Chapitre 15

-Il y a un remède ? hein Clo

-Il y en a qu'un seule ici

-Et qu'elle est ce remède

-L'eau du pays imaginaire

-L'eau du pays imaginaire ?,  m'intriguais-je

-C'est l'eau qui est dans tout le pays, mais celui qui le boit doit en payer le prix

-Et qu'elle est le prix à payer ?

-Tu dois resté pour toujours ici Marie

Je n'avais rien dis depuis le début, soit je meure ici, soit je bois l'eau du pays imaginaire et je resterais ici pour le reste de ma vie.

-Marie, c'est à toi de choisir

-Mais comment voulez-vous que je choisisse, dans tout les cas, je reste cloué ici

-Mais......, hésite Clochette

-Quoi, Clo ?

-Il y en a un autre, c'est Rumpelstiltskin, son fils, il réussira à trouvé un remède

-Mais, Rumpelstilskin n'est pas ici et il n'a rien qui l'oblige à le faire, rétorquais -je

-Et si il apprenait que il pouvait en finir avec son père

-Toi, tu as une idée derrière la tête

-Exactement, écouté bien

Le plan de Clochette était simple, Ariel, une sirène amie de Clochette a la capacité de traversée les mondes, donc peut aller à Storybrook, Clochette va écrire une lettre à Rumplestinskin
Pour le prévenir que Peter veut le cœur du plus pur des croyant et qu'il le veut
Et il en a les moyens

Elle écrit un parchemin et on parti vers la plage en évitant tout les enfants perdu, mais j'ai eux plus dur, fichu Ombraive, arrivé à la plage, Clochette sort un coquillage et souffle dedans mais aucun son n'en sort, mais on voit au loin une queue de sirène arrivé
On alla vers les roches, on s'assoit au bord et une fille au cheveux rouge et aux yeux vert sorti de l'eau

-Bonjour Clochette, qui c'est

-Ce sont des filles que l'ombre a amené ici

Yoanissa et moi étions derrière

-Mais si l'ombre ou Peter nous voyais

-Il faut espérer

On se rapprocha, Clochette et Ariel continuaient à parler
Clochette sort un haricot, une fiole avec un liquide bleu à l'intérieur et le parchemin

-La potion durera une semaine mais dais que tu rentres dans l'eau tu retrouvera ta queue de sirène

-D'accord qui je doit aller voir ?

-Rumplestilskin

-D'accord

Ariel replongea et commence à partir

-Maintenant on va rentrée à la cabane d'accord

-Ok

On retourne à la cabane de Clochette
On discute pendant bien 2 heure, on dit plus en plus connaissance puis, on se rend compte qu'il est maintenant 23 heure

-Bon le temps qu'on arrive au camps il sera déjà minuit donc on aura gagné

-D'accord, quand Rumplestilskin arrivera, je vous envoyerai un papyrus pour vous prévenir

-Ok au revoir Clo

On sort de la cabane et on se mît en route vers le camps

-Bon, on fait comment pour l'eau du pays imaginaire ?

-Je sais pas on a cas demandé à Félix, il doit s'avoir

-Ouais, espérons

On marcha pendant bien une heure

Arrivé au camps, il n'y avait que Peter contre le trond d'arbre
Il releva la tête et il était surpris de nous voir
Bais ouais Peter on est encore en vie
Si j'avais peux je lui aurai fait un bras d'honneur, mais j'ai évité
J'entends une voix m'appelé
Mickaël cours vers moi

-Bravo Marie tu as réussi, félicitations

-Merci Mickaël

Arrivé à mon hauteur, je soulève Mickaël et le pend dans mes bras

-Je savais que tu allais réussir

-Oh Mickaël

Je lui fis un gros câlin
Quelque minutes après je l'enlève de mes bras

-Je ne pensais pas vous voire vivante, dit Peter avec son sourire malicieux

-On ne se débarrasse pas de nous comme ça, je m'avance vers Peter

-C'est ce qu'on verra, Mickaël va au lit

-D'accord à demain Marie

Je fis in bisous à Mickaël, il parti vers sa cabane, je me retourne et Peter était en face de moi, bras croisés tout comme moi

-Tu ne réussira jamais a te débarrasser de moi aussi facilement, tu vas galèrer

-On verra bien

Je souri de toute mes dents, il ne sourira pas quand il verra son fils, j'avais envie de lui sortir des millards d'insulte
Mais je décide de dire

