Chapitre 18: Tortura
**"Naruto"**, par Nagato (Pain) :
"Le désespoir est une forme de souffrance et il n'y a rien de plus douloureux que de perdre tout espoir."
( ⚠️ SCÈNE DE VIOLENCE ⚠️)
ANNA
Ce soir là je n'avais qu'une envie, c'était de désobéir aux ordre peu importe la punition que j'aurai eu, je l'aurait pleinement assumé mais j'aurai pu faire un pas en avant vers une liberté sans limite.
Cependant, la peur m'a fait redescendre sur terre, il me fallait une permission, et mon frère aîné n'était pas là.
Le premier fils de la famille.
C'était un homme impitoyable rien qu'à l'entente de son prénom j'avais des frissons.
Mais ce soir là il n'était pas là et je pouvais sortir mais penser à la punition que j'aurai eu venant de lui me glaçait le sang, quelque chose m'empêchait d'avancer.
Alors je pris mon courage à deux mains et je me dirigea vers le bureau de mon père.
J'étais loin d'imaginer ce qui m'attendais derrière cette porte.
Une fois à l'intérieur je me retrouve devant une dizaine des visages de vieux, seul le visage de mon père m'est familier mais tous les autres me regarde bizarrement.
La fille de Markov.
Ils murmurent tous en me regardant, mon père se leva et m' entraîna hors de son bureau.
A cette époque j'avais environ 19ans, pourtant même pour prononcer un mot il me fallait une permission.
Mon père m'entraîna dans le grand salon, et aussitôt il me jeta au sol avec toute sa force, je me retrouve par terre la tête sur le sol et les mains tremblantes.
Qu'ai-je fais ?
Je voulais juste une permission pour voir quelque chose au moins je n'ai pas désobéis.
Mon frère Nikolai se précipita vers moi, mais avant même qu'il ne puisse poser une main sur moi mon père le fit signe de ne pas me toucher.
Car une seule personne le pouvait à cet âge là .
__ qu'est ce qui t'a pris ?
Je me redresse doucement et fait face au sol entendant attentivement ses mots.
__ tu te sens poussé des ailes parce que t'es une adulte et tu te permet de pénétrer dans mon bureau sans ma permission,
Le sons de sa voix est une torture pour moi, chaque mot qui sort de sa bouche, ne fait que plus accélérer mon rythme cardiaque.
Tais toi.
__ mais bon tu sais quoi? Je vais le dire à ton frère et il te portera correction j'en ai marre de toutes tes bêtises.
De quelle bêtise parles-tu? Pourtant j'ai toujours été obéissante, du matin au soir je restes dans ma chambre, même à travers ma fenêtre je ne peux pas voir l'extérieur j'ai toujours été obéissante alors de quelle putain de bêtise parles-tu ?
Mon cœur rate quand même un battement.
Il va le dire à mon frère aîné et lui il me punira très sévèrement.
__ va dans ta chambre et attend ton frère.
Je m'exécute aussitôt et couru vers ma chambre, je me jeta sur mon lit tête contre l'oreiller.
Mon frère m'étranglera jusqu'à m'étouffer et me tuer une bonne fois pour toute.
Bien qu'il soit incapable de me tuer.
Je suis la fille pondeuse de Markov personne ne pourra jamais être en mesure de me tuer.
Cependant il me torturera comme à son habitude.
Je suis resté dans ma chambre je ne sais combien de minute ou d'heure mais à un moment donner je me leva et quitta ma chambre.
Je me dirigeais vers la cuisine quand j'entendis sa voix.
Je ramène doucement mais sûrement mon regard vers l'origine de la voix et par malchance je croisa le regard de mon frère aîné.
Le premier fils.
Son regard sombre et dure et son visage aussi sombre que l'obscurité elle même.
__ elle est là finalement quand on parle du loup on en voit la queue comme on dit.
__ je vais m'occuper d'elle père.
Il salua notre père et se dirigea dangereusement vers moi, arrivé à mon niveau il me fit signe de le suivre ce que je fis sans mon propre consentement. Mon cœur rata un battement alors qu'ils me conduisait dans sa chambre.
Arrivés il prit place sur un canapé et me fit signe de fermer la porte, je le fis immédiatement mais il me refis le même signe, je compris alors que je devais verrouiller la pièce.
Je le fis immédiatement et il me fait signe de m'approcher de lui.
Je le fis contre mon gré.
Mes jambes marchent seules mon cerveau ne m'écoute plus et mon corps ne m'obéit plus.
