1. Le début de la semaine.
Par une magnifique journée ensoleillée grâce au soleil qui jette ses rayonnements sur la ville, les réveils sonnent afin d'indiquer que le lundi est là et que par conséquent, une ennuyeuse semaine débarque en étant obligé d'y faire face.
Tandis que chaque élève se prépare et râle sans l'ombre d'un doute, les professeurs sont déjà dans le lycée Yuei et plus précisément dans une salle dédiée à eux-mêmes, histoire de se sentir encore plus supérieurs.
Ils discutent de tout et de rien mais les sujets vacillent vite sur les adolescents qu'ils doivent encadrer tels des cadres pour les tableaux.
-Je ne sais pas vous, mais Midoriya est bien foutu pour son âge. Commence une professeure ayant des formes là où il faut.
-Pas faux, mais mon préféré reste et restera toujours Todoroki et sa sublime chevelure qui me rappelle et me rappellera toujours les glaces vanille-fraise que je graillais étant plus jeune. Renchérit un professeur peu gâté par la nature.
-C'est étrange mais mon esprit est tourné vers Tokoyami car son plumage est aussi sombre que mes pensées... Je m'y vois à travers lui, c'est génial! S'exprime un professeur en coup de vent.
-En toute honnêteté, le boule de ce torride Bakugo me fait perdre la notion du temps, à moi... Commente un professeur dont il est inutile de connaître le nom.
Après de longs bavardages dont il est peu intéressant de raconter, le petit groupe d'adulte s'est mis à l'évidence...
-Midoriya et Bakugo sont faits pour être ensemble.
-J'approuve, cela fait un petit moment que je les imagine en train de faire des choses cocasses! S'incruste le directeur que personne a vu jusqu'à présent. Comme on dit, les contraires s'attirent!
Shota Aizawa se tient à l'encadrement de la porte, en toute discrétion. Bien qu'il était à deux doigts de s'endormir durant toute la conversation de ses collègues, il a tout entendu et tout retenu. Il décide d'élever sa voix afin de se sentir important et écouté.
-Vous savez quoi? Moi aussi je les shippe, ces gosses. Je vais tout faire pour qu'ils bossent ensemble et se rapprochent. Je gère, les fougères.
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