Chapitre 21 : Noël entre amis

Aujourd'hui, journée un peu spécial. Noël, la naissance de Jésus pour les croyants. Comme à tout les Noëls, j'ai acheté mes cadeaux. Et pour la première fois, j'ai acheté les cadeaux pour les amis avec Valentin ! Blandine et Cyril, Théo. Ma mère et Christophe et Valentin. Je prendrais mes cadeaux pour Anna, Léa et Emma. Comme je sais que je l'ai verrais dans une semaine sur Paris. Ah ! Merde ! J'ai pas emballé le cadeau de Valentin ! Je me lève vite pour prendre son cadeau et aller dans son bureau pour l'emballé. Je ferme la porte à clé.

Valentin : Tu fais quoi ?

Moi : Rien, t'occupe. Vas prendre ton petit déj.

Il m'a fait peur ce con ! Je termine, j'écris quelques phrase sur une carte, je la scotche sur le paquet et pars le cacher dans mes vêtements. C'est le seul endroit où il n'ira pas regarder. Je rejoins le gars qui m'a fait peur dans la cuisine. Il a déjà tout préparer. Le café, les tartines de nutella. Il sait ce que j'aime.

Moi : Tu sais que tu m'as fais peur.

Valentin : Mais toi, tu m'as fais peur en te levant comme ça !

Moi : La discrétion, signé Marine. (rit)

Valentin : Ça c'est sûr.

Moi : On pourra pas me l'enlever. (rit)

Valentin : On dit toujours que les filles sont plus discrète que les gars, mais tu fais l'exception. (rit)

Moi : Oui, bah je suis pas comme toutes les filles. C'est pour ça que je suis exceptionnelle.

Valentin (rit)

Moi : Rigole pas. Mange dont, ça évitera que tu te foutes de ma gueule.

Valentin : Ça changera rien. Je pourrais encore me foutres de toi.

Moi : Ah le petit bâtard.

Valentin : Gros dans mon cas.

Moi : Pas avec ton corps de ficello. (rit) Moi aussi je peux me foutre de ta gueule. (rit)

Valentin : Le ficello, tu l'aimes bien quand il te prend.

Moi : Oui, bah hein.

Valentin : Ah, ça c'est plus quoi dire.

Je prend ma tartine en regardant Valentin avec un regard noir. Il rigole, je laisse tomber. Il est désespérant.

Moi : Hum ! T'y pense, demain on doit partir à Bordeaux.

Valentin : Heureusement que tu me le dis. J'avais oublié.

Moi : Je sais pas comment on va faire.

Valentin : Déjà on prend ta voiture, et on partira demain.

Moi : Avec la gueule de bois ? T'as raison toi.

Valentin : On a pas le choix.

Moi : On a 4h de route, on peux partir l'après-midi.

Valentin : Oui, si tu veux. On part à 13h, on arrive à 17h.

Moi : Bah voilà. (prend son portable) Je crois qu'elle sait quand on parle d'elle. (répond)

CONVERSATION MAMAN MOI

Moi : Je sais pas comment tu fais, mais tu m'appelles toujours quand on parle de toi.

Maman : Un don.

Moi : Je paris que tu m'appelles pour savoir quand on part ?

Maman : Oui.

Moi : On part demain à 13h, on arrivera à 17h.

Maman : Vous prendrez Léa, Anna et Emma. En même temps.

Moi : Ça sera plus long. Attends Angers, Paris. Ça fait 3h. Ensuite, Paris Bordeaux, 4h. On en a pour 8h de route, si je compte les bouchons !

Maman : Si vous pouvez pas c'est pas grave.

Moi : Attends, je lui demande. (s'adresse à Valentin) On pourrait passer chercher les filles sur Paris ?

Valentin : Oui, mais ça prendra plus de temps.

Moi : Bah on partira le matin. (s'adresse à sa mère) Ouais, on ira les prendre au passage. On partira le matin.

Maman : Je vais leur dire, elles vont être contente.

Moi : Mais leur mère vient pas ?

Maman : Non, elle est chez sa mère, elle est très malade.

Moi : Putain, mais je suis au courant de rien.