Quand je suis face à lui j'ai l'impression que l'horloge arrête de tourner et que le temps se fige l'atmosphère est aussi pesant que la gravité.
Il tapote ses cuisses pour me faire signe de me mettre sur lui.
Je le fis de nouveau contre mon gré.
Il caresse doucement mes cheveux mais délicatement, mon cœur bat trop rapidement ma pression artérielle est beaucoup trop élevée, je ne pourrai pas supporter cette pression plus longtemps même ci j'y suis habitué personne ne peut supporter un tel stresse.
__ Spokoyno, moy lyubov ( calme toi mon amour).
Sa voix me glace le sang, alors qu'il se rapproche doucement mais sûrement de mon oreille.
Je sens son souffle caresser ma peau alors que mon cœur bat de plus en plus rapidement.
__ Ya prosil tebya uspokoit'sya tak uspokoysya ( je t'ai demandé de te calmer alors calme toi).
J'essaie d'exécuter ses ordres mais mon corps ne m'obéit pas.
Pitié petit cœur arrête de battre juste pour quelques minutes s'il te plaît pitié arrête de battre aussi rapidement.
__ calme toi Moy lyubov ( mon amour).
Il chuchote ces mots au creux de mon oreille en caressant ma cuisses délicatement.
Je porte un mini-short et juste un t-shirt très large.
__ je vais compter jusqu'à cinq et ton cœur doit se calmer immédiatement après compris.
J'hoche activement la tête pourtant je sais très bien que je suis incapable de contrôler mon cœur.
__ Odin (un).
Il commence à compter mais pourtant mon cœur au lieu de m'écouter ne cesse de me désobéir, il s'accélère encore plus et mes mains tremblent encore plus.
Pitié arrêtez ça.
__ Dva.
Il continue et il prend un malin plaisir à renifler mon odeur corporelle en prenant soin de bien faire sentir sa chaleur contre ma peau.
__ Tri.
Pitié par pitié arrêtez pour une fois obéissez moi.
__ Chetyre.
Il pose une main sur les miennes posées sur mes cuisses, il caresse mes cheveux lentement mais sûrement, il descend jusqu'au bat de mon dos.
__ Pyat' .
Il pose sa tête sur ma poitrine et avec sa main posée sur mon dos il me rapproche de lui et écoute les battements de mon cœur .
__ stop.
Comme ci il pouvait contrôler mes organes également.
Mon cœur s'arrête immédiatement de battre et reprend un rythme normal alors que ma pression se stabilise.
Il retire sa tête de ma poitrine et ancre son regard sombre dans le mien.
__ maintenant dis moi ce qui s'est passé Moy lyubov' (mon amour).
J'avale difficilement ma salive avant d'ouvrir ma bouche pour lui répondre.
__ j'ai vu de la lumière à travers ma fenêtre je me suis dit que c'était sûrement les feux d'artifices et je voulais voir ça de mes propres yeux alors je suis allé demander à père la permission d'aller sur le balcon afin de pouvoir contempler ce spectacle.
Il approche sa bouche de mon oreille pour me murmurer les mots qui vont certainement me détruire.
__ à qui dois-tu demander la permission avant même de respirer ?
Lui, ce n'était pas mon frère mais plutôt mon maître, c'est à lui que je dois mon existence tout entière.
Je suis né pour lui appartenir.
Certaines personnes diront que non que c'est à mes parents que je devais mon existence mais non ce n'est pas le cas pour moi, mon frère aîné était la seule personne à décider pour moi.
Depuis petite c'est lui qui prend les décisions de ma vie à ma place il me dicte mes choix mes goûts et même ma manière de respirer n'omettons pas ma manière de penser également.
__ Prostite starshiy brat ( désolée grand frère).
Les larmes me montent aux yeux, alors qu'il attrape une cigarette qui était posé sur la table face à lui comme ci je n'étais pas sur ses genoux.
Il l'allume à l'aide de son briquet.
Il inspire cette chose toxique pour sa santé avant de relâcher de la fumée dans l'air.
Une fumée toxique.
__ je ne te punirai pas après tout! C'est le nouvel an n'est-ce pas ?
Ces feux d'artifices étaient pour célébrer la fin de l'année mais également le nouvel an
Une nouvelle année de torture s'annonce pour moi.
Cependant j'ai envie de le célébrer parce que je sais que dans quelques jours je ne serai plus ici et je ne rentrerai plus jamais ici je ne reverrai plus jamais la tête de mon frère aîné.