-Je te hais, dis-je d'une traite

Je me retourne et va vers Yoanissa, on décide d'aller à la cabane
Peter nous regarde toujours, Yoanissa monte la première, je ne voulais pas que Peter me voit galèré a monté l'échelle
Mais d'un coup, je me fit téléporté a dans la cabane, mais je ne compris pas, je ne sais pas me teleporté, le seul c'est Peter, mais pourquoi il a fait ça ? Peter normalement m'aurait regardé galèré monté à l'échelle
Pff, de toute façon, rien ne m'étonne plus alors

Je me retourne et Yoanissa me regardait avec des yeux rond

-Quoi ?

-Bais comment.... tu..... tu étais dehors et maintenant tu es..... wow

-Et tu t'étonnes encore meuf on est au pays imaginaire

-J'avoue

-Je suis crevée

-Moi aussi

-Pff j'en ai trop marre

-Moi aussi

-Dit tu vas quand aller cherché l'eau du pays ?

-Demain matin

-Ok, tu veux que je viennes avec toi ?

-Ouais merci yo

-De rien

On alla s'assoir sur nos lit et on discuta jusqu'à j'entendis une voix familière criant mon nom
Je sors et Félix est en bas, j'étais tellement inquiéte pour lui
Je ne pris même pas là pennes de descendre l'échelle ou faire attention à ma jambe gauche que je saute pour arrivé dans ses bras, il me fit tourné dans les aires
Il me serra dans ses bras de toute ses forces, j'ai même crus qu'il aurait été capable de m'étouffer

Il me posa à terre mais n'arrêta pas son accolade

-Tu es en vie

Sa voix était douce et rassurante

-Bien sur tu croyais que j'allais mourrir

J'arrête notre accolade pour pouvoir le regarder de face

-Bien sur que non je sais que tu es la plus forte des filles au monde

-Et toi tu es le garçon le plus génial du monde

Il me reprit notre accolade qui dura bien pendant cinq ou dix minutes, puis on se sépara, je pense qu'il avait aussi senti cette présence et c'était ce chers Peter Pan qui était

-Désolé les tourtereaux mais l'amour n'est pas acceptée ici

-Mais on ne t'a rien demandé, et c'est reparti pour un tour, pensais-je

-Peter on est pas du tout ensemble, rétorqua Félix

-Qu'est ce qui se passe

C'était une toute petite voix, c'était celle de Mickaël qui a du se réveiller a cause nos cris

-Mickaël pourquoi tu es sorti dans ton lit aller je vais allé te mettre au lit, Peter tu m'excusera mais j'ai mieux à faire que me disputée avec un gamin

Je pris Mickaël dans mes bras et je m'éloigna de se gamin et de Félix, j'en ai marre de ses enfantillages, qu'elle gamin pourrie gâtée

-Pourquoi vous criiez ?

-C'est rien, c'est Peter qui a commencé à crier d'un coup

-Pourquoi

-Je sais pas

Mickaël me fit un câlin

-Toi je sais que tu crieras jamais pour rien

-Merci Mickaël

Arrivé à la cabane, j'entre, dépose Mickaël dans son lit et je le mis sous les draps
J'allais partir quand d'un coup Mickaël m'appelle

-Marie tu peux me raconté une histoire

-Heu d'accord, le qu'elle tu veux ?

