chapitre 18
Ce matin, avec Logan, on travaille sur des cours de self défense. Après trois heures d'effort physique, nous sommes passé de l'état solide à celui de liquide.
- Tu te défends bien, me dit il. La prochaine fois, apportes tes escarpins.
- Tu veux que je me batte avec des escarpins ? Je demande surprise.
Il hoche la tête.
- Au pied ?
- Exactement, me répond t - il calmement. Tu sais il faut être paré à toutes éventualités.
- Me tordre la cheville en fait elle partie?
- Je ne crois pas mais il faut que tu saches te défendre en toutes occasions. Vas prendre une douche puis vas manger. À demain et bonne journée.
Après avoir pris un douche bien mérité, je me rends dans la salle à manger pour le déjeuner. La table est dressé pour quatres personnes. Clément et ma mère y sont déjà.
- Enfin, te voilà, s'exclame ma mère. As tu vus ton père ? Ça fait des heures que nous l'attendons.
- Non, je ne l'ai pas vue. Je m'entraînais avec Logan et je viens juste de sortir de la douche. Ils sont déjà partis ?
- Oui. Ils sont partis ce matin, à la première heure, pour ne pas arriver trop tard. Le décalage horaire avec la Russie n'est que d'une heure mais il veulent arriver pour le dîner.
- J'espère que ton père ne vas pas tarder à arriver. Commençons sans lui!
Après le déjeuner, mon père réapparait. Il était parti joué au golf et avait rencontré un de ses vieux ami. Il n'avait pas vu l'heure passer et n'était donc pas à l'heure pour déjeuner.
Enfin, c'est ce qu'est en train de m'expliquer Clément, qui après avoir croisé mon père était venue me raconter ses péripéties.
Je suis dans la piscine, j'ai les bras croisés sur le rebord. Clément est assit sur le bord et a juste les jambes dans l'eau.
- ... Et, vois tu, son ami est très connu pour organiser de gigantesque fête. Ton père m'a dit qu'il en fesait une demain et nous a invité. Ça te tente ? Me demande t il avec un sourire.
- Écoute, Clément, si c'est encore pour porter des talons de trente centimètres, avoir mal au pied toute la soirée et ne pas en profiter, je préfère regarder au temps n'emporte le vent avec toi. Et crois moi ce film à l'air d'un chiant! Mais si je ne suis pas obligé de porté des talons, c'est d'accord.
- Je vais me renseigner. Mon frère est déjà allé à une de ses soirées et il m'a dit que la musique était bonne, que le buffet était bon et que les danseuses étaient belles.
Il regarde au loin puis s'empresse d'ajouter :
- Je ne fais que répéter ses dires.
- Mais je n'ai rien dit ! C'est pas la peine de me regardait comme si tu avais quelques choses à te reprocher.
- Je sais mais je ne veux pas que tu penses que je suis comme lui.
- Je l'ai bien remarqué que vous n'étiez pas pareil. Je dois avouer que tu es mon préféré.
- Au moins, avec moi, tu ne plonge pas habillé dans l'eau.
- En même temps c'est normal, tu ne veux jamais te baigner. Les seuls fois où l'on te voit dans l'eau c'est quand tu fais du surf. Et je t'assure que l'eau de la piscine est bien plus chaude que celle de la mer.
- Désolée de ne pas montrer mon magnifique torse à tous le monde.
Je lui éclabousse le visage puis ajoute en riant :
- On sais même pas si il existe, on l'a jamais vu.
- Tu le prends comme ça. Très bien. Je me retire dans mes appartements. Si mademoiselle désire ma compagnie, elle n'as qu'à me rejoindre.
- Si mademoiselle désire ta compagnie, elle te le fera savoir. Ne t'inquiète pas.
Il s'en va. Me laissant seul sur la terrasse. Autour de moi, la montagne côtoie la mer. Le soleil décent lentement. Il est seize heures environ.
Je fais quelques mouvements de brasse pour arriver au centre de la piscine. Je m'allonge sur le dos, les jambes et les bras écarté.
Je suis calme. Tous est calme autour de moi. Je n'entends que le bruit lointain des vagues.
Une mouette passe au dessus de moi. C'est bizarre, je n'avais pas encore remarqué leurs présences jusqu'à aujourd'hui.
Une demi-heure plus tard, je sort de l'eau. L'air frais fouette mes membres. J'entoure ma serviette de bain autour de moi et vais prendre une douche.
L'eau chaude tombe sur mes épaules. Ça fait du bien.
Après m'être changer, je vais retrouver Clément dans sa chambre. Les couloirs gris contrastent avec la porte blanche de la chambre de Clément. Je toque.
- Si c'est toi Thalie tu peux rentrer, me dit il de l'autre côté de la porte.
J'ouvre la porte et entre dans la pièce. Les dessins de planètes et de galaxies recouvrent toujours accroché sur le plafond. Mon hôte est assis dans un grand fauteuil, il lit un roman.
- Comme ça tu désires ma compagnie ? Me demande t il
Je m'assois sur le fauteuil en face de lui.
- Ta compagnie ou celle d'une autre personne de mon âge, mais comme tu es là seule personne à avoir mon âge à deux kilomètres à la ronde, je me contente donc de ta compagnie.
- Ma pauvre ! Ta vie est elle si dure que ça ?
- Ça passe, y a pire. La compagnie de ton frère par exemple.
- Tu peux éviter de le mentionner, s'il te plaît ?
- Avec grand plaisir. J'imagine que la fête de demain ne sera pas comme les fêtes auquel je suis habitué, ici?
- D'après ce que j'ai entendu, c'est... comment dire...
Il se gratte le nez en réfléchissant puis reprend :
- Une soirée à la Gatsby.
- Une soirée à la Gatsby ! Monsieur au temps n'emporte le vent a vue Gatsby le magnifique !
- Pas exactement. C'est une comparaison que j'ai entendu beaucoup de fois.
- Tu n'a jamais regardé Gatsby le magnifique avec Leonardo DiCaprio et Tobey Maguire?
- C'est assez bien résumé, me lance t il.
Je me lève.
- Qu'es ce qu'il y à ? Me demande Clément.
- Allé. Viens dans ma chambre. On vas le regarder maintenant.
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NDA
C'est les vacances d'été et je ne sais pas si je vais avoir du wifi cette été (forfait internet nul) et donc je ne sais pas si je vais où pas pouvoir posté de nouveaux chapitres d'ici la rentrée.
Sachez que si c'est le cas je ne met pas cette histoire en pause (Je veux au moins terminer une choses dans ma vie) et que je continue à l'écrire.
Je vous souhaite de bonnes vacances, si vous en avez et aussi d'excellentes lectures.
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