Je me réveille en première, en plus sans avoir fais de mauvais rêve,et sans être malade. Je garde mon slip et mets juste un soutif, j'ai la flemme de mettre un t-shirt. Je descends dans le salon en courant, je me fais un smoothie à la banane et mets ma musique. Je commence à danser dans tout le salon. Mon grand verre à la main. Je prends mon portable et fais une story Instagram.

... : T'as encore fais un cauchemar ? T'es encore malade ?

Moi :(se retourne vers la source de la voix) Non, je me suis juste réveiller en première, avec l'envie de danser.

Valentin : T'en a pas eu assez d'hier soir ?

Moi : La preuve.

Valentin : Et t'as enfin pris quelque chose de normal ce matin.

Moi : J'avais envie d'un smoothie. Il en reste, si tu veux.

Valentin : Non, je te laisse le reste. Je vais juste prendre un café.

Valentin pars dans la cuisine, je monte le son de la musique et saute surplace, sur The Final Countdown. Ah mais là, je suis à fond. Le bébé va en avoir marre de moi, et ça, avant l'heure. Je continue avec Antisocial. Je finis mon verre et le range dans le lave vaisselle.

Moi : Je monte prendre le linge salle, tu laisses la musique.

Valentin : (bois son café) Oui. Après, tu regarderas tes mails.

Moi : Pourquoi ?

Valentin : Parce que Blandine vient de me dire que tu devais regarder dans tes mails.

Moi : Elle aurait pu me le dire à moi.

Valentin : Elle doit penser que tu dors encore.

Moi : Ouais, bah je vais regarder.

Je monte prendre le panier de linge salle, avec mon Mac et descends. Je pose mon Mac sur la table du salon et mets le linge dans la machine.Bon, ça c'est mis en route. Mails. Je m'installe sur une chaise et allume mon Mac. Je vais sur mes mails et regarde vite fait ce qu'on m'a envoyé. Je supprime tout, sauf le dernier mail reçu. C'est le Monde à L'Envers. J'ouvre et commence à lire. (média)

Je demande le numéro de Jenny à Cyril. Ils ont oublié de me dire la date. Il me répond vite. Ça y est, je vais l'appeler.

CONVERSATION MOI JENNY

Jenny : Allô ?

Moi : Jenny ? C'est Marine.

Jenny : Oh Marine. T'as eu notre mail ?

Moi : Oui, mais vous avez oublié de me mettre la date.

Jenny : Ah oui. Euh ça serait dans une semaine.

Moi : Bouge pas, je demande juste à Valentin si il veut venir. (coupe le micro) Val' ? Ça te dis de passer une semaine en Aquitaine, dans une superbe villa, avec Max, Mélanie, Cyril et Blandine ?

Valentin : Quand ?

Moi : Dans une semaine. J'ai un tournage avec le Monde à L'envers, et ils nous proposent de passer une semaine tous ensemble.

Valentin : Oui.

Moi : (reprend avec Jenny) C'est bon pour nous.

Jenny : Génial. Je t'enverrais l'adresse, maintenant que j'ai ton numéro.

Moi : Pas de problème. Et je voulais savoir, on prend le train avec Maxime et Mélanie ?

Jenny : Oui,c'est prévu comme ça. Et vous serez rejoint par Cyril à l'arrivé.

Moi : D'accord, c'est ce que je voulais savoir.

Jenny : Nous serons déjà sur place nous, donc vous inquiétez pas.

Moi : Très bien, bah je te dis à dans une semaine.

Jenny : À dans une semaine, et merci.

Moi : Le plaisir est pour moi. (raccroche) Il faut que j'appelle Cyril.

Valentin : Pourquoi ?

Moi : Pour savoir si on se rejoint à la gare, quand on arrivera.

CONVERSATION MOI CYRIL

Cyril : Wesh Tata Riri.

Moi : Oh ça fait longtemps, que tu m'as pas appelé comme ça.

Cyril : Oui.

Moi : Je fais très rapide, je vais pas te déranger longtemps.

Cyril : Tu ne me dérange pas.

Moi : Je voulais savoir, est-ce qu'on s'attend à l'arrivé à la gare ?

