Partie 10: Plus qu'une attirance

Les jours passèrent et chaque nuit la princesse trouvait refuge dans les bras de Piccolo. C'était devenu une sorte d'habitude forte agréable.

-Bulma, déclara-t-elle un jour où elle lui rendait visite.

Les filles étaient assises sur des chaises longues dehors, sous le soleil. Katharina avait certaine question à poser à son amie.

-Oui?

-J'ai une question un peu étrange à te poser. Ne te fais pas d'idée, c'est simplement théorique.

-Vas-y, je suis là pour ça. C'est à propos de Piccolo?

Katharina grogna. Depuis que Bulma savait qu'ils s'entraînaient ensemble, elle se faisait des idées. Avait-elle raison de s'en faire?

- Non... c'est sur les Namek en général. Tu dois les entendre parler ensemble depuis qu'ils habitent chez toi?

-En fait ils sont très discrets, avoua-t-elle, ce n'est pas comme monsieur le prince qui s'amuse à donner des ordres à tout le monde!

-Tu devrais l'envoyer promener. En fait je voulais savoir si tu crois que les Namek peuvent éprouver des sentiments? Je sais qu'ils se reproduisent de façon asexuée, mais je me demande si c'est une obligation, tu vois? S'ils ont... l'outil.

Bulma la dévisageait avec une envie de rire non-dissimulé. Katharina se sentit rougir.

-J'ai dit que c'était théorique, réaffirma-t-elle.

-Bien sûr, « théorique », répondit Bulma en lui faisant un clin d'œil, en fait je n'en sais rien. Tu pourrais demander à un Namek directement? Ce n'est pas ça qui manque?

-Tu me vois arriver à coter d'un Namek et dire « bonjours, je voulais savoir si vous pouviez avoir du sexe et avoir des sentiments?».

Son amie rigola.

-J'avoue que vue comme ça c'est étrange. Il y a une meilleure manière de s'y prendre. Suis-moi.

*

- Hors de question, s'exclama Katharina, il va nous prendre pour des perverses.

Les filles se tenaient à quelques mètres de Dendé, le petit Namek. Il était seul et c'était le moment ou jamais de l'attaquer par des questions indiscrètes.

-C'est un gosse, répliqua Bulma, il ne va pas se poser de question. Au contraire même, je suis sûr qu'il va se faire un plaisir de nous répondre.

Katharina vint pour ajouter quelque chose, mais Bulma c'était déjà avancé vers l'enfant. Avec un grognement, elle se força à la suivre, gravant un faux sourire sur ses lèvres.

-Salut Dendé, s'exclama l'humaine en arrivant près de lui, moi et Katharina on se posait une question sur ta race et on se demandait si tu ne pourrais pas nous éclairer?

Le petit Namek parut timide, mais fini par accepter de la tête. La princesse sentit que la situation était ridicule. Mieux aurait value qu'elle se la ferme...

-Avez-vous des bijoux de familles?

Katharina eu l'envie de se frapper de honte. C'était la pire manière que Bulma aurait pu poser la question... Dendé les dévisagea, sans comprendre.

-Hein? Des quoi?

-Tu sais? Un organe masculin? Ce avec quoi vous faites pipi?

Elle eux envie de lui recommander de se la fermer à la vue de l'aire stupéfait du gamin, mais se retint lorsqu'elle aperçut Piccolo qui venait de les rejoindre. Ne manquait plus que lui!

-De là ou j'étais j'avais l'impression que vous terrorisiez Dendé, rigola-t-il.

Katharina souhaita que Bulma se la ferme, mais comme à son habitude, elle n'en fit rien.

-En fait-on l'interrogeait sur votre race. Moi et Kat on se pose une question. Peut-être que toi tu pourrais répondre?

-C'est pas obligé, se mêla la princesse, vraiment, c'était une question idiote.

-Si c'est une question sur ma race, je ne vois pas pourquoi je ne pourrais pas répondre, répondit calmement Piccolo.

