Chapitre 4
PDV de Lyra
Les rayons du soleil, envahissent la pièce où je me trouve. Ils viennent caresser mon visage endormi. J'ouvre difficilement les yeux et les referme aussitôt. Je les ouvre un à un et réalise que quelqu'un se trouve à côté de moi ou plutôt je me trouve dans les bras d'un homme.
Je remonte légèrement mon visage vers le sien, pour découvrir le mec de l'avion. Je sursaute en remarquant que ses yeux gris sont braqués sur moi. Je reste bouche bée
"Salut" dit-il avec une voix grave, super sexy à vous faire chavirer.
Je me mords instinctivement la lèvre inférieure.
"Bien dormi?" en me caressant avec sa main gauche, le bas du dos.
Je comprends, à son contact que je suis nue. NUE!!!!!!!!!!!!! 😱😱😱😱😱😱 Je me lève du lit et le regarde avec incompréhension.
"Si tu te demandes si on l'a fait? Oui et pas qu'une fois. Presque dans toutes les pièces de la maison." exclame-t-il avec un sourire au coin.
Je suis sidérée par ses propos, pourquoi je ne me souviens de rien? et pourquoi je me suis réveillée dans ses bras? Tant de questions sans réponses... Il me dévisage comme si j'avais fait une bêtise. C'est quoi son problème? Bref, je ne vais pas rester planter là. Je m'en vais, je cherche du regard mes vêtements et les vois tous autour du lit. Je les ramasse et m' habille devant l'autre imbécile. Il se redresse et me suis du regard, mais pas n'importe quel regard. On dirait qu'il est furieux. M'en fiche, je lui ai pas dit de coucher avec moi.
Quand j'ai fini de m'habiller, je me retourne et le regard, enfin je détourne encore une fois mon regard, c'est pas possible ce que ses yeux ont comme effet sur moi:
"Merci.....c'était très... sympathique... mais ça s'arrête là" dis-je extrêmement gênée.
PDV d'Amaury.
Je la regarde dormir, elle est très mais vraiment très belle. Je suis content de l'avoir faite mienne, la nuit dernière. Elle commence à bouger. Ah ça y est, elle se réveille. Elle ouvre les yeux et les referme directement. Elle est trop mignonne. Puis, elle monte lentement son visage vers le mien. Quand son regard croise le mien, son visage se décompose. Elle n'a pas l'air ravi de me voir.
"Salut" dis-je en souriant.
Elle sursaute encore plus comme si elle est effrayée.
"Bien dormi?" dis-je en la caressant dans son bas du dos, pour la rassurer. Mais là, c'est pire, elle devient blanche comme un linge. Alors ce que je vais m'apprêter lui dire ne devrait pas arranger les choses.
"Si tu te demandes si on l'a fait? Oui et pas qu'une fois. Presque dans toutes les pièces de la maison." je déclare avec un sourire au coin. Et là, sa réaction est démesurée, elle se lève d'un bond et me regarde avec effroi, elle observe la lit, je pense pour la recherche ses vêtements tous autour du lit, elle les récupère et s'habille en vitesse. Quand elle a fini son cinéma, elle se retourne et me lance la phrase qui tue:
"Merci.....c'était très.... sympathique...
mais ça s'arrête là..." dit-elle en détournant son regard.
Alors là j'ai vu rouge. Comment ça sympathique???? Et comment ça s'arrête là??? Ma pauvre tu es liée à jamais à moi. Ce n'est pas l'envie qui me manque pour lui foutre une bonne raclée. Je me lève du lit et récupère un caleçon, le met et le temps que je fasse tout ça, elle est sortie en trombe de la chambre. Je ne la retiens pas, je veux voir sa tête quand elle comprendra ce qui c'est passé hier soir.
Je sors de la chambre et me dirige vers le salon. Je me pose sur le fauteuil qui est face à la mer et attend mon café. Dans cinq minutes, elle va revenir.
"Monsieur votre café" dit Alfrid mon majordome.
"Merci Alfrid" je réponds en souriant
"Qu'est ce que je prépare pour madame?"
"Euh un truc bien fort comme un Whisky" (Je sais qu'on est dans la matinée mais ce qu'elle va apprendre, va la mettre à terre)
"Bien monsieur" en même temps qu'il parle un bruit sourd de voiture se fait entendre. Ah! elle a mis moins de temps que prévu. Des pas, se rapprochent de nous:
"Excusez moi, mais reprenez votre bague" dit-elle en avançant vers moi. Elle se met en face de moi. J'ai une de ces vues sur ses magnifiques jambes.
