon regard.
__ vous n'êtes pas les seuls membres de sa famille.
Et sur ces mots il s'en allant.
••••••
ALVIZE
Je baisse le regard alors que Mattia me regarde intensément, sa question résonne dans ma tête comme une bombe à retardement qui n'attend que mon signal pour annoncer le compte à rebours.
J'aurai dû rester à la soirée j'ai manqué plusieurs opportunités en m'en allant de la sorte. Et maintenant quelle explication donner à Mattia, que dire? Où était-je? Que faisais-je?
Ce que j'ai fais avec Anna était une énorme erreur, une erreur que je ne pourrai malheureusement pas réparer.
Pourtant...
Je ne regrette rien, je n'arrive pas à avoir des regrets, est-ce que j'avais réellement aimé cet instant où elle était dans mes bras?
Sa confession !?
Je me suis confié à elle, qu'est ce qui m'avait pris de faire ça?
Je plonge mes mains dans mes cheveux.
__ il y avait plusieurs mafieux américains nous aurions pus faire des alliances mais tu avais choisi le pire moment pour partir, et tu sais qui l'a fait à ta place ? Ton super frangin Gabriele. Comment veux-tu qu'on te prenne au sérieux alors que tu n'es pas foutu d'être là si nécessaire?
Je reste silencieux. Ce n'est pas mon serviteur qui me parle mais c'est mon meilleur ami celui qui se souci de mon bien être qui me parle...
__ si tu ne veux pas me répondre il serai mieux de....
__ excusez moi. L'interrompt l'un de mes hommes.
Il entre dans la pièce avec un paquet emballé comme un cadeau. Il dépose le paquet sur la table et lance:
__ nous avons inspecté ce paquet il n'y a aucune trace d'arme c'est un paquet tout à fait normal qui est arrivé il y a peu.
Et sur ces mots il s'en allant.
Je déballe aussitôt le paquet sous le regard de Mattia.
Et le spectacle qui s'offre à moi est horrible. La tête de Paolo visant dans son propre sang; ses yeux sont ouvert et l'expression de son visage montre clairement qu'il était étonné avant de rendre l'âme.
D'un revers de la main je balance cette marmite droit sur la porte.
Mon cœur s'emballe et mon poumon suffoque; Mattia ouvre la porte et croise Emma.
Je lance un regard à la tête et y vois une inscription écrit sur sa joue.
"Prépare-toi, Alvize, car je vais réduire tout ce que tu as construit en cendres, et cette fois, même tes fantômes ne te sauveront pas."
Un frisson glacial me traverse l'échine alors que mes yeux se posent sur la scène devant moi. Mon souffle se bloque, ma gorge se serre à en devenir douloureuse. C'est un mélange suffocant de peur et de rage qui grandit en moi, un nœud brûlant dans mon estomac. Mon cœur bat si fort que j'entends presque son écho dans mes tempes. Je serre les poings jusqu'à ce que mes ongles s'enfoncent dans mes paumes, mais la douleur physique n'arrive pas à étouffer l'explosion d'émotions qui m'envahit. La vision est insupportable, mais je ne peux pas détourner le regard.
Chaque détail que je remarque intensifie cette horreur. Mon souffle devient rauque, incontrôlable, alors qu'une colère noire monte en moi, une rage viscérale que je peine à contenir. Mes mâchoires se crispent, mes muscles se tendent, et un goût amer de bile me monte à la gorge. Ce n'est pas seulement une atteinte, c'est une déclaration, un affront que je ne pardonnerai jamais.
Un cri, un grondement, monte en moi, mais je le retiens. Pas maintenant. Pas ici. Mais je jure, je jure que celui qui a fait ça paiera de sa vie. Et ce ne sera pas une mort rapide.
__ Mattia...Anna a organisé une rencontre entre Gabriele et Ricci la nuit dernière; il fallait que je le dise à mon frère parce que je penses vraiment que...
Et c'est la gifle que je lui donne qui la fait taire. Elle tombe à terre regardant le sol.
__ son arrivé t'as bien changé Emma; tu commence un peu trop à m'énerver cet ainsi, tu veux perdre un œil de plus? Comment as-tu osé laisser ça passer? Comment as-tu pu me trahir jusqu'en arriver là Emma. À quel moment t'es-tu sentie aussi libre ? Parce que je l'est laissé sous ta surveillance tu te prend pour une personne assez importante? Je vais te montrer ta place.
