Chapitre 16: Lucía
« Il y a une lumière au bout du tunnel. Mais il faut avancer dans l'obscurité pour l'atteindre. » - Ken Kaneki
MARCO GIORDANO
Posé face à mes partenaires dans ma salle de conférence.
Une salle de conférence moderne et élégante, caractérisée par une ambiance sombre et professionnelle. Elle est dominée par une longue table de conférence en marbre noir, autour de laquelle sont disposées de nombreuses chaises en cuir sombre, de couleur noire.
Chaque place à table est équipée d'un sous-main, d'un bloc-notes et de plusieurs verres d'eau, ce qui suggère une attention aux détails et au confort des participants. Au centre de la table, plusieurs carafes en verre sont alignées, prêtes à être utilisées pendant la réunion.
Les murs et le plafond sont également sombres, mais le plafond est orné de luminaires encastrés modernes, offrant un éclairage sophistiqué et bien réparti. Au fond de la salle, un grand écran plat est monté sur le mur, utilisé pour des présentations ou des vidéoconférences.
L'ensemble de la pièce dégage une impression de luxe, de sérieux et de haute technologie, idéale pour des réunions importantes et des discussions d'affaires stratégiques.
L'organisation que j'ai bâti est dirigée par des membres du conseil et ils sont au nombre de 12; cependant je reste le chef donc toutes les décisions devrons avant tout passées par moi avant d'être approuvées.
Je pose ma main sur ma joue, toujours avec mon air aussi sévère et aucun de membres présents dans la pièce n'ose poser son regard dans le mien.
__ la passation du chef aura lieu le lendemain mais cependant nous ne savons toujours pas lequel de vos fils sera nommé.
Je baisse mon regard vers la pile de document posée sous mes yeux avant de lâcher un léger soupire.
Étant donné qu'aucun de mes fils dignes n'aient réussi à me ramener Anna Markov aucun d'eux ne pourra être nommer; cependant j'ai lâché mon joker et je suis sûr qu'il réussira; vu que le plan A qui était de ramener Anna et de l'échanger contre les restes de mes territoires et encore plus a échoué ,il ne me reste plus que le plan B qui est de nommer Gabriele comme chef; l'avoir au commande pourrai jouer en ma faveur; bien qu'il ne soit pas intéressé par le fait d'être nommer chef de l'organisation je réussirai à le convaincre coûte que coûte il est hors de question d'avoir Alvize comme chef et il est hors de question de le reconnaître comme étant mon fils devant le reste de mes partenaires.
Pour mon entourage Alvize n'est qu'un serviteur et je suis son maître vu ses origines ça me semble plutôt correcte et ce n'est que pure vérité.
Cependant je ne pourrai pas nommer Gabriele chef si il ne se débarrasse pas d'Anna.
__ vous n'avez aucunement besoin de savoir qui sera nommer vous le découvrirez en temps voulu c'est-à-dire demain.
__ et l'affaire sur Gino qui a quitté le nid familial comment allez-vous procéder pour le récupérer? Vous savez pour un chef il est essentiel d'avoir ses fils auprès de lui.
__ j'en fais mon affaire Gino reviendra bientôt.
__ bien la situation économique du pays de l'Espagne est catastrophique ce pays ne sera bientôt plus sous nos ordres le chef de l'état est entrain de prendre le contrôle petit à petit et l'Amérique en profite pour étendre son territoire comment voulez vous procéder ?
Je fronce les sourcils le cœur battant; bien que je ne montre rien sur mon visage je suis en total panique jamais déjà perdu 75% de mes terres je ne peux pas élargir mes pertes je dois agir et vite.
__ abattez lé lui ainsi que son gouvernement et placez un nouveau chef qui nous sera loyal jusqu'au bout sinon c'est vous que j'abattrai.
__ nous pouvons également lui rappeler que nous détenons des secrets qui pourraient nuire à ce pays.
__ faites donc.
Sur ces mots je me lève immédiatement et quitte la pièce; j'ai besoin d'un verre ou de plus; je n'ai toujours pas de nouvelle de Gabriele je ne sais pas si il a pu tuer Anna ou non; ce gamin n'en fait qu'à sa tête; depuis petit il ne marche que selon ses désirs mais j'ai toujours su couper ses ailes à temps.
