Chapitre 5
Je marchais à côté de Jean-Baptiste. Je l'avais suivi plus petite lorsque le succès phénoménal des Choristes eu lieu.
Assise sur une des chaises du café, je le regardais. Bon sang qu'il était grand !
Jamais je n'aurais cru ça !
-Tu veux boire quoi ?
Il me sorti de ma rêverie.
-Euh... Café ?
-Deux alors, dit il au serveur.
Il se retourna vers moi, toujours en passant la main dans ses cheveux brun clair. Une sorte d' habitude.
-Alors Ondine, dit il en se calant sur sa chaise. Tu fais quoi dans la vie ?
-Euh... Jeune actrice mais je suis en dernière année de graphisme.
-Jeune Actrice ?
Il semblait surpris.
-Hum... excuse-moi. Je... Tu as tourné dans combien de films ?
-J'ai fait trois quatre films...
-Ah... C'est bien. Tu chantes un peu ?
-Et je fais de la guitare.
-Tu me montreras ?
-Oui... J'habite pas très loin...
Je regrettais immédiatement cette dernière phrase. Il était très seduisant mais je ne voulais pas non plus qu'il croit que je draguais tous ce qui bouge ou est célèbre.
Je sentis mon sang affluer vers mes joues.
Et contrairement à de que je pensais, il le prit très bien.
-Très bien. Je vais régler et on va chez toi... Enfin on... Tu me montrera...
Je...
Il se mettait à bégayer et à rougir.
Il partit à la caisse pour éviter d'avoir à parler.
Lorsqu'il revint, je me mis à protester.
-J'aurais pu payer.
Il passa une main dans mes cheveux, sans aucune difficulté vu qu'il était bien plus grand que moi.
-Ne proteste pas, dit il en rigolant.
Nous arrivâmes devant chez moi.
-Mais....Alexandre ?!
-Je t'aime Ondine !
JB me regardait en fronçant les sourcils.
-Mais pas moi ! Je t'ai dit que...
Alexandre dévisagea JB.
-Mais c'est la tapette des Choristes !
Enterrez moi, que la foudre me tue ou autre chose mais achevez moi...
-Non mais...
La scène serait hyper comique, du à leur différence de taille si ce n'était pas MOI qui était la fille avec avec Jean-Baptiste.
-C'est toi qui m'a piqué ma copine alors ?
-Il y a erreur là, fit JB en le regardant. Je commençais à en avoir marre qu'on me prenne pour une plante verte.
-Y en a ras le bol !
Ils me regardèrent tous les deux, incrédules.
-Alexandre, je ne suis et ne serais jamais ta copine.
Je le giflais, ouvrais la porte et poussai Jean-Baptiste dans mon appart'.
-Désolée pour cette entrée en matière...
Il avait l'air encore sous le choc.
-Ce n'est rien... Mais c'était qui ?
J'inspirais fort et le regardait droit dans les yeux.
-Alors...
Rendez vous au Chapitre 8
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