Sergei Markov.
Le premier fils de Anton Markov celui qui succédera celui-ci à la place du chef une fois que Anton prendra sa retraite, Sergei prendra le relai mais ce jour là je serai déjà très loin d'ici.
__ tu sais je vais même exaucer ton souhait après tout cet année tu auras vingt ans tu deviendra une femme Moya zhena (ma femme).
Il tape légèrement sur mon dos comme pour me faire signe de me lever ce que je fis immédiatement il se diriges vers la porte de sortie mais avant ça il me dit de ne pas bouger et de l'attendre bien sagement.
Même le fait de m'asseoir me semble impossible sans sa permission, alors je l'attend en étant debout
Et après quelques heures il franchit de nouveau la porte de sa chambre et me fait signe de prendre la main qu'il me tendait.
Je le fit immédiatement.
Il me conduit vers la porte principale menant sur le jardin.
Et après il ouvrit la porte et face à moi se dresse des dizaines de carton rempli de feux d'artifice prêt à être allumer et cet air fraîche qui caresse ma peau me donne la sensation d'être libre.
Cette nouvelle année qui débute sera mon année de liberté.
Au signal de Sergei les gardes allument les feux d'artifice et le spectacle qui se présente à moi me laisse sans voix,
En dix-neuf ans d'existence je vois enfin le ciel étoilé orner des lumières.
Je ressens un mélange intense d'émerveillement, d'émergence et d'excitation, les explosions de couleurs vives et les motifs lumineux dans le ciel suscite en moi un sentiment de joie enfantine, de fascination et même une pointe de nostalgie et de contemplation face à la beauté éphémère de l'événement,
Ce jour là j'ai goutté à la liberté et j'en voulais plus beaucoup plus.
••••
__ debout tu dors déjà ?
Je me réveil aussitôt de mon mini rêve après avoir reçu en pleine gueule de l'eau extrêmement froide avec quelques glaçons qui heurte mon visage laissant des blessures sur mon visage.
Je suis enchaîné en une croix les mains de pars et d'autres et mes jambes posé sur un sot très fragile.
Ma vision se fait très faible et la notion du temps m'est complètement inconnue pourtant je sais très bien que je n'ai pas passé une journée ici mais juste quelques heures et pourtant j'ai l'impression d'avoir passer plusieurs journées ici.
Peut être que Raïssa a déjà averti les autres et peut être qu'Alvize sera bientôt là pour me sauver.
Parce qu'il me l'a promis.
Il me protègera contre vents et marées.
__ Finalmente de pie mi hermosa hermana ( enfin réveiller ma belle sœur).
Gabriele franchit la porte de la pièce les bras bien écartés il se rapproche de moi et me prend dans ses bras comme ci il était émerveillé.
Pourtant je n'ai pas compris un seul mot de sa phrase.
Je suis attaché dans une pièce sombre éclairé que par une petite lumière d'une lampe déjà abîmée qui ne cesse de s'éteindre a tout bout de champ.
La pièce est inondée que très faiblement et il y a une table placée devant moi rempli d'outil de torture.
__ Solo has estado aquí durante siete horas y, sin embargo, ya estás cansado, es decepcionante venir de la hija de Markov ( ça ne fait que quelques heures que tu es ici pourtant tu es déjà fatigué c'est très décevant venant de la fille de Markov).
__ je ne piges Keudal à ce que tu dis bouffon.
Même ci je suis en mauvaise posture je ne perds pas pour autant ma langue, j'ai été assez torturer et assez menacée comme ça je n'en peux vraiment plus.
J'ai le droit de faire entendre ma voix surtout à ce putain de fils de pute.
Il n'a pas mal changer depuis les épreuves surtout de coiffure et de la couleur bien évidemment
Il a des nattes bien tresser et ses cheveux sont teinté en blanc donc il y a un mélange dans les nattes noir et blanc ce qui lui rend encore plus charmant, il est torse nu donc je vois bien ses tatouages d'ailes et ses colliers en argent pure je suppose.
Il a une teinture un peu plus foncé que son frère Ricci mais sa le rend encore plus mignon.
Oui j'avoue il est mignon et beau et tous ce qui est adorable physiquement mais dans sa tête c'est un vrai taré ce type.
__ désolée je vais parler russe c'est bon là tu me comprend ?
__ ouais articule mieux ton accent est pathétique.
Je suis entrain de signer mon arrêt de mort là mais ferme là Anna.
