Pdv de Jayson

Cela fait maintenant une semaine que je suis revenu en ville et l'affaire n'a pas bouger d'un pouce. Daisy dit que c'est normal et qu'il faut laisser le temps mais moi j'ai suffisamment laisser le temps pour que j'abandonne comme ça. J'étais partie re-questionner les deux seuls témoins que l'on avait mais ils ne se souviennent de rien en mêmes temps trois ans c'est long. L'affaire m'avais pris beaucoup trop de temps. J'étais assis à mon bureau en train de feuilleter mon dossier quand mon assistante Élise ne m'interrompe.

-Excusez-moi de vous déranger messieurs Becker mais quelqu'un demande à vous voir. Me dit-elle doucement.

Cette fille était Juste adorable. Élise est une jolie métisse de grande taille. Je suspect qu'elle soit amoureuse de moi.

-Je vous en prie appeler moi Jayson, j'ai l'impression que j'ai cinquante ans lorsque vous m'appelez par mon nom. Je lui dis en souriant.

Elle me rend mon sourire et elle me fait un signe de la tête pour me dire "oui".

-Qui es ? Je lui demande.

-Il dit s'appeler Jefferson Morgan.

Je ne connais pas de Jefferson Morgan. Sois doit être sûrement une nouvelle affaire.

-Faite-le entré.

Elle part. Quelques minutes plus tard la porte de mon bureau s'ouvre laissant place à un quelqu'un que j'aurais préféré ne plus revoir. Jeff se trouvait debout face à moi, un sourire satisfait sur ses lèvres. Il n'avait pas changé en sept années. Mais qu'est-ce qui fait ici après toute c'est année ? Je pensais en avoir fini avec lui.

-Content de te revoir Jay. Il me dit tristement.

Je me lève de ma chaise et je lui lance un regard noir. Je n'avais pas vraiment oublié ce qui c'était passé il y'a quelques années.

-Qu'est-ce que tu fais ici Jeff ? Je lui demande avec une voix remplis de haine.

Il me regarde et il s'avance vers moi et il s'assoit en face de moi sur l'une des deux chaises.

-Je suis là pour l'affaire Stevenson. Il me dit doucement en me regardant droit dans les yeux.

-Quoi ?! Qu'est-ce que tu racontes ?

-Je suis la parce que c'est moi qui est tué Sophie Palmer. M'avoue-t-il tristement.

C'est impossible ! Je suis toujours debout et je me rassois assez rapidement.

-Qu'est-ce que tu racontes Jeff ?

-C'est moi qu'il l'est tué.

Je sais que ce n'est pas lui. Jeff ma vue grandir et il ma même fait souffrir mais il ne tuerait jamais une jeune fille de vingt-quatre ans. Toute c'est année en étude de droit mon appris que certaine personne mentait et que Jeff avait des principes qu'il devait absolument respecté.

-Je ne te crois pas Jeff.

Il me regarde ahurie et il frappe son poing sur mon bureau.

-JAY ! JE TE DIS QUE C'EST MOI QUI EST TUER CETTE FILLE ! Hurle-t-il en se relevant.

Cette fois son cris fit résonner la pièce. Ces paroles résonnaient plus comme s'il me suppliait d'une certaine manière à lui mettre les menottes, un cri de désespoir mais ça ne changeais pas mon avis. Je regarde Jeff dans les yeux et je répète :

-Je ne te crois pas Jeff, tu as beau être un salaud de première tu ne tuerais pas une orpheline.

Il me regarde mais cette fois il est plus doux. Il commence tout doucement à se calmer. Il me regarde comme s'il voulait me dire quelque chose.

-Mais tu ne comprends pas Jay...cette fille était ma fille ! Me révèle-t-il.

Je le regarde surpris et choqué par sa révélation. Alors comme ça il avait un enfant qu'il venait de perdre maintenant je comprends pourquoi son envie de se rendre à la police.

-Je l'aimais énormément Jay, je l'ai eu à l'âge de vingt ans, sa mère n'a pas voulu d'elle alors je l'ai envoyé dans une famille d'accueil mais j'ai continué à la protéger pendant toute c'est année jusqu'à que j'apprenne qu'elle a été tuer.

Cette fois des larmes coule le long de ces joues. Je n'y crois pas le grand Jeff est entrain de pleuré dans mon bureau. Qui l'aurais cru ?

-Tu a quelque part où aller dormir ? Je lui demande au tac au tac.

-Non je pense que je vais prendre un hôtel. Me dit-il tristement.

-Viens chez moi, sa t'évitera de réserver un hôtel pour une semaine. Lui proposais-je.

Je n'y crois pas ce que je viens de dire. Je viens de proposer au gars qui a gâcher ma vie de venir chez moi, mais qu'est-ce ce qui m'a pris !?

-Tu ne changera jamais Jay même quand je t'ai fait souffrir et que j'ai faille te tuer tu restes un gars bien et j'accepte ton invitation.

Cette fois il me sourit. Je pense vraiment qu'après toute ces années Jeff est vraiment changé. Je lui souris. Mon Pire ennemi emménage chez moi mais dans qu'elle merde je me suis fourré.

PDV de Cora

Cela fait une semaine que je suis rentrée à Seattle. J'ai repris le travail il y a deux jours. Il est vingt-deux heures lorsque je reçois un appel.

"Oui allô ?

-C'est Jayson, tu peux passer chez moi, mon invité vient de se coupée et il ne peut pas venir à l'hôpital.

-Ok j'arrive."

Je raccroche puis fonce avec un kit de suture chez Jayson. Une dizaine de minutes plus tard j'étais devant sa porte. Je tape et il m'ouvre sans plus tarder.

-Merci d'être venu.

Je ne réponds pas et entre dans le salon. Je suis surprise et surtout étonnée de voir Jeff sur le canapé.

-Qu'est-ce qu'il fait là lui ?

-C'est mon invité mais bon je n'ai pas besoin de te le présenter...

Jeff lève la tête et il a l'air tout autant surprit de me voir ici.

-Waouh. Je comprends maintenant pourquoi il n'a jamais renoncé à toi ! Exclame Jeff en me reluquant.

-Jeff on va se calmer ok ?! Jayson et moi c'est terminer et depuis déjà sept ans. Répondis-je d'un ton sec.

Jayson passait sa main derrière sa tête puis me lançait un regard triste. Je ne pris même pas la peine de réagir tellement j'étais déçu du comportement qu'il avait eu à l'hôtel. Après cela, Jeff me remerciait et je me dirigeais vers la porte pour partir. J'ouvris la porte et j'allais la refermée lorsque Jayson m'interpellait.

-Attend Cora !!!

-Qu'est-ce que tu veux ?!

-Je me suis comporté comme un con... Je ne veux pas qu'on reste en froid...

-On ne fait pas ce que tu veux.

-Je suis désolé...

-Tu es désolé ? Ah ouai ?

Je pris un verre qui se trouvait sur le comptoir à coter de la porte et le jetais par terre.

-Tu vois ce verre ? Il est brisé tu as vue. Maintenant excuse toi et regarde ce que cela fait. Regarde si quelques choses changent.

-Il ne se passera rien...

-Bas voilà. Une fois que le mal est fait c'est fini. On ne peut rien y faire.

-Le mal ? Je t'ai fait du mal ?

-Laisse tomber oublie !

Je claquais la porte derrière moi et repartis chez moi.