Chapitre non corrigé. Bonne lecture :)

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Je fais mon lit et vais dans la cuisine pour prendre mon petit déjeuner. Je me sers un bol de céréales et prépare un café pour ma mère.

Deux jours sont passés après cette soirée a l'hôpital. Et aussi le baisé d'Alexa. Nous nous sommes pas revue depuis cela. Honnêtement, je ne sais plus quoi penser.

Line quant à elle va beaucoup mieux. Les jumelles nous avaient  d'ailleurs tous réunis au parc pour nous remercier et ainsi prendre du bon temps tous ensemble. C'est ce que nous avions fait. Outre le fait qu'Austin a été poursuivi par un écureuil enragé par la faute de la jumelle démoniaque (Je vous épargne les détails) tout va bien. J'ai aussi repenser a l'idée de mon meilleur ami, celle d'endormir la conjointe de mon ex patron. Et j'ai finalement décidé d'y aller. Monsieur Johnson a prévenu monsieur Chris de mon arrivé. Celui ci m'a donc envoyé son adresse. J'irai juste après avoir pris mon petit déjeuner.

Une main se pose sur mon épaule en me faisant retourner. Quand je croise les yeux de ma mère mes lèvres s'étirent pour former un sourire. Elle dépose un rapide bisou sur ma tempe et me remercie d'avoir fait son café.

- Alors mon petit cactus, tu as bien dormi ? Me demande ma mère.

- Plutôt bien et toi ?

- Très bien. Tu fais quoi aujourd'hui ? Me demande ma maman.

- J'ai un entretien avec Monsieur Chris.

- Heu...ton ancien patron ?

- Ouais c'est lui.

Ma mère me regarde confuse. Évidemment quand je lui ai annoncé que j'ai été viré elle était contrarié. Et vraiment très énervé. Elle voulait même aller leur dire quelques mots sur le fait de virer une personne parce que sois disant "il endort tout le monde". Je l'ai bien entendu retenue et lui ai aussi expliquer que ce travail ne me convenait pas. Peut-être un mensonge...

- Pourquoi tu vas le voir maintenant ?

- Il m'a proposé de lui rendre un service et il me rembauchera.

- Sérieusement ?

- Oui, maman, je te laisse, je vais être en retard sinon.

Sans lui laisser le temps de répondre je m'empare des clefs de ma moto. Je pose un bisou sur son front et sort de chez moi. Je m'installe sur ma moto et met en route mon GPS avec mes écouteurs. Après a peu près une demi heure de route, je me trouve en face d'un portail d'une très grande maison. Autour de celle ci se trouve un grand jardin avec plusieurs arbres sur les extrémités du jardin. Un fontaine envoi de magnifique jets d'eau provoquant un petit arc-en-ciel grâce a la combinaison de l'eau et des rayons de lumières.

Derrière le portail se trouve monsieur Chris. J'arrête ma moto a côté du portail et decsand pour aller salué mon ex patron. Nous nous échangeons quelques rapides paroles et je rentre dans sa demeure.

- Je vous préviens, ma femme, est plus en forme que d'habitude elle risque de vous provoquer alors faite attention, me prévient il.

- Très bien .

Il me conduit dans une chambre dans laquelle une femme, brune, grande et élancée, mangeant une pizza (plutôt vulgairement) me fait face. Elle me fixe avec son regard intensément. Elle est troublante.

- Installez vous, me propose monsieur Chris en me desigant le fauteuil en face de sa conjointe.

J'hoche la tête et prend place sur le fauteuil. J'évite le regard de la femme en face de moi. Elle est très...perturbante.

- Vous pouvez commencer, me dit le patron.

- commencer ? Je ne sais pas quand je vais bailler.

