#Tome 2 | #Amour 65
Un sex... on the beach !
Vendredi 11-01-19
Bar de plage 1 610 Pacific Ave, Oceanside, OR 97 134, États-Unis
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13 h 00 | La mer et les vagues, contrairement à Jina, moi, je n'ai que de bons souvenirs avec mes parents et mon frère. Demain d'ailleurs, je vais profiter de notre jour de repos pour lui rendre visite avec Jina. Même si j'ai régulièrement des news grâce à Gary, j'ai besoin de le voir et de constater de par moi-même les progrès qu'il fait. Aussi bien sur son corps que sur sa mémoire, et puis j'ai envie de lui présenter la femme de ma vie. Pas pour obtenir son consentement, mais plus dans notre volonté de reconstruire nos liens fraternels.
Je veux l'inclure dans mon présent et mon futur.
— Ça va, mon amour ?
— Oui, mon cœur ! J'adore me perdre dans toutes les nuances de cette immensité bleue, me laisser hypnotiser par le mouvement des vagues, sentir les embruns...
— Voilà, l'océan est parvenu à me détrôner, se marre-t-elle.
— C'est impossible, tes yeux sont et resteront le bleu que je préfère, quant à ton odeur, elle sera toujours la plus douce et délicieuse fragrance que j'inhale à m'en faire péter les poumons et les neurones.
Et tout en la fixant, je lui souris avant de l'embrasser.
De mes doigts joints derrière sa nuque, je la capture et pourtant Jina ne fait rien pour se soustraire à notre échange. Elle ajoute même ses bras autour de ma taille avant de glisser ses mains dans les poches à l'arrière de mon jean.
— Hum...
Je n'ai pu retenir mon trouble quand ses mains se sont refermées sur mes fesses.
— Tu as un de ses... culs !
— Je ne savais pas que tu l'aimais autant, souris-je en me focalisant sur son visage pour mieux le dévorer.
— Ce sont les embruns qui me font cet effet-là, me taquine-t-elle.
— C'est aussi eux qui font pointer tes seins à travers ton tee-shirt, je suppose !
— Tout à fait, je t'ai dit que mon rapport à la flotte était chelou !
— Jusque-là, je n'y vois que des avantages... Putain, surtout, ne t'arrête pas, soufflé-je dans son cou alors que Jina fait migrer sa main sous mon jean.
— Même si Miles arrive fièrement en poussant Cody dans son carrosse ?
— Même...
Ma voix cassée est empreinte de désir, quand je lui avoue, dans un souffle, de continuer.
— Même si Leyna nous fait signe de la main avec un grand sourire...
Pourvu qu'ils nous laissent tranquilles quelques minutes encore...
Je ferme les yeux pour apprécier d'autant plus ses caresses. Sa poigne sur mon membre dur, l'autre sur ma fesse crispée, ses baisers sur ma gorge. Ses dents, qui capturent ma pomme d'Adam, nos respirations, qui s'accélèrent...
— Combien de mètres ?
Ma gorge souffre face à la force que j'emploie pour déglutir en voulant exprimer ce sentiment de frustration, qui naît en moi.
— Dix...
— Continue...
Ma bouche laisse échapper ce mot en exhalant un profond soupir, telle une plainte d'intenses émotions accompagnant mes gémissements.
— Cinq !
— Encore...
Jina n'a pas pu m'annoncer la prochaine distance, elle a juste le temps de créer ce vide immense en moi en se reculant, avant que je sente une masse me percuter et sauter sur mon dos. Miles vient de s'agripper à moi et, tel un cow-boy, il essaye de dompter la bête sans être désarçonné.
— Tu t'es cru au rodéo, grogné-je de frustration.
Jina, à côté de moi, nous regarde avec un sourire qui illumine tout son visage et se fend la poire avec Leyna, quand celle-ci la rejoint avec la poussette de Cody.
— De vrais gamins, lâche cette dernière.
— Allez, le koala ! Descends de ton eucalyptus ! secoué-je mon dos pour le déloger.
— C'est trop mignon ; un koala, me rétorque-t-il en riant.
Et avant que je ne puisse lui répondre, Miles me claque d'une tape l'arrière de la tête puis se détache.
— Putain si je te chope !
— C'est ça ! Essaye toujours le vieux, se marre-t-il.
Alors qu'il court comme un dératé sur le sable en faisant des zigzags.
— C'est ce qu'on va voir, espèce de petit con !
Miles court vite, mais je suis déterminé à ne pas perdre, et à lui faire bouffer le moindre grain que sa face trouvera, quand elle sera écrasée dans le sable sous ma main. Ce qui ne va pas tarder. Plus que deux mètres et je vais le choper, sous les encouragements, pour chacun de nous deux, de nos femmes. Profitant de la seconde d'inattention où Miles regarde par-dessus son épaule pour voir où je me situe, je plonge dans ses jambes pour le plaquer. Mes bras se resserrent au niveau de ses mollets les capturant avec force, et sans les lâcher, j'accompagne la chute de Miles au sol.
— Bim ! Dans ta face ! clamé-je.
Je me retrouve assis sur son dos et le poing en l'air en signe de victoire, après lui avoir rendu sa tape derrière la tête.
Je regarde Jina qui saute sur place telle une cheerleader en mimant mon prénom avec ses bras. Grave erreur de déconcentration qui permet à Miles de se retourner et de m'emporter avec lui, pour terminer assis sur mes abdominaux crispés.
— Tu fais moins le malin, hein ! Bim ! Dans ta face.
J'esquisse un sourire en le voyant armer son poing pour me le balancer gentiment dans la gueule. Je l'esquive en capturant sa main avant de le déstabiliser, et arrive à me soustraire de sa prise.
Miles se marre avant de dire à nos nanas, qui nous ont rejoints :
— Ce n'est pas pour rien qu'on l'appelait « l'anguille » !
— Tu es le plus fort my crazyman ! hurle-t-elle de joie.
— Tu en doutais, ma crazygirl ?
Avant de me répondre, Jina saute dans mes bras ouverts et tendus vers elle afin de crocheter ma taille de ses jambes.
— Même pas, m'annonce-t-elle en me claquant un smack.
— C'est tout, râlé-je.
— Ne boude pas ! Oui, c'est tout, tu ne sais pas tenir ! Et encore moins t'arrêter...
Jina me taquine en esquivant mes tentatives de baisers, mais, dans le fond, elle n'a pas tort. Je suis tout le temps en manque d'elle, de son corps, de ses lèvres et n'en suis jamais rassasié. Alors je resserre fort mes bras autour de sa taille. Elle profite de l'occasion de me sentir proche de son intimité pour onduler mon bassin. Ondulations qu'elle me rend tout en embrassant le bout de mon nez, là où je m'étais préparé à le recevoir sur mes lèvres.
— Chipie ! la ceinturé-je avec plus d'intensité avant de la bader.
Je suis tellement heureux de la voir si souriante.
Je rapproche mon visage du sien, et alors qu'elle va rompre notre contact visuel soutenu, au moment où elle va pour détourner la tête pour contrer mon baiser, je lui susurre :
— Je t'aime...
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Indice sur le prochain chapitre
📍 Et si on...
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😉 Bonne journée mes #Love #Fire 🔥
😍 A ce soir 21 h 00, je vous burn 😍
🌈 Kty.Edcall.Auteure 🌞
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