__ tu es marrante toi je vois bien que tu sais très bien penser à une autre chose et contredire tes pensées et ton expression faciale.
__ je sais juste comment parler aux fils de pute de ton genre,
Il affiche un sourire pervers avant de se tourner dos à moi.
__ pourquoi dormez t-elle dites moi combien de tasse de café lui avez-vous donné ?
__ huit tasses.
__ rajoutez huit elle doit rester bien éveillée.
Je ravale difficilement ma salive alors qu'un homme prépares les tasses de cafés avec de l'eau venant du sol.
Pourtant je ne quittes pas Gabriele du regard je le jure je me vengerai de ce supplice.
Pourtant je savais bien que je ne devais pas sortir, j'avais une très mauvaise intuition pourtant je n'ai pas écouté je me suis laissé emporter par le vent et me voici dans une pièce de torture face à cet homme ingrat.
Il m'a déshabillé et je suis en soutif face à lui et ses hommes.
__ bon en attendant tes tasses de cafés on va discuter t'es d'accord ?
__ pas vraiment mais je suppose ne pas avoir le choix n'est-ce pas?
__ exactement.
L'un de ses hommes attrapes une chaise la pose juste derrière lui, il se met et croise ses jambes juste face à moi avec son air supérieur de gangster pas surprenant vu que c'est un putain de mafieux.
__ j'entends bien tes pensées.
__ en plus d'être con t'es fou maintenant ?
Je lâche un rire, ce qui le fait sourire encore plus, il hoche la tête positivement avant de lâcher un léger soupire.
__ le bon Dieu m'a béni en me donnant une ouïe extrêmement développée la perfection a l'état pure je peux tout entendre absolument tout.
__alors entends ça sale fils de pute va te faire enculer.
__ change de disque Anna t'es pathétique.
Quatre de ses hommes approchent avec deux tasses de café bien chaude chacun.
Le premier s'approche de moi et tend le verre vers ma bouche, par réflexe je referme ma bouche bien solidement.
__ verse ça sur son corps si doux.
Aux ordres de son chef, l'homme me verse le café bien brûlant sur ma peau nue et fragile.
Mais je ne laisse transparaître aucune émotion, et je je n'hurle pas.
Hors de question de lui offrir ma détresse à cette chose.
__ aller belle sœur ouvre grand ta bouche.
Je m'exécute à contre cœur, mais pas pour lui faire plaisir mais pour éviter une autre brûlure.
L'homme verse la totalité du café dans ma bouche sans prendre en considération la chaleur qu'émanait le liquide.
Deux.
Trois.
Quatre.
Cinq.
Six.
Sept.
Et enfin huit.
Les huit tasses enfin vide, je lâche enfin un soupire bruyant sentant ma bouche en feu, les liquides chaudes dévalent ma gorge prenant soin de bien me brûler au passage.
__ bon belle sœur as-tu apprécié ton café ?
__ t'as qu'à goutter et tu m'en donnera des nouvelles.
__ tu as une langue bien trop pendu à mon avis.
__ et toi t'as un truc beaucoup trop petit à mon avis.
__ tu t'attaques à ma virilité là.
Il se lève de sa chaise, et se place face à moi à quelques centimètres de mon corps.
Il place sa main sur mon ventre juste au dessus de mon caleçon.
Cependant je garde la tête froide et ne détourne pas le regard.
__ dis moi t'es vierge ?
__ non je suis Bélier.
Il lâche un petit rire.
__je suis lion et j'adorerais dévorer un bélier aujourd'hui.
Il descend doucement sa main jusqu'en dessous de mon ventre, sur mon intimité.
__ si tu oses.
Mon regard devint sombre mais il ne recul pas pour autant, il retire mon caleçon avec une telle force que je sens ma chair se trancher.
Mon intimité désormais visible, mon regard n'arrive plus à tenir le sien, mon cœur bat trop vite.
Je vais lui arracher la tête.
Pourtant je ne peux pas, je suis attaché.
D'un coup de pied il dégage le sot qui me tenait en équilibre, le fait de ne plus avoir un support étire beaucoup plus mes bras et ça fait un putain de mal de chien.
Mais aucune faille je continue à maintenir son regard.
__ dit donc toi tu ne sais pas te raser ?
Ma tête vire au rouge alors que ses hommes se mettent à rire bruyamment et lui avec, une humiliation pareille ne peut que faire naître en moi une haine extrême.
Je t'arracherais la tête.
__ dis moi t'es vierge ?
Il pose une main sur mon soutient gorge prêt à l'arracher comme mon caleçon.