-Heu je sais pas moi

-Et si je te racontais l'histoire de Raiponce

-Oh oui

-D'accord, Il était une fois un mari et sa femme qui avaient depuis longtemps désiré avoir un enfant, quand enfin la femme fut dans l'espérance et pensa que le Bon Dieu avait bien voulu accomplir son vœu le plus cher. Sur le derrière de leur maison, ils avaient une petite fenêtre qui donnait sur un magnifique jardin où poussaient les plantes et les fleurs les plus belles ; mais il était entouré d'un haut mur, et nul n'osait s'aventurer à l'intérieur parce qu'il appartenait à une sorcière douée d'un grand pouvoir et que tout le monde craignait. Un jour donc que la femme se tenait à cette fenêtre et admirait le jardin en dessous, elle vit un parterre planté de superbes raiponces avec des rosettes de feuilles si vertes et si luisantes, si fraîches et si appétissantes, que l'eau lui en vint à la bouche et qu'elle rêva d'en manger une bonne salade. Cette envie qu'elle en avait ne faisait que croître et grandir de jour en jour ; mais comme elle savait aussi qu'elle ne pourrait pas en avoir, elle tomba en mélancolie et commença à dépérir, maigrissant et pâlissant toujours plus. En la voyant si bas, son mari s'inquiéta et lui demanda : « Mais que t'arrive-t-il donc, ma chère femme ?
- Ah ! lui répondit-elle, je vais mourir si je ne peux pas manger des raiponces du jardin de derrière chez nous ! »
Le mari aimait fort sa femme et pensa : « plutôt que de la laisser mourir, je lui apporterai de ces raiponces, quoi qu'il puisse m'en coûter ! » Le jour même, après le crépuscule, il escalada le mur du jardin de la sorcière, y prit en toute hâte une, pleine main de raiponces qu'il rapporta à son épouse. La femme s'en prépara immédiatement une salade, qu'elle mangea avec une grande avidité. Mais c'était si bon et cela lui avait tellement plu que le lendemain, au lieu que son envie fût satisfaite, elle avait triplé. Et pour la calmer, il fallut absolument que son mari retournât encore une fois dans le jardin. Au crépuscule, donc, il fit comme la veille, mais quand il sauta du mur dans le jardin, il se figea d'effroi car la sorcière était devant lui !
- Quelle audace de t'introduire dans mon jardin comme un voleur, lui dit-elle avec un regard furibond, et de venir me voler mes raiponces ! Tu vas voir ce qu'il va t'en coûter !
- Oh ! supplia-t-il, ne voulez-vous pas user de clémence et préférer miséricorde à justice ? Si Je l'ai fait, si je me suis décidé à le faire, c'est que j'étais forcé : ma femme a vu vos raiponces par notre petite fenêtre, et elle a été prise d'une telle envie d'en manger qu'elle serait morte si elle n'en avait pas eu.
La sorcière fit taire sa fureur et lui dit : « Si c'est comme tu le prétends, je veux bien te permettre d'emporter autant de raiponces que tu voudras, mais à une condition : c'est que tu me donnes l'enfant que ta femme va mettre au monde. Tout ira bien pour lui et j'en prendrai soin comme une mère. »
Le mari, dans sa terreur, accepta tout sans discuter. Et quelques semaines plus tard, quand sa femme accoucha, la sorcière arriva aussitôt, donna à l'enfant le nom de Raiponce et l'emporta avec elle.
Raiponce était une fillette, et la plus belle qui fut sous le soleil. Lorsqu'elle eut ses douze ans, la sorcière l'enferma dans une tour qui se dressait, sans escalier ni porte, au milieu d'une forêt. Et comme la tour n'avait pas d'autre ouverture qu'une minuscule fenêtre tout en haut, quand la sorcière voulait y entrer, elle appelait sous la fenêtre et criait :

Raiponce, Raiponce,
Descends-moi tes cheveux.

Raiponce avait de longs et merveilleux cheveux qu'on eût dits de fils d'or. En entendant la voix de la sorcière, elle défaisait sa coiffure, attachait le haut de ses nattes à un crochet de la fenêtre et les laissait se dérouler jusqu'en bas, à vingt aunes au-dessous, si bien que la sorcière pouvait se hisser et entrer.
Quelques années plus tard, il advint qu'un fils de roi qui chevauchait dans la forêt passa près de la tour et entendit un chant si adorable qu'il s'arrêta pour écouter. C'était Raiponce qui se distrayait de sa solitude en laissant filer sa délicieuse voix. Le fils de roi, qui voulait monter vers elle, chercha la porte de la tour et n'en trouva point. Il tourna bride et rentra chez lui ; mais le chant l'avait si fort bouleversé et ému dans son cœur, qu'il ne pouvait plus laisser passer un jour sans chevaucher dans la forêt pour revenir à la tour et écouter. Il était là, un jour, caché derrière un arbre, quand il vit arriver une sorcière qu'il entendit appeler sous la fenêtre :

Raiponce, Raiponce,
Descends-moi tes cheveux.