Je quitte mon bureau et me dirige dangereusement vers sa chambre suivis de près par Mattia et Emma. Arrivé face à sa porte j'essaie tant bien que mal de contenir ma colère, en souvenir de la soirée de la veille cependant...
Paolo est mort.
Gabriele a dû dire un truc important à Ricci.
Ce qui signifie que quelque chose d'énorme se prépare.
J'ouvre brutalement la porte et la trouve devant son miroir entrain de tirer ses cheveux en un chignon bien fait. Je m'avance dangereusement vers elle alors qu'elle affiche un sourire accueillant.
__ Alvize tu....
J'attrape son poignet et la conduit en dehors de sa chambre. Je tire Anna derrière moi, ne laissant aucune place à la résistance, même si ses plaintes étouffées m'atteignent, brisant quelque peu le froid contrôle que je m'efforce de maintenir. Son poignet est pris dans ma prise, et je sens sa peau frémir sous la pression, fragile comme du verre. Elle essaie de me faire ralentir, mais je n'ai aucune intention de céder. Chaque pas résonne dans le silence oppressant de la maison, comme si le sol lui-même ressentait la tension dans l'air.
Je continue de la tirer à travers les couloirs sombres, chaque mouvement de ses pas hésitants résonnant comme un écho qui se brise contre les murs froids. La pièce où je l'amène se profile au bout du chemin. La porte grince lorsque je l'ouvre, et je m'arrête un instant pour observer. Mon regard balaye la pièce, une sorte de cave transformée en prison. Un lit, vieux et rongé par le temps, est recroquevillé contre le mur, ses draps déchirés et usés comme un témoignage d'années d'abandon. À côté, la petite toilette semble avoir connu des jours meilleurs. La saleté imprègne l'air. Le lieu est aussi mal en point que l'image que j'avais de cette situation. C'est un endroit où l'âme se perd, un endroit où on ne revient pas indemne.
Je sens Anna se raidir, une certaine terreur dans ses yeux. Et dans le fond, c'est ce que je veux. Je lâche son poignet un instant pour la pousser à l'intérieur, fermant la porte derrière elle avec un bruit sourd. Mais je la fixe, ne laissant aucun doute sur ce qui l'attend.
__ rester ici un certain temps te feras sans doute réfléchir, tu n'es pas dans la cours de récréation; comment as-tu osé organiser une rencontre entre Ricci et Gabriele sans m'en parler?
__ je voulais juste....je voulais juste....juste qu'il...Alvize s'il te plaît me laisse pas ici me laisse pas...je pensais qu'on s'était rapproché...je pensais qu...
__ tu pensais mal.
Je lui tourne le dos et me dirige dangereusement vers Emma qui tremble déjà.
__ je veux que tu te rende à la salle de torture, je veux que tu t'attaches les mains avec le fouet à clous. Attache toi en forme de croix sans l'aide de personne les mains ainsi que les pieds. Et je veux que les cloues transperces ta peau compris?
Elle hoche la tête, et j'entame ma route vers la cage de Ricci. Je pénètre avec Mattia à mes trousses.
Je le retrouve sur le sol entrain de fixer un point invisible. Lorsque je m'approche de lui il remarque aussitôt ma présence.
__ si ça peut te rassurer nous avions parlé en français pour qu'elle puisse comprendre.
__ ne me prend pas pour un idiot il y a plusieurs façon de se communiquer.
Il lâche un rire amusé.
__ tous ce que je peux te dire ce que le pire t'attend Alvize.
__ tu vas m'en dire plus , beaucoup plus.
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Le dernier chapitre sort demain eettt ouiii j'ai tout fais pour finir avant l'année mais bon.
Vu que le dernier chapitre parle en général du nouvel an je voulais le sortir le nouvel an😁
Merci d'avoir lu et de m'avoir soutenu jusqu'ici 🥹 même ci il y a ceux qui lisent mais ne vote pas 💔 mais merci quand même pour votre présence ^^
Bon dernier Mardi de l'année 2024 ✨❤️
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