Photo de la tenue de Laurianna et de ses chaussures en média.

    Pdv de Laurianna.

  Cela fait déjà deux semaines que j'ai retrouvé Jenny. Elle et moi avons fait la visite de la forêt avec une escorte bien sûr. Tout ce que Jay et Léon ont refusé de nous laisser seules sous prétexte que nous sommes des gamines immatures.
    En ce qui concerne Léon il est très gentil avec moi, en plus d'être sur-protecteur avec moi. J'ai parlé de notre relation a Jenny et elle m'a dit que je suis amoureuse. Je lui ai bien évidemment dit que c'était absurde. Je ne pouvais pas l'aimer. Et pour justifier son argument mademoiselle à utiliser le baiser que nous avons échangé de même que les regards que nous échangeons.
  
   Ce soir il y'a un bal organiser par la mère de Léon et il m'a proposé d'être sa cavalière. J'ai longtemps hésité avant d'accepter, quand je lui ai dit oui il rayonnait de joie. Ça m'a fait plaisir. On s'est beaucoup rapprocher.

   Aujourd'hui c'est le jour du bal. Jenny et moi avons choisi de prendre des robes presque similaires. Elles différent par la couleur et la forme. Les femmes mises a notre disposition nous ont assuré que ces robes nous allaient comme des gants. Le maquillage a été pris en charge par deux des stylistes de la famille.  Jenny et moi nous nous sommes préparées dans la même suite.
Tenue de Jenny en média.
  Robe, chaussures et bague de fiançailles.

     Le bal a commencé voilà déjà prêt de une heure de temps. Jenny et moi attendons que les garçons viennent nous chercher.  On est perdues dans nos commentaires quand la porte s'ouvre.  Nous levons la tête et là nous tombons sur les visages de Léon et de Jay.  Jenny se lève et dit firieuse:
- Où étiez vous? Cela fait une heure qu'on vous attend.
- Nous étions avec les invités. Reprit Jay calme.
- Okay. Retourner donc d'où vous venez. Dit Jenny en colère.
  
   A ses paroles elle sort de la pièce en furie suivie de Jay.  Léon lui me regarde toujours depuis qu'ils sont arrivés dans la pièce.  Il ne fait que me regarder. Je lui lance un coup d'œil rapide et là je suis éblouie. Il est beau. Dans son tailleur , il est vraiment beau se dit elle. Durant toute ma vie je n'ai jamais prêté ou même daigner regarder un homme de cette façon.  Alors que je le regarde je m'imagine entrain de parcourir son corps avec mes  mains. Je l'imagine me caresser de ces mains majestueuses. Je l'imagine me couvrir de baisers. Ou encore tous les deux dans une baignoire et ces grandes mains parcourant mon corps. Je me secoue la tête afin de pouvoir effacer ces idées et je me sens rougir.

   Pdv de Léon.

  Je ne sais pas a quoi elle pense mais moi je ne peux m'empêcher de fantasmer sur elle et se depuis le baisé qu'on a échangé il y'a deux semaines de cela. Soudain je constate qu'elle rougit cela m'arrache un sourire. Je lui dit donc:
- On y vas maintenant si tu le veux bien ?
- Oui allons y.
   A cet instant Jay toque dans le but de me prévenir qu'il s'en vont eux aussi. Nous sortons et nous descendons tous les quatre. Quand nous arrivons dans la salle tous les regards sont braqués sur nous. Ceux des hommes rivés sur Laurianna et Jenny sont emplis d'envi, de désir, de passions, ils sont pervers. Quant a celui des femmes ils les enviaient , les méprisaient.

  Pdv de Laurianna.

  Je me met derrière Léon dans le but de me cacher. Il constate ma frayeur et me caresse le dos de la main de son pouce. Jay pousse un juron puis échange un regard avec Léon et dit :
-  Que la soirée continue .