Maman : Je pensais que les filles te l'avaient dit.

Moi : Bah non. Mais elles sont où là ?

Maman : Chez elles.

Moi : J'aurais su je l'ai aurait pris à la maison pour Noël.

Maman : C'est pas grave, elles viennent à la maison avec vous.

Moi : Et mamie, elle est chez toi ?

Maman : Oui, depuis avant hier. Mais elle prend le train demain matin, tu l'as verra pas.

Moi : C'est pas grave, j'irais la voir en rentrant.

Maman : Bon, je te laisse. Je vais prévenir les filles.

Moi : Ouais, dis leur de nous attendre devant chez elles, on sera là à 10h.

Maman : Ça vous fera partir à partir à 8h ?

Moi : Bah écoute, tant pis. Bon aller bisous, à demain.

Maman : À demain.

Moi : Bon, demain on part à 8h.

Valentin : J'ai cru comprendre.

Moi : Je conduirais, t'inquiète.

Valentin : Si t'es crevée je te conduirais c'est pas grave.

Moi : Putain, t'imagine, leurs mère est gravement malade. Les filles fêtent Noël seules.

Valentin : Elle est où leur mère ?

Moi : Chez sa mère.

Valentin : C'est pas grave, on va rattraper le coup.

Moi : Ouais, mais bon. J'aurais su je serais aller les chercher pour qu'elles fêtent Noël avec nous.

Valentin : C'est trop tard maintenant.

Moi : Bon demain, elles nous attendront devant chez elles.

Valentin : Je sais, j'ai entendu.

Moi : En plus j'ai pas encore acheté leur cadeaux.

Valentin : Tu prendra la bas. En faisant les magasins.

Moi : Oui, de toute façon j'ai pas le choix.

Valentin : Par contre, tu diras que c'est de notre part à tout les deux.

Moi : C'est ce que je comptais faire. Oh ! Il faut que je ramène ma machine pour faire le vernis semi-permanent, aussi.

Valentin : Tu feras bien ce sur tu voudras. On y reste combien de temps chez ta mère ?

Moi : Une semaine. Ma mère m'a dit qu'il faisait beau en plus.

Valentin : Il faut que je demande à Max' de venir s'occuper de Sam-Sam et Prout-Prout. T'emmène Missy ?

Moi : Oui, comme à chaque fois.

Nous terminons notre discussion,un peu longue. Je reste en pyjama, comme Valentin d'ailleurs. Juste un t-shirt et un sous-vêtement. Il faut pas non plus exagérer. J'allume la télé, Scooby-Doo, ma vie. Puis je me pose dans le canapé. Je sens quelque chose me toucher la main, je regarde...sursaute.

Moi : Valentin ! Il y a une araignée ! (commence à pleurer)

Valentin : Où ?

Moi : Là ! Elle m'a touché la main ! (pleure)

Valentin : Il y a rien.

Moi : Mais si ! Là ! (montre avec son doigt) Elle est dégueulasse !

Je continu de pleurer, c'est ma phobie, je peux pas supporter une seule toute petite araignée. Valentin la pousse du canapé et la tue avec son pied. Je n'ose même pas m'approcher de son corps écrasé. Elle est poilue, noir, moche, grosse, avec des pattes de trois mètre de long. Bon okay, j'exagère pour les pattes. Mais pas pour le reste !

Moi : Prends la, jette la dehors.

Valentin : Attends.

Moi : Mais vite, j'aime pas ça. (pleure)

Valentin la prend sur une feuille et la jette dans la poubelle. Je vérifie dans le canapé si il y en aurait une autre. Il y a rien, je me laisse tomber dedans,toujours en pleure. Valentin arrive pour me prendre dans ses bras et me rassurer. Je sens qu'il se retient de rire.

Valentin : Il faut pas que tu te mettes dans des états pareilles pour une araignée. (sourit)

Moi : Mais c'est ma phobie. J'y peux rien.

Valentin : De toute façon elle est plus là.

Moi : Merci.

Valentin : T'arrête de pleurer ?

Moi : Oui.

Valentin reste avec moi sur le canapé, nous sommes tout les deux sur notre portable. Je regarde en même temps la télé.

