chapitre 16
Une fois sur la terre ferme, je me rend directement dans ma chambre pour me doucher.
Quand j'arrive dedans,Clément est encore là.
- T'as pas autre chose à faire ? Je luis lance.
- Ça va ? Me demande-t-il d'un aire inquiet. Il ne t'as pas fait du mal ?
- Clément, on n'a juste discuté et je me suis baignée.
- Tu t'es baignée ?
- Oui, avec mes vêtements, si tu veux tout savoir.
- Tu t'es baignée avec tes vêtements ! J'avoue que c'est original. Mais pourquoi tu as fais ça ?
J'ignore sa question et me dirige vers la salle de bain.
- Où tu vas ?
- Je vais me laver. C'est bien beau de faire trempette mais il faut se laver après.
- D'accord. Je vais t'attendre.
- Sérieusement, Clément, t'as pas quelque chose d'autre à faire ? Sort, il fait beau dehors. Vas faire du surf ! Parce-que resté ici assis dans le noir, c'est super glauque !
- Je vois que tu ne veux pas de la compagnie du minable cadet. Tu as raison, celle de l'aîné et tellement mieux.
Je n'as pas le temps de bouger le petit doigt, qu'il est déjà à l'autre bout du couloir.
- Clément, je l'appel mais en vint, il n'y fait pas attention.
Je décide d'aller me laver comme je l'avais prévu au départ. Les crises de Clément attendront.
Après avoir pris ma douche, je vais sur la plage dans l'espoir de trouver Clément pour lui parler. Je me dis qu'il est peut être parti surfer. Mais la plage et la mer sont désert. À L'instant où je m'apprête à faire demie tour, au niveau du rocher, un sifflement strident me parvint et me fait mal à la tête. Je bouche mais oreilles avec mes mains mais le sifflement persiste. Je manque de m'écrouler. D'un coup la délivrance, le bruit s'arrête. Il me faisait tellement mal que je ne sais pas combien de temps il a duré.
Je rentre précipitamment à la maison pour découvrir la source de ce sifflement horrible.
Sur la terrasse je croise Eusèbe.
- T'as entendu le bruit ? Je lui demande.
-De quel bruit tu parle ?
- Le sifflement d'y a cinq minutes.
- J'étais en train de nettoyé mon bateau, je viens d'arriver et je n'ai rien entendu. D'ailleurs tu as mis pas mal de sel sur la banquette, ça vas être compliqué de tout enlevé.
- Je te signal que c'était ton idée la petite baignade et que je n'ai pas eu mon mot à dire !
- Mais je ne te reproche rien !
Le bruit reprend de plus belle. Mes mains sur mes oreilles, je me manque de crier de douleur.À l'instant où je m'écroule, Eusèbe me retint. Le sifflement est tellement aigu que j'ai l'impression qu'il me transperce les tympans.
Mais d'où provient ce bruit, bordel ?
Puis il se stop. Je découvre mes oreille et les examine. Heureusement, il n'y a pas de sang. Puis mon regard se dirige vers Eusèbe.
- C'est bon, tu peux me lâcher maintenant. Merci.
- Encore ce bruit ? Allons à l'intérieur avant qu'il ne recommence.
- Pourquoi tu ne l'entant pas ?
- Je n'en sais rien mais je pense que cette question m'intrigue encore plus que toi. Rentrons, en plus des nuages gris arrivent. C'est peut être l'orage qui se prépare.
Une fois à l'intérieur,nous nous dirigeons dans le salons. Quand nous arrivons dans la pièce, Clément lit un livre mais à l'instant où il voit son frère, il ferme le livre et dirige vers la sorti.
- Attend Clément ! Il faut qu'on parles.
Il se retourne et me répond :
- C'est ce que je voulais faire mais comme attendre dans ta chambre à l'air glauque, j'ai préféré partir. Et je vois que tu as trouvé bien meilleur compagnie que moi.
- Clément arrête ! Et puis tu sais très bien que l'on n'était pas en train de compter fleurette.
- Compter fleurette ! Regarde toi, Thalie. Tes expressions date de la renaissance et tu me regarde étrangement parce que le film que j'ai le plus vu est au temps n'emporte le vents. Franchement, des fois tu ne vaux pas mieux que lui, lâche-t-il avant de partir.
Ses dernière parole me fonts mal. Je crois bien que c'est la première que l'on me compare à un misogyne. Me me tourne vers Eusèbe.
- Il fait souvent des petites crises comme ça ? Parce que depuis que tu es arrivé, il n'arrête pas.
- Ne t'inquiète pas ça lui passera. C'est l'amour fraternel, tu sais.
- Amour de mes fesses, ouais, je grommelle tout bas.
- Qu'es ce que tu as dis ?
- Je ...je n'ais rien dis.
- Alors comment s'est passé votre petite escapade en bateau ? Nous demande ma mère en arrivant dans la pièce.
- Plutôt bien, je répond.
- Nous avons discuté et Thalie à plongée.
- C'est vrais ça ? Tu as plongée. Je suis si fière de toi, ma chérie.
- J'ai juste plongée, je n'est pas traversé l'Atlantique à la nage. Il n'y as pas de quoi être fière.
- Un plongeon en compagnie d'un proche de son fiancé est un signe de consentement, m'explique Eusèbe. C'est une forme de métaphore pour symboliser ton entré dans le mariage.
-Je suis tellement fière, intervient ma mère. Je vais l'annoncer à Sofia .
Une fois ma mère sortie du salon, je regarde Eusèbe droit dans les yeux et lui lance :
- T'es vraiment qu'un beau salauds.
- Je suis tout à fait d'accord avec toi sur mes qualités plastiques mais je préfère le terme de fin stratège.
-Les fins stratèges sont tous des salauds. Et comme je déteste les salauds..
- Tu détestes les fin stratège, me coupe-t-il.
Je reprend :
- Et comme je déteste les salauds je monte pour ne plus voir ta face !
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