Cyril : Oui, c'est mieux.

Moi : Yes. Bon je te laisse. À dans une semaine.

Cyril : À dans une semaine Tata Riri. (raccroche)

MESSAGE MOI MAXIME

Moi : Bon Max' il faut qu'on parle ! Ça va plus là !

Maxime : Quoi ? Tu m'inquiète. Il c'est passé quoi ?

Moi : Rien, c'est juste pour te dire qu'on vient aussi pour la semaine en Aquitaine.

Maxime : Putain ! Tu m'as fais peur !

Moi : C'était fait exprès.

Maxime : Et donc oui, la semaine en Aquitaine ? Vous venez ?

Moi : Oui. On se rejoindra à la gare.

Maxime : Ouais, t'inquiète.

Moi : Bon, c'est ce que je voulais savoir. Je te dis à tout à l'heure situ vas à la Red Box. Et à dans une semaine, si on ne se voit pas d'ici là.

Maxime : Si je vais aller à la Red Box, pour voir l'avancer des travaux et de mon bureau.

Je pose mon portable sur la table. Et éteins mon Mac. Comme ça, notre semaine prochaine est faites.

Moi : Val' ?Tu sais qu'on va à l'hôpital aujourd'hui ?

Valentin : Ta première échographie.

Moi : On va pouvoir savoir le sexe.

Valentin : Tu veux le savoir ?

Moi : Oui, pas toi ?

Valentin : Si si, mais on va être sûr qu'à quatre vingt pourcent.

Moi : Comment tu sais ? Tu t'es renseigné ?

Valentin : J'ai fais des recherches.

Moi : (s'approche de Valentin, lui touche la joue avec un air de « je me fous de ta gueule) Oh, mais c'est que mon homme a fait des recherches, il veut tout savoir. (rit)

Valentin : Je m'intéresse madame. Il y a mon enfant dans ton ventre.

Moi : Ah bah ça je sais. Je le sens bien.

Valentin : Comment ça ? Il peux pas te donner de coup, pas maintenant.

Moi : Non, il me donne pas de coup. Non, mais c'est bizarre. J'ai l'impression de sentir son petit cœur.

Valentin : (ému)

Moi : T'es ému mon Vava ?

Valentin : Ça fait bizarre, je vais être papa. J'aurais jamais penser être papa... aussi tôt.

Moi : Valentin ? Tu regrette pas ?

Valentin : Ah non, pas du tout. Non c'est juste que je ne me rends pas encore compte que je vais être père.

Moi : Moi non plus, je ne me rends pas compte que je vais être mère. Mais on va le réaliser quand on le verra, pendant l'écho.

Valentin : J'ai hâte et... peur, à la fois.

Moi : T'es pas le seul. Mais il faut attendre. Et là, je dois aller me préparer pour aller tourner.

Valentin : Cette aprèm ?

Moi : Oui, avant d'aller à l'écho.

Valentin : Vas te préparer, je vais nous faire à manger.

Moi : Tu vas faire quoi ?

Valentin : Pâtes carbo.

Moi : Ui ! Elles sont trop bonnes les tiennes. (monte en vitesse les escaliers)

- devant le Red Box, 14h19

Valentin : Je reviens te chercher à quelle heure ?

Moi : Dans une heure. Tu prendra mon carnet de santé dans le tiroir de la télé.

Valentin : Pas de problème. (embrasse sa femme) À tout à l'heure.

Moi : À tout à l'heure.

Je descends et laisse Valentin partir avec sa nouvelle voiture. Je fais le code du portail et entre dans l'enceinte de la Red Box. Il y a la voiture de Maxime garé, et le camion des mecs qui montent le skate parc. J'allume ma caméra et commence mon vlog.