Moi : Je viens de recevoir un mail d'Amazon. Mon Iphone arrivera aujourd'hui.

Valentin : Le 24 ? T'es sûre ?

Moi : Regarde. (montre le mail)

Valentin : T'as de la chance. Je vais me l'acheter.

Moi : Ui.

Valentin : Ui (sourit et regarde le message qu'il vient de recevoir) Il y a Blandine qui veut te voir, ils vont arriver plus tôt du coup.

Moi : À quelle heure ?

Valentin : Euh, vers 15h.

Moi : Bah tant pis, je cuisinerais en même temps.

Valentin : Elle pourra t'aider en même temps.

Moi : Non non, elle sait pas ce que je veux faire, je vais me débrouiller seule, je préfère.

Valentin : Bon, je leur dis oui alors.

Moi : Oui. Je vais aller me préparer. Les magasins sont ouverts, je vais aller acheté les cadeaux des filles.

Valentin : Je croyais que t'allais les acheter à Bordeaux ?

Moi : Oui, mais finalement je préfère le faire maintenant. Comme ça on pourra leur offrir le soir même.

Valentin : Tu veux que je viennes avec toi ?

Moi : Si tu veux.

Valentin : Je vais prendre ma douche.

Moi : Je le prendrais demain matin.

Nous allons tout les deux dans la salle de bain. Valentin prend sa douche, moi je me lave les dents et me maquille. Je me fais un chignon vite fait. Je laisse la place à Valentin, je pars dans la chambre m'habiller.

Moi : (du salon) On prend ta voiture ?

Valentin (de la chambre) Oui.

Moi : (du salon) Elles sont où t'es clés ?

Valentin (du couloir) Dans la poche de mon manteau.

Moi : (prend les clés)

Valentin : Pourquoi tu prends mes clés ?

Moi : Je sais pas, j'avais envie. (rit)

Valentin : Tu m'inquiète.

Moi : Nié.

Valentin (dépité) Aller, avance. (la fait avancer vers la porte)

Moi : T'en peux plus de moi, hein ?

Valentin : C'est toi qui l'a dit.

Moi : Mais t'es méchant avec moi.

Valentin : Non, je suis réaliste.

Moi : Tu vas voir ton cadeau. (passe son doigt sous son nez)

Valentin : Oh non. Pardon. (embrasse Marine)

Moi : Putacadeau. (rit)

Valentin (rit) Aller monte gros cul.

Moi : (monte dans la voiture et ferme la porte) Mais ! Laisse mon cul tranquille. Je sais que tu l'aimes mais quand même. Puis, il est pas si gros que ça.

Nous rions et partons dans la boutique Jennyfer. Dans cette première boutique nous trouvons les cadeaux de Anna et Léa. C'est tout-à-fait leur style. Il faut juste que nous trouvons le cadeau de Léa, et pour ça nous partons dans une boutique exprès pour les bébés. Très vite Valentin voit un petit manteau trop mignon. Je prends la taille de ma filleule et nous passons en caisse.

- à la maison, 15h06

Cyril et Blandine viennent d'arriver à la maison. Val' part leur ouvrir, je les rejoins pour leur faire la bise, avec des mains senteur poisson.

Cyril : C'est quoi qui sent comme ça ?

Moi : C'est moi. (fait sentir ses mains)

Cyril : Mais qu'est-ce tu fais avec une odeur de poisson ?

Moi : C'est peut être parce que je prépare le repas de ce soir. Après, si tu veux, je peux te donner les croquettes des chats ?

Cyril : Tu sais que tu sens très bon.

Moi : (rit) Aller, assis toi. (retourne dans la cuisine)

Valentin : Tu peux nous chercher une canette de RedBull ?

Moi : (prend deux canettes et les poses sur la petite table)

Je retourne dans la cuisine, avec Blandine. Nous parlons de tout et de rien. On se raconte des conneries, des potins sur les autres.

Blandine : Ton téléphone.

Moi : Tu peux me le donner ?

Blandine (donne le portable à Marine)

MESSAGE VAL' MOI

Val' : Quand tu me dis que tu vas voir un pote.