Compte à Ricci il a toujours été un incapable coureur de jupon bien qu'il me soit totalement dévouer de temps en temps je perds mon contrôle sur lui; il essaie de voler mais je réussis toujours à le rattraper et à couper ses ailes il ne réussira jamais à se défaire de mon emprise.
J'arrive enfin dans mon bureau je m'installe sur mon siège bien dressé
Mon bureau personnel où je viens me poser quand j'ai besoin de réfléchir ou juste pour me détendre un peu.
Un bureau élégant et luxueux avec une atmosphère sombre et sophistiquée. Les murs, le plafond et le mobilier sont tous dans des tons noirs, créant une ambiance dramatique. La pièce est équipée d'un grand bureau en bois massif, sur lequel se trouve un livre ouvert. À gauche, une lampe de table ajoute une touche de lumière subtile à l'espace.
Le sol est recouvert d'un parquet en bois avec un motif en chevron, apportant une touche de chaleur au décor sombre. À l'arrière, de grandes fenêtres alignées permettent à la lumière naturelle d'entrer, bien que l'extérieur semble également sombre, en raison du temps nuageux.
Deux fauteuils en cuir capitonné, placés devant une cheminée ornée, ajoutent au confort et au luxe de la pièce. L'ensemble donne une impression de sophistication, d'autorité et de raffinement idéal.
Ça fait quarante-cinq ans que je suis chef du gang et en ces quarante-cinq années de pouvoir, j'ai perdu septante-cinq pour-cent de mes propriétés et ça reste un secret; aucun de mes fils n'est au courant et c'est mieux comme ça c'est pourquoi; je suis obligé de choisir l'un de mes quatre fils légitimes pour me remplacer et savoir garder le secret de ses pertes.
Mon père m'a remis le continent Européen en son entièreté mais je n'étais pas prêt à assumer la lourde responsabilité qui pesait.
Et durant mon règne j'ai commis tellement d'erreur et pourtant je n'ai jamais eu le temps de regretter quoique ce soit.
Mon premier fils Ricci est né après mes 10 ans au pouvoir c'était ma plus grande fierté étant donné qu'avant lui je n'avais eu que des filles mais je n'ai jamais considéré mes filles ce ne sont que des créatures faibles et fragiles.
Du coup la naissance de Ricci m'a redonné espoir et j'ai nommé sa mère première dame autrement dit la femme du chef et je lui ai donné une autorité infinie pourtant c'était ma troisième femme.
Compte à Ricci il a eu le titre du premier fils du chef et il a toujours été chouchouter; et devant mon conseil il a hérité d'une autorité sans pareil; ses gardes ont été choisi par mon conseil et il a été entraîner par moi personnellement.
Ce n'est que plutard que je me suis rendu compte que je l'avait un peu trop chouchouter il est devenu un véritable bon à rien finalement ce n'était que du gaspillage de sperme.
Trois ans plutard Gabriele est né; cet enfant dé sa naissance il avait des ailes, il était très désobéissants, à chaque fois que j'essayais de le prendre dans mes bras il pleurait et criait; il a toujours été proche de sa maman un véritable fils à maman contrairement à Ricci.
C'est à ses 5 ans qu'on s'est rendu compte qu'il entendait bien plus qu'il ne laissait paraître; il entendait absolument tout et cette capacité l'a rendu narcissique il a commencé à désobéir et à marcher selon ses désirs mais j'ai toujours su le maintenir sur terre.
Deux ans après la naissance de Gabriele, Gino est né de ma quatrième femme; Gino était toujours très obéissant et j'étais loin de me douter qu'il préparait un truc derrière mon dos; il se forgeait une personnalité complètement hypocrite et m'a pris au dépourvu lorsqu'il est parti; depuis petit cet enfant n'a jamais voulu être lier à moi de quelconque manière possible.
Le voilà parti mais je sais qu'il reviendra très bientôt; mes fils me sont chères et je ne les laisserai jamais échapper à mon contrôle.
Et deux ans après la naissance de Gino, Paolo est né de ma deuxième femme; il a toujours été un enfant sage et assidu c'est un gosse sur qui je peux toujours compter mais il a quand même un défaut un très grand défaut; c'est un manipulateur. A plusieurs reprises il a manipulé les membres de mon conseil afin de se frayer un chemin vers le siège de douze mais j'ai toujours été là pour le tenir à carreau.