Elle continue sans problème dans la bonne humeur. Quand Jay et Léon s'éloignent nous laissant seule Jenny et moi elle me regarde et dit:
- Tu as vu la façon dont il te regarde ?
- Qui? Mais de qui parle tu?
- Léon. Qui d'autre ?
- Arrêté avec tes machinations. Il n'y a rien et n'aura jamais rien entre nous. Dis je tristement.
- Pourquoi le dis tu Laurianna. Tu n'as même pas essayer.
- A quoi bon puisque je sais le ça ne marchera jamais entre nous.
- Ce n'est pas une raison valable ni encore moins un argument. Il n'arrête pas de te regarder de la même façon que Jay me regarde. Dit elle avec un sourire coquin
- Tu insinue quoi par là ?
- Il te regarde commun mal en chaleur. Excuse moi les mots mais c'est vrai.
- Jennyfer arrête de dire des bêtises.
- Je suis certaine que s'il n'y avait personne il y'a de forte chance qu'il t'aurai fait l'amour sans hésitation.
- Bon Jenny je vais prendre l'air.

   Dis je en me dirigeant vers le balcon. Une fois dehors je constate qu'il y'a une balançoire dans le jardin. Je m'avance et m'assois. Et commence à penser a tout ce que j'ai du traverser pour être ici tout en me balançant. Je regarde mon parcours et ils reviennent. Mes souvenirs les plus douloureux j'arrête alors de me balancer et me pose des questions tout en pleurant. Je me demande pourquoi je n'étais pas dans cette voiture ce jour là ? Pourquoi ne suis je pas morte avec eux? Pourquoi m'ont ils laisser? Pourquoi m'ont ils abandonné ? J'en veux mes parents énormément pour m'avoir caché la vérité. Pourquoi m'ont ils fait? 

     Pdv de Léon

   Je ne fais que la chercher des yeux mais je ne la vois pas. Ne pas pouvoir la contrôler augmente ma frustration. Je n'en peux plus  de tout ça.  Je décide donc de laisser en plomb mes associés pour aller a sa recherche . Je vais donc vers Jay et Jenny pour me renseigner.  Jenny m'informe qu'elle est sortie prendre l'air. Je me précipite donc a l'extérieur et je l'apercois sur la balançoire. Je vais  vers elle quand je me rend compte qu'elle pleure. J'ai un pincement au cœur. Je dis :
- La dernière fois que je t'ai trouvé entrain de pleurer je ne suis pas intervenu. Je t'ai laissé mais aujourd'hui je ne le ferai.
- S'il te plaît vas t'en Léon. Je n'ai pas envie de te parler.
- Je ne compte pas te laisser seule  et surtout dans cet état.
- Léon..
- Je ne te demande pas ton avis je  t'informe. Dis je en prenant place à ces côtés.

   Elle fixe ses mains en laissant couler des larmes. Je soulève son visage à l'aide de ma main afin qu'elle me regarde et je lui:
- Ça ne sert a rien de dissimuler une douleur qui nous détruit a petit feu papillon.
   Sur ces mots elle éclate encore en se plongeant dans mes  bras. Elle me dit en sanglotant:
- Je les en veux Léon. Pourquoi ils m'ont laissé ?
- Regarde moi. Je ne veux plus voir tes larmes coulées.
- Léon

       Je rapproche son visage du mien et m'empare de ses lèvres. Je l'embrasse avec passion et délicatesse de peur de lui faire mal. Elle répond a mon baisé. Alors qu'on prend un instant pour retrouver nos souffles je dis a voix basse :
- Tu est si belle ce soir que ça m'énerve que tous les hommes présent puissent se délecter de la vue que tu leur offres. Si je pouvais te faire mienne toute de suite je le ferai.
    Dis je avant capturer ses lèvres encore une fois.

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     J'espère que ce chapitre vous plaira. Bonne lecture et surtout n'hésitez pas à me laisser des commentaires.