Moi : Tu me désespère salle gosse. (montre le message à Blandine)

Blandine : Envoie lui une photo toi aussi.

Moi : Oh oui, quand il me dit qu'il va faire une vidéo avec Cara.

MESSAGE MOI VAL'

Moi : Quand tu me dis que tu vas faire une vidéo avec Cara.

Val' : Jalousie quand tu nous tiens.

Moi : C'est bien à toi de dire ça. (pose son portable)

Blandine (regarde la photo) Elle vient d'où cette photo ?

Moi : C'est quand j'avais fais un shooting. Je devait incarner des perso de jeu.

Blandine : Elle est stylé.

Moi : Je l'adore.

Blandine : Tu veux de l'aide ?

Moi : Euh, ouais, tu peux me sortir le gâteau qui est dans le frigo. Tu le mets sur la table.

Je termine mon entrer, puis je termine mon gâteau. Glaçage et déco. Blandine le remet dans le frigo. Je commence à faire mon plat, je le mettrais à cuire un peu plus tard dans le soirée.

Moi : Il est quelle heure ?

Blandine : 19h48.

Moi : On va se préparer ?

Blandine : Attends, je crois que les gars sont aller se préparer.

Moi : J'vais donner à manger au bêbêtes.

Blandine : Je peux le faire avec toi ?

Moi : Oui. T'as laissé Kyone chez toi ?

Blandine : Oui, ma sœur est aller le sortir aujourd'hui.

Moi : Tiens, tu peux remplir la machine des chats. (donne le sac de croquettes) Vous repartez quand ?

Blandine : On va voir Max' demain, et on part après demain.

Moi : Ça me rappelle que je l'ai pas vu depuis une semaine.

Blandine : Viens avec nous demain.

Moi : Je peux pas. On part demain matin chercher les filles pour aller chez ma mère.

Blandine : Ça va faire long.

Moi : 7h de route.

Blandine : Vous aller vous relayer.

Moi : Oui, on va faire moitier moitier.

Nous entendons les gars arriver dans le salon. Ils sont tout beau, costume et tout. Nous nous approchons chacune de notre copain pour les embrasser. Je glisse en même temps un « t'es beau » dans l'oreille de Valentin. Puis nous partons dans la salle de bain pour nous préparer. Nous nous maquillons, nous coiffons. Je laisse Blandine dans la salle de bain pour qu'elle s'habille, je pars dans la chambre pour m'habiller également. (média 1 Blandine, média 2 pour moi)

Moi : (ouvre la porte de la salle de bain et la referme) T'es toute belle.

Blandine : Toi aussi. (met son parfum)

Moi : (met son parfum) J'aurais aimé que Mélo' et Jordan soient là.

Blandine : Moi aussi. Mais ils le fêtent ensemble.

Moi : En amoureux.

Blandine : Ils sont ensemble ?!

Moi : Ah, euh non, je sais pas. Attends je vais quand même demander à Mélo'.

MESSAGE MOI MÉLO'

Moi : Joyeux Noël petite sœur, et à Jojo' aussi. Vous êtes en couple ? Ça y est ?

Mélo : À vous aussi. Yes, on est ensemble !

Moi : Yaas, trop bien ! (s'adresse à Blandine en criant) Ils sont ensemble !

Blandine : Trop bien ! Bon, viens, on va rejoindre les autres.

Moi : Théo est arrivé, j'entends sa voix. (entre dans le salon avec Blandine)

Valentin : Pourquoi vous avez criée ?

Moi : (fait la bise à Théo) Mélo' et Jojo' sont ensemble.

Blandine (fait la bise à Théo) Tu comprends pourquoi on a crié ?

Théo : Il nous a rien dit le bâtard.

Cyril : Tu vas voir quand il va arriver.

Blandine : P'tit Prince fera rien. (embrasse Cyril)

Moi : J'avais pas fais gaffe. Mais, regardez moi ce magnifique tchoin boy. (rit)

Théo : Oh arrêtez. (gêner)

Nous nous mettons tous autour de la table, nous prenons l'apéro tous ensemble. Nous rions aux blagues des gars. Parce que vous les connaissez, ils font des blagues salaces. J'ai bien fait de ne pas sortir le champagne tout de suite. Ils ont déjà presque sifflé la bouteille de Martini. Heureusement qu'on à prit plusieurs bouteilles de différent alcool.