C'est vrai, en ce moment rien n'est régulier. Je ne sais pas quand je baille. Des fois c'est comme ça l'a toujours été, c'est a dire au moins une fois toutes les cinq minutes. Mais depuis déjà quelques jours sois c'est très fréquent ou bien je n'en ai pas envie pendant quelques heures pour ensuite enchaîner sur une fois toutes les deux minutes. Pour certains c'est normal, mais en mon cas, je ne pense pas que ça soit normal. La dernière fois que j'ai bailler aujourd'hui, c'était il y a une heure et demi.

- Loan, c'est ça ? M'interroge la mangeuse de pizza.

- Eloan, je corrige.

- Ouais c'est pareil. Bref j'ai une question, m'informe t'elle. J'hoche la tête pour qu'elle poursuit. Comment moi j'aurais envie de dormir si c'est toi qui baille ? C'est pas logique c'est même con, finit-elle en riant vraiment très fort.

- Je...ça va venir...

Ne sachant quoi faire en essayant de bailler. Je leur demande un vert d'eau. Monsieur Chris me le sert a se réinstalle a côté de moi.

- Milan, hurle la femme en arrêtant de rire.

Je sursaute en entendant son crie. Mon patron quand a lui, devient pâle et demande ce qui ne va pas sa conjointe.

- Tu vois bien que je rie, il hoche la tête. Pourquoi tu ne ries pas toi ?

Suite a sa question mon patron se met a rire. Mais cela se voit qu'il se force. Étant tout de même satisfaite elle continue de rire.

- Qu'il est con cet enfant, hurle t- elle en s'exclaffant de plus belle.

- Je ne vous permet p-

Je suis coupé dans ma phrase par un étrange sentiments de mal être. Je sens mon estomac se retourner, mes oreilles bourdonnent et bougent, mon nez se retrousse, mes lèvres tremblent. Mes oreilles bourdonnent, je n'entends plus grand chose. Après cela, je prend une grande inspiration et baille...

Non- je souffle.

Un vent puissant sort de ma bouche. Il rase tout ce qu'il y a sur son passage. Il éjecte tout objet se trouvant en face de lui. Ne pouvant plus tenir la pression je ferme mes yeux aussi fort que possible. Quelques secondes après, je les rouvrent. Je vois le fauteuil d'en face retourné...la femme étant toujours assise et retourner sur le seul. Elle hurle pour que quelques l'aide a se relever. Monsieur Chris s'est éloigné et se trouve de l'autre côté de la chambre.

Ne comprennant plus rien je sors précipitamment de leurs grande maison et monte précipitamment sur ma moto. Je prend mon téléphone et compose le numéro de monsieur McAllister. Je sais qu'on ne doit pas utiliser son téléphone quand on roule mais j'ai vraiment pas le choix.

Je prend la route en direction de chez moi. Je roule aussi vite que je peux tout en restant prudent. Monsieur McAllister répond au bout de la troisième sonnerie.

- Allô, Monsieur McAllister a l'appareil.

- Monsieur, c'est Eloan, il se passe un truc bizarre.

Je finis par tout lui raconter en soupirant a la fin.

- Pouvez vous  venir a l'hôpital immédiatement ? Me demande t-il.

- heu.. oui. J'arrive.

Je raccroche et m'apprête à changer de direction lorsque je me sens violemment projeter quelque part. Un gémissement de douleur s'échappe de mes lèvres.

PDV ANDY WARHOL

- Je fais tout mon possible pour retirer ces photos du net mais c'est pas gagné. Elle a été partagée plusieurs fois sur plusieurs réseaux, déclare Melvin l'informaticien du gang.

Je jure et me dirige vers le frigo pour prend une canette de bière. Je l'ouvre et prend plusieurs gorgés. Je sens le liquide me picoter la gorge et un sourire se dessine sur mes lèvres.

Je me dirige vers mon bureau et prend mon ordi. Quand je vois toutes ses photos de moi avec de la merde sur la gueule j'ai juste envie de trucider ce conard. Il s'est pris pour qui en faite ?