Ça m'étonne de savoir qu'il a échoué alors que je lui avait donné plus d'information que les autres il a toujours été mon fils favoris celui dont je suis le plus fière.
Et enfin il y a Alvize il est né quatre ans après; je l'est nommé ainsi car cet enfant dé sa naissance il m'a paru très différent; dé que sa tête a franchi le vagin de sa mère il n'a laissé transparaître aucune émotion, il ne pleurait pas cependant la sage femme ne cessait de dire qu'il était vivant alors que tout le monde dans la pièce pensait que c'était un mort né.
Lors de sa naissance dans la chambre il n'y avait que moi, la sage femme, ma femme, et quelques uns de mes hommes, que j'ai bien évidemment fait abattre parce qu'à cet époque je ne voulais aucunement que quelqu'un sache la vérité sur mon infidélité.
Bien que j'avais droit à toutes les femmes que je désirais, j'ai succombé à l'adultère.
La mère d'Alvize était une femme sublime que j'avais rencontré en Espagne lors d'un voyage
Ce qui fait d'Alvize un hispano-Italien.
Elle était magnifique; elle avait un visage d'enfant et un sourire lumineux ses yeux d'un vert sombre et ses cheveux sombres comme la braise exactement comme Alvize ; elle me semblait être un ange irréelle mais pourtant elle était bien réelle.
Je l'est emmené dans ma demeure et je l'est faite mienne; c'était une femme exquise sur tout les plans je l'aimait tellement et pourtant je ne pouvais me permettre d'aimer.
Elle est tombé enceinte quelques années plutard; je ne pouvais pas laisser son enfant naître donc j'ai tout tenté pour la tuer; mais mon amour pour elle me l'a empêché et à cause du stresse elle a accouché prématurément.
Elle n'a eu qu'une grossesse de six mois et à la naissance d'Alvize II ne pleurait pas il ne bougeait pas; et Lucía autrefois souriante et pleine d'énergie, affichait une mine détruite et déboussolée.
Lucía, elle était véritablement une lumière pour moi; la seule femme que j'ai aimé d'un amour sincère et jusqu'à ce jour mon cœur n'appartient qu'à cette femme.
La sage femme donnait plusieurs coup à Alvize mais il ne pleurait toujours pas; pourtant elle affirmait que l'enfant respirait correctement; Lucía pleurait, et la vue de son visage triste me brisait le cœur je ne supportais pas cette vue son visage autre fois si joyeux était devenu pâle et très attristé.
Je n'aurai jamais dû l'emmener ici.
Après quelques heures Alvize ouvrit enfin les yeux et dé que son regard croisa le mien il se mit à pleurer; et sa mère le prit dans ses bras pleurant à chaude larme; malheureusement je ne pouvais pas faire parti de ce moment si intense parce que cet enfant était un enfant illégitime un enfant que je ne pouvais pas présenter à la société.
Bien que je sois chef tout ne m'est pas permis l'infidélité ne m'est pas permise parce que j'ai droit à autant de femme que je le souhaite; mais je ne voulais pas faire de Lucía mienne; je voulais qu'elle jouisse de sa liberté tout en restant à mes côtés.
Parce que je l'aimait bien trop pour la laisser partir ou même pour la faire endurer la vie d'une des concubines du chef.
Si seulement ...
Si seulement je l'avait rencontré plutôt je l'aurai faite mienne et elle aurait été ma seule et unique femme.
Mon regard posé sur le sien; elle avait la respiration assez difficile et perturbé pourquoi?
Tout simplement parce que accoucher ne lui était pas permis.
Parce qu'elle avait un utérus bien trop fragile pourtant elle avait insisté à accoucher Alvize.
Je veux que le fruit de notre amour naisse et si je dois mourir je veux au moins que tu garde un souvenir de moi.
C'étaient les mots qu'elle avait prononcés après avoir appris qu'elle portait un bébé.
Je me rapprochait d'elle et essayait de prendre Alvize dans mes bras mais il refusait fermement pour un bébé de quelques heures il avait une force impressionnante.