Pourquoi Katharina était aussi gêner de la situation? Ce n'était cependant qu'une question théorique à laquelle elle cherchait réponse. Elle n'aurait pourtant pas dut être timide. Dans sa vie elle avait fait tellement plus humiliant...

-En fait, tu sais, vous semblez tous être des garçons, mais êtes un peuple asexué, commença Bulma, est-ce que cela veut dire que vous n'avez pas d'organe masculin? Tu sais de quoi je parle, pas vrai? Aussi, est-ce que vous pouvez avoir des sentiments amoureux ou vous ne vous aimez que vous-même?

À l'aire timide du garçon, il ne s'était surement pas attendu à une telle question. Semblant pensé à sa réponse, Katharina le vit jeter un regard vers elle avant de le détourner aussitôt.

-Nous ne sommes pas totalement asexué, finit-il par répondre, nous avons les caractéristiques masculins. Et oui, nous pouvons avoir des sentiments.

Il avait répondu et c'était une bonne réponse. Katharina s'en doutait, mais avait voulue avoir de vrai renseignement. Pour contrer le malaise qui venait de les engloutir, elle chercha à changer de sujet.

*

Elle et Piccolo était retourné en forêt. Il n'avait fait aucun commentaire sur la question et ne l'avait pas remis sur la table depuis leur départ. Ainsi donc il pouvait avoir des sentiments... Avant de se mettre au lit, Piccolo conclut qu'il valait mieux faire un entrainement.

-Tu es serieux là, grogna-t-elle, je croyais qu'on prenait un jour de congé?

-Vaut mieux ne jamais totalement arrêter.

Après avoir acquiescée, Katharina s'élança sur lui pour le frapper. Il esquiva avant de la frapper. Étrangement, elle n'était pas du tout concentrée pour cet entrainement. Tout ce qu'elle avait envie, c'était de se coucher sur le torse chaud de Piccolo et dormir après avoir parlé un moment.

-Tu n'es pas concentrée, remarqua-t-il.

-Effectivement.

Sur ce mot, elle lui un coup de pied qui le fit valser sur le sol. Un sourire sur les lèvres, il se remit sur pied. Katharina tenta de le frapper par surprise, mais il l'intercepta en lui agrippant les poignets. Se contacte, bien que loin d'être le premier, la fit frissonner. Plus aucun d'eux ne bougeaient, se contentant désormais de se fixer dans les yeux. Son regard était si profond...

Leurs visages étaient tout près. Si près qu'elle sentait la chaleur du souffle du Namek effleurer ses lèvres. Le garçon desserra l'étreinte sur son poignet, descendant sa main jusqu'à ses hanche, la faisant frissonner à nouveau. Leurs lèvres se rejoignirent tout seule, comme aimantées, puis ils commencèrent à s'embrasser. Alors que tout commença de manière délicate, l'envie qui brûlait en eux fit accélérer les choses. Piccolo la colla après un arbre et elle enroula les jambes autour de sa taille. Alors qu'elle s'apprêtait à lui retirées sa tunique, elle entre ouvrit les yeux. Ce qu'elle vit la fit frissonner.

C'était Tricks qu'elle apercevait, puis ce fut au tour de Zabon et enfin Freezer et son sourire diabolique. Prise de panique, elle repoussa le garçon.

- Non, lâche-moi!

Piccolo se poussa, sans comprendre, l'air déboussolé et mal alaise. Des larmes coulaient sur les joues de Katharina qui tremblait de tout son corps.

-Je suis désolé...tu avais l'aire de vouloir, bégaya le Namek.

Le pauvre ne pouvait pas comprendre. La princesse préféra ne pas répondre, puis s'envola à toute vitesse. Que c'était-il donc passer? Piccolo lui plaisait énormément, c'était évident. Elle avait envie de lui, jusqu'à ce que toutes ces visions la bloquent. Au fond d'elle, elle sut qu'elle ne pourrait aimer tant que sa vengeance ne serait pas entièrement achevée.

