Vienne
13/7/18
Dans le train de Vienne à Villach.
Drapeaux rouges et blancs, echos d'un aigle déchu
Tombé de Saint-Stéphane, là où musique devient désir
Au dessus, des nuages pleins de souvenirs
Et de gouttes de pluies noyées dans le Danhube
Sonnent les anciennes valses, des rondes interdites
Comme si l'impératrice nous regardait errer
Dans ce palais où plus jamais elle ne dansait
Amour léger comme celui qu'elle savait mentir
Ainsi les robes se froissent comme nos paupières closes
Schönbrunn s'écroule dès que le soleil s'endort
Et sur la douce Vienne, vivent les roses écloses
Je me perdais un peu, contemplant ce décor.
Jehanne TheELSS.
Starless night will cover day...
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