Je lui ai donné le prénom d'Alvize car cela signifie •guerrier glorieux• Dé que mon regard s'est posé sur lui j'ai vu en lui un guerrier un homme impitoyable exactement comme son père.
Environs cinq ans plutard l'état de Lucía se détériorait et elle devenait de plus en plus faible, malgré les traitements qu'elle suivait. Compte à Alvize, il commençait à me tenir tête voyant la différence de traitement entre lui et ses frères aînés.
La discussion que j'avais eu avec Lucía avant l'accouchement était pourtant bien claire.
__ je sais que tu dois me tuer sinon tu te verra déshériter et quelqu'un d'autre dirigera la dynastie de ton père
__ je sais
__ mais s'il te plaît laisse moi rester avec mon fils encore quelques années je te promet que je ne dirai rien je garderai le silence et même cet enfant ne connaîtra pas son père
__ merci
__ non merci à toi.
C'était la première femme...
La première femme que je n'arrivais pas à regarder dans les yeux et d'ailleurs la seule personne.
Pourtant Alvize était bien trop intelligent, il a mené à la perfection son enquête, et il s'est rendu compte qu'il était mon fils et il m'a confronté sur l'injustice qui régnait mais je ne lui ai jamais fourni d'explications il est resté dans le vide absolu.
Une année plutard, Lucía était posé dans mes bras dans notre chambre en Espagne dans son territoire d'origine comme elle lé souhaitait.
Elle avait refusé de poursuivre son traitement, elle voulait se reposer, je me devais de respecter sa décision malgré moi, à défaut de lui avoir accorder une vie paisible, je pouvais bien exaucer son dernier souhait.
Je la tenait fermement; son parfum sa chaleur corporelle.
Je savais pertinemment bien que le moment était venu pour elle de partir; au moins elle a vu notre fils grandir et il a eu énormément de chance de grandir aux côtés de sa tendre mère.
Pourtant le moment était venu...
Jamais je n'oublierai ces mots; les mots qu'elle avait prononcé ce jour là.
__ tu sais je ne regrette rien t'avoir rencontré et avoir eu un enfant avec toi n'était en aucun cas une erreur tu as été ma plus belle rencontre
Ces mots si perçants...
__ promet moi de garder notre fils heureux je veux qu'il s'épanouisse et qu'il devienne un grand homme comme son père, préserve lé toujours, protèges lé et garde lé heureux, qu'il sache toujours que même ci sa mère n'est plus là son père prendra soin de lui, il l'aimera pour nous deux, et qu'un jour qu'il sache qui est son père et que ce jour là qu'il soit rempli de joie sachant que l'homme qui l'a aimé est en vérité son père.
Sans même m'en rendre compte les larmes dévalaient mes joues; alors que je la tenait plus fermement contre moi je ne voulais pas qu'elle s'en aille; pas maintenant; mon cœur hurlait et pleurait alors que sa respiration se faisait de plus en plus lente.
__ pourquoi pleures tu?
Doucement sa main caressait ma joue essuyant mes larmes alors que je posait mon regard dans le sien
Elle avait son sourire toujours aussi magnifique et tendre.
Son visage était méconnaissable, autrefois magnifique et doux, maintenant rider et pâle.
__ ne pleure pas s'il te plaît tu sais bien que je n'aime pas te voir pleurer alors s'il te plaît affiche un magnifique sourire sur ton visage s'il te plaît.
J'exécutais ses ordres et affichais un sourire sur mon visage alors que mes larmes dévalaient mes joues; je posais mes mains sur ses joues la tenant fermement.
__ Marco je t'aime...
Ce fut les derniers mots qu'elle prononça avant de souffler une toute dernière fois.
Sa respiration ne se faisait plus ressentir et son corps devenait de plus en plus froid.
Je sentais mon cœur se briser alors qu'elle mourrait dans mes bras; le sons de ma voix se furent entendre dans tous les coins de la demeure; ma gorge me brûlait et me grattait ma tête me faisait atrocement mal tandis que mes bras tremblaient tenant le corps sans vie de ma lumière.
Au fond de moi j'espérais qu'elle se réveille et qu'elle me dise que ce n'était qu'une mauvaise blague, pourtant j'avais beau espérer je savais pertinemment bien que je l'avait perdue je savais qu'elle était partie; ma lumière venait de s'éteindre.