Arriver chez Bulma, elle pénétra dans la maison à pas rapides, sans prendre la peine de saluer qui que ce soit, puis fonça au laboratoire de son amie. Sans cogner, elle entra. La fille aux cheveux bleus était assise à son bureau et pitonnait sur un ordinateur. En la voyant, elle sursauta.

-Katharina, s'écria-t-elle, tu fais quoi ici?... tes yeux... tu à pleurer?

-Ma machine, dit moi que tu l'as fini.

Bulma fronça les sourcils, mais elle dut remarquer l'attitude sans réplique de Katharina, car elle n'ajouta rien.

-Non. Comme je t'ai déjà dit, ce que tu me demande est très compliqué. Il me manque des données fiable. Au moins si j'aurais eu son ADN.

-Bien.

Katharina sortit de la pièce sous le regard incompris de son amie. Elle avait envie de frapper quelque chose, mais elle se retint. Fonçant dans son ancienne chambre, elle se laissa tomber sur le lit. Que lui prenait-elle? Elle ne dormit pas de la nuit, réfléchissant à sa stupidité.

Deux semaines passèrent sans que la princesse ne retourne voir Piccolo. Pas qu'elle n'en eu pas envie, mais elle ignorait quoi lui dire. Recommencer à partager sa chambre était pire qu'avant. Non seulement Vegeta n'appréciait pas qu'elle soit revenue, mais en plus il l'énervait d'avantage. D'un moment ou l'autre la guerre éclaterait entre eux. Ce fut d'ailleurs le cas une après-midi, dans la cuisine.

-Ça te tuerait d'être polie une fois de temps en temps? Je croyais que les princes étaient bien élevés!

-Je suis polie de vous laisser la vie! Si je le voudrais, je vous anéantirais tous sans difficulté.

-C'est ce que tu crois? Parce que moi je pense que tu ne fait pas poids face à moi.

Bulma c'était mis entre eux et tentait de les calmer. Elle avait peur que sa maison se fasse détruire.

-Si vous voulez vous battre sortez dehors, hurla-t-elle.

-Bien, répondit Katharina, Vegeta, si t'en a les couilles suit moi et je te donne une leçon.

-Tu vas ravaler tes mots.

Tout deux sortirent, plein de haine l'un envers l'autre. Ça lui ferait du bien de se défouler sur un type aussi arrogant. Ils volèrent jusqu'à une pleine où ils se posèrent. Vegeta n'eu même pas le temps de s'en rendre compte que la princesse le frappait déjà par surprise, l'enragent d'avantage.

-TU VAS ME LE PAYER!

Un échange de coup commença alors encore eux. D'une rapidité semblable, aucun d'eux ne parvint à toucher l'autre, jusqu'à ce que Vegeta décide de s'éloigner afin de lui lancer une foule de boule de ki que Katharina évita avec un sourire.

-C'est tout ce que tu a dans le corps?

Utilisant sa vitesse, elle apparut derrière le guerrier qui se fit d'un coup de coude envoyer sur le sol. En se relevant, le visage déformé par la rage, Katharina remarqua qu'un léger filet de sang coulait de ses lèvres. Il c'était beaucoup amélioré depuis sa bataille contre Freezer... D'une main, il essuya son sang.

- COMMENT OSES-TU FAIRE COULER MON SANG!

Vegeta fonça droit sur Katharina et parvînt à la frapper. Une lourde douleur lui parcourut le ventre alors que le genou de son adversaire s'y enfonçait.

-Vous allez arrêter tout de suite!!

La voix provenait de sous eux, c'était Bulma. Katharina se risqua un regard vers son amie qui les avaient rejoint dans son petit vaisseau, les mains sur les hanches. À ses côtés, Krilin et Yamsha venaient tout juste de se poser. Lorsqu'elle vit Piccolo arriver lui aussi, la princesse eue encore plus envie de se défouler sur le Saiyan.