Je suis l'homme le plus dangereux du pays et je crois qu'il ignore ça. Malgré encore que je ne veuille pas de cette réputation, je dois l'entretenir. Et tout de même, avouons nous le, j'ai une fierté de mec aussi.

Et ce qu'il ignore aussi c'est que j'ai commencé les recherches, je vais le retrouver et il va mourir dans d'atroces souffrance. Je sais déjà que d'après Melvin, il vit pas très loin du centre ville. J'attend un peu plus de détails et j'irai lui rendre visite a ce conard.

- Andy, le boss a avancé la réunion. On doit partir maintenant, déclare Andrew en entrant dans mon bureau.

- Tout de suite ? Je demande.

- Ouais.

- J'arrive.

Je range mes affaires dans un sac et sors de mon bureau suivis d'Andrew. Celui ci monte dans une de mes voitures côté conducteur tandis que je m'assoie côté passager. Alex, Melvin et Jim nous rejoignent et s'installent derrière. Nous roulons depuis déjà plus d'un vingtaine de minutes. Les gars parlent et rient entre eux. Je me mélange parfois a la discussion mais sans plus.

Je n'aime pas trop leurs parler. Mais surtout je ne veux pas. J'ai peur d'en dire trop. A aucun moment ils ne doivent connaître mes faiblesses. Ils sauteront sur l'occasion tels des prédateurs fasse a leurs proies. Et je veux éviter ça.

Personne, a part Kayden sait ce que j'ai vécu. Cet enfer dans lequel j'ai passé toute mon enfance. Le diable en personne s'acharnait sur moi. Il n'avait aucune pitié. Il voulait que je sois comme lui. Mais je n'étais pas celui qu'il espérait alors il a fait son possible pour que j'y arrive. Et c'est finalement arrivé.

Malgré toutes les supplications de ma mère il m'a toujours battu, violenté, martyrisé. Il a plus d'une fois levé la main sur ma mère. Il s'était marié à elle seulement pour avoir un héritier. Et ma sœur étant née avant moi, n'a jamais été apprécié par mon père. Elle avait les qualités attendues par mon père seulement elle ne voulait pas les exploiter. Elle a alors subi l'inattention de mon père...je ne devrais même pas l'appeler comme ça, dès son jeune âge. Il l'a ignoré. Il ne lui a jamais adresser la parole sans être forcé.

Puis je suis arrivé. Il était content, vraiment très content. Il me chouchoutait, disais au et fort que j'étais son préféré, il m'aimait tout simplement. Ma mère et ma sœur ne me detestais pas. Non. Elles se sont occupés de moi et ont pris soin de moi. Mon père, lui se contentait simplement de me gâter après être rentré de ses affaires. Cependant tout a changé au fur et a mesure que je grandissais. Il se rendait compte que j'étais un garçon, timide, réservé et Beaucoup trop gentil. C'est pourquoi il a tout fait pour me changer. Jusqu'à même tuer celles qui comptaient le plus pour moi.

- Andy, passe moi la bouteille d'eau qui est a côté de toi steplait, m'interromps Jim.

Je me retourne pour la saisir mais quelque chose attire mon attention. Ces cheveux brun. C'est lui. Le conard, il est là en moto. Je me retourne rapidement vers Andrew.

- Roule lui dessus, je déclare.

- Hein ? Mais il t'arrive quoi la ?!

Je ne lui laisse pas le temps d'en dire plus que je tourne le volant de mon côté. Il met quelques secondes a réagir en reprenant possession du volant et appuyant sur les freins. Même en ayant fait cela, ma voiture subi un choc et s'arrête.

- Putain ! Il est mort ? Hurle Melvin.

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Kuku mes cactus ! Comment ça va ?

Le chapitre vous a plu ?

J'en ai marre des révisions...je vous ai alors écrit le chapitre ! Je sais qu'il ya beaucoup de fautes d'orthographe et de fautes  de frappe. Je corrigerai plus tard...

Aller bonne journée ! 🌵🌵