"Ce n'est pas ma bague mais la tienne" dis-je énervé "Alors tu te rappelles de rien?"
"Comment ça ma bague? Je n'ai jamais acheté de bague" dit-elle outrée
Ok donc elle se rappelle vraiment de rien. "Je crois que tu devrais t'asseoir." dis-je en la regardant enfin dans les yeux.
Elle s'assoit sur la table basse et me regarde.
~Flashback~
Après qu'elle se soit effrondée dans la boîte de nuit, je l'ai emmené dans ma voiture. Je la dépose délicatement et va sur le siège d'à côté. Elle se réveille quelques minutes puis elle me saute dessus. Je suis très supris. Elle commence à m'embrasser. Oh putain même saoule elle embrasse bien. Elle gémit donc je dois lui faire de l'effet. J'ai envie de lui faire l'amour là maintenant. Bizarrement c'est le terme lui faire l'amour au lieu de baiser que j'ai employé. Non je n'ai pas de sentiments pour aucune femme de ce monde. Elles sont toutes des putes. Enfin...
Bref, je mets un terme à notre échange langoureux quand nous arrivons vers la maison du maire. Eh! oui comme je vous l'avais dit je ferai de cette femme la mienne. On descend, et le maire qui arrive en pyjamas me regarde sur le côté. Attends que je sois marié Ducon!
On échange nos voeux et à 23h55, elle est devenue ma femme. Elle pleure comme une dingue. Elle m'a sauté dessus et embrassé comme une malade...
On est arrivé chez moi, et là c'était plus fort sur moi. Je l'ai déshabillé dans la porte d'entrée. Elle est belle, par contre la coquine, elle ne porte pas de soutien gorge, juste une culotte noire en dentelle. Je ne peux qu'admirer son corps. Il est si parfait. En m'approchant d'elle, je vois qu'elle se mord la lèvre inférieure, elle est trop mignonne quand elle le fait. J'ai pas pu m'empêcher. Je l'ai sauté dessus tel un animal sauvage, je l'embrasse partout, elle gémit tellement que je suis devenu fou. Je la porte jusqu'à mon canapé et la mets à califourchon sur moi. Elle commence à me déshabiller, tout en m'embrassant dans le cou. Elle glisse sa main vers ma ceinture, et la défait ainsi que mon pantalon. Je me sens tout brûlant sur le moment. Elle sort enfin mon pénis de mon caleçon, je suis tellement dûr. À ce moment là je prends la relève. Je décale délicatement sa culotte sur le côté et la soulève légèrement par les fesses pour la faire redescendre sur mon sexe. Je gémis de oufff!!!!!! Putain, elle est serrée, j'ai même cru que c'est sa première fois. Elle continue de descendre encore. Je me mords très fortement les lèvres, même j'en suis à lui mordre son cou. Et pourtant je n'ai fait que la pénétrer qu'elle crie de plaisir.
"Rassure moi ce n'est pas ta première fois?" dis-je soudain inquiet.
Elle me fait non de la tête, je suis rassuré mais en même temps j'aurais bien voulu être son premier. Elle reprends son souffle, quand je l'embrasse dans le cou. Elle prend l'iniative toute seule. Elle commence à monter et descendre sur mon sexe toute seule. Elle mouille beaucoup ce qui facilite la pénétration. Elle pousse de temps en temps quelques cris étouffés. Mais tout ceci se fait dans une lenteur sensuelle. On arrive à la jouissance tous les deux, jusqu'à je saisisse ses fesses bombées, pour la faire remonter une bonne fois pour toute avant que je ne jouisse en elle. Il a fallu de peu, à peine sorti d'elle, je jouis comme un malade, elle pareille. On se regarde, essoufflé et je l'embrasse comme si ma vie en dépendait. C'est à ce moment là que je comprends que je ferai ma vie avec elle.
Et nous avons fait l'amour dans toutes les pièces de la maison, jusqu'au petit matin...
~Fin Flashback~
Alors je ne comprends pas pourquoi elle se rappelle de rien... Je lui raconte que ce que nous avons fait, et au fur et à mesure de mon récit son visage change d'expression....
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