Elle reprit ses esprits et frappa à nouveau Vegeta qui avait lui aussi été déconcentré par les arrivés. Un nouvel échange de coup et de boules de ki esquiver débuta. Yamsha tenta d'intervenir, mais le Saiyan le fit dégager en une seule attaque.

Alors que Katharina venait pour foncer sur son adversaire, elle s'arrêta nette en voyant Piccolo se placer devant elle.

- Pousse-toi, grogna-t-elle, je veux finir mon combat. Il mérite de perdre son sal sourire arrogant.

-Kat... moi je t'aurais laissé le combattre, mais vaut mieux éviter que tu le tue. Ont peux encore avoir besoin de lui. Aussi, n'oublie pas que sa force a augmenté de manière considérable depuis son combat contre Freezer. Il n'hésitera pas à te tuer si nécessaire.

La colère de Katharina diminua un peu alors qu'elle regardait dans les yeux le Namek. Ce combat était ridicule et il ne valait pas la peine qu'il y est un mort pour si peu.

Guider par Piccolo, elle atterrit sur le sol, sans dire un mot. Elle ne savait quoi dire, trop honteuse de toute la situation à partir de sa fuite injustifiée à la suite du baiser. Il lui poserait sûrement bientôt des questions, mais était-elle prête à y répondre?

-Kat, ça vas, tu n'a rien, s'exclama Bulma qui venait à sa rencontre.

La princesse ne répondit pas. Il n'y avait pas de réponse. Un simple regard dans les aires montra que Vegeta était partie. Tant mieux...

-Je crois qu'il vaut mieux qu'on la laisse seul, déclara Piccolo.

Ses amis acquiescèrent, mais alors qu'ils s'apprêtaient à s'envoler, Katharina retint la main du Namek, qui la regarda surprit.

-Je veux que tu restes. Il ne dit rien et ils attendirent que tout le monde soient partie, les laissant seul sur cette pleine déserte.

-Je croyais que tu ne voulais plus me voir, fini par dire Piccolo.

-Tu dois me trouver bizarre d'avoir agi ainsi.

-Non. J'ai juste eu peur d'avoir fait quelque chose que tu ne voulais pas.

Katharina le regarda dans les yeux. Elle ne voulait pas qu'il croit de tel chose... mieux valait lui expliquer maintenant.

-Pas du tout, souffla-t-elle, je voulais tout ce qui est arrivé, même plus.

-Alors pourquoi a tu réagis ainsi?

Katharina souffla et des larmes brûlèrent ses yeux. C'était triste de voir comme dans le fond il ne la connaissait pas. Pourtant elle parlait tellement pour rien dire, mais jamais sincèrement.

- Le problème c'est moi, affirma Katharina, je n'ai jamais été vraiment honnête avec toi. Tu sais ces cauchemars que je fais la nuit? C'est toujours sur la même chose... Freezer, Zabon, Tricks... en fait c'est une chose en particulier. C'est la journée où Freezer m'à forcer de tuer Tricks.

Le Namek la dévisagea, stupéfait.

-tu m'avais dit que c'est Freezer qui l'avait tuer...

-j'ai moi-même de la misère à m'accepter depuis Ca. Je sens toujours son sang sur mes mains, je vois son regard courageux, je l'entends me parler.

Une larme coula sur sa joue et Piccolo l'essuya avec délicatesse.

-Tu aurais dus m'en parler plus tôt, déclara-t-il, ça t'aurais peux être fait du bien.

-que je te dise quoi? Que parce que j'ai été une idiote ma planète a été détruite? Que j'ai écrasé le cœur de la seul personne que j'avais aimé sans jamais lui avoir avoué car je pensais que l'amour était une faiblesse? Que aujourd'hui j'ai peur d'aimer à nouveau car je refuse de perdre encore quelqu'un qui m'est cher? Pour la première fois de ma vie, j'ai envie de m'abandonner à cette faiblesse, mais j'en suis terrorisée. Je suis amoureuse de toi et effrayé.