Alors Raiponce laissa se dérouler ses nattes et la sorcière grimpa. « Si c'est là l'escalier par lequel on monte, je veux aussi tenter ma chance », se dit-il ; et le lendemain, quand il commença à faire sombre, il alla au pied de la tour et appela :

Raiponce, Raiponce,
Descends-moi tes cheveux.

Les nattes se déroulèrent aussitôt et le fils de roi monta. Sur le premier moment, Raiponce fut très épouvantée en voyant qu'un homme était entré chez elle, un homme comme elle n'en avait jamais vu ; mais il se mit à lui parler gentiment et à lui raconter combien son coeur avait été touché quand il l'avait entendue chanter, et qu'il n'avait plus eu de repos tant qu'il ne l'eût vue en personne. Alors Raiponce perdit son effroi, et quand il lui demanda si elle voulait de lui comme mari, voyant qu'il était jeune et beau, elle pensa : « Celui-ci m'aimera sûrement mieux que ma vieille mère-marraine, la Taufpatin », et elle répondit qu'elle le voulait bien, en mettant sa main dans la sienne. Elle ajouta aussitôt :
- Je voudrais bien partir avec toi, mais je ne saurais pas comment descendre. Si tu viens, alors apporte-moi chaque fois un cordon de soie : j'en ferai une échelle, et quand elle sera finie, je descendrai et tu m'emporteras sur ton cheval.
Ils convinrent que d'ici là il viendrait la voir tous les soirs, puisque pendant la journée venait la vieille. De tout cela, la sorcière n'eût rien deviné si, un jour, Raiponce ne lui avait dit : « Dites-moi, mère-marraine, comment se fait-il que vous soyez si lourde à monter, alors que le fils du roi, lui, est en haut en un clin d'œil ?
- Ah ! scélérate ! Qu'est-ce que j'entends ? s'exclama la sorcière. Moi qui croyais t'avoir isolée du monde entier, et tu m'as pourtant flouée ! »
Dans la fureur de sa colère, elle empoigna les beaux cheveux de Raiponce et les serra dans sa main gauche en les tournant une fois ou deux, attrapa des ciseaux de sa main droite et cric-crac, les belles nattes tombaient par terre. Mais si impitoyable était sa cruauté, qu'elle s'en alla déposer Raiponce dans une solitude désertique, où elle l'abandonna à une existence misérable et pleine de détresse.
Ce même jour encore, elle revint attacher solidement les nattes au crochet de la fenêtre, et vers le soir, quand le fils de roi arriva et appela :

Raiponce, Raiponce,
Descends-moi tes cheveux.

la sorcière laissa se dérouler les nattes jusqu'en bas. Le fils de roi y monta, mais ce ne fut pas sa bien-aimée Raiponce qu'il trouva en haut, c'était la vieille sorcière qui le fixait d'un regard féroce et empoisonné.
- Ha, ha ! ricana-t-elle, tu viens chercher la dame de ton coeur, mais le bel oiseau n'est plus au nid et il ne chante plus : le chat l'a emporté, comme il va maintenant te crever les yeux. Pour toi, Raiponce est perdue tu ne la verras jamais plus !
Déchiré de douleur et affolé de désespoir, le fils de roi sauta par la fenêtre du haut de la tour : il ne se tua pas ; mais s'il sauva sa vie, il perdit les yeux en tombant au milieu des épines ; et il erra, désormais aveugle, dans la forêt, se nourrissant de fruits sauvages et de racines, pleurant et se lamentant sans cesse sur la perte de sa femme bien-aimée. Le malheureux erra ainsi pendant quelques années, aveugle et misérable, jusqu'au jour que ses pas tâtonnants l'amenèrent dans la solitude où Raiponce vivait elle-même misérablement avec les deux jumeaux qu'elle avait mis au monde : un garçon et une fille. Il avait entendu une voix qu'il lui sembla connaître, et tout en tâtonnant, il s'avança vers elle. Raiponce le reconnut alors et lui sauta au cou en pleurant. Deux de ses larmes ayant touché ses yeux, le fils de roi recouvra complètement la vue, et il ramena sa bien-aimée dans son royaume, où ils furent accueillis avec des transports de joie et vécurent heureux désormais pendant de longues, longues années de bonheur.
Fin

-C'était génial

-Merci bon maintenant il est tard aller au lit

-Bonne nuit

-Bonne nuit à demain

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