Dans un dernier sanglot je déposais mes lèvres sur les siennes: son corps étaient déjà bien froid et ses lèvres secs pourtant; je voulais y croire.
Pitié répond à mon baiser
Mais elle ne le fit pas ; elle était partie; elle s'était éteinte.
Pourtant...
J'espérais toujours au fond de moi qu'elle revienne.
Pitié reviens
Après quelques jours, je l'ai enterré dans la plus grande de discrétion; j'ai fais construire un autel spécialement pour elle et je l'est enterré dans un cimetière totalement vide isolé du monde extérieur.
Je te rejoindrai bientôt.
J'ai pris une femme au hasard brune; je l'est faite tuer et j'ai jeté son corps dans la forêt faisant croire à mon fils cadet que c'était sa mère.
Pourquoi?
Parce que je voulais tout simplement le protéger; je ne voulais pas qu'il saches que sa mère était morte par sa faute il ne se serai jamais pardonner.
Je ne l'est jamais intégrer dans ma famille et il s'est toujours débrouillé tout seul; devant mes serviteurs il se présentait comme étant Alvize juste Alvize il n'a jamais utilisé son nom de famille; il ne cessait de répéter que c'était le nom donné par sa mère.
Pourtant...
Je l'est toujours protégé du monde extérieur; mais il est bien trop curieux et finalement il s'est bâtit une identité et finalement les membres du personnels l'ont reconnu comme étant le dernier fils de Marco Giordano.
Il a toujours été ma plus grande fierté.
Je me retrouve en lui.
Et encore une fois il a toujours su comprendre mes dires; il m'a ramené Anna vivante comme je l'avait demandé.
Cependant...
Je ne peux pas le laisser devenir chef; je ne peux pas le laisser souffrir comme j'ai souffert.
Être chef de la Mafia demande un grand sacrifice; plus de vie du tout; toute ton existence devra seulement être consacrée à ton gang.
Et il n'y a pas de place pour l'amour.
Je veux que le fils de mon premier et dernier amour puisse s'épanouir et vivre selon ses propres désirs.
Hors de question de lui infliger une si lourde responsabilité.
Ma Lucía je t'avais promis de protéger notre fils et je le ferai durant toute ma vie, mais cet enfant a hérité de notre détermination il est bien difficile maintenant.
Ça fait déjà 18 ans qu'elle est partie pourtant j'ai l'impression d'encore pouvoir sentir son odeur et sa chaleur près de moi.
Ma lumière
J'ai aimé et j'ai été déchiré.
Je ne reverrai plus jamais son sourire
J'ai goûté à la vie et j'ai vu la lumière au bout de tunnel mais elle me l'a été brutalement arracher.
Je te rejoindrai bientôt
Même ci tu es au Paradis en ce moment même; je te reverrai je suis sûre que le maître suprême me permettra de te revoir une dernière fois avant de me jeter en enfer.
Et je sentirai de nouveau ton odeur
Ce jour là j'ai tellement pleuré et hurlé ; j'ai dévoilé toutes mes émotions jusqu'à devenir une coquille vide.
Ma lumière s'est éteinte
Et maintenant je ne suis qu'une coquille vide qui continue de vivre malgré elle.
Elle est partie emportant toutes traces de mon humanité
Encore aujourd'hui cette pensée suffit à me faire pleurer.
J'ai tellement sommeil
Pourtant je dois rester éveiller et protéger ce fruit que nous avons conçu.
Toi et moi...
Ah ah finalement je suis bien humain....
_____
Voici donc un chapitre qui raconte toute l'histoire.
Je ne vous cache pas que j'ai grave galéré à écrire ce chapitre.
Depuis le début je voulais faire de Marco un être fragile mais en même temps très strict et je penses que jusque là j'ai réussi à faire de lui c'est que je voulais.
Je suis complètement entré dans son personnage afin de mieux ressentir ses émotions .
Franchement c'était difficile de décrire surtout que de nature je ne suis pas du tout sensible.
Mais j'ai aimé écrire ce chapitre et je vous promet beaucoup d'émotion dans les prochains.
Merci d'avoir lu ✨❤️
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