Piccolo ne dit rien, se contentant de la fixer un cours instant, comme s'il notait ce qu'elle venait de dire. Avec douceur, il passa la main dans ses cheveux.

-Si aimer est une faiblesse, alors depuis longtemps tu es la mienne.

Assurer il déposa ses lèvres sur celle de la fille. Ce geste la réconforta a un point telle qu'elle sentit toute sa tristesse traverser dans se baiser délicat. Elle venait de lui dévoiler le pire d'elle et il en voulait encore. Ils continuèrent à s'embrasser un bon moment au milieu de cette pleine avant que le Namek la soulève et la transporte jusqu'à l'entrée de la forêt où il la coucha au pied d'un arbre, comme si celui-ci était un lit douillet, prêt à les accueillir.

Ils passèrent la nuit ensemble, sans plus ajouter un mot. Pour la première fois de sa vie, Katharina oublia tous ses Démons, se contentant de vivre le bonheur de cette nuit d'amour passionnel. Elle comptait vivre sa faiblesse, sans ne plus laisser rien y interférer. Pour la première fois depuis longtemps, elle comptait être entièrement heureuse.

Le lendemain en se réveillant elle se trouva collé au cops chaud du Namek, qui pour la première fois avait attendu son réveille avant de se lever. Il la regardait un sourire sur les lèvres. Depuis combien de temps était-il réveillé?

-Bon matin, dit-elle avant de l'embrasser.

Piccolo pris sa tête entre ses mains avant de l'embrasser plus longuement. Lorsqu'il se décolla, il ne lâcha pas ses joues.

-Je comprends maintenant les humains quand il parle de l'amour, susurra-t-il, j'aurais jamais crus pouvoir avoir des sentiments un jour.

Katharina sourit avant de l'embraser à nouveau. Il déposa sa tête sur son torse et commença à lui flatter les cheveux. Ils passèrent l'avant midi étendus sur le sol, sans même prendre la peine de se lever. Ils étaient trop bien à discuter de tout et de rien.

En après-midi, pendant que Piccolo allait trouver quelque chose à manger pour elle, Katharina décida d'essayer de méditer. Sa libération de la veille l'avait tant soulagée qu'elle y réussie pour la première fois.

En s'ouvrant les yeux, elle découvrit que Piccolo la regardait faire. Depuis combien de temps était-il arrivé?

-Tu méditais, s'étonna-t-il

-on dirait que j'y suis enfin arrivé! C'est vrai que c'est relaxant. Je me sens molle comme un pudding.

A son dernier mot son ventre grogna, lui faisant réaliser à quel point elle avait faim. Le Namek avait déniché quelque fruit qu'elle avala sans tarder.

-Je n'ai jamais mangé des fruits aussi délicieux, déclara-t-elle

-C'est parce que tu es affamé

-c'est un fait.

Après c'être gaver, la princesse s'approcha de Piccolo. Depuis la veille, elle avait envie de le coller plus que jamais au pare avant. Une certaine barrière entre eux c'était briser lorsqu'elle lui avait raconté tout ce qu'elle avait sur le cœur, maintenant, ils étaient plus proches que jamais. Elle déposa ses lèvres sur les siennes, commençant une nouvelle fois à l'embrasser. Maintenant qu'elle y avait goûté, elle ne pouvait plus s'en passer. Piccolo la leva avec aisance de façon à ce qu'elle se retrouve assise sur lui. Sans son turban, Katharina apercevait deux petites antennes sur sa tête qu'elle trouvait magnifique. Par envie, elle décida de les touchés. Elles étaient très minces et se terminaient par de mini boule fine.

-À quoi elles servent, s'enquit-elle.

-À communiquer avec d'autre Namek.

-Ha les Namek! Vous êtes remplis de surprise.

Il sourit avant de la serrer dans ses bras, la faisant à nouveau frissonner de bonheur.

Voilà pour la romance Piccolo et Katharina! J'espère que ça vous a plus! Va-t-elle toujours chercher à se venger?

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