__ je suis bélier pauvre con.
Et d'un coup sec il arrache mon soutien-gorge dévoilant mes seins à ses hommes.
__ j'aime tes seins si propre si frais et si droit pas comme ton intimité rempli de poil.
Je rougis intensément, alors qu'il se rapproche de mon oreille laissant l'une de ses mains balader mon corps passant par mon dos jusqu'à mes fesses.
__ dis moi ce que tu désires le plus nevistka (belle sœur).
Il chuchote ses mots au creux de mon oreille.
A la chaleur qu'émane son souffle je ne pus retenir un frisson, alors qu'il rapproche mon corps du sien.
Ta mort sale enfoiré.
__ la liberté n'existe pas dans ce monde partout où t'iras il y aura toujours des gens pour étouffer cette liberté que tu convoites tant, à ton avis pourquoi il existe des lois? Tu penses vraiment que si la liberté existait il y aurai un putain de gouvernement qui existerai dans chaque pays un gouvernement établissant des lois qu'il ne respecte même pas ?
__ va te faire.
Il pose sa main baladeuse sur ma bouche.
__ je vais t'apprendre à être obéissante exactement comme ton époux.
Il me lance un regard sombre avant de me lâcher brutalement faisant tourner ma tête légèrement en arrière.
Il fait signe à l'un de ses hommes et celui-ci lui donne un verre rempli des pilules ainsi qu'un casque noir attaché à des files menant à une machine bizarre.
Gabriele se rapproche de nouveau de moi.
__ ouvre la bouche.
Je n'exécute pas ses ordres et garde ma bouche fermée mais il me donne une gifle avec une telle force que j'ai sentie les chaînes étirés plus mon bras gauche, ma tête tournes du côté droit.
__ ouvre.
Je n'exécute pas ses ordre et il prend l'initiative de m'ouvrir la bouché férocement, il me griffe autour de la bouche et finalement je cède à la douleur il me fait avaler les pilules qui se trouvaient dans son verre.
De la drogue.
Il place les casque sur mon visage et celui-ci recouvre l'intégralité de mon visage.
__ allume.
L'homme qui était au commande de la machine exécute les ordres et je reçois un choque électrique très intense.
Le choc traverse l'intégralité de mon corps passant de la tête à mes jambes, la sensation est si douloureuse que les larmes que je retenais se mettent à couler à flot et le crie de douleur que je ne voulais pas lui faire entendre échappe à l'emprise de ma gorge.
J'hurle, je pleures pourtant il ne s'arrête pas.
Il me laisse subir le choque durant vingt minutes environ enfin je penses.
Après il retire le casque,
__ le fer est prêt?.
__ oui maître.
__ apporte.
L'un des hommes lui apporte un fer dont le bout est bien brûlant, Gabriele se rapproche lentement de moi avec le fer brûlant en forme de lion.
__ ici en Italie le lion symbolise la force et le pouvoir cela est dû à son emblème historique dans notre culture ainsi qu'à sa symbolique traditionnelle dans divers contextes historiques et mythologiques nous implantons cet emblème aux esclaves afin de leur montrer qu'ils appartiennent aux Giordano et toi tu appartiens aux Giordano.
__ je suis l'épouse du chef.
__ le chef pas encore chef dit moi Arnold il est quel heure ?
__ quatorze heures monsieur.
__ dans dix heures il sera minuit et après vingt heures c'est Ricci qui prendra la place de ton bon à rien d'époux parce que sa femme ne sera plus en vie du tout.
__ va te faire mettre si tu penses qu'il ne me retrouveras pas tu te fourre les couilles dans la bouche connard.
__ bon on verra si il te retrouvera avant ces heures là ou même avant que je ne te tranche la tête bref laisses moi bosser.
Il se rapproche de moi avec le bout de fer et le place à quelques centimètres de ma peau juste au dessus de mon intimité sur mon coter droit.
__ ça va te brûler belle sœur.
Il place le métal sur ma peau fragile.
La sensation est atroce ma peau se décompose immédiatement après le touchée.
J'hurle, je balance mes jambes dans le vide la douleur est atroce, mes larmes coulent, mon cœur bat de plus en plus vite alors que ma transpiration coule à flot.
Pitié arrête.
Il détache le bout de fer de ma peau, me laissant souffler un peu malgré le fait que j'ai encore atrocement mal.
Il m'avait promis de me protéger.
__ voilà t'es officiellement de notre Nevistka (belle sœur)
____
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