Moi : Aujourd'hui, qu'est-ce qu'on va faire ? Vous voyez que derrière moi, se trouve la Red Box. Je vais voir montrer les avancés des travaux. (avance vers le skate parc) Je vous montre vite fait le skate parc, pour avoir plus vous irez voir la vidéo de VodK. Je vous la mets en description. (entre dans le bâtiment) Qu'est-ce qu'on a ici ? Des bureaux ! Le bureau de Mastu est presque fini. Vous laisse sa vidéo en description aussi, vous irez voir. Bon, les bureaux, on s'en bat les reins. Vous voulez voir le mien. (entre dans son bureau et le montre à la caméra) Sauf qu'il est pas encore fini ! Il y a juste les peintures de faite. Et pour le thème, je peux juste vous dire qu'il y aura beaucoup de lumière. Ça va être un truc de fou. (ouvre la porte et crie de peur) Mais putain ! Tu m'as fais peur !

Maxime : (mort de rire) C'était trop tentant.

Moi : Mais tu fais pas ça ! J'ai failli faire tomber ma caméra.

Maxime : T'es Youtubeuse, t'as de l'argent.

Moi : On dirait Valentin.

Maxime : Je sais, je lui ai piqué.

Moi : Vous voyez, l'ambiance de Youtubeur c'est toujours comme ça. Tout le monde pique tout à tout le monde.

Maxime : Ça s'appelle du plagiat.

Moi : Tu connais toi, c'est sûr.

Maxime : Non, je connais le putaclic à la limite.

Moi : Ah ouais, c'est vrai. Eh, si vous voulez des cours de plagiat,adressez vous à lui. Tu fais l'outro avec moi ?

Maxime : Oui. Abonnez-vous à Amixem. Pas elle, elle est nulle.

Moi : Mais ta gueule. Abonnez-vous à moi. (coupe la caméra) T'es un bâtard.

Valentin : Tu t'en rends compte que maintenant ?

Moi : Je le savais déjà, mais là je m'en rends vraiment compte.

Maxime : Ça va papa ?

Valentin : Dis pas ça, ça me fais bizarre.

Maxime : Première échographie aujourd'hui ?

Moi : Oui, je stresse, j'ai peur.

Maxime : Mais non, t'inquiète pas.

Moi : De toute façon j'ai pas le choix d'y aller, j'en suis à mon troisième mois.

Valentin : Ça passe vite.

Maxime : Je vous me direz si c'est une fille ou un garçon.

Moi : Compte sur nous. (fait la bise à Maxime)

Valentin : (check son ami) Je te le dis, dès qu'on sort.

Valentin monte dans sa voiture,je fais le code du portail et le rejoint. Nous partons à l'hôpital,pour ma première échographie. J'ai tellement hâte, mais j'ai tellement peur. Mais le pire, c'est que je ne sais même pas pourquoi j'ai peur. Je me pose plein de questions. Est-ce que ça va être un petit garçon, ou une petite fille ? Est-ce qu'il va être en bonne santé ? Est-ce qu'on va bien le voir ? Et encore d'autre questions. Sur la route, je ne parle pas, je regarde par la fenêtre, mon esprit s'évade. Je caresse mon ventre, comme pour lui faire passer le message qu'on va enfin pouvoir le voir, enfin savoir son sexe. Je vois l'hôpital, et Valentin qui se gare. Je suis tellement excité, tellement apeuré. Nous sortons de la voiture, je prends la main de Valentin tout en regardant l'entrer de l'hôpital.Nous entrons, mon cœur bat de plus en plus fort. Une femme, à l'accueil, son badge indique qu'elle se nomme Andréa.

Valentin : Bonjour, nous avions rendez-vous pour une échographie.

Andréa : Très bien, à quel nom, s'il vous plaît ?

Valentin : Garnier.

Andréa : Oui, docteur Martinez va arrivé. Elle finit sa consultation. Vous pouvez patienter ici. (montre des fauteuils)

Valentin : Merci.

Nous nous asseyons, je sens mon cœur battre, mais d'une force. Je suis au bord du malaise.

Valentin : Marine ? Ça va ?

Moi : Non, j'ai mon cœur qui bat super fort, je sens que je fais faire un malaise si ça continu.

Valentin  :Regarde moi.

Moi : (regarde Valentin, les larmes au yeux)

Valentin : Je suis là, ne t'inquiète pas. Ça va bien se passer.

Moi : (commence à pleurer)

Valentin : Pleure pas.

Moi : Mais je ne sais même pas pourquoi je pleure.

Valentin : C'est le baby blues.