Moi : Tu m'aide à débarrasser ? On va servir les entrées.

Blandine : Ouais. (prend tout les verres)

Blandine prend tout les verres. Je prends toutes les coupelles de gâteau. Nous sortons les flûtes à champagnes, la bouteille de champagne et les entrées.

Blandine : Eh ? Si on peux calmer un peu l'alcool ça m'arrangerais.

Moi : Ouais, moi aussi. Mais au pire tu conduis.

Blandine : C'est pas ça le problème, mais j'ai pas envie qu'il soit soul.

Moi : T'inquiète, il tient bien l'alcool. Puis il était pas seul à la boire.

Blandine : T'as raison.

Blandine prend les flûtes et la bouteille pour servir tout le monde. Je prends tout les plats. Quatre petites verrines chacun. (média)

Je vois que mes verrines plaisent à tout le monde. En quelques minutes c'est plié, rangé. Bon, bah j'ai plus qu'à retourné dans la cuisine pour servir le plat. Cette fois-ci c'est Valentin qui m'aide à tout débarrasser et à tout servir. (média)

Normalement tout le monde aime. Ça a pas du tout le même goût que les huîtres cru, là elles sont cuites et gratinés. C'est la première fois que j'en fais.

Moi : C'est bon ?

Cyril : Trop.

Blandine : Tu me donneras ta recette.

Moi : Ça me rassure. C'est la première fois que je le fais.

Valentin : C'est toujours bon quand tu cuisines.

Théo : Je pensais pas que les tchoins savaient cuisiner.

Moi : Pas toutes. Je suis l'exception.

Blandine : D'où vient ce délire ?

Théo : C'est venu tout seul.

Moi : C'est comme ça. C'est comme nous quand on a un délire.

Blandine : Oui, non mais nous c'est chelou.

Moi : Ça c'est parce qu'on est pas normal.

Valentin : Non. T'es pas normal. Attends, ce matin, elle me demande où sont mes clés. Elle les prends. Je lui demande pourquoi, elle me dit « Je sais pas, j'avais envie » (rit avec tout le monde)

Moi : Bravo ! Maintenant tout le monde sait que je ne suis pas normal.

Cyril : Non mais on le savait déjà.

Moi : Vas-y j'en ai marre, je suis une victime. (rit avec les autres)

Le moment du dessert arrive.Cette fois-ci je suis seule. Je débarrasse et sers mon gâteau. Je suis trop fière. (média)

Après un long repas de Noël,c'est le moment d'ouvrir tout les cadeaux. (NDA : je vous fais pas tout les dialogues, sinon ça sera encore plus long) (média 1 : Blandine, média 2 : Cyril, média 3 : Théo, média 4 : Valentin, média 5 : Marine)


- lendemain matin, 10h

Nous sommes devant chez les filles, Valentin les aide à mettre leurs valise dans le coffre avec la poussette. La petite poupée est en train de dormir dans son siège auto. Les filles montent avec Valentin. Et nous partons enfin pour Bordeaux. Missy est au pied de Valentin, elle dort aussi. Très vite Léa fait pareil. Nous restons que trois éveillés. Enfin pour moi, c'est peut être mieux pour conduire.

- chez ma mère, 20h17

Nous sommes tous super beau, bien habillés, bien maquiller. Nous commençons à manger tranquillement le bon repas que ma mère et Christophe ont préparé. C'est la première fois que je vois les filles aussi heureuse. Il y a ma filleule, j'en profite pour lui donner à manger. Très vite nous commençons à ouvrir nos cadeaux. (média)


Tout le monde est très content de leur cadeaux. Je jouerais de ma guitare demain dans la journée. Il est beaucoup trop tard. Nous sommes tous crevés, j'aide ma mère à débarrasser et nous partons nous coucher.

Merci d'avoir lu ♥

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Bonne et heureuse année 2018 ! 

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