Moi : Mais pas maintenant, c'est après normalement.

Valentin : Bah t'es juste sensible.

... : Garnier ?

Valentin : C'est nous. (rejoint le docteur)

Docteur Martinez : (serre la main de Valentin et de Marine) Bonjour, suivez moi.

Nous la suivons, un cabiner s'ouvre à nous. Nous entrons, le docteur Martinez me présente la table, où je dois m'allonger.

Docteur Martinez : Avant de commencer, je vois que vous pleurer, vous êtes stresser ?

Moi : Un peu oui.

Docteur Martinez : Surtout, ne vous inquiétez pas, votre compagnons est avec vous. Il n'y aura aucun problème. Je vais vous mettre ce petit gel, et passer votre ventre avec cette machine. D'accord ?

Moi : (acquiesce de la tête)

Docteur Martinez : Ça va être froid. (mets le gel)

Moi : Ouh, oui.

Docteur Martinez : Vous êtes prête à voir voir enfant ?

Moi : Oui. (prend la main de son homme et lui sourit)

Valentin : (sourit)

Docteur Martinez : (passe la machine sur le ventre de la femme enceinte)Ah, ça y est. Vous voyez ? Ici, c'est sa tête. Ici, ses pieds. Oh, mais c'est surprenant, il suce déjà son pouce.

Moi : C'est vrai ?!

Docteur Martinez : Oui, regardez, ici.

Valentin : Waow.

Docteur Martinez : Vous voulez savoir le sexe ?

Moi : (regarde le futur père)  Valentin ?

Valentin : Oui.

Docteur Martinez : (regarde le sexe du bébé) J'ai le bonheur de vous annoncer que c'est... un petit garçon.

Moi : Un garçon ? (regarde Valentin en pleurant) Un garçon.

Valentin : Un garçon. (comme à pleurer)

Docteur Martinez : (nettoie le ventre de la futur mère) Je vais vous donner les copies de votre enfant. Je vous laisse vous rhabiller. Monsieur ? J'ai quelques papier à vous faire signer.

Je me rhabille, Valentin et le docteur Martinez partent à son bureau. Je les rejoint, je signe mois aussi les papiers.

Docteur Martinez : Votre compagnon me disait, que dans un mois vous partez, pendant deux mois.

Moi : Oui.

Docteur Martinez : Il faut absolument que nous nous voyions avant votre départ. Le Lundi deux vous irez ?

Moi : Oui, c'est parfait.

Docteur Martinez : Je vous donne ça. (donne les copies et les photos de l'enfant à Valentin et se lève pour serrer la main au couple)

Nous lui disons au revoir et sortons dehors. Tout de suite dehors, je prends Valentin dans mes bras. Je suis tellement heureuse ! C'est un garçon ! J'ai un petit garçon dans mon ventre !

Moi : Il faut que j'appelle ma mère.

Valentin : Vas-y, je vais le dire à Max'.

CONVERSATION MOI MAMAN

Moi :(crie dans le téléphone) C'est un garçon !

Maman : C'est vrai ?! C'est trop bien. Je suis mamie d'un petit garçon.

Moi : Oui ! Dès qu'on vient chez toi, je te le montre !

Maman : Tu peux pas savoir à quel point je suis heureuse.

Moi : Et moi alors.

Maman : Venez vite. Je veux voir mon petit fils.

Moi : Je te promets de venir vite. Je te fais des bisous.

Maman : Moi aussi. (raccroche)

Je rejoins Valentin dans la voiture, nous partons directement à la maison. Nous poser les papiers de l'échographie. Nous partons directions le restaurant pour fêter ça ! Un petit restaurant japonais. Nous entrons et nous mettons à une table. Très vite nous commandons, sushis. Nous trinquons à notre garçon. (média)

Valentin : Ça y est, je me rends compte qu'on va être parents.

Moi : À vingt cinq et vingt et un ans.

Valentin : C'est jeune pour toi.

Moi : C'est vrai que c'est chaud. On était pas prêt.

Valentin : C'est sûr, c'est tombé comme ça. Mais t'avais pas pris ta pilule ?

Moi : Si, mais la preuve que ça n'a pas évité ma grossesse. (mange un sushis) Mais, si ce n'était pas tombé maintenant, j'aurais préféré être être enceinte dans un an ou deux.

Valentin : Oui, moi aussi. Mais c'est fait, on peux rien faire.

Moi : Oui, c'est vrai. Mais on va l'assumer. Même si on n'était pas prêt.

Valentin : Pour te dire la vérité, je l'aime déjà ce gosse.

Moi : (commence à avoir les larmes aux yeux) Ah, attends, je vais pleurer. (souffle et regarde en l'air) C'est bon. (sourit)

Valentin : Sensibilité quand tu nous tiens.

Moi : (rit) Quand tu nous tiens bien.

Valentin : (rit) Aller viens, on rentre, j'ai envie de faire un PUBG.

Moi : En live ?

Valentin : Oui. Mais pas longtemps, une heure, une heure et demi.

Moi : Je ferais un live en même temps, ça fait longtemps.

Valentin : Tiens, (donne ses clés) monte dans la voiture, je vais payer.

Je prends les clés, ouvre et monte. J'allume la voiture, Valentin arrive et nous rentrons à la maison. Je pense que le live que je vais faire, je vais en faire une FAQ, en même temps d'acheter des vêtements. Et ce live, je vais en faire une vidéo. Comme ça, mon live est fait, la vidéo aussi, et j'aurais des nouveaux vêtements. Parce que je commence à ne plus rentrer dans mes jeans, et dans mes pulls. Même mes soutient gorge commence à être trop petit.

Valentin : Tu penses à quoi ?

Moi : Ah mon live, j'étais en train de me dire que j'allais faire de mon live,une vidéo. Comme ça, j'en fais une FAQ, et puis en même temps je vais m'acheter des vêtements.

Valentin : Encore ?!

Moi : Là, j'ai une raison. Je commence à ne plus rentrer dedans. Même mes soutifs commencent à être trop petits.

Valentin : Bon j'avoue, c'est une bonne raison. Mais pour ton live, c'est une bonne idée.

Moi : Ouais, comme ça je fais les deux en même temps. Et je la sortirais demain sur la chaîne.

Valentin : C'est pas con. Mais tu feras pas de montage ?

Moi : Non, je pense pas.

Nous rentrons à la maison.Valentin se mets dans son bureau, moi dans le miens. Je commence mon live, je fais une story Insta, un tweet et un post Facebook. Tout le monde est prévenu.

Moi : Salut le live. Ce live va être une vidéo, donc vous pourrez retrouvez ce live demain, sur ma chaîne. Youtube dit bonjour au live, le live dit bonjour à Youtube. On va faire une FAQ, et en même temps de vous répondre, je vais m'acheter des vêtements. Comme vous saurez ce que je vais acheter, comme vous me le demander à peut prêt deux millions de fois par jours. Posez moi vos questions, j'essaierais de répondre le plus possible. (lit) Quand est-ce que t'iras dans ton nouveau studio ? Normalement dans deux semaines. Mais déjà il y a le studio de Mastu. (lis) Pourquoi t'achètes des vêtements en live ? Déjà parce que vous me demandez tout le temps d'où viennent mes vêtements. Et ensuite parce que je ne rentre plus dans rien. (lit) Mais t'es enceinte ? T'as grave grossit. Oui, je suis enceinte, de trois mois. (lit) C'est un garçon ou une fille ? Je suis aller faire ma première échographie aujourd'hui, et c'est un petit garçon. (lit)Mais avec qui t'as eu ce gosse ? Avec un homme. (rit et lit)Vous avez des idées de prénom ? Je t'avoue que non, on y a pas trop pensé.

Je continue mon live, tout en acheter des vêtements. Je cache quand même le code de ma carte bleue. Je reçois un message, je prends mon portable et regarde.

MESSAGE VALENTIN MOI

Valentin : J'ai fini, je vais me coucher.

Moi : J'arrive.

Je termine mon live sur une dernière question, et sur un dernier achat. J'éteins tout, et rejoins Valentin dans notre chambre. Je me déshabille et m'allonge dans le lit.

Merci